Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération Dexuny11](https://i.servimg.com/u/f39/17/88/12/69/dexuny11.png) #494 - #649 20 décrits pour le momentBonjour tout le monde ! C'est dans cette section que vous trouverez les descriptions de la 5ème génération de pokémons, c'est à dire les espèces découvertes dans la région Unys. Les pokémons seront rangés par famille d'évolution. Un menu à la fin de ce message vous permettra d'aller directement lire les descriptions qui vous intéressent. (Je tiens à préciser que les descriptions des premiers stades d’évolutions seront surement plus fournies que celles de leurs aînés car les observations se basent aussi sur leurs morphologie, leur milieu naturel le plus commun, et ces éléments subissent peu souvent un changement radical au moment de l’évolution. Cela évite donc les répétitions trop fréquentes.) Liste des pokémons décrits :
(cliquez sur le nom pour accéder à la description) |  | | |
Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 495](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/495.png) | Vipelierre - type plante, pokémon serpenterbe
taille moyenne : 0,6 m / poids moyen : 8,1 kg
Vipelierre est un pokémon sepenterbe de type plante. Sa morphologie allongée et son crâne fin rappellent facilement celle d’un serpent, le seul doute que l’on pourrait avoir quand à ceci est la présence de ses quatre pattes et le fait qu’il se tienne verticalement. Si vous voulez mon avis, la manière dont il se tient rappellerait plus une poule qu’un serpent. Il utilise la feuille au bout de sa queue pour effectuer la photosynthèse. Il tire son énergie des baies qu’il mange, mais aussi de la lumière du soleil qui lui est absolument indispensable. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Le milieu herbeux se rapproche un peu du milieu naturel de Vipelierre qui est la forêt, avec un peu moins d’arbres. Il appréciera la caresse de l’herbe humide en matinée, la fraîcheur du milieu le soir et le soleil en journée. Il trouvera agréable de se laisser glisser dans l’herbe pour descendre plus vite les collines. Pour ce qui est de marcher, comme il n’est pas encore apte à ramper correctement, il préférera se déplacer sur la route car les herbes, si tant est qu’elles soient un peu hautes le freinent. En combat cela peut d’ailleurs s’avérer un handicap étant donné que le point fort de ce pokémon est la vitesse. S’il se retrouve freiné, il peut peut-être compenser par sa constitution, mais n’aura pas la même force de frappe et risque de se retrouver en situation difficile pour peu que son adversaire soit puissant. Si vous voulez faire se battre un Vipelierre dans ce genre d’endroit faîtes bien attention à ce que cela soit dégagé.
La météo a une influence sur le comportement du Vipelierre en milieu herbeux. S’il fait soleil il n’y aura pas de problème, mais si le ciel est gris, ou qu’il y a du brouillard, il se portera moins bien car il ne pourra absorber les rayons du soleil depuis la feuille au bout de sa queue. Il perdra donc progressivement son énergie et ne sera plus apte à combattre. C’est une grosse contrainte, mais faîtes attentions aux conditions climatiques avant d’envoyer votre pokémon au combat.
Milieu forestier : Le milieu forestier est le milieu naturel du Vipelierre. Il est donc normal qu’il s’y sente comme un Barpau dans l’eau. Votre pokémon n’aura aucune difficulté à se mouvoir dans ses endroits à l’aide de ses fouet lianes. Il pourra se hisser en haut des arbres, voyager de branches en branche avec la même aise qu’un Feuillajou. Vous le verrez aussi parfois se déplacer en rampant assez rapidement dans la boue et autres endroits humides de la forêt. Cependant cela ne durera pas longtemps, les pattes de ce pokémon à son premier stade d’évolution étant encore trop volumineuse et rigides pour lui permettre de se déplacer ainsi avec toute l’aise qu’il souhaiterait. Tant que vous serez dans ce genre de lieu vous n’aurez normalement pas à chercher à la nourrir, Vipelierre saura trouver des baies lui-même dans les arbres qu’il peut tenir à l’aide de ses bras mous, mais encore assez solide pour empoigner un met aussi consistant qu’une baie.
La forêt étant un endroit plutôt ombragé, faîtes une pause lorsque vous trouverez un petit coin de soleil afin que votre pokémon puisse s’y allonger et laisser la feuille au bout de sa queue être exposée au soleil. Il retrouvera son énergie sans avoir à grimper jusqu’au sommet des arbres pour ce faire. Il peut d’ailleurs être dangereux pour Vipelierre de s’aventurer trop haut dans les branches car c’est dans les plus hautes cimes que se localisent les plus gros nids de pokémons insectes. Il risquerait de subir des attaques trop efficaces contre lui car il les aurait dérangé sans le vouloir et revenir blessé de son expédition. Les Vipelierre sont des pokémons fait pour vivre plus près du sol et sur les premières branches, en aucun cas plus haut où il s’expose à de trop grands dangers pour lui.
Il n’y a cependant pas grand risques à avoir en ce qui concerne la plupart des Vipelierre car ils sont connus pour être réfléchis, ce qui les empêcherait de prendre des risques inconsidérés en s’aventurant là où ils ne sont pas les bienvenus. Mais surveillez tout de même, la plupart n'est pas la totalité.
Milieu aquatique : Vipelierre étant un pokémon plante, il apprécie l’humidité et n’a pas peur de se mouiller. Sa morphologie allongée et sa capacité à tortiller son corps de manière à ce qu’il puisse serpenter en fait un nageur particulièrement rapide, capable de traverser les lacs plus rapidement que certains pokémons eau. Cependant, si la vitesse est la caractéristique principale de Vipelierre, il n’en est pas de même pour ce qui est de sa force. Aussi bourrin et bagarreur que le mien pouvait être, je sais de mon expérience personnelle qu’il ne parviendra pas à lutter contre un courant trop fort et se fera vite emporter. Il n’est d’ailleurs pas bien lourd, 8kg en moyenne, ce qui le rend plus vulnérable au courant. Si un jour votre Vipelierre et vous se voyez contraints à devoir traverser une rivière un peu agitée, si vous dresseur pouvez y aller à la nage sans vous faire emportez, ne tentez pas le diable et demandez plutôt à votre compagnon de se servir de ses fouet lianes plutôt que de sa force seule.
Attention cependant en ce qui concerne le milieu marin ! Ne laissez pas votre Vipelierre se baigner dans de l’eau salée. Votre pokémon étant une petite plante encore fragile à son premier stade d’évolution, s’il se baigne dans la mer ou l’océan l’humidité de son corps, et donc une partie de sa vitalité, sera absorbée par le sel qui s’incrustera en lui. Il commencera à flétrir, comme le plupart des pokémons plantes. Si vous êtes un dresseur irresponsable et le laissez quand même nager là-dedans sans tenir compte de son état de santé allant en se dégradant il pourrait même en mourir. Déjà que ce pokémon n’a pas une force de frappe spécialement haute, il en arriverait vite au point de ne plus avoir l’énergie nécessaire pour garder tête hors de l’eau et finirait par se noyer.
Pour la santé de votre Vipelierre, il est conseillé de le laisser faire la planche dans de l’eau douce de temps à autre pour l’aider à se ressourcer. Ceci est tout aussi nécessaire que de le laisser exposer au soleil pour recharger les batteries.
Milieu désertique : En milieu désertique, il vaut mieux ne pas utiliser Vipelierre qui commencerait à sécher, voir même jaunir au bout de quelques minutes. Le manque d’eau et son type plante ne lui permettent pas de survivre, ni de combattre, correctement dans ce genre d’endroit. Si un jour vous marchez et que votre pokémon commence à prendre une teinte marron, il ne se transforme pas en shiney, il sera tout simplement en train de faner. De plus Vipelierre, de part son stade d’évolution, n’est pas encore très résistant à certaines conditions climatiques comme celle-ci. Il dépérira plus vite que ses aînés. Le sable, qu’il rampe ou qu’il marche, risquera de lui écorcher le ventre et les pattes à la longue. De fait il perdra son plus grand atout qui est la vitesse comme il ne pourra se déplacer sans ressentir une légère douleur.
Les possesseurs de Vipelierre seront tentés de l’envoyer au combat dans les zones comme les déserts, étant donné que ceux-ci sont majoritairement peuplés par des pokémons sol contre lesquels ces petits sont puissants, mais cela est fortement déconseillé pour la santé de votre pokémon. Il n’y a pas vraiment d’avantage à utiliser Vipelierre en milieu désertique si ce n’est de vite terminer vos combats. Mais n’usez pas trop de cette méthode si vous voulez assurer le bien être de votre petit compagnon.
Milieu montagneux : Vipelierre peut-être considéré comme un bon pokémon en milieu montagneux. D’abord car la majorité des adversaires seront de type roche ou combat contre lesquels il a plus ou moins l’avantage du type. Pour les premier il pourra les terrasser en quelques coups et pour les seconds il sera résistant. Vos seuls problèmes seront les pokémons vol des hauteurs contre lesquels il serait des plus idiots de faire usage de votre serpent. Les températures plus fraîches, la présence des pierres et de la possible mousse rend le milieu plus humide et l’accès aux rayons du soleil ne devrait pas être très ardu. Ainsi votre Vipelierre pourra péter la forme sans problème pendant les promenades. Sa silhouette plus ou moins sinueuse lui permettra de se faufiler entre les rochers dans les passages les plus étroits pour vous aider au cours de votre exploration, ou même se protéger d’un ennemi durant un combat. Si le climat est, comme très souvent, humide, il pourra profiter de sa vitesse pour utiliser ses faibles capacités de glisse et prendre l’adversaire par surprise tout en s’amusant.
