Point de vue de Rosalina Wojekhović (Haileen n'est pas présente dans ce rp)
Elle s'était réveillée en sursaut. Un cauchemar, rien de plus. C'était ce qu'elle avait envie de se dire, mais contrairement à n'importe quel rêve qu'elle avait fait, celui-ci la tourmentait. Du haut de ses dix ans, elle n'avait presque peur de rien. D'aucun monstre, d'aucune créature, d'aucune histoire farfelue, glauque ou horrifique. Elle adorait même ça. La seule chose qui la terrorisait, c'était de perdre ce qu'elle chérissait et admirait le plus au monde ; sa sœur, Haileen. Et c'était ce dont était sujet son rêve. Tout était encore confus dans sa tête. Elle ne savait plus exactement ce qui se passait. Tout ce dont elle se souvenait, c'était la perte de son aînée. C'était déjà la troisième fois qu'elle rêvait de ça. Une fois Haileen disparaissait, une autre elle tournait les talons et ne revenait jamais, ignorant la pauvre enfant qu'elle était. Et cette fois-ci, elle mourrait.
Cersei l'avait rassurée les fois précédentes, lui assurant que ce n'était rien, que c'était lié à son départ de la maison. C'était ce qu'elle essayait de se répéter encore et encore, dans l'espoir de se rendormir. Mais elle n'y parvenait pas. Cette fois-ci était la fois de trop. Alors elle quitta son lit, puis sa chambre, arpentant les couloirs aussi silencieusement que possible pour se rendre dans la cuisine et boire quelque chose. Personne n'était encore levé, à l'exception de Zen, puisque lui ne dormait pas. Parce que les robots, ça ne dort pas. Elle ne comprenait pas réellement comment il pouvait se reposer alors, bien que Haileen avait essayé de lui expliquer. Elle se contentait de cette simple information d'enfant, parce que c'était ce qu'elle était, après tout. Elle pouvait toujours affirmer qu'elle comprenait beaucoup de choses d'adultes, elle ne pouvait pas affirmer en être un pour autant. Elle restait naïve et limité dans sa réflexion.
« Vous vous levez bien tôt aujourd'hui. » prononça le robot en la voyant arriver. Elle était toujours troublée par le fait qu'il la vouvoie, elle, petite chose qu'elle était. Mais elle c'était habitué à la chose – de toute façon elle n'avait pas le choix. « J'ai fais un mauvais rêve. » « Encore ? » « Et je n'arrive pas à me rendormir... » « Oh... ». La conversation s'arrêta là. Il lui servit un jus d'orange et quelques gâteaux sans lui poser plus de question, la laissant tranquille le temps qu'il finisse la vaisselle. Et puis, au bout de quelques minutes il lui proposa de regarder un film ensemble, ou de jouer à quelque chose. Pour lui changer les esprits. Et elle accepta.
Ils passèrent la matinée ainsi ensemble et personne ne se soucia réellement d'elle, pensant justement qu'elle était entre de bonnes mains. Mais après le repas de midi, Rosalina parti à la recherche de Cersei, qu'elle trouva isolée dans une pièce avec une multitudes de papiers. La jeune fille n'avait pas le droit de venir par ici normalement, mais elle avait besoin de parler. Elle avait besoin de sa sœur. Et Cersei l'avait bien compris en voyant sa frimousse dépasser la porte sans rien dire. « Qu'est ce qu'il y a ma chérie ? ». L'enfant se rapprocha, réclamant un câlin. Après quoi, elle expliqua ce qu'elle avait en tête. Ce cauchemar, en premier lieu, mais surtout cette sensation que tout ceci n'est pas qu'un hasard. « Elle est peut-être en danger ? » souffla timidement l'enfant. Cersei resta silencieuse un instant avant de répondre. « Et si tu l’appelais pour passer un peu de temps avec elle, hm ? Ça te rassurerais sans doute plus que mes paroles. ». La petite hocha la tête, saisissant le téléphone que lui tendait son aînée.
Elle essaya une première fois de joindre Haileen, mais tomba sur le répondeur. Elle en informa Cersei qui lui suggéra d'essayer à nouveau. Elle retenta alors l'expérience une fois, puis deux. Une troisième fois, cinq minutes plus tard. Puis une quatrième, quinze minutes après. Mais toujours aucune réponse. « Elle doit être occupée. On essayera de nouveau ce soir, ok ? ». Rosalina quitta la pièce sans rien dire, encore plus inquiète qu'à l'origine. Habituellement, sa sœur répondait toujours, même si elle ne devait pas ou ne pouvais pas. Elle était toujours là pour elle.
Malheureusement, elle ne découvrira que plus tard qu'il était impossible pour Haileen de répondre au téléphone à ce moment là. Tout simplement parce qu'elle n'était plus là. Et qu'elle ne sera pas plus présente à l'avenir.
Bon. La situation n'était pas totalement désastreuse. En ouvrant la page affichant les informations sur son compte, il s'était attendu à des montants abyssaux, genre avec moins de trois chiffres sur son compte courant. Au final, avec les prix de gros et économies, il était parvenu à se garder une petite somme pour les dépenses du quotidien, de quoi patienter le temps que les marchandises arrivent et qu'il puisse entamer à nouveau ses activités pratiques. Quant aux installations électriques, maintenant qu'il avait déboursé pour l'installation, la facture ne grimperait pas en flèche tant qu'il n'installait pas de machines. C'est-à-dire encore quelques mois. La porte du sous-sol restait un volet roulant de grande qualité après tout, ça ne l'empêcherait pas de travailler dans l'intervalle. Maintenant qu'il y réfléchissait, garder un accès direct pouvait être utile, que ce soit pour des livraisons de matériel, de matières premières ou pour sortir les produits finis. Certainement plus pratique que de devoir passer par chez lui à chaque fois. Peut-être que lors de la pose du mur, il laisserait la place pour une porte coupe-feu.
