// Localisation : Rosalia, route 39 et route 42

source : Tofu - Pixel art

RP solo modéré

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BIP BIP BIP

Une main émergea d’un drap, éteignant le réveil analogique, dont l’écran affichait un 06:30 en lettres rouges. Tori aurait été tenté d’affirmer de vivre selon le dicton que « la vie appartient à ceux qui se lèvent tôt », mais le présent de vérité générale ne correspondait tout simplement pas à sa philosophie de scientifique. Il n’y avait pas de certitudes, il n’y avait que des opportunités, des possibilités, des observations à partir desquelles l’on pouvait tirer des suppositions. S’il choisissait de se lever à l’aube, voire avant en hiver, c’était pour maximiser le temps où il était productif, car il se savait incapable de se concentrer le soir. Il n’était donc pas question de préférences, mais bien d’un choix délibéré de se lever tôt. En toute honnêteté, si aucune pression n’existait sur ses épaules, s’il était un NEET comme son oncle, Tori n’aurait pas été surpris de se voir laisser aller, de devenir un véritable oiseau de nuit, mais la société n’était pas construite pour favoriser ce style de vie. Il s’opposait déjà à « normalité » par sa transidentité, et il ne comptait pas creuser davantage, merci bien. Néanmoins, si son futur emploi venait à l’encourager à travailler de nuit… Il ne pensait pas que cela le dérangerait.

Toutefois, dans le présent, alors qu’il se levait, Tori songeait surtout à la discussion sms qu’il avait eu la veille, avec Asuka. S’étant soudainement rendu compte le soir que l’invitation qu’il avait fixée avec Joffrey pouvait être interprétée comme un rendez-vous galant, il s’en était lamenté à son ami.

Sincèrement, j'hésite entre t'offrir mon aide ou t'euthanasier.

LOL

21:58

Nan mais en vrai

Je fais quoi s'il se ramène en étant bien habillé et tout ? On va au Ranch Meumeu, parce que l'ai promis à M. Homori. Et puis je veux voir Dolly, ça fait longtemps

Écoute, tu t'embêtes pour rien. C'est de sa faute s'il est désespéré à ce point. ┐(￣ヘ￣)┌

J'irais en mode YOLO alors. Pas le choix

Exactement ! Montre lui bien à quel point la campagne de Johto est charmante. Il aura peut-être envie de revenir avec sa famille, c'est bon pour le business ∠( ᐛ 」∠)_

21:59

Incorrigible

Je sais que tu m'adores, pas besoin de le cacher ☆⌒(≧▽° ) ! Le style "tsundere" ne te va pas (￣ε￣＠)

Tu me fatigues

Comme toujours, il avait pu compter sur Asuka pour le faire dédramatiser. Un coup d’œil rapide sur les messages de la veille lui permit de trouver l’inspiration pour les vêtements du jour, adaptés pour un passage en ferme. Un pantalon foncé, quoi. Mais avec un T-shirt, attention ! Et de couleur claire, malgré ses habitudes. Il allait peut-être faire plus nuageux et plus frais ce jour-là, Tori ne comptait pas pour autant jouer avec le feu. Il allait probablement encore faire chaud.

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(488 mots)

Modération:

Parfois, ça m’arrangerait que Tori ne soit pas un humain aussi actif. Je l’entends s’agiter tout autour de moi depuis mon panier, et je dois vite me rendre à l’évidence : la douce étreinte de Cresselia m’avait quitté, je n’allais pas pouvoir me rendormir. J’ouvre un œil, puis l’autre, seulement pour découvrir mon maître, nu comme un Métamorph, occupé à farfouiller dans ses meubles pour des vêtements, probablement. J’ai beau ne pas être devin, ce n’était pas trop difficile à deviner. Je soupire. À en juger par la lumière rosée filtrant depuis la fenêtre et les étoiles qui commencent à s’effacer du ciel, il est encore tôt, alors pourquoi s’embête-t-il autant ? J’espère qu’il ne compte pas retrouver son ami à la salle de danse, je ne voudrais pas devoir de nouveau me battre contre son Nymphali. Surtout que je sais que je ne parviendrais pas à me retenir si le défi venait à être lancé ! Tama était tellement agaçant ! Mais en même temps, je me dis qu’il a bien de quoi frimer ; il m’avait franchement ébloui lors de notre combat. En deux temps, trois mouvements, il m’avait envoyé au tapis. J’ai un peu honte, je n’ai pas dû faire bonne impression à Tori. J’espère qu’il ne m’en tiendra pas rigueur, pas comme mon ancien propriétaire. Rien que de penser à ce dernier me rend malade. Tori se tourne soudainement vers moi, enfin habillé et semblant prêt à attaquer la journée. Je lève un peu la tête pour montrer que je ne l’ignore pas. « Ah, Woowoo, tu es réveillé ! Viens, on va manger ! » Ah ! Enfin une bonne nouvelle ! La nausée causée par mes sombres souvenirs s’évapore aussitôt. Un petit étirement, et me voilà qui trotte derrière lui alors qu’il sort de la chambre. Descendre les escaliers est bien plus facile depuis mon évolution, c’est certain ! Je perçois que mes capacités physiques ont été augmentées par cette dernière, je me sens plus robuste et prêt à soulever des montagnes !