Le seul inconvénient que pourra rencontrer votre compagnon dans la montagne est que s’il s’amuse trop à glisser il risque de s’écorcher la peau du ventre. Heureusement Vipelierre n’a pas trop tendance à user de cette technique pour se déplacer car ses pattes sont encore assez puissantes pour le porter.
Milieu neigeux : Si vous avez un minimum de bon sens, pas comme moi donc, il ne vous viendra pas à l’idée d’envoyer votre Vipelierre à l’air libre dans la neige. Les plantes gèlent l’hiver, le petit serpent est un pokémon plante, la logique voudrait donc que ce dernier réagisse de la même manière. Et la logique n’a pas vraiment tort. Comme il s’agit également d’un être vivant sa chaleur interne se maintiendra, mais cela lui coûtera de l’énergie et il deviendra donc bien plus lent, lui faisant perdre son principal atout de combat. De plus ses attaques étant principalement de type plante, elle perdront aussi de l’efficacité dans ce genre de milieu. Il n’y a pas grand chose de plus à dire à propos de Vipelierre dans la neige, il n’aura là absolument aucun atout et risque plus la mort qu’autre chose.
Une dernière chose : surtout, surtout, ne sortez jamais votre Vipelierre aux alentours de Frimapic dans les tempêtes de neige, ils risquerait d’en mourir instantanément !
Milieu urbain : Il n’y a aucun problème à vous promener avec votre Vipelierre en ville, lieu que l’on peut qualifier de neutre tant que vous ne jouez pas les casse-cous dans des endroits improbables comme les égouts de Volucité remplis de pokémons poisons. Aussi, il vaut mieux éviter de le laisser à l’air trop longtemps dans les villes un peu trop industrielles ou polluées. Comme il s’agit d’une créature mêlant plante et animal il subirait fortement l’impureté de l’air et s’en retrouverait affaibli. Si cela arrive, ne manquez pas de l’emmener dans un centre pokémon pour qu’il retrouve toute sa forme. Si vous décidez de vous battre en ville, Vipelierre pourra profiter se son agilité et sa silhouette fine pour profiter des éléments du décors. Il se perchera en haut des lampadaires pour donner plus d’ampleur et d’élan à son attaque charge, et ses techniques comme phytomixeur feront plus de dégâts car l’adversaire aura des chances de se voir propulsé contre les bâtiments et il n’est jamais agréable de se prendre un mur de plein fouet en travers du visage. Au final, ses capacités de combat ne dépendront que du type du pokémon se trouvant face à lui. Le plus grand risque que vous pouvez prendre avec un Vipelierre en ville est d’attirer l’attention des plus jeunes qui ne sont pas encore dresseurs.
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Lianaja - type plante, pokémon serpenterbe
taille moyenne : 0,8 m / poids moyen : 16 kg
Lianaja, tout comme sa pré-évolution Vipelierre, est qualifié de serpenterbe, c’est un pokémon de type plante. Sa morphologie justifie plus cette qualification que précédemment. L’évolution lui a donné une forme plus allongée et réduit l’importance, la taille et la consistance de ses pattes, ce qui le rapproche un peu plus de l’état de serpent. Il se tient cependant toujours à la verticale, ce qui l’éloigne encore du reptile. Lianaja est un pokémon dont l’hygiène n’est plus à prouver car la poussière et la saleté l’empêchent d’utiliser la photosynthèse, qui est un processus vital pour lui. Comme il se déplace plus souvent en rampant sur le sol car ses pattes le lui permettent, il passe donc beaucoup de temps à se laver. - suite de la descriptions ?:
Milieu herbeux : Contrairement à sa pré-évolution Vipelierre, Lianaja n’a aucun mal à se balader dans les herbes. Premièrement car il est devenu plus grand et donc n’est plus gêné par la taille de la verdure. De plus ses pattes ayant moins d’importance dans sa morphologie et étant devenues plus molles, elle ne le gênent plus pour ramper. Ses pattes arrières lui servent d’ailleurs à prendre des impulsions lorsque le milieu n’est pas assez humides pour lui permettre de glisser comme il le souhaite. Son corps plus allongé lui permet de commencer à serpenter plus efficacement ce qui lui donne une certaine vélocité. Dans cette position il ne peut se servir de ses pattes pour attaquer, mais cela ne le dérange pas car il profite de la vitesse qui est son point fort, et cela ne l’empêche pas de se servir de ses lianes pour fouetter ses adversaires.
Si la météo pouvait constituer le gros point faible de Vipelierre, elle gêne beaucoup moins Lianaja. Il lui suffit d’un peu de soleil pour se recharger et, comme il est plus résistant, il est capable de se battre plus longtemps en l’absence de soleil. Cependant faîtes tout de même attention, s’il fait gris toute la journée et que vous voulez quand même affronter des pokémons sauvages avec lui, il risque de se retrouver dans un sale état une fois le soir venu. De plus il faut faire attention à ce qu’il ne se retrouve pas trop roulé dans la terre, ou en contact avec de la boue. La poussière et la saleté sur son corps ayant tendance à l’étouffer et l’empêcher de récupérer de l’énergie, il faudra faire attention à l’état de ses écailles à la suite des combats difficiles. Au niveau des adversaires, les petits pokémons vol ne devraient plus lui poser de problèmes, mais prenez garde aux chefs de groupes comme les Deflaisan ou les Rapasdepic.
Milieu forestier : Il s’agit du milieu naturel de ce pokémon, il s’y trouve donc à son aise bien qu’il ne soit pas au dessus de la hiérarchie. Il n’a pas trop d’ennemis et se plait à ramper le long de les branches des arbres maintenant que sa morphologie le lui permet. Après la pluie, il appréciera de ramper à toutes vitesse dans la boue. Cependant il cherchera tout de suite une flaque ou mieux un petit cours d’eau pour se laver afin de ne pas se faire étouffer par la saleté. En ce qui concerne son alimentation, il mangera toujours autant de baies que lorsqu’il était Vipelierre et craindra moins l’attaque des pokémons insectes dans les branches les plus hautes. Et en ce qui concerne les cours d’eau, il n’aura plus de problème de courant car il est plus fort et même s’il sent qu’il se fait emporter il pourra se retenir avec ses lianes devenues beaucoup plus réactives.
Pour ce qui est des adversaires, il faudra faire attention aux plus gros pokémons insectes comme les nuées de Dardargnans, ou alors les plus menaçant de la forêt d’empoigne dotés d’un double-type poison comme Scobolide et Brutapode. Ils pourraient faire de gros dégats et empoisonner votre compagnon gravement. De plus les attaques de Lianaja ne sont pas très variées au niveau des types et il n’en possèdent pas qui lui permettraient de contrer efficacement ces pokémons en les prenant de vitesse. Se sont donc là ses plus grand prédateurs.
Milieu aquatique : De par son caractère végétal, Lianaja est un pokémon qui a la faculté de flotter sans trop d’effort s’il s’allonge de tout son long dans l’eau. Son nez pointu, s’il force un peu est capable de s’incliner légèrement pour maintenir ses narines hors de l’eau afin qu’il puisse respirer tandis qu’il se déplace en serpentant grâce à la forme plus allongée de son nouveau corps. Il n’aura aucun mal à nager à contre courant, mais ne vous attendez pas pour autant à ce qu’il remonte une cascade car il ne faut pas exagérer non plus. Mon propre Lianaja a eu la prétention d’essayer, il a boudé pendant deux jours de son échec. Pour ce qui est des adversaires, cela ne devrait pas poser de problèmes car rien ne l’empêche d’utiliser son fouet lianes pendant qu’il nage pour défaire les adversaires de type aquatique.
Pour ce qui est de l’eau de mer, il faudra toujours faire attention à ce qu’il ne reste pas trop longtemps dans l’eau à cause du sel qui pourrait lui causer de grands dégâts. Il risque de l’absorber et cela ne serait pas bon pour lui. De plus c’est en mer que vous risquez de tomber sur des Wailord et tout aussi efficace contre les pokémon eau que puissent être les Lianaja, ils ne feront pas les fiers devant une créature de cette taille. Donc le Lianaja en eau douce, oui, mais à éviter en eau de mer.
Milieu désertique : Comme sa pré-évolution, Lianaja n’est pas un pokémon qui peut faire long feu dans le désert. S’il est plus résistant que son cadet, il finira par souffrir atrocement de la chaleur et de l’absence d’eau. Certes les rayons du soleil lui permettront d’utiliser à souhaits la photosynthèse, mais comme cette créature a une grande part de végétal en elle, elle a aussi besoin d’eau, ou au moins d’humidité. Or cela ne se trouve pas vraiment dans le désert. Alors il pourra tenir le coup et résister quelques heures avant de commencer à sécher, mais ensuite il ne faudra plus rien espérer de lui d’autre que la mort qui le guettera si vous ne le rentrez pas au frais dans sa pokéball. Faîtes donc bien attention à lui dans ce genre de milieu. Son plus grand avantage par rapport à Vipelierre est que sa morphologie l’encourageant à ramper plus souvent, la peau se son ventre est devenue plus épaisse et résistante ce qui lui permettra de ne pas souffrir des éraflures des grains de sables, et ainsi profiter de sa vitesse pendant les combats.