Bon, son compte n'était donc pas totalement à sec. En revanche, ses rentrées d'argent... en plus d'être largement réduites suite à la baisse d'activité accompagnant son déménagement, le remboursement du prêt n'allait pas lui faciliter la tâche. Sans parler du fait que, pour faire encore d'autres économies, il comptait bien faire le reste des travaux lui-même. Quelque chose lui disait que, pour un certain temps, il n'allait pas avoir beaucoup de temps libre...
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Pendant ce temps, sur la plage ; Layne regardait les vagues s'échouer sur le sable, pensive. Le changement n'était pas pour lui déplaire, loin de là ; tout comme les autres, elle appréciait le fait de ne plus être cloîtrée dans une petite maison, sans espace ni lieu à elle. Par le passé, elle avait souvent mis de côté certaines de ses capacités et négligé son entraînement, simplement parce qu'elle ne voulait pas risquer de causer des dommages. Maintenant qu'elle avait la mer devant elle, en revanche...
Levant un pied, elle le posa à la surface de l'eau, s'avançant lentement sur les flots sans s'enfoncer. Constatant qu'elle ne se fatiguait quasiment pas ainsi, elle entama une série de téléportation vers le large, mettant quelques kilomètres de marge entre elle et le rivage. Pas de raison de détruire la plage, il n'y en avait qu'une après tout. Une fois arrivée au milieu de nulle part, elle lissa un peu les plis de sa robe ballotée par les embruns, vérifiant une dernière fois qu'il n'y avait rien à proximité à par l'étendue bleue. Rien à gauche, rien à droite. Bien.
Fermant les yeux, elle se concentra, commençant par reprendre un peu ses pouvoirs en main. N'ayant pas participé au dernier match à l'élite, cela faisait trop longtemps qu'elle n'avait pas eu l'occasion d'y aller à fond. Un exercice d'échauffement courant pour les pokémons psychiques était de séparer une masse d'eau en deux par la pensée, ou encore de la manipuler avec précision ; quand elle était une Tarsal, elle avait eu quelques occasions de le faire avec une baignoire d'eau, ou encore sur le bord de la plage. Mais en grandissant, les occasions s'étaient faites aussi rares que les grands volumes d'eau où elle pouvait faire ce qu'elle voulait. Rouvrant les yeux, elle commença donc par couper la mer en deux, séparant les flots sur dix mètres de longueur ; voulant voir jusqu'à quelle profondeur elle pouvait tenir. Deux mètres, c'était facile ; cinq, ça commençait à lui demander un bon effort ; et au delà, la pression grimpant à chaque mètre rajoutait une bonne dose de difficulté. En quelques minutes d'efforts, elle finit par parvenir à une quinzaine de mètres, s'y arrêtant finalement ; elle aurait pu tenter de forcer plus, mais les parois de force invisibles qu'elle maintenait commençaient à vaciller. Et si un coin cédait, l'eau revenait à sa place et le reste ne servait plus à rien ; à cette échelle, ça devenait autant un exercice d'équilibrage que d'endurance. Laissant finalement la mer se refermer, elle souffla un coup, se laissant une pause avant l'exercice suivant. Après tout, elle n'était pas non plus là pour se coller une migraine, alors autant prendre son temps et faire ses exercices dans les règles.
Hrp:
Achat de deux CT Vampipoing pour 10 000 p$ EDIT Mao : 48575 - 10000 = 38575p$ retirés depuis le PA
Je n’avais rien de prévu aujourd’hui jusqu’à ce que ma mère me demande d’aller faire quelques courses pour elle. Heureuse de pouvoir aider, je me redresse rapidement pour me diriger vers ma chambre afin d’y prendre ma bourse et je n’oublie pas de noter ce dont elle a besoin avant de quitter la maison. Apparemment, c’est pour le repas de ce soir et il ne faudrait pas qu’il manque quelque chose.
- J’ai surtout besoin de poireaux et de jus d’ananas. Oh et aussi un pot de miel s’il y en a encore en stock, ajoute-t-elle tout en me donnant une poignée de pièce pour que je puisse payer le vendeur. Si tu trouves de beaux poivrons, des céréales ou encore des pommes de terre profite-en, ce n’est jamais de trop. - D’accord, mama. Je devrais être de retour d’ici une vingtaine de minutes.
Affichant un grand sourire, ma mère me donne un baiser sur le front avant de m’inciter à partir d’un geste de la main, ce que je fais après avoir mis son argent dans ma bourse pour éviter de tout perdre. Le marché n’est pas très loin de notre maison, mais je dois traverser une partie de la jungle de l’ile pour m’y rendre. C’est le seul endroit ici où l’on peut acheter des produits frais en provenance des fermes locales, car les gens qui y travaillent viennent régulièrement apporter leurs récoltes ou encore produits transformés afin de les vendre aux autres villageois. Comme ça, tout le monde est heureux, les fermiers reçoivent un paiement pour leurs efforts et les autres peuvent manger à leur faim à un moindre coût. Notre mode de vie nous permet d’éviter au maximum les importations et nous nous assurons ainsi d’une qualité impeccable chez nos produits locaux. Personne sur cette ile ne mange de viande, tout le monde ici est végétarien depuis plusieurs générations et cela aide grandement les vendeurs à ne pas perdre leurs produits sous la chaleur qui règne à longueur d’année.