Alors qu’on mange, je ne peux m’empêcher de me demander ce que Tori avait en réserve pour la journée. Très franchement, un petit combat pour lui montrer de quoi je me sens vraiment capable ne serait pas de refus. Le petit-déjeuner fini, je m’attends à ce qu’on sorte, mais Tori remonte à l’étage. Huh. Je le suis. De toute façon, je n’ai pas de raison de rester en bas, d’autant plus que j’entends la mère de Tori commencer à se préparer. Elle avait beau m’avoir soigné quand on était revenu de la Mer Verte, je ne lui fais pas confiance.

Tori ferme la porte une fois que nous sommes en haut. Il s’adresse à moi : « Je vais appeler Miss Pitri hors de sa Poké Ball pour qu’on fasse connaissance. Tu pourrais te mettre dans un coin ? Je ne voudrais pas qu’elle prenne peur en te voyant tout de suite. » J’émets un petit ronron, une réponse positive, avant de faire comme indiqué, me rangeant dans un coin. Je suis moi-même curieux de rencontrer cette Braisillon !

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(507 mots)

Capture:

Depuis ma cachette, je vois Tori pêcher une Poké Ball de son sac à dos, qu’il avait laissé à côté de son bureau. Alors qu’il fait sortir la Braisillon de cette dernière dans un éclat de lumière grise et un bruit aigu que j’ai toujours trouvé désagréable, je retiens ma respiration dans mon anticipation. Après tout, il m’avait raconté la veille que l’oiseau n’était pas des plus commodes. Je ne sais pas ce que ça veut dire concrètement.

Je le découvre bien assez vite.

Libérée, elle semble d’abord confuse, enfin, je ne suis pas sûr. Les oiseaux, je les chasse, moi, d’habitude. Instinct de prédateur, tout ça. Elle s’attarde d’abord sur Tori, sautille autour de lui et bouge son cou rapidement pour l’observer sous toutes les coutures. Je remarque qu’elle ferme ses ailes bizarrement, d’ailleurs. S’était-elle cassée une aile par le passé ? Mes muscles se tendent, ma queue s’agite, mon champ de vision se rétrécit sur ce détail. C’est avec toute la force de ma volonté que je me retiens de lui sauter dessus, de profiter de sa vulnérabilité évidente. Elle va être ma partenaire pour je ne sais combien de temps, elle n’est pas comme un Braisillon sauvage que je devrais chasser pour me nourrir comme mes ancêtres, ce n’est pas le moment de tout gâcher !

Et là, subitement, elle tourne la tête vers moi.
Oh.
Elle plisse les yeux.
Oh…
Elle déploie ses ailes et, en quelques bonds, elle est sur moi avant que même que je puisse réagir ! Mais pourquoi ? J’ai tout bien fait !

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(265 mots)

Modération:

Joffrey avait prévenu Tori que Miss Pitri ne serait pas facile, mais il ne lui avait pas expliqué dans quelle mesure. L’Alolien ne lui avait définitivement pas parlé d’agressivité. Jamais Tori n’aurait pensé que l’oiseau aurait été prêt à se jeter sur son Matoufeu, sans que ce dernier ne la provoquât. Gérer des Pokémon craintifs ? Pas de problème, pas vraiment. Des Pokémon agressifs ? C’était une tout autre question, et il n’avait absolument aucune expérience avec eux. Après quelques secondes de surprise, Tori, qui s’était assis pour les présentations, se leva d’un bond à l’attaque, et rejoignit en deux enjambées la mêlée – la chambre n’était pas très grande –. N’osant pas chercher à restreindre l’oiseau – ils sont extrêmement fragiles, ce serait bête de lui casser ses ailes nouvellement ressoudées –, Tori préféra prendre Woowoo dans ses bras, enfin, plutôt l’écarter de la Braisillon en le tirant par les aisselles. Cette dernière ne lâcha pourtant pas l’affaire, sautant sans difficulté depuis le sol pour chercher à griffer le chat, et éraflant les bras dénudés de Tori au passage. Dégâts collatéraux. Ou peut-être pas, peut-être bien que ce fût également voulu. Au moins, Woowoo ne semblait pas enclin à répondre aux coups, et cela l’arrangeait bien. Se rendant à l’évidence que Miss Pitri ne s’arrêterait pas tant qu’elle avait le Matoufeu dans son champ de vision, Tori abandonna Woowoo à son sort pendant quelques secondes, le temps d’aller chercher sa Poké Ball et de le rappeler.