Pour ce qui est des adversaires dans le désert, il pourra pour la plupart s’en débarrasser facilement comme ils sont de type sol et ne souffrira pas de plus puissant prédateur que la chaleur.
Milieu montagneux : le seul problème que pourrait rencontrer votre pokémon dans ce genre de milieu seront les grands rapaces comme les Gueriaigle et les Vaututrice. Les autres sont majoritairement de type roche ou combat, et il n’aura plus de raison de craindre les vampirisme de petits Nosferapti s’il vous arrive de pénétrer dans une des grottes. Il peut se faufiler avec aisance entre les rochers avec sa forme serpentaire et ainsi déjouer des attaques ennemies en se dissimulant derrière des rochers. Il pourra aussi vous être d’une aide précieuse lors de vos exploration car il peut crapahuter un peu partout à l’aide de ses lianes.
Attention cependant à ne pas le laisser aller dans les hauteurs tout seuls, sans l’aide d’un pokémon capable de contrer un pokémon vol, car il risque de s’en confronter à des nuées. Seul il pourrait se prendre de gros dégâts. Et aussi prenez garde si vous vous enfoncez trop profondément dans les grottes, si vous vous retrouvez face à des Nosferalto, je vous conseille de ne pas vous y rendre avec ce pokémon comme seul compagnon car se serait, si vous n’avez pas de bonnes capacités de fuite, signer votre arrêt de mort. Ni plus , ni moins.
Milieu neigeux : Ici pas vraiment de changement par rapport à sa forme pré-évoluée. Il n’y a même pas à dire qu’il est plus résistant que son évolution, car la glace et le froid sont vraiment les pires ennemis de ce pokémon et sa famille d’évolution. Ramper dans la glace le fera souffrir à cause de la morsure du froid, marcher lui agressera les petites pattes fragiles qu’il lui reste. La neige, si elle tombe, se déposera sur son corps et il en absorbera l’eau glacée ce qui le ralentira considérablement car refroidi de l’intérieur. Il risquera donc sa vie à rester hors de se pokéball trop longtemps.
De toute façon il n’y aurait aucun intérêt à ce qu’il y soit car les pokémons sauvages que l’on trouve généralement dans ce genre de milieu ont l’ascendant sur le type plante. Tant par leurs capacités que par leur résistance au froid plus ou moins intense.
Milieu urbain : La taille de Lianaja lui permet encore de se promener avec vous en ville sans qu’il ne cause de problème. Il peut se déplacer assez vite pour vous suivre et ne passera pas assez inaperçu pour que les gens lui marchent dessus. Vous n’aurez pas besoin de le porter sur votre épaule. Par contre il risque d’être rapidement fatigué car il ne pourra pas ramper au milieu de la foule et ses pattes se sont affaiblies à son évolution, préparant la forme intégrale de serpent de Majaspic. Il apprécie particulièrement les parcs qui se rapprochent de son milieu naturel.
Il faudra prendre garde à ne pas trop emmener ce pokémon dans des villes trop polluées ou dans les quartiers trop sales car il pourrait accumuler la crasse sur son corps ce qui bloquera l’absorption des rayons du soleil, même si cela ne se voit pas. Et même dans les plus petites, dès qu’il y a un peu trop de circulation, il faudra faire attention et bien nettoyer votre compagnon le soir si vous ne voulez pas que sa santé soit affectée.
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![[AD] Les études - 5ème génération 497](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/497.png) | Majaspic - type plante, pokémon majestueux
taille moyenne : 3,3 m / poids moyen : 63,0 kg
Majaspic, tout comme ses évolutions, est un pokémon de type plante. On le qualifie de majestueux pour son allure assez royale et peut-être aussi pour son côté hautain naturel. En effet il aura tendance à toujours se promener le nez levé, comme s'il prenait tout ce qui l'entoure de haut. Les Majaspic sont des pokémons très fiers qui ne prennent généralement pas la peine de se mesurer à des adversaires moins puissants qu'eux, désireux de prouver leur puissance.- suite de la description ?:
Milieu herbeux : Énormes serpents, les Majaspic se plaisent dans l'herbe. Tout d'abord car cela correspond à leur type, mais aussi parce qu'il leur est facile de s'y mouvoir. Contrairement à ses précédents évolutions, il n'a plus du tout de pattes et se retrouve contraint de bouger en rampant exclusivement. L'humidité de l'herbe lui est agréable car il pourra bien y glisser et profiter pleinement de sa vitesse s'il se retrouve en combat contre un pokémon sauvage ou un dresseur. Contrairement à Vipelierre et Lianaja, Majaspic deviendra un peu carnivore et ne se contentera plus d'une alimentation uniquement composée de baies. Il cherchera les petits rongeurs comme Rattata ou Sapereau qu'il se fera un plaisir de déguster après leur avoir brisé les os d'une attaque ligotage pour les tuer avant de les dévorer. Et ce genre de milieu et l'endroit parfait pour trouver ces créatures dont il raffole. Peut-être est-ce parce que le mien est plus violent que la moyenne, mais faîtes attention lorsque vous êtes face à un autre dresseur qui possède ce genre de pokémon à ce que l'estomac de votre pokémon ne lui dicte pas ses ordres où vous pourrez avoir de gros problèmes. (Je vous rassure, cela ne m'est jamais arrivé. Par loin, mais cela n'est jamais arrivé.)
Pour ce qui est des menaces que votre désormais grand compagnon peut encourir dans ce genre de milieu, et bien il n'en reste plus tellement. En effet il ne craint désormais plus les assauts des petits Roucool et autres Piafabec et pourra même résister au poison de la plupart des pokémons. Bien sûr, si vous rencontrez un Nidoking je vous conseille de fuir tout de même avant qu'il n'empoisonne votre pokémon. Les plus grands problèmes que vous pourrez rencontrer seront certainement les Rapasdepic qui peuvent avoir des capacités dévastatrices ; mais aussi le caractère fier de Majaspic. En effet il n'aura jamais le réflexe de fuir face à un adversaire et aura tendance à préférer se battre jusqu'au KO, voir jusqu'à la mort, plutôt que de s'avouer vaincu face à une adversaire au moins quinze fois plus puissant que lui. Alors si je peux vous donner un conseil, ne vous évertuez pas à lui crier de fuir, rentrez le dans sa pokéball.
Milieu forestier : Si vous n'avez jamais emmené votre Majaspic dans la forêt, alors vous lui faîtes rater sa vie. La forêt est l'endroit d'où viennent les Vipélierre, et donc leurs évolutions aussi. Il s'y sentent comme des poissons dans l'eau à s'enrouler entre les branches, les troncs, passer d'arbre en arbre et sinuer sur les chantiers en profitant de l'humidité. Il risque d'exiger de vous que vous fassiez des pauses car ces pokémons aiment énormément lézarder sur les branches d'arbre, à l'ombre, profitant de l'humidité et de la chaleur lourde ambiante. Ils auront tendance à facilement s'endormir, portés par cette atmosphère qui leur est si agréable. Mais ne vous en faîtes pas, dresseur, cela ne l'empêchera pas d'être alerte en quelques secondes dans le cas où un combat se présente. Vous n'aurez pas à vous soucier de savoir s'il risque de manger un pokémon insecte empoisonné ou non, contrairement à certaines autres créatures. Majaspic sait faire la différence entre ce qui est bon pour lui et ce qui ne l'est pas. En clair, dans la forêt, vous n'aurez pas vraiment à vous soucier de lui et il appréciera d'être en autonomie. Alors ce n'est pas la peine de lui courir après toutes les cinq minutes pour savoir ce qu'il fait, vous risquez juste de l'énerver. (Ou alors c'est le mien qui est trop nerveux.)
La seule chose qui risque de vous poser problème dans la forêt, c'est les pokémons poison massifs comme Brutapode. Surtout avec le caractère de Majaspic qui le pousse à ne jamais refuser un affrontement contre plus fort que lui. S'il prend en compte ce qui est nocif pour lui en ce qui concerne sa nourriture, il ne fait pas cette différence lorsqu'il s'agit de ses adversaires. Il risque de foncer tête baissée contre un Brutapode et s'acharner jusqu'à ce qu'il soit salement empoisonné, évanouit, et que son adversaire ne lui trouve plus aucun intérêt et s'en aille. C'est pourquoi, s'il n'est pas bon d'être tout le temps sur son dos, je vous conseille tout de même de l'avoir toujours en visuel de loin afin de pouvoir le rappeler dans sa pokéball si jamais il se met en danger.