Tandis que je marche sur le sentier de terre battue qui mène au marché à travers la végétation dense, je ne peux m’empêcher de penser ce que serait notre vie si nous mangerions de la viande ou encore du poisson. Cela me semble inconcevable et même les hommes les plus costauds du village refuse de manger ce genre d’aliment qui, je le sais bien, plaisent à beaucoup de monde sur le reste du continent. Notre parfaite harmonie avec la nature nous empêche de faire du mal à n’importe quelle créature vivante sur ces terres et même si certaines familles possèdent leur propre élevage dans les environs, ils produisent en général des produits dérivés comme du fromage, des œufs ou de la laine. Aucune viande sur le marché, ça a toujours été ainsi et ça le restera certainement pour un très long moment encore. Tout pokémon mourant sur cette ile est retourné à la nature pour que la boucle soit bouclée et que le cycle de la vie puisse continuer. C’est comme ça que ça fonctionne chez moi et c’est sur cette pensée que j’arrive finalement devant le marché. J’espère pouvoir y trouver tout ce dont ma mère a besoin pour préparer le repas du soir.
Achat de 20 pokéballs s'il vous plait. Oui, je l'admets, je suis une captureuse compulsive de pokémon :D
EDIT Mao : 3250 - 2000 = 1250 p$ retirés depuis PA
Je n’avais pas eu le choix de me déplacer jusqu’à ma ville natale cette fois. C’était bien dans cette ville qu’on y retrouvait le plus grand centre commercial! La panoplie d’articles qui nous offrait était simplement gargantuesque. Ça me manquait bien cet aspect de la ville. À Atalanopis, c’était assez petit et réellement rien de comparable à où je me retrouvais présentement. Il y avait plusieurs étages dont chacune d’entre elles avaient une spécificité bien précise. Ce qui était bien pratique pour éviter les allers-retours interminable et se chercher sans cesse.
J’étais à l’étage où on pouvait apprendre des capacités techniques à nos pokémon. Je ne recherchais rien pour moi en tant que tel, non. C’était en fait pour une amie donc ma première rencontre remonte à Alola. Elle ne pouvait pas se le procurer dans sa région natale et elle n’avait malheureusement pas le temps de se déplacer par elle-même. Je lui avais donc offert d’aller la magasiner à sa place puis lui envoyer pour qu’elle le reçoive chez elle. Ça me donnait également une excuse pour voir mes parents au passage, ce qui me plaisait très bien.
Après avoir passé plusieurs minutes à tenter de repérer celle que je cherchais, je finis par y mettre la main dessus! Parfait! Je me dirigeais vers la caisse pour y officialiser l’achat et je remerciai le jeune homme derrière le comptoir qui m’avait servi. Il ne me restait donc plus à l’envoyer à Kalos en espérant qu’elle le reçoit rapidement!
Achat d'une CT35 Cradovague (3 000 p$) Merci :3 EDIT Mao : 22500 - 3000 = 19500 p$ Retirés depuis le PA
Il était super tard et Charlie avait mal aux pieds. C'était vraiment très nul comme situation, mais ça, elle n'y pouvait pas grand chose. La vérité, c'est qu'elle avait très faim, qu'elle avait oublié de faire des courses et qu'elle avait pas du tout envie de faire de la cuisine. Le but était donc d'aller rapidement dans un commerce ouvert et d'acheter un truc bon mangeable rapidement. Le seul problème, c'est que Bob avait lui aussi super faim et qu'elle ne pouvait pas lui acheter n'importe quoi comme elle l'aurait fait pour elle. Donc il fallait trouver quand même un coin assez grand pour avoir de la nourriture Pokémon d'une qualité suffisante pour que Bob pusse en manger. Non parce que se goinfrer du chocolat des humains, c'était oui, mais il n'allait tout de même pas manger de la nourriture bon marché dégueulasse. Enfin, heureusement elle habitait à Nénucrique et des commerces ouverts le soir, il y en avait quand même quelques uns de disponibles donc c'était déjà ça. Il fallait juste marcher en fait et c'était peut-être ça le problème. L'unique problème.
Finalement, elle était entrée dans le grand centre commercial, pour finalement se rendre compte qu'il ne lui restait que vingt minutes pour faire ses emplettes. Cela allait être méga juste, mais elle pouvait y arriver, elle se décida donc assez rapidement de partir sur du pain et des nouilles qu'elle plongerait dans un bol d'eau chaude. Il fallait vraiment se dépêcher pour Bob. Elle arriva alors essoufflée auprès du caissier.
« J'ai fermé désolé. - Gneuhaarh. »
Elle ne voulait pas être désagréable, mais c'était quand même pas super cool là tout de suite. Bref, elle changea donc de caisse avant de passer à une jeune femme qui avait vraiment l'air contente d'être là, avec toute l'ironie due à la situation. Charlie passa ses articles, paya, remercia et souhaita « bon courage et bonne nuit euh soirée », avant de sortir du magasin. Ouf, ils avaient tout ce dont ils avaient besoin pour se nourrir pour la soirée et c'était bien le plus important. Charlie prit son courage à deux mains pour rentrer à la maison le plus rapidement possible, calmant son ventre en mâchonnant son pain.