Une fois Woowoo en sécurité et hors de sa vue, Miss Pitri se calma quelque peu. Enfin, elle cessa ses assauts, mais ses plumes étaient toujours aussi gonflées, la faisant paraître bien plus grosse qu’elle ne l’était. « Bon, bon, bon. Tu ne vas pas être facile, hein ? » Puis, se rendant compte qu’il reflétait là les mots de Joffrey, il eut un petit rire. Peut-être bien qu’il n’y eût pas de meilleures façons de décrire l’oiseau.

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(328 mots)

Capture:

L’amusement de Tori laissa néanmoins rapidement la place à du sérieux. Ayant dès lors la pleine attention de la Braisillon, Tori sortit doucement de sa poche des grains de riz qu’il déposa près d’elle. Il avait profité de son passage dans la cuisine pour en récupérer, ayant eu dès le début pour idée de l’apprivoiser en passant par son estomac, une technique classique dont les résultats avaient été acclamés en cours. D’expérience, cette méthode avait été efficace pour gagner la confiance de Woowoo ; il espérait qu’il en serait de même pour Miss Pitri.

Les grains de riz semblèrent avoir leur effet. La Braisillon cessa sa dance de l’intimidation pour s’intéresser à eux, sautant tout autour pour les examiner d’un œil critique. Finalement, elle daigna d’en piquer quelques-uns, avec suffisamment de force pour envoyer valser les grains adjacents. Tori, voyant cela, fut prêt à parier qu’il continuerait de trouver du riz dans sa chambre pendant au moins quelques mois – en grande partie parce qu’il n’habiterait pas cette chambre régulièrement –. Profitant que Miss Pitri fût occupée à manger, Tori se présenta comme il aurait aimé le faire la veille en la recevant. « Salut, Miss Pitri ; c’est ton nom, ton nouveau nom, j’imagine. Je suis ton dresseur, maintenant. Elle cessa de gober les grains de riz pour le regarder avec un œil plissé. Je sais que tu n’as pas eu une super expérience avec les humains, mais tu ne t’entends pas non plus avec les autres Pokémon. Je suis prêt à t’aider. »

Il dut dire quelque chose qu’il ne fallait pas. Délaissant complètement la nourriture, la Braisillon cria tout en déployant les ailes, décolla tant bien que mal, et se mit à voler frénétiquement dans toute la chambre. Si Tori se félicita d’abord d’avoir bien pensé à fermer la porte et la fenêtre, lorsque l’oiseau se mit à se cogner violemment et à répétition contre la vitre, il déchanta rapidement. Mais elle était complètement folle ! Soucieux qu’elle se donnât une contusion à force de s’acharner, il la rappela dans sa Poké Ball. Bien, bien. Tout allait bien. C’était attendu. Joffrey l’avait prévenu ; il avait accepté l’échange en connaissance de cause. Bon. Peut-être bien que ce fût une erreur, mais il l’assumerait. Il demanderait probablement de l’aide à un éleveur.

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(383 mots)

Modération:

Bon. Il ne lui restait plus qu’à chercher un éleveur compétent pour l’aider avec Miss Pitri ; mais avant, il lui fallait prévenir Joffrey, fixer une heure de rencontre. Il ne manquerait pas de lui faire remarquer la façon dont il avait gardé secrète l’étendue des problèmes comportementaux de la Braisillon. Tori inséra ainsi une main dans la poche droite de son pantalon et saisit du bout des doigts le morceau de papier sur lequel l’employé Aether avait noté son numéro la veille.

Salut Joffrey, c'est Tori (Yamazaki). On se retrouve devant le Centre Pokémon dans une heure ?

7:25

Pas de problème

La réponse n’avait pas tardé. Parfait, il n’avait donc plus qu’à tuer le temps en cherchant ce fameux éleveur, ou éleveuse. Tori décida rapidement qu’il ne se limiterait pas à ceux qui étaient implantés à Alola, qu’il prendrait en compte toutes les régions. Et puis, il lui faudrait également considérer leur expérience, leur disponibilité et leurs tarifs. S’il trouva effectivement plusieurs éleveurs à Alola, dont un certain M. Vateuhpicker, la plupart n’étaient pas disponibles, ou alors refusaient de prendre en charge les Pokémon compliqués. Tori dénicha également une éleveuse à Unys qui se spécialisait dans les créatures anciennement maltraitées et qui aurait très probablement été parfaite pour s’occuper de Miss Pitri, mais elle non plus n’étaient pas libre avant au moins plusieurs mois. Le fait qu’elle fut si chargée de travail était dégrisant, une véritable douche froide ; dire que les abandons et les abus envers les Pokémon étaient si généralisés !