Milieu aquatique : Les plantes ça aime l'eau, et Majaspic ne fait pas exception à la règle. Sa nouvelle forme lui permet de serpenter joyeusement à la surface de l'eau avec une rapidité assez impressionnante. Devenu majoritairement carnivore, il plonge désormais pour faire festin de petits poissons comme les Ecayons sur lesquels il fond en une impulsion. Bien sûr il ne réussit pas toujours son coup, mais l'effet de surprise est plutôt efficace. Surtout lorsqu'il s'agit d'un banc, là il est certain d'en attraper au moins un entre ses crocs. Il apprécie également de simplement profiter du soleil, se laissant porter par les vagues. Pour cette raison il préfère les eaux calmes des lacs et rechignera à sortir en mer si cette dernière est un peu trop agitée. Majaspic, très fier de ses écailles, passe beaucoup de temps à les nettoyer et risque de vous forcer à prendre du temps près des points d'eau pour s'adonner pleinement à cette activité. Alors si vous êtes pressés à une aire de repos, je vous conseille de le rentrer dans sa pokéball.
Bon va quand même falloir faire gaffe aux Wailord. Parce que même si la plante bat l'eau, dans la bouche d'un de ces trucs énormes il ne pourra plus rien faire. Ne le laissez pas trop s'éloigner au large, endroit où il pourra tomber sur des créatures un peu trop imposantes pour lui. Et comme il aime la vitesse, il aura tendance à foncer comme une fusée. Prenez garde aussi aux Bekipan, les plus intrépides pourront essayer de l'affaiblir pour en faire un festin pour toute la famille. Et bien sûr votre idiot de Majaspic n'aura pas l'idée de s'enfuir, essayant plutôt de se battre sur un terrain qui n'est pas du tout pour lui.
Milieu désertique : Majaspic aime quand il fait chaud, mais pas quand il fait trop chaud. C'est un pokémon de type plante, s'il n'est pas régulièrement hydraté il se flétri. Alors si vous voulez que votre pokémon vous accompagne dans votre traversée des grandes étendues de sable, je vous conseille d'avoir également un pokémon eau avec vous qui pourra utiliser une capacité comme tourniquet pour le raffraichir. Le pokémon serpent apprécie cependant les grandes étendues de sable dans lesquelles il peut se rouler pour se débarrasser de certains parasites. Le sable, à ce stade d'évolution, ne risque plus de lui écorcher le ventre alors il pourra se déplacer à son aise et vous pourrez profiter de sa vitesse lors des combats. Pour ce qui est de la nourriture, il faudra que vous en emportiez avec vous car les pokémon que vous pouvez trouver dans le désert ne seront pas à son goût. C'est désagréable, mais il faudra certainement vous trimbaler avec quelques dépouilles de Ratentif pour nourrir votre compagnon.
Normalement, à part contre les Darumacho, votre pokémon ne risque pas de rencontrer de problèmes dans le désert, ayant l'avantage de type presque à chaque fois, ou alors étant assez puissant pour résister aux assauts adverses. Cependant faites attention si vous tombez face à un Cryptéro qui pourra utiliser ses attaques de type psy pour le piéger avant de le mettre au tapis de quelques capacités vol bien placées. Si votre Majaspic est assez rapide, il pourra venir lui briser les ailes avec un bon ligotage avant que l'autre n'attaque, mais rien n'est moins sûr. Alors prenez garde.
Milieu montagneux : Votre Majaspic sera certainement très heureux lorsqu'il aura la possibilité de sinuer entre les roches ou le long des parois des grottes. Mais il le sera beaucoup moins lorsqu'il s'agira de se cacher des grands rapaces. Parce que s'il peut terrasser un Onix d'un fouet lianes, ce ne sera pas la même face à un Guériaigle. Et même s'il se montre intrépide comme à son habitude, au fond de lui il saura bien qu'il est dans une situation des plus délicates car il s'agira là de vrais prédateurs. Alors en tant que dresseur, sauvez votre Majaspic et renvoyez le dans sa pokéball. A cause de cela, après avoir vu le bec du premier prédateur, il aura tendance à être un peu paranoïaque et voudra toujours passer sur les petits chemins où l'envergure des oiseaux ne leur permet pas d'aller. Cela vous fera de superbes petits excursions dans les coins reculés de la montagne, mais si vous être pressés et voulez prendre la grande route, se ne sera pas l'idéal.
Milieu neigeux : Comme la plupart des pokémons plantes, Majaspic n'aime pas du tout la neige et le froid glacial. Son type fait que la température l'affectera et lui fera perdre de l'énergie, s'il ne tombe pas carrément malade. Son corps se nourrissant de chaleur, il deviendra de plus en plus lent jusqu'à finir complètement tremblant. De plus comme il ne peut que serpenter pour se déplacer, il sera toujours obligé d'être en contact direct avec la neige et donc le froid qui lui fait du mal. Franchement, je ne pense pas qu'il y ait d'avantages à laisser son Majaspic gambader dans la neige ou alors l’utiliser en combat dans ce genre de milieu. Ce genre de climat lui est clairement hostile et ne pourra lui faire que du mal. Alors si vous être un dresseur un minimum sensé et respectueux de votre pokémon, je vous prierais de ne pas le laisser hors de sa pokéball dans ce genre d'endroit. Je sais que cela peut être difficile avec le caractère fier et têtu de votre compagnon, mais passez outre son caractère de Cochignon et forcez-le à revenir avant qu'il ne lui arrive quelque chose de vraiment grave.
Milieu urbain : Il est difficile pour cet immense serpent de passer inaperçu en ville. Ses couleurs et sa taille risquent d'attirer les regards, surtout des enfants qui ne prendront pas du tout en compte le fait que ce pokémon puisse ne pas être sympathique. Il faudra lui dire de s'armer de patience dans ce genre de cas car certaines créatures ne sont pas du tout patientes avec les enfants. Majaspic préférera se trouver dans un parc, comme la grande majorité des pokémons de type plante. Ou même tout lieu où il pourra lézarder tranquillement au soleil. Car ce pokémon déteste être bousculé, les rues pleines de monde ou les heures de pointe ce n'est donc décidément pas pour lui. Je vous conseille également de ne pas chercher à prendre le bus avec lui. Déjà parce que vous allez gêner tout le monde, et ensuite parce qu'il aura tendance à s'enrouler autour des poteaux qui sont normalement fait pour se tenir. Et gare à quiconque aura l'audace de poser sa main sur lui pour ne pas tomber lorsque le chauffeur marquera un arrêt. En clair Majaspic n'aime pas trop le milieu urbain où il risque de se sentir oppressé, c'est un pokémon fait pour les grands espaces où il ne trouve pas de limites autres que ses propres capacités.
Majaspic n'est pas un bon pokémon à avoir avec soi pour traîner la nuit. Pas parce que le lieu ou le climat risque de l'affecter, non, mais si vous vous faîtes prendre par une bande de loubard souhaitant absolument des combats pokémon, il ne vous laissera pas l'option de la fuite. Il voudra absolument affronter ces adversaires, peu importe si ces derniers sont susceptibles de lui envoyer un Groudon en pleine figure ou non. Laissez-le donc dans sa pokéball, ainsi vous ne risquez pas d'attirer les regards et pourrez vous promener plus tranquilles, même si cela portera atteinte à la fierté de votre compagnon. Il vaut mieux ça que de se faire massacrer en rentrant du restaurant.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 522](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/522.png) | Zebibron - type électrique, pokémon étincélec
taille moyenne : 0,8 m / poids moyen : 29,8 kg
Zébibron est un pokémon qualifié de étincélec, mot qui reste très mystérieux à mes yeux malgré mes recherches. Je suppose que c'est pour dire qu'il s'agit d'un pokémon qui fait des étincelles électriques. Il est d'ailleurs de ce type. Ces pokémons communiquent entre eux en envoyant des petites décharges électriques dans leurs crêtes pour qu'elles s'illuminent de certaines manières. Ils ont besoin de sortir par temps d'orage pour se recharger en électricité, leurs crinières servant de paratonnerre. Ce pokémon a, par conséquent, une résistance impressionnante aux attaques du même type que lui. C'est un pokémon apprécié par les dresseurs car rapide et, il faut l'admettre, plutôt mignon.- suite de la description ?:
Milieu herbeux : Le milieu naturel de ces petits pokémons. Il adorent éprouver leur propre vitesse et courir à tout allure, faisant la course, à travers les plaines. De plus c'est l'endroit où il peuvent se procurer en abondance leur nourriture : l'herbe. Lorsque vous rencontrez des Zebibron dans ce genre d'endroit, se sera la majeure partie du temps en troupeau. Même s'ils ne souffrent pas de grands prédateurs dans ce genre de milieu, ils sont très sociables et ont beaucoup de mal à se retrouver tout seuls. De plus cela les rassure car, malgré tout, ils doivent craindre la présence de quelques Némélios en quête de nourriture. Les petits zèbres sont plus véloces, mais pas forcément plus malins. Les jeunes Zébibron sont plus à même d'être menacés par les prédateurs, ceci car ils sont plus intrépides et plus faibles. Il ne resteront pas forcément près de leurs parents et c'est à ce moment là qu'ils ont des chances de se faire prendre et dévorer.
Pour ce qui est de conseil aux dresseurs, je n'en ai pas vraiment à vous donner, si ce n'est que ce petit zèbre est un très bon pokémon pour se défendre contre les pokémons sauvages de ces régions.