Achats :
4 Superpotion : 4 x 200 4 Hyperpotion : 4 x 300 5 Guérison : 5 x 700
Je m’étais tout simplement fait chasser par ma petite sœur de ma propre propriété.
C’était assez bizarre en fait. Elle qui adorait aller faire des courses et même avoir l’occasion d’aller rendre visite à nos parents. Elle s’était pris un appartement avec son copain, donc elle ne vivait plus sous le même toit que nos géniteurs. Ce n’était pas si mal que ça. J’étais même heureux qu’elle puisse vivre finalement ses propres expériences et devenir de plus en plus indépendante. C’était une chose que j’adorais même. Cependant, le hic était plutôt son petit ami. Je devais l’avouer que je ne l’appréciais pas particulièrement, mais c’était son choix. Tant et aussi longtemps qu’il la traiterait avec respect, je n’avais rien à redire. Je ne pourrais pas non plus expliquer le pourquoi du comment que j’avais toujours au fond de moi ce sentiment de malveillance… Il n’avait rien fait pour éveiller cela, mais pourtant, c’était là. Je n’aimais pas non plus que je ressente une chose tout de même horrible. Ce n’était aucunement sain. Je souhaiterais de le faire disparaître, mais rien à faire…
Après, j’ignorais aussi pourquoi Flora m’avait simplement mis dehors de chez moi. Il était vrai que je commençais à manquer de quelques produits qu’il ne se trouvait qu’à l’énorme centre commercial à Nénucrique. Heureusement que je connaissais bien la ville. Je m’y étais rendu à dos de mon Pidgeot puisque la ville d’Atalanopolis n’était pas très pratique pour se déplacer. Mais par les airs, il était plus facile.
J’avais ma liste en main. Je défilais dans les rayons afin de pouvoir me procurer tout ce dont Flora m’avait écrit. En espérant que rapporter le tout ne soit pas trop encombrant pour mon pokémon.
Achat d'une CT Cradovague (3000 p$) <3 EDIT Mao : 17230 - 3000 = 14230 p$ retirés par PA
Stelkin était épuisé par ses dernières missions. Partir dans la ville glacée de Frimapic pour ensuite enchainer avec une mission dans le désert délaissant d'Unys, non vraiment il en avait plein les pattes. Il pensait qu'on le contacterait tôt ou tard pour le renvoyer encore quelque part, mais peut-être avaient-ils senti que cette fois-ci, il avait attint les limites : les centres pokémons c'était pratique mais lui qui n'avait connu que ça jusqu'avant de connaître un vrai lit d'Alexander, il ne pouvait définitivement plus supporter la dureté des oreillers et cette odeur de désinfectant. Toujours en habit d'uniforme, l'agent s'écroula de fatigue sur le canapé d'Alexander, Arkh toujours égal à lui-même et restant silencieusement aux côtés de son maître. A vrai dire, heureusement qu'il était là car si Shadows démontrait certaines facultés de fourberie, ce n'était pas encore ça en matière de combat même s'il avait du potentiel. Il faut dire que dans les faits, son esprit était bien plus calé vers la réussite de cette ligue et donc sa préparation pour des raisons... Et bien, pour des raisons personnelles La simple vue de l'infirmier eut toutefois le bon ton de lui faire tirer un sourire.
« Ah ben j'ai bien vu ça. Même pas un petit message pour me dire quand tu reviens Monsieur l'Agent, je ne savais pas que les flics avaient d'autres temps que les pauses apéro à rallonge » Il avait un sourire vicieux qui se glissa subrepticement sur son visage, comme une blague dont lui seul avait le secret. Faut dire qu'il n'avait pas eu beaucoup de chance la dernière fois : au commissariat de Nénucrique, il dut attendre au moins une heure avant que des agents en fonction soient en mesure de prendre sa réclamation. La raison ? Et bien, un ivrogne un peu turbulent qui faisait du grabuge sur la voie publique. Sauf que les deux agents envoyés étaient bien trop inexpérimentés et du coup, c'était devenu un running gag entre eux. Enfin, la réalité c'était qu'à quelque part, même s'il ne se l'avouait pas, qu'il était content de le revoir en entier, sain et sauf. Et le plaisir était réciproque.
D'ailleurs, Alexander prit les devants. « Bon ben je n'ai pas pu préparer à manger pour deux puisque tu ne m'as pas prévenu » Son regard pétillait de malice, toutefois, il continua sur sa lancée – et donc pensée secrète. « Tu veux manger quoi ? » A vrai dire, il s'en foutait un peu de la nourriture, c'était simplement le désir de passer une bonne soirée qui primait sur le reste. Du coup il décida au hasard. « Un petit Jap ? » Certes, cela signifiait devoir se relever de ce confortable canapé et ensuite se rhabiller un peu pour sortir en ville et plus précisément au centre commercial. Mais il y avait des hommes qui faisaient se lever en lui des montagnes de courage.
Pour lui, il accepterait de faire n'importe quoi.
Coucou, j'ai besoin de pimper un epu mes pokés (depuis le temps que je devais passer ici) J'achète donc : x 1 CT Feu Follet (2000) x 1 CT Lance FLamme (3000) x 1 CT Laser Glace (3000) x 1 CT Fatal-foudre (4000) Pour un total de 12000 !
Merci à vous !