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(250 mots)

Capture:

Avec pour idée de se constituer une liste d’éleveurs, ce fut avec une certaine morosité, après s’être armé d’une patience qui lui était usuellement inconnue, que Tori poursuivit ses recherches. Elles s’éternisaient, le temps qu’il avait à disposition avant de devoir partir lui filait entre les doigts, et il commençait presque à désespérer. Il peinait à trouver quelqu’un qui pourrait l’aider avec Miss Pitri, les élevages sponsorisés refusant d’office les créatures comme elle ; jusqu’à ce qu’il trouvât le Graal : un très jeune éleveur – dix-sept ans seulement ! –, mais qui acceptait tous les Pokémon et qui opérait sur des prix abordables. Le garçon, un certain Elias K.Gladstone, avait installé sa pension à Kantô. Après un petit cri de victoire qui sortait tout droit de son cœur soulagé, rompant au passage le silence dans lequel sa chambre avait été plongée une fois ses Pokémon retournés dans leurs Poké Balls, Tori songea avec un petit sourire qu’il n’avait plus qu’à organiser son voyage d’étude là-bas en priorité. Ses plans pour le futur proche n’étaient pas encore tout à fait limpides – plutôt colloïdal, il dirait –, mais c’était encourageant d’avoir une direction vers laquelle s’orienter.

Un coup d’œil à l’heure dans le coin de son ordinateur le rappela toutefois à l’ordre. Il était temps de partir ; le rouquin attrapa son sac, dans lequel il rangea les Poké Ball de Woowoo et de Miss Pitri, puis sortit de sa chambre. Il salua sa mère qui s’était réveillée entre-temps, et après avoir réglé quelques détails, il fut dehors.

Comme annoncé la veille, le temps était grisâtre. Les nuages qui couvraient le ciel comme un voile protégeaient des rayons du soleil, aménageant un air plus frais pour le plus grand plaisir de Tori. Il ne doutait pas une seconde qu’il transpirerait quand même, mais au moins, il n’aurait probablement pas à craindre la déshydratation.

Le trajet jusqu’au centre Pokémon fut rapide. Des personnes qui travaillaient en ville parsemaient les rues ; mais sur le chemin, Tori croisa également un père à la démarche rapide, tirant derrière lui son enfant récalcitrant. En retard, sans doute. Somme toute, la route fut traversée sans encombre.

Et là, appuyé contre le mur blanc du centre Pokémon, Tori reconnut Joffrey. Ce dernier, occupé à regarder son téléphone, ne le vit pas venir. À son accoutrement, le rouquin soupira de soulagement ; Joffrey semblait habillé de manière tout à fait banale. Rassuré à l’idée que leur rencontre ne se passerait pas dans une ambiance embarrassante, Tori leva une main et le héla de loin : « Salut, Joffrey ! »

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(429 mots)

Modération:

Joffrey leva la tête à l’appel de son nom puis, voyant Tori s’approcher, il rangea son téléphone dans une poche. Le visage toujours aussi neutre, il leva le bras en guise de salutation, qu’il ponctua d’un « bonjour » une fois que Tori l’eût rejoint au pas de course. Le rouquin ne perdit pas un instant pour rentrer dans le vif du sujet. « Comme convenu, je vais te montrer un petit peu le coin, suis-moi ! » Joffrey acquiesça, puis lui emboîta silencieusement le pas lorsque Tori s’engagea dans une avenue qui devait être familière à l’employé Æther. La tentation d’aborder la situation de Miss Pitri était grande – les griffures qu’elle avait laissées sur son bras le picotaient encore – mais Tori opta finalement de mettre ce sujet délicat de côté, d’en parler plus tard.

L’avenue les fit passer devant la salle de danse, face à laquelle Tori ne les fit pas s’arrêter. Il se permit tout de même de justifier cette décision : « Tu as déjà vu la salle de danse hier, j’imagine que les kimonos t’ont déjà raconté son histoire ?
— Effectivement. Je dois toute de même avouer que voir un bâtiment en bois de plus de 200 ans en aussi bon état me surprend, c’est loin d’être le cas à Alola.
— Disons qu’il a connu suffisamment de rénovations pour qu’il ne reste plus grand-chose d’époque. » La réponse occasionna une expiration amusée de Joffrey, un léger rire qui arracha un sourire à Tori. Il était parvenu à détendre l’atmosphère, et cela, il le comptait comme une victoire.

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(264 mots)

Éclosion œuf de Skitty
Éclosion œuf de Zorua d'Hisui
Éclosion œuf de Toxizap

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