Milieu forestier : Il arrive que les Zébibrons s'aventurent en forêt, mais ce n'est que lorsqu'ils doivent la traverser pour trouver de nouveaux pâturages. Ils n'apprécient pas spécialement toutes les irrégularités du sol qui peuvent être provoquées par les racines. De plus l'humidité ambiante n'est pas bonne pour leur crinière électriques et ils risquent en se touchant de s'infliger quelques petites décharges. Les plus petits pokémons peuvent devenir des menaces car, en hauteur, ils ne peuvent les atteindre autrement qu'avec leur électricité qui risque d'être mal gérée. Mais surtout, comme ils la rechargent grâce aux orages, il faut qu'ils fassent attention à la manière dont ils l'utilisent pour ne pas la gâcher. C'est aussi pour cette raison qu'ils sont toujours en groupe.
Les Zébibron auront plus tendance à se retrouver isolés dans ce genre de milieu comme ils n'en ont pas l'habitude. Ils pourront se perdre dans les chemins sinueux de la forêt et, lorsqu'ils tentent de pousser un cri pour appeler la troupe, ils attirent aussi les gros pokémons insectes comme les Migalos qui, n'ayant pas froid aux yeux, leur lancent une attaque dard-venin pour les affaiblir progressivement et finalement les attirer dans leurs toiles comme futur repas.
Milieu aquatique : Les Zebibrons aiment énormément jouer les sabots dans l'eau. Nager est moins leur tasse de thé, même s'ils en sont capables, mais barboter les rend particulièrement heureux. Ils adorent s'envoyer des petites giclettes d'eau et rouler dans les flaques ou les petits bassins. Et ceci que se soit avec leurs congénères ou d'autres espèces de pokémons. Ils pourront également traverser des rivières s'ils le doivent, mais attention au courant. S'il y en a trop ils risquent de se faire emporter car ils n'ont pas encore la force d'un Zéblitz. Votre petit compagnon pourra vous être utile pour, si un jour vous projetez de vous reposer les pieds dans l'eau, chasser les potentiels Ancwhatt qui pourraient vous électrocuter. Ils leur suffira de taper des sabots dans l'eau pour les faire fuir.
Ces pokémons pourront aisément se battre contre les créatures de type aquatique présentes, mais faîtes attention, en tant que dresseur, à ne pas avoir le moindre doigt de pied dans l'eau. Sinon vous vous feriez électrocuter car les ondes électriques de Zébibron ont tendance à se propager de manière circulaire autour de lui lorsqu'il est dans l'eau, sans pouvoir les contrôler en ligne droite. Ainsi cela lui donne de bonnes capacités pour couvrir de larges zones lors des combats, mais attention à ne pas rester trop prêt de lui.
Milieu désertique : Zébibron est un pokémon qui tiendra très bien l'allure dans le désert. Ses sabots feront qu'il ne ressentira pas la chaleur brûlante du sable et pourra marcher normalement, tandis que son corps naturellement électrifié ne sera donc pas très sensible à la chaleur. Votre pokémon pourra courir dans tous les sens sans problème pendant un bon moment. Bon il faudra bien sûr penser à l'hydrater régulièrement, mais c'est un bon sens de base il me semble. De par sa petite taille, ce pokémon ne pourra pas vous transporter, mais il pourra vous aider en vous déchargeant d'une bonne partie de vos affaires. Ou même de tout à moins que vous ne soyez en plein déménagement et que vous ayez donc décidé d'emporter absolument tous vos biens dans votre traversée du désert. Il pourra aussi vous servir de soutient quand vous n'en pourrez plus afin de réussir à marcher jusqu'à un point où vous pourrez vous reposer à l'ombre.
En combat par contre il ne pourra pas être très utile, à part face aux Darumarond. Les pokémons du désert ayant tendances à être de type sol, ou parfois plante, ses attaques électriques seront soit innefficaces, soit peu efficaces. L'attaque nitrocharge pourra vous être utile contre les créatures de type plantes, mais si vous voyez quelque chose qui ressemble de près ou de loin à un Kraknoix arriver je vous conseille de vous enfuir à toute jambes si vous ne voulez pas que votre compagnon subisse de gros dégats.
Milieu montagneux : Contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce pokémon n'est pas un excellent grimpeur. Il n'a pas l'habitude des lieux escarpés et risquera de trébucher à la moindre occasion. Il n'est pas non plus très habitué à sauter pour arriver d'un point à un autre, ce qui risque de l'handicaper. En clair ce n'est pas un Chevroum. Il pourra toujours être utile pour transporter vos affaires dans les côtes à condition que vous le guidiez et dans des endroits où la route n'est pas trop irrégulière. Zéblitz se débrouillerait bien mieux que lui, mais vous n'avez sous la main pour le moment qu'un petit Zébibron inexpérimenté. Après un séjour en montagne pensez à examiner les sabots de votre compagnon car ils pourraient avoir été abîmés.
En combat il pourra efficacement vous protéger des pokémons oiseaux qui traînent dans ce genre de milieu. Prenez garde cependant à n'utiliser que ses capacités électriques qui ne requièrent pas de mouvements de sa part afin qu'il ne risque pas de trébucher dans sa manœuvre et soit le plus efficace possible. Se sera également un plaisir de l'emmener dans les grottes pleines de Nosférapti, mais faîtes attention à la charge d'électricité qu'il aura accumulé. S'il commence à fatiguer ne le forcez pas au combat, vous risqueriez de vous retrouver bête face à un adversaire puissant. Et si vous voyez un Onix, mon meilleur conseil est de prendre la fuite.
Milieu neigeux : Si Zébibron se débrouille comme un petit chef dans les zones désertiques, il aura plus de mal lorsqu'il sera confronté au froid et à d'épaisses couches de neige. Il ne pourra pas courir à son aise même dans la poudreuse et ses attaques électriques ne seront plus très fiables avec la neige qui sera fondue dans ses poils et aura tendance à conduire l'électricité. Il n'en sera pas au point de s'électrocuter lui-même, mais la charge électrique qu'il enverra sur ses adversaires sera moins puissante. Des plus comme c'est un pokémon dont la chaleur corporelle tourne toujours autour de 50°C à cause de l'électricité qui circule en lui et sa capacité à utiliser nitrocharge, il aura très vite froid et pourra facilement tomber malade. Il peut bien sûr continuer à vous aider à porter vos bagages, mais à conditions que vos trajets ne soient pas trop longs, sa fourrure n'étant pas des plus fournies.
Pour ce qui est de se battre, il pourra faire valoir sa force sur quelques affrontements s'il est bien entraîné, mais ne comptez pas sur lui pour le long terme à cause des raisons qui ont été énoncées ci-dessus. De plus, c'est encore un jeune pokémon non-évolué alors il ne faut pas lui demander la lune. Si vous vous retrouvez face à un Polagriffe, c'est pas le moment de faire le malin et choisissez plutôt un pokémon de type feu, un plus résistant et fort, ou alors vos propres jambes pour vous enfuir le plus vite possible.
Milieu urbain : Zébibron est un pokémon que l'on peut voir dans les parc où les enfants ont l'occasion de faire des promenade à dos de petits équidés. Habituellement on peut y voir des Ponyta, mais certains enfants ayant peur de poser leurs fesses sur leurs crinières enflammées quelques Zebibron viennent également les rejoindre. Un petit nombre peut aussi être vu autour des casernes de police car leurs évolutions, Zéblitz, sont utilisés comme montures pour les agents lorsqu'ils patrouillent, histoire de diversifier des Galopa et pouvoir varier les possibilités offensives en cas de problème. Il y a donc dans chaque ville dotée d'un commissariat des petits Zebibron en formation.
Ils ne sont cependant pas très popularisés dans les foyers car il faut de la place pour s'en occuper et en ville tout le monde n'a pas la place dans son jardin.. Ni nécessairement de jardin. Les Zébibrons domestiques sont donc quasiment inexistants, mais comme ils sont populaires auprès des enfants, si vous êtes dresseur et en possédez un, ne vous étonnez pas que beaucoup d'entre eux viennent vous voir pour le caresser ou jouer avec lui.
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Zéblitz - type électrique, pokémon foudrélec
taille moyenne : 1,6 m / poids moyen : 79,5 kg
Zéblitz, forme évoluée de Zébibron, est un pokémon de type électrique que l'on qualifie de foudrélec. Cette qualification trouve son sens si l'on considère qu'elle est justifiée par un surplus de puissance par rapport à se pré-évolution. Etincelec → foudrélec ; c'est plutôt logique. La charge d'électricité que transporte ce pokémon est grande et il en libère un peu à chaque fois qu'il fait claquer ses sabots sur le sol. Lorsque ce pokémon se met à courir à pleine vitesse, ses foulées font le même bruit qu'un orage intense. Cela rend les troupeaux de Zéblitz difficilement supportables pour les populations alentours qui, si elles ne sont pas effrayées par les bruits, peuvent difficilement les trouver agréables.- suite de la description ?:
Milieu herbeux : C'est dans ce genre de milieux que se fait entendre le plus fréquemment l'orage provoqué par le galop des Zéblitz. Ils vivent en groupe dans ce genre d'endroit et on peut reconnaître leurs territoires à l'état de l'herbe que vous foulez. Comme elle est sans-cesse traversée par leur courant électrique, elle devient presque de la même apparence et consistance au toucher que la crinière de ces pokémons. Certaines des herbes pourraient d'ailleurs vous envoyer de légers chocs électriques, signe que les zèbres sont passés dans le coin il y a peu de temps alors prenez garde à vous. Lorsqu'au milieu d'un grand terrain la terre est veinée de traits sombres et désordonnés, c'est certainement qu'un combat entre deux représentants de l'espèce a eu lieu. Ils sont d'un naturel colérique et n'hésitent pas à se confronter en duel les uns les autres, laissant quelques séquelles sur leur environnement. Cependant, ces querelles ne les empêchent pas de vivre toujours en groupe depuis qu'ils sont de petits Zébibron et à trouver une certaine entente dans la cohésion entre les membres. S'ils se disputent, c'est généralement pour une place plus haute au sein de la communauté.