EDIT Mao : 23300 - 12000 = 11300 p$ retirés par PA
Je ne m’attendais pas à ce qu’il y ait autant de gens présent au marché cette heure-ci. À peine suis-je arrivé que je vois déjà l’intérieur du petit bâtiment qui semble être rempli à craquer de client, il y a même une personne debout à l’extérieur qui attend que l’achalandage diminue afin de pouvoir y entrer avec une meilleure liberté de mouvement. Mince... avec autant de villageois et une demande aussi élevée, j’ai bien peur de ne pas pouvoir acheter tout ce dont ma mère a besoin. Le vendeur doit être vachement occupé aussi et le mieux à faire serait d’attendre mon tour même si le temps presse. Ce n’est pas mieux si je pousse tout le monde pour pouvoir mettre la main sur quelques légumes et un pot de miel, je risquerais de me faire mal ou de blesser quelqu’un d’autre dans mon empressement.
- Tiens, si ce n’est pas la fille de Koryn, me lance l’homme seul à l’entré du marché une fois que j’atteins sa hauteur, affichant un petit sourire en coin. - Bonjour Yousek. Ça fait un moment que tu es là ? - Je dirais une dizaine de minute. Ma femme m’a envoyé faire les courses, mais avec tout ce monde... il est hors de question que j’y rentre.
Cela se comprend tout à fait. Je ne comprends pas comment les lieux peuvent êtres aussi occupés et pendant autant de temps. L’homme n’est pas ici depuis longtemps, mais il ne semble pas y avoir eu beaucoup de départ pour qu’il soit encore là à attendre. Du coup, pour essayer de passer le temps et aussi parce qu’il est un ami de mon père, nous commençons à discuter tranquillement et c’est pendant ce temps que je vois la première cliente sortir du marché avec les bras remplis de chose. C’est sur qu’avec toutes les grosses familles qui peuplent l’ile, nous avons besoin de beaucoup de nourriture mais c’est la première fois que je vois un tel engouement d’un coup. Mes parents ne me croiraient pas si je leur racontais ce qui se passe actuellement et j’ose croire que tout le monde a décidé de se déplacer au même moment, qu’il n’y a pas plus d’activité que d’habitude. Petit à petit, je vois d’autres adultes sortir du bâtiment avec leurs achats et un enfant ne tarde pas à se mettre à pleurer dans le marché, rendant l’endroit encore plus bruyant qu’il ne l’est déjà.
Yousek et moi continuons de parler jusqu’à ce qu’une bonne demi-heure se soit écoulée depuis mon arrivée et ce n’est qu’à cet instant que je décide de jeter un coup d’œil à l’intérieur, après qu’une dame soit sortie avec un pot de confiture. Il y a encore des gens, mais c’est franchement moins pire.
- Bon, je crois que nous pouvons entrer avant que d’autres clients n’aient la bonne idée de venir.
L’homme ne semble pas très à l’aise à l’idée de se retrouver si proche d’une foule, mais il accepte tout de même de me suivre à l’intérieur. Je redoute quand même de voir l’allure des rayons après que tout ces gens aient dévastés les lieux et j’espère qu’il reste encore quelques trucs pour que ma mère puisse être heureuse à mon retour à la maison.
Achat de 20 pokéballs s'il vous plait (oui encore D:). EDIT Mao : 3440 - 2000 = 1440p$ retirés par le PA
Les réserves diminuaient à vue d’œil. Dire qu’au départ, je n’avais pas beaucoup de pensionnaire, alors tout allait bien, mais voilà que maintenant… Je ne pouvais pas passer plus de une semaine sans que je sois à sec de nourriture pour les pokémon. Après, je ne pouvais pas négliger le fait que plusieurs pokémon errants décidaient d’élire domicile à mon refuge. C’était probablement pour cette raison que je n’arrivais plus à suivre mon ancien rythme. Mais ce n’était pas bien grave. Habituellement je faisais livrer le tout, mais cette fois ce n’était pas possible. Il fallait que je récupère quelques petits trucs aussi qui étaient hors commande en ligne.
Donc me voilà devant le centre commercial de Nénucrique. J’avais pris la peine de faire un petit détour chez mes parents avant. Bien que mon père soit encore à l’extérieur, j’ai pu discuter avec ma mère un peu. Bien qu’elle m’ait refilé quelques pokémon à m’occuper à ma pension puisqu’elle ne pouvait pas se permettre d’en avoir autant. Je lui avais mentionné de le transférer à Flora qui était resté à Atalanopolis.
Bref, je me dépêchai de rentrer afin de faire les emplettes. Il y avait énormément de monde et ce fut bien difficile de se déplacer d’étage à étage… sans mentionné le fait que tout le monde ne faisait pas du tout attention où ils allaient… Mais au bout de deux heures, je pus sortir avec ce dont j’avais de besoin. Il ne me restait plus qu’à rentrer.
A l'approche de ton anniversaire – et accessoirement de Halloween – tu avais décidé de passer un petit week-end chez Jeal. Cela faisait plusieurs mois que tu ne l'avais pas vu et l'air de rien, ta petite vielle te manquait pas mal. Outre le fait qu'elle t'avait sauvé d'une misère sans nom, tu avais aimé passer ces années de ta vie avec elle. Et tu te disais que passer un peu plus de temps avec elle, maintenant que tu vivais de ton côté, ne ferrait pas de mal. Un petit week-end par-ci par-là, rien de bien folichon, mais de quoi satisfaire tout le monde. Car tu savais qu'elle aussi serait ravie de te voir. Autrement elle ne serait pas à t'appeler toutes les semaines et t'envoyer des sms quotidiennement simplement pour savoir si tout va bien, ou si tu as bien pensé à faire certaines choses importantes.
Pour l'occasion, elle avait même invité un vieil ami, un homme que tu as connu dans ta jeunesse et qui t'as également tiré de ta misère : Holden, l'agent de police spécialisé dans la recherche d'enfant et dans leur réinsertion dans ce monde pourrit. Tu te faisais une joie de revoir cet homme. Cela faisait des années que tu ne l'avais pas vu. A vrai dire, pas depuis qu'il t'as présenté à Jeal. C'est dingue quelque part de savoir que ces deux là sont toujours en contact. Pire même, qu'ils sont amis alors que sur le papier, tout les opposes. L'un travail pour l'ordre, l'autre à longtemps aidé un certain organisme à semer le désordre. Comme quoi, il ne faut parfois pas s’arrêter à certaines idées reçues. Autrement, tu serais sans doute morte à l'heure actuelle.
Tu avais alors convié ton ami Elijah à se joindre à vous, de t'accompagner chez Jeal, depuis le temps qu'elle voulait rencontrer ce garçon et inversement. Et puis quelque part, tu avais bien envie de passer ce week-end avec toutes les personnes que tu aimais bien.
Quand tu arrivas sur place avec ton ami, ta joie fut transformée en une vieille grimace et quelques grognement. A peine étais-tu arrivée que Jeal te demanda d'aller faire quelques courses. Seule, bien évidemment. Tu n'avais pas besoin de ton ami pour ces quelques courses. Et puis tu connaissais le quartier alors que lui non. Et puis comme ça, ça lui permettait de faire connaissance avec lui. Toute une succession d'excuses dont tu avais l'habitude d'entendre à l'époque et qui t'exaspérait tellement. Mais bon. Tu forças un sourire pour l'occasion et te plias à cette exigence sans même négocier. Tu n'étais pas venue pour te prendre la tête. Et puis, ce n'était qu'une rapide sortie, pour trois fois rien. Tu pouvais très bien survivre à ça.
Tu sortis seule, sans personnes, sans pokémons et sans motos. A l'exception de Smolder, évidemment. Comme la liste qu'elle t'avait donné n'était pas bien longue, tu te disais qu'il ne servait à rien de gaspiller ton essence et que tes pieds pouvaient très bien te porter jusqu'au petit commerce du coin. Ce commerce d'ailleurs, tu l'aimais bien aussi. Tu étais devenue amie avec ses gérants à force d'y aller tous les quatre matins. C'était les seuls à accepter la présence de Smolder dans leurs allées. Alors tu aimais bien venir chez eux. Et puis, il était si rare pour toi d'apprécier un être humain, alors bon. Surtout que ces personnes seront sans doute contente de te revoir, depuis tout ce temps. Tu pouvais bien leur accorder un peu de ton temps pour papoter avec eux, tant que tu y étais. Jeal n'étais pas pressée d'avoir ses baies Oran et son tofu de toute façon.
Achat de la CT Eco-Sphère (3.000p$) qui va directement sur Herbizarre, merci :D EDIT Mao : retirés
Enfin le weekend, somme toute une fin de semaine classique. Le tournage des émissions de la semaine à venir est terminé et comme d'hab je suis sur les rotules. Cependant, il reste une dernière chose à faire avant de pouvoir me poser à la maison, l'éternelle tâche des courses. Depuis ma victoire contre Chikao à la Master Tower à l'aide de pokémons peu entraînés, l'ambiance générale sur le web s'était considérablement adouci à mon égard, mes détracteurs prétendant que je n'étais qu'un clown ne devant ma victoire qu'à des coups bas. Le tour de force qu'avait notamment exécuté le Ronflex m'avais quelque peu surpris, et je commençais à voir poindre l'envie d'ajouter celui-ci à mon équipe. Convaincre son actuel dresseur serait chose aisée, car celui-ci faisait partie de mon fan club. Avais-je vraiment envie de reprendre de zéro l'entraînement intégral d'un pokémon? Après tout, oui, pourquoi pas? Plusieurs membre de l'équipe que j'avais choisis pour combattre la ligue n'avaient au final absolument pas combattu, et Melba refusait de se retrouver de nouveau dans une situation aussi humiliante que celle qui m'avais apporté la victoire sur Ruven...
> Achat d'une CT Danse-Lames et d'une CT Cradovague pour 5000$ Edit Mao : retirés
Andrew déambule silencieusement dans chaque recoin de l'appartement, ses yeux scrutant chaque élément avec une attention particulière, capturant l'essence de la transition imminente. Les cartons, tels des gardiens temporaires de souvenirs, reposent soigneusement scellés, formant une tour harmonieuse dans un coin de la pièce. Ces boîtes, méticuleusement remplies au fil des jours, représentent un testament visuel à l'égard du processus d'emballage minutieux qui a précédé ce moment. À proximité, dans une enclave spécialement dédiée, ses affaires personnelles sont rassemblées avec une organisation réfléchie. Chaque objet semble être positionné avec une intention précise, préparant le terrain pour les premiers instants dans le nouveau foyer. Les murs, dénudés de leurs parures passées, révèlent une toile blanche prête à accueillir de nouvelles histoires. Les ombres laissées par les cadres retirés évoquent une réminiscence mélancolique des moments jadis capturés, laissant entrevoir une transition émotionnelle au-delà du simple déplacement physique. Dans cet espace dépouillé, l'atmosphère est imprégnée de l'excitation de l'inconnu et de la nostalgie des souvenirs qui restent gravés dans les murs, attendant patiemment d'être transposés dans la prochaine phase de la vie d'Andrew. Chaque coin de l'appartement semble résonner avec l'histoire de son passé, tandis que l'anticipation de l'avenir s'infiltre doucement dans chaque recoin, créant un équilibre délicat entre le connu et l'inexploré.