Milieu forestier : Lorsque le caractère colérique des Zéblitz dépasse ce que peuvent tolérer les membres de sa communauté, c'est à dire qu'il se fait purement et simplement éjecter du groupe car il crée de trop grandes turbulences, et bien ce reclus va généralement se réfugier dans la forêt. Il y vit à peu prêt de la même manière qu'en plaine, ne craignant plus vraiment les assauts extérieurs maintenant qu'il a acquis sa forme évoluée. Il peut donc se débrouiller comme un grand pour trouver de la nourriture et repousser les créatures sauvages qui viendraient s'en prendre à lui. Seulement, à la base, Zéblitz est fait pour être un pokémon sociable, même si cette sociabilité s'exprime dans des accès de colère envers ses congénères. Du coup, comme il se retrouve complètement isolé dans la forêt, il arrive fréquemment qu'il tombe en dépression ou un état similaire, finissant par lui enlever la rage de se battre et en faire un pokémon particulièrement mou qui ne galope plus. Le véritable problème d'un état de ce genre pour lui est que l'électricité qu'il accumule constamment en lui ne trouve plus de moyen d'évacuation par le galop ou des attaques et se concentre donc bien trop dans son corps. Tout pokémon électrique qu'il soit, un tel état en lui provoque des dégâts et il se consumera donc petit à petit de l'intérieur. Si vous rencontrez un Zéblitz dans cette situation, par pitié énervez-le par tous les moyens afin qu'il évacue le surplus. (Si possible en possédant un pokémon de type sol qui absorbera les attaques électriques sans risque car sinon vous risquez d'y perdre un sacré paquet de plumes.)
Milieu aquatique : Zéblitz apprécie toujours de se prélasser dans l'eau. C'est un élément qui a le don de le calmer et donc d'empêcher qu'il s'énerve lorsqu'il se trouve à l'intérieur. Le problème c'est que le calme les rend un poil joueur, ce qui les excite lorsqu'ils sont en train de faire trempette et résulte en des relâchements de vague électriques nocives pour la faune aquatique. Si un jour vous croisez un étang où tous les pokémons poissons sont sur le côté, non morts, mais dans un état de paralysie certain, c'est certainement que des Zéblitz sont passés par là il y a peu de temps. Dans ce cas, ne vous risquez pas non plus à mettre la main dans l'eau, vous risqueriez de vous faire électrocuter.
Milieu désertique : Les Zéblitz aiment tout particulièrement les grandes étendues désertiques où ils peuvent courir à leur aise sans déranger grand monde puisque la faune est très souvent de type sol et donc insensible aux courant électriques. Si vous êtes quelqu'un qui aime particulièrement passer du temps dans le désert, comme moi, et que vous entendez soudainement tonner l'orage, c'est certainement qu'un troupeau de ces zèbres est en train de traverser les lieux. Essayez de ne pas trop vous approcher car lorsqu'ils sont comme ça, l'électricité part un peu dans tous les sens et c'est dangereux. Ils ne rencontrent pas de menace dans ce genre de lieux, mais ils doivent cependant prendre garde à les traverser assez vite afin de retrouver de l'eau et de la nourriture puisqu'ils sont herbivores. C'est pour cette raison qu'ils ne s'y aventurent jamais seuls, afin d'être certain qu'il y en aura toujours au moins un qui trouvera le chemin pour retourner au reste du groupe.
Milieu montagneux : Ces pokémons ont acquis une certaine agilité depuis leur évolution, ce qui fait qu'ils ont la capacité de se mouvoir plus facilement en montagne et même d'escalader sans mal certaines pentes plutôt raides. Ils n'ont pas non plus à craindre les grands rapaces qu'ils peuvent griller en quelques secondes. Tant qu'ils n'embêtent pas les Gravalanch, ces pokémons sont tout à fait à l'aise dans la montagne qu'ils voient plus comme un terrain de jeu et d'affrontement plutôt que comme un véritable espace pour vivre. Ils ne s'aventurent cependant pas dans les grottes, exception faite de la grotte électrolithe. Ils n'aiment pas les ultrasons produits par les Nosférapti qui ont le don de les énerver et les faire envoyer des éclairs dans tous les sens, ce qui n'est pas top top pour la faune locale.
Milieu neigeux : Zéblitz, plus résistant que sa pré-évolution, aura moins tendance à souffrir du froid. Il tombera plus difficilement malade et aura moins de mal à courir dans la neige car ses pattes se seront allongées, lui donnant une plus grande marge de mouvement. Ses seuls problèmes seront qu'il aura toujours du mal à contrôler la trajectoire de ses attaques électriques, ce qui l'énervera encore plus et lui fera perdre encore plus de contrôle sur ces dernières. Un joli cercle vicieux duquel il vaut mieux ne pas s'approcher si vous ne tenez à ne pas vous faire griller. Autre problématique, il aura du mal à trouver de la nourriture parce que l'herbe gelée, c'est vraiment pas son truc. Il faudra faire attention aussi à ce qu'il ne glisse pas et tombe parce que s'il vient à se casser une patte, il aura beaucoup de mal à recommencer à courir correctement un jour.
Milieu urbain : Comme cela a été déjà vaguement évoqué, les Zéblitz posent problèmes aux abords des villes et villages. Lorsqu'ils courent tous ensemble, ils provoquent des bruits semblables à des orages ce qui effraie les gens et provoque des nuisances sonores. Les pokémons rangers ont donc aussi pour tâche de faire bouger les troupeaux de Zéblitz plus loin des villes afin de ne pas gêner les habitants. Sinon ces zèbres, isolés de leurs troupeaux, sont souvent utilisés comme monture dans la police afin de varier des Galopa et permettre d'avoir un plus grand panel de capacité pour faire régner l'ordre. Ils ont même tendance à être de plus en plus appréciés grâce à leurs capacités qui permettent de paralyser les gens à appréhender, technique inutilisable avec un Galopa.
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 627](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/627.png) | Furaiglon - type normal/vol, pokémon aiglon
taille moyenne : 0,5 m / poids moyen : 10,5 kg
Furaiglon est un pokémon de type normal et vol, pré-évolution de Guériaigle, ce qui lui a certainement valu son appellation de pokémon aiglon. Ce pokémon est très recherché par les ornithologues du fait de la majesté de son évolution aux couleurs chatoyantes qui semblent crier [i]victoire[/b]. Ce petit pokémon est réputé pour être assez inconscient et s'engager dans des batailles où il lui sera impossible de triompher. C'est certainement pour cette raison que l'on ne trouve que peu de Guériaigle à l'état sauvage, étant donné que, du à leur côté intrépide, les Furaiglon ont un taux de mortalité avant évolution très élevé. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Furaiglon n'est pas vraiment le genre de pokémon à aimer sautiller dans les hautes herbes, contrairement aux Roucool. Comme il est assez maladroit, il risque de se prendre les pieds, tomber et ensuite se retourner pour agresser sauvagement la touffe d'herbe, l'accusant de sa chute. Evidemment il y a là un côté comique pour le dresseur, et très mignon, mais cela devient vite agaçant lorsqu'il s'agit de s'arrêter toutes les deux minutes pour regarder son compagnon perdre face à de l'herbe.Si vous comptez vous reposer, privilégiez un coin où il y aurait quelques arbres pour que votre compagnon puisse s'y percher, il y sera bien plus à l'aise. Pour pallier aux problèmes qui lui posent l'herbe il pourra aussi voler puisque c'est un pokémon oiseau, mais comme il est encore jeune il ne peut pas voler très longtemps. Il peut se poser sur vote épaule mais dans ce cas il faudra porter des vêtements épaix car il ne fait pas très attention avec ses serres et pourrait vous blesser contre son gré.
Il faudra que vous fassiez attention avec les pokémons sauvages. Il ne doit pas se mesurer à des ennemis plus puissants que lui dans un excès d'intrépidité. Si cela arrive le mieux est de lui envoyer de l'aide ou alors le rentrer dans sa pokéball avant même qu'il ne confronte son adversaire dans un combat. De toute façon je pense que peux de dresseurs iraient essayer de se mesurer à un gros Rattatac ou un Arbok avec seulement un petit Furaiglon sous le bras. Cependant vous pouvez le laisser s'acharner autant qu'il veut sur les petits rongeurs ou insectes, vu qu'il s'en nourri.