Avec une sollicitude presque rituelle, Andrew s'est assuré que ses trésors les plus chers, en particulier les photographies qui témoignent de sa collection variée de Pokémon venant de toutes les régions, soient emmaillotés dans un cocon protecteur. Chacune de ces images, véritables reliques de ses voyages et rencontres, a été enveloppée avec une délicatesse palpable, évoquant une prévenance paternelle envers des fragments de son passé qui revêtent une importance particulière. Les clichés des Pokémon, minutieusement emballés, sont désormais prêts à entreprendre leur propre aventure vers un nouveau domicile. Les empreintes des déménageurs Pokémon, experts dans l'art de manier ces trésors délicats, semblent presque se dessiner dans l'air, prêtes à prendre en charge cette mosaïque d'objets soigneusement protégés. Chaque photo, chaque instant capturé, est enveloppé dans une double couche de protection, à la fois physique et émotionnelle, préservant la magie unique de chaque souvenir. L'atmosphère dans la pièce est teintée d'une certaine solennité, un respect presque cérémonial envers ces fragments de vie qui s'apprêtent à voyager vers de nouveaux horizons. Les déménageurs Pokémon, métaphoriquement investis du rôle de gardiens de mémoire, sont sur le point de s'emparer de ces trésors, s'engageant à assurer leur transport sûr vers la prochaine étape de l'aventure d'Andrew. L'appartement, débarrassé de ses ornementations passées, devient ainsi le théâtre d'un au revoir empreint de prévoyance et de promesse, capturant l'esprit de transition qui anime cette étape cruciale de la vie d'Andrew.
Le sportif se tient face à un puzzle logistique, sans avoir vraiment le temps ou l'envie de s'y plonger. Les intrications du déménagement, avec ses questions de transport, de logistique et d'organisation, semblent flotter autour de lui, mais il les laisse volontiers à d'autres épaules. Dans sa vie déjà rythmée par les entraînements intensifs et les compétitions, il choisit de ne pas alourdir son fardeau mental avec des détails dont d'autres peuvent plus efficacement se charger. Son attention est entièrement absorbée par le processus immédiat de quitter son logement actuel. Chaque coin de la pièce, chaque recoin, est minutieusement scruté pour s'assurer qu'aucun vestige de sa présence ne subsiste. La visite de contrôle et la remise des clés, moments cruciaux dans la transition, sont abordées avec un sérieux méticuleux. Il veut laisser cet espace derrière lui en toute sérénité, prêt à embrasser le nouveau chapitre qui l'attend. Le prochain arrêt est Nénucrique, une destination qui marque le début de sa nouvelle aventure. Mais avant de s'envoler vers ce nouvel horizon, il reste quelques détails à régler. Des achats en attente, des décisions à prendre – toutes ces petites choses qui jalonnent le passage d'une vie à une autre. L'excitation monte à l'idée de prendre possession de son nouveau logement à Atalanopolis. C'est là que sa nouvelle vie prendra son envol, et chaque étape à venir est chargée de promesses et d'opportunités. Au milieu des boîtes et des décisions pratiques, une émotion palpable se répand, mélange d'anticipation et d'excitation. C'est le premier jour d'un avenir qui promet d'être riche en découvertes, marquant un tournant significatif dans la trajectoire du sportif. La logistique du déménagement peut être complexe, mais elle s'efface devant la perspective de cette nouvelle aventure, tissée de possibilités et d'épanouissement personnel.
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Les déménageurs, tels des maîtres de la transition, ont méticuleusement emporté avec eux l'essence de la vie d'Andrew, encapsulée dans des cartons parfaitement scellés. Chaque objet emballé représente un chapitre de son histoire, des fragments de son passé soigneusement emprisonnés dans le carton, attendant patiemment d'être libérés dans le cadre d'un nouveau décor. Les clés, jadis les gardiennes d'un chez-soi vibrant de vie, sont à présent restituées au propriétaire du logement, transformées en symboles éphémères d'un espace désormais vacant. La caution, autrefois investie dans les murs et les recoins de cet appartement, repose maintenant dans l'attente calme d'une nouvelle utilisation, prête à être réinvestie dans le cocon douillet d'un futur domicile. Un soupir de soulagement, teinté de gratitude, s'échappe des lèvres d'Andrew. Le déménagement, souvent parsemé d'embûches, s'est déroulé sans heurts majeurs, laissant derrière lui un sentiment de maîtrise et d'accomplissement. Prenant quelques instants, Andrew absorbe une dernière fois l'air familier de Lavandia. C'est comme si chaque particule de cette atmosphère avait emmagasiné des souvenirs, et il savoure ces instants de nostalgie mêlés à une anticipation palpable. Bien qu'étranger de naissance à cette ville, son départ suscite en lui une émotion complexe, une vague de sentiments qui transcendent les simples coordonnées géographiques. Les plans de vie d'Andrew ont subi une métamorphose inattendue, façonnés par sa rencontre avec Lottie. Ce tournant imprévu l'a catapulté hors de la stabilité qu'il avait initialement envisagée, ouvrant la voie à un horizon de possibilités insoupçonnées. Son esprit est désormais le réceptacle de nouvelles aspirations, chaque pensée tissée avec l'excitation de l'inconnu. Alors qu'il se prépare à quitter Lavandia, Andrew sait qu'il ferme la porte sur un chapitre significatif de sa vie, mais il se réjouit de la perspective d'explorer de nouvelles pages encore vierges de son avenir.