Milieu forestier : Autant le dire tout de suite, les Furaiglon n'aime pas trop la forêt. Trop de branches, de troncs et d'irrégularités pour lui au sol. S'il vol il risque de se cogner et s'il marche il va tomber tout le temps. Heureusement qu'il n'a pas encore une trop grande envergure ce qui lui permet de se déplacer tout de même avec plus d'aisance que son évolution Guériaigle. Il aimera s'en aller dans les hauteurs afin de chercher des pokémons insectes grace auxquels il pourrait se nourrir. De ce point de vue Furaiglon est un pokémon très autonome. Vous aurez très rarement besoin de lui fournir de la nourriture en forêt. Mais c'est peut-être son seul avantage dans ce genre d'endroits. Car sa maladresse fait qu'il pourra se blesser un peu n'importe comment, et son côté intrépide le fera aller un peu n'importe où et vous pourrier facilement le perdre de vue si vous ne faîtes pas attention.
Pour ce qui est des combats il pourra être très utile en forêt malgré sa maladresse car vous ferez certainement face à des pokémons plantes ou insectes. Cependant il y a aussi des chances que vous tombiez sur un Pikachu et dans ce cas il est mieux de ne le remettre dans sa pokéball. Même si vous lui demandiez de ne pas se battre il serait capable de foncer tête baissée au combat pour la simple et bonne raison que le regard de cette souris électrique l'aurait provoqué.
Milieu aquatique : Furaiglon aime beaucoup jouer dans les flaques d'eau, à sautiller dedans, ou dans les cours d'eau peu profonds. Il en profitera pour se nettoyer les plumes et se rafraichir. Cependant il faudra prendre garde à ce qu'il ait toujours pieds, ou pattes... Ou serres. Enfin bref, qu'il touche toujours le fond d'une manière ou d'une autre car ce pokémon n'est pas un bon nageur. Aussi à l'aise qu'un Racaillou dans l'eau, il se laissera en plus emporter par le courant si celui-ci est un peu trop violent. Ses ailes sont faites pour voler, pas pour le faire flotter ou même lui permettre de nager. De plus s'il se mouille trop il mettra un temps considérable à se sécher ce qui l'empêchera de prendre son envol pendant un bon moment. En ceci il ne diffère pas de la plupart des pokémon de type vol, mais au vu de son caractère il vous faudra être d'autant plus vigilant pour vérifier qu'il ne s'en aille pas, dans un élan de fougue intrépide, à la poursuive d'un innocent Ecayon dans des eaux trop profondes pour lui .
Pour ce qui est du combat, et bien vous pouvez l'employer sans risque si vous êtes dans une flaque d'eau, mais sinon... Si votre adversaire peut plonger, Furaiglon n'est pas du tout une bonne option pour les raisons qui ont été ennoncées un peu plus haut. Ce n'est pas qu'il n'a pas la force, mais que le terrain ne lui est pas du tout propice. Alors si vous avez d'autres options utilisez les plutôt que de risquer la vie de votre petit compagnon.
Milieu désertique : Aussi fourni que puisse être leur plumage, les Furaiglon ne sont pas trop affectés par les chaleurs ardentes du désert. Au contraire ils sont plutôt contents de pouvoir sautiller en paix sans se prendre constamment les pattes dans des touffes d'herbe. Gratter le sable sera aussi pour lui une activité des plus itnéressantes même s'il n'y trouvera probablement rien. Il risque aussi d'essayer de le picorer, mais tant qu'il n'en mange pas trop ce n'est pas grave. Vous risquez aussi de le voir en train de se rouler dans le sable, mais ne vous en faîtes pas, il n'a pas décidé de devenir un Rototaupe, il est simblement en train de se nettoyer et se gratter à sa manière.
Il faut cependant prendre garde aux pokémons sauvages car, à part contre les Maracachi, votre compagnon ne risque pas d'être très vaillant. Les type sol ne pourront pas grand chose contre lui s'il vole, mais il vaut mieux ne pas prendre de risques car certains, voir la plupart, ont des capacités de type roche qui pourraient faire grand mal à votre petite compagnon. Aussi, s'il y a du vent et des soulèvements de sable, il vous faudra prendre garde à ne pas le perdre de vue parce qu'il s'aventure trop loin. Ou aussi à ce qu'il se fasse emporter car s'il vous perd de vue il se mettra à paniquer, se mettra dans des situations difficiles et vous risquez de ne plus jamais le revoir. Il faut être très vigilant avec Furaiglon.
Milieu montagneux : La montagne ne vous gagne peut-être pas, mais elle aura au moins gagné votre Furaiglon. Il s'agit de son milieu naturel, mais cela ne veut pas dire que c'est le moins dangereux pour lui, loin de là. Mais pour nous concentrer d'abord sur les bons points on peut dire qu'il vous protégera des autres pokémon de sa famille car ils n'ont pas tendance à s'attaquer entre eux sans aucune raison. Aussi il sera un très bon éclaireur et connaitra par réflexe les différents terrains. Si votre lien avec lui est assez fort il pourra volontiers vous indiquer par où passer pour que la route vous soit plus aisée.
Mais derrière tout ceci il y a, comme je l'ai déjà dit, des dangers pour Furaiglon. Déjà, si vous le faîtes combattre et qu'il montre des signes de faiblesse, des Vaututrices ne tarderont pas à voler au dessus de vos tête dans le but de faire un festin de votre petit compagnon. Et il ne pourra évidemment rien faire contre eux, ils sont trop puissants pour lui. Furaiglon étant très maladroit, il risque de trébucher et se blesser contre les stalagmites dans les grottes si vous décidez de les explorer. De plus il ne sera pas très efficace contre les Racaillou et les Nosférapti en nuée risque de plus l'énerver qu'autre chose, ce qui ne vous mènera pas au succès. Mais ce à quoi vous devriez faire le plus attention c'est qu'il ne tombe pas dans une flaque et se noie de manière idiote pendant que vous regardez ailleurs.
Milieu neigeux : Bien que Furaiglon supporte des températures relativement froides, la neige à longueur de temps ne lui réussira pas tellement. Il appréciera bien sûr de sautiller dans ce milieu où ses pattes s'enfoncent et où, pourtant, il ne rencontre aucune résistance, contrairement à cette satanée herbe qui le fait trébucher ; mais le bas de son ventre étant moins fourni en plumes que le reste il risque vite d'avoir froid et de se mettre à tremblotter. S'il ne neige pas, car la neige l'embête lorsqu'il vole, il pourra vous servir d'éclaireur sur des courtes distances à travers les étendues enneigées. Par contre si vous vous retrouvez enfoncés jusqu'au torse en suivant le chemin, ça ne sera pas de sa faute, il ne peut pas voir ce genre de chose. Alors notez qu'il ne faut pas vous énerver comme moi, cela ne ferait que culpabiliser votre compagnon.
Furaiglon risque de ne pas être très efficace contre les pokémons de type glace de la zone, excepté les Charmina, mais il faudra fairattention à ce qu'il ne se reçoive pas un poing glace en plein figure. Sinon je conseille aussi de ne pas trop le laisser dans la neige si celle-ci est trop haute car il pourra très vite avoir froid, voir tomber malade. Et je vous assure que vous n'avez pas envie d'avoir affaire à un Furaiglon malade. Mais alors pas du tout envie. Déjà qu'ils sont têtus et capricieux à l'état normal, ils sont encore pire une fois un peu grippés. Ils ont tendance à devenir encore plus farouches et se retrouver dans des situations absolument improbables où leur vie est en danger. Alors faîtes très attention à lui, pour son bien.
Milieu urbain : Furaiglon n'est pas un pokémon que l'on trouve beaucoup en ville, on a d'ailleurs plus tendance à le perdre. Et il n'y a pas d'endroit où on risque plus de le perdre, car on peut le perdre facilement absolument partout. Il suffit qu'il soit intrigué par une lumière, qu'il se sente provoqué par une botte, ou une autre ânerie du même genre et hop ! Si vous ne faîtes pas attention il sera parti vers un lieu inconnu et se retrouvera perdu. Bien sûr il n'aimera pas du tout cette situation ce qui l'amènera à pleurer toutes les larmes de son corps comme il sera privé de ses repères. Si vous perdez votre compagnon en ville, je vous conseille de vous diriger vers le centre pokémon le plus proche après l'avoir cherché un peu car, à cause de sa crise de larmes, il est possible que quelqu'un l'ait amené là-bas car il s'agit d'un pokémon perdu. Le mieux reste tout de même de lui acheter un petit mouchard à mettre autour d'un collier exprès. Cela peut paraître incorrect pour certaines personnes, mais il vaut mieux cela que de perdre son pokémon à mon humble avis. Ou alors d'avoir une concentration sur lui à toute épreuve, ce que je n'ai pas.