Dans cet instant charnière, Andrew perçoit ses amis comme les derniers liens tangibles qui le rattachent à ce coin particulier de son passé. Même si la distance géographique s'apprête à s'interposer entre eux, il sait que les adieux ne sont qu'une parenthèse éphémère dans le récit de ses relations. Il porte en lui la certitude que les retrouvailles avec ses compagnons d'aventure se dessineront, inévitables, dans des lieux différents, sous d'autres cieux, dans des circonstances aussi uniques que les liens qui les unissent. Le sportif se confronte alors à un moment symbolique, où la simplicité des adieux contraste avec la majestuosité de la créature qui l'attend. Son majestueux Heledelle, prêté par sa famille pour cette occasion particulière, se tient là, une figure imposante au milieu des boîtes d'émotions soigneusement emballées. La vision de l'oiseau légendaire crée une toile visuelle saisissante, une juxtaposition de la grandeur de l'instant avec la simplicité des au revoir. Il ressent la profondeur de cette réunion avec son compagnon ailé, une créature qui a jadis marqué son passé de son empreinte majestueuse. Les ailes puissantes de l'Heledelle, symboles de liberté et d'expansion, offrent un parallèle puissant avec le futur incertain qui se déploie devant Andrew. Il se sent privilégié de partager ce voyage avec une créature aussi noble, une expérience qui ravive des souvenirs qui avaient sommeillé trop longtemps dans les tréfonds de sa mémoire. Avec une dernière révérence empreinte de respect envers Lavandia, Andrew se prépare à prendre son envol vers l'inconnu. Les ailes puissantes de l'Heledelle s'ouvrent, symbolisant le commencement d'un nouveau chapitre dans la vie du sportif. Les cieux inexplorés devant lui deviennent le théâtre de ses rêves en expansion, et avec chaque battement d'aile, il embrasse l'incertitude avec une confiance renouvelée, prêt à découvrir les horizons qui se dressent devant lui dans ce voyage marqué par la grâce de son fidèle compagnon ailé.
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Une fois ses pieds foulant le sol de Nénucrique, Andrew s'est immédiatement orienté vers le cœur commercial de la ville. Il était animé par une urgence tranquille, conscient qu'il restait encore une liste considérable d'achats à accomplir. La perspective que les portes des magasins se referment avant qu'il n'ait pu tout régler le poussait à agir avec célérité. Pour lui, chaque minute comptait dans cette course contre le temps, un effort pour garantir que tous les détails soient en place avant que l'ombre de la nuit ne s'étende sur la ville. Ces achats, bien que modestes dans l'absolu, étaient essentiels à son installation dans cette nouvelle cité et, par extension, dans son nouveau cocon. Il réalisait que la transition d'un logement meublé à un autre impliquait souvent cette série d'acquisitions. Chaque article, du plus trivial au plus essentiel, était une pièce du puzzle qui rendrait son nouvel espace aussi accueillant et fonctionnel que celui qu'il laissait derrière lui. Dans ces moments de choix, il percevait une opportunité de redéfinir son environnement, de lui imprimer une touche personnelle qui refléterait le chapitre nouveau qui s'ouvrait dans sa vie. Le bruissement des sacs chargés d'achats témoignait du passage d'Andrew dans les allées du centre commercial, un ballet effréné entre les étagères et les rayons. Ces acquisitions, bien plus que des biens matériels, étaient des investissements dans son confort et sa stabilité dans cette nouvelle étape. Un tapis, des ustensiles de cuisine, des draps soigneusement choisis – chaque objet ajouté au chariot était une déclaration silencieuse de son engagement envers cette transition, une façon de tisser des liens tangibles entre son passé et son futur. Ainsi, alors que le crépuscule enveloppait progressivement la ville, Andrew s'éloignait du centre commercial, chargé de sacs mais aussi de l'énergie renouvelée qui accompagne le commencement d'une nouvelle vie.
Voilà. Tout était prêt. Il ne lui restait plus qu'à passer une agréable soirée en famille avant de décoller vers de nouvelles aventures dès le lendemain matin.
1780 mots
Achat de 3 CT Lance-Flamme, directement apprises à Togepi, Ramboum S et Mangriff S Achat de 3 CT Tonnerre, directement apprises à Mime Jr. S, Larvibule S et Mangrif S Achat de 5 CT Danse Pluie, directement apprises à Togepi, Ramboum S, Mime Jr. S, Larvibule S et Mangriff S Achat de 1 Hyperball, 1 Super Potion, 3 Potion et 4 Hyper Potion
Total des achats : 6000+6000+7500+200+200+300+1200 = 21400$ à retirer
Utilisation des CT Ball'Ombre et Canon Graine sur Mangriff S Utilisation des CT Tomberoche et Gonflette sur Gruikui S Utilisation des CT Atterissage et Séduction sur Chovsourir S Utilisation de la CT Force Cosmique sur Skitty Utilisation de la CT Laser Glace sur Ptitard S Utilisation de la CT Force Ajoutée sur Mime Jr. S Utilisation de la CT Change-Eclair sur Larvibule S Utilisation de la CT Detricanon sur Pachirisu S