Il vaut mieux que Furaiglon ne se batte pas en ville car vu comme il est habile il risque de se prendre le bec ou les pattes dans les fils électriques. Et dans les parcs s'il doit bouger de trop, il risque de se prendre des branches. Tout ceci parce que la ville est pleine de distraction auxquelles il peut avoir du mal à s'habituer et par conséquent il sera encore plus désorienté qu'à l'habitude. En résumé, vous pouvez emmener Furaiglon se balader en ville si vous faîtes bien attention à lui, mais il ne faut pas trop lui en demander.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 509](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/509.png) | Chacripan
– type ténèbres, pokémon scélérat
taille moyenne : 0,4 m / poids moyen : 10,1 kg
Pour un pokémon de type ténèbres, Chacripan n'a pas l'air si menaçant que cela à première vue. Et pourtant il n'a pas volé son titre de pokémon scélérat. S'il arrive de trouver de ces chatons affalés sur les canapés en tant que pokémons de compagnie, nombreux sont ceux qui vivent à l'état sauvage et ne braquent leurs regards attendrissants vers vous que dans le but de vous voler ce que vous avez de précieux. Alors même s'ils sont très mignons, restez toujours méfiants lorsque vous entrez en contact avec ce pokémon. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : C'est là le milieu naturel des Chacripan les plus sauvages et farouches. Ceux qui n'ont pas encore cédés aux attraits et à la facilité de la ville. En gros on pourrait dire que c'est les dur à cuire de l'espèce, bien plus résistants aux altérations comme le poison et toutes ces joyeusetés. Ces félins sont des créatures que l'on pourrait dire sociables dans le sens où elles vivent en groupe car elles en voient les avantages pratiques. Car s'ils résistent aux facilités de la vie urbaine, ils ne sont pas non plus inconscients au point de se dire que des petits chatons comme eux pourraient se débrouiller en étant tout seuls. Ils sont souvent menés par un ou deux Léopardus qui assurent leur protection en échange de nourriture. Ainsi ces pokémons ont tendance à vouloir vite évoluer car, disons le franchement, ils ne s'aiment pas. Si on oublie la nécessité de survie, c'est chacun pour soi. Outre la nourriture que chacun ramène aux Léopardus comme sorte de cotisation, ils ont tendance à ne pas partager entre eux. Si l'un d'entre eux est blessé ou malade, hors de question de sacrifier quoi que se soit pour lui. Les membres du groupe ne seront généralement enclins à se bouger que lorsque la perte d'un des leurs mettrait en péril leur groupe de survie.
Les Chacripan sont des pokémons carnivores et ils trouvent très facilement leur nourriture dans ce genre de milieu. Ils sont aptes à chasser des roucool et des pokémons insectes qui ne sont pas venimeux. Ils aiment aussi s'en prendre aux pique-niques de quelques dresseurs attendris par leur mignonne petite bouille. Cependant lorsqu'ils chassent ils ne sont jamais trop imprudents car s'ils étaient intouchables, ils n'auraient pas besoin de se balader en groupe. Malgré leur plus grande résistance en tant que Chacripan de la campagne, s'ils se font attaquer par un Roucoups ou un groupe de Rattata ils risquent de ne plus faire les fiers. C'est d'ailleurs dans ces cas là qu'ils ont développé de grandes aptitudes pour la fuite.
Milieu forestier : On peut se dire que les chats aimeraient peut-être se promener en forêt pour s'amuser dans les arbres et améliorer leurs capacités naturelles en grimpette, mais ce n'est pas le cas de Chacripan. Déjà ce pokémon n'est pas un si bon grimpeur que cela car comme il se déplace généralement sur ses deux pattes de derrière, il n'est pas habitué à se servir de ses quatre pattes pour se déplacer et il n'aime pas cela. Bien sûr si cela est nécessaire ils n'hésiteront pas à sauter sur un tronc pour se mettre hors de portée d'un prédateur, mais si cela n'est pas nécessaire ils préfèrent éviter. De plus les arbres ne risquent pas de les protéger bien longtemps car la forêt grouille de pokémons de type insecte que craignent ces félins. Autant dire que pour eux c'est un terrain particulièrement hostile. Ils seront sans-cesse sur le qui-vive dans la crainte de croiser une créature comme un Venipatte ou même un Larveyette. Heureusement qu'ils sont assez véloces pour prendre la fuite car sinon ils risqueraient de ne pas faire long feu face à un pokémon insecte en colère.
C'est certainement dans la forêt que la bouille mignonne du Chacripan lui est la plus utile. Comme il craint les pokémons aux alentours, il s'empressera de se diriger vers le premier humain qu'il verra pour lui servir son adorable frimousse et se servir de cette opportunité pour rester sous sa protection jusqu'au sortir de cet enfer. Evidemment ils peuvent tomber sur des humains mal intentionnés, mais le fait est que cela peut leur paraître une meilleure solution que de se laisser avoir par des attaques piqûres.
Milieu aquatique : Comme la plupart des félins, Chacripan n'aime pas vraiment l'eau. Il ne sera pas rare de voir le votre s'approcher de la surface aquatique, y poser le bout de la patte et la retirer à toute vitesse en la secouant avec un air un peu surpris. Autant dire que se sera la bataille lorsqu'il s'agira de lui faire prendre un bain. Je vous conseille de prendre de bons gants qui montent au moins jusqu'aux coudes si vous voulez éviter les griffures. Les Chacripan sont des pokémons plutôt fiers qui en temps normal rechigneraient à paniquer, mais quand il s'agit du bain... Ils n'hésiteront pas à griffer frénétiquement tout ce qui passera sous leurs griffes. Ils préfèrent largement faire leur toilette tout seuls et n'admettront jamais quand il leur est nécessaire de prendre un bain. Et ils ne s'abreuvent que dans des flaques ou dans des gamelles où ils n'ont pas à mettre la patte dedans.
Bien évidemment c'est à vos risques et périls si vous décidez de les faire combattre sur un terrain aquatique. Ils risquent d'avoir du mal à toucher un adversaire qui peut se réfugier sur l'eau, même si on doit leur reconnaître une certaine agilité lorsqu'il s'agit de rester sur une surface sèche ou à un endroit qui forcera leur adversaire à sortir de l'eau. Mais à moins que ce dernier ne se retrouve à faire le Magicarpe sur le sol, Chacripan risque d'avoir du mal à le battre.
Milieu désertique : Les Chacripan sont certes des pokémons qui apprécient de se prélasser au soleil, mais le désert c'est quand même un peu chaud pour eux. Ils ont l'habitude de pouvoir se réfugier dans des endroits humides, frais, comme l'herbe. Alors le sable ils risquent de l'avoir raide. Après avoir marché un peu dans ce genre de milieu ils risquent de s'effondrer tout contre le sol à la recherche d'une fraîcheur qu'ils ne trouveront pas. Le sable peut également leur écorcher les coussinets à la longue, ce qui risque d'augmenter leurs difficultés à se déplacer et surtout minimiser leurs capacités à se battre. Les Chacripan sont des pokémons qui comptent sur leurs griffes, alors s'ils ne peuvent plus poser les pattes nulle part sans ressentir de la douleur...
Cependant on doit reconnaître un grand avantage au Chacripan en milieu désertique : il pourra retrouver vos bibelots perdus en un clin d'oeil. Ces pokémons ont l'habitude de repérer tout ce qui brille dans le but de le voler alors si vous faîtes tomber, par exemple, votre alliance ou une boucle d'oreille, demandez à votre félin de la chercher pour vous et vous la retrouverez presque à coup sûr. Après coup il faudra certainement vous battre un peu avec votre compagnon pour récupérer votre possession et qu'il comprenne que non il ne l'a pas trouvé, c'est à vous, mais ça en vaut la peine.
Milieu montagneux : Ces chatons se débrouilleront plutôt bien dans la montagne. Même s'ils n'aiment pas grimper aux troncs et ne sont pas très doués dans ce domaine et escaladeront les côtes escarpées sans trop de problèmes. Ils pourront aussi se faufiler dans les espaces étroits pour explorer, chercher la fraîcheur, ou quoi que se soit d'autre qu'ils jugent digne de leur intérêt. Il arrive que dans les moments de disette où ils ne trouvent plus de proies sur leurs territoires habituels, les bandes de Chacripan viennent en montagne pour s'attaquer aux Furaiglon ou aux Vaututrice. Cela reste cependant risqué car ils ne feraient pas les fiers si un des parents décidait de se pointer et ils ne vont chercher ce genre de nourriture qu'en dernier recours.
Cependant ces pokémons ne s'aventurent pas dans les grottes. Même s'ils ont une bonne vision nocturne, ce qui pourrait leur permettre de très bien se débrouiller là au milieu et être au frais, l'environnement est trop humide. De plus les Nosférapti sont bien trop bruyants pour leurs oreilles sensibles. Je n'irais pas jusqu'à dire que cela leur rend cet environnement hostile, mais ils n'aiment pas du tout se trouver là au milieu si plusieurs de ces chauves-souris sont dans le coin.
Milieu neigeux : Les Chacripan ne sont pas très fans de la neige. Ils leur arrivent de jouer dedans lorsqu'il s'agit des premières neiges de l'hiver, mais leur appréciation de cette météo s'arrête à ce stade de jeu. La neige c'est la galère pour chasser et la plupart des pokémons oiseaux migrent pendant cette période, ce qui ne leur facilite pas la tâche. De plus ces félins sont des petits sensibles qui n'aiment pas avoir les pattes ou une autre partie de leur corps mouillée, alors après trois pas dans la neige ils en auront marre et passeront le plus clair de leur temps à faire leur toilette pour faire disparaître cette immonde humidité en la remplaçant par leur propre bave. Logique qui m'échappe également, mais bon... Le froid cependant ne les gène pas car ils sont munis d'une fourrure abondante qui leur permet de se garder au chaud. C'est aussi là l'autre problème de la neige qui fond et s'infiltre entre les poils. Mais bref, on pourrait disserter longuement sur toutes les manières de mouiller un Chacripan juste pour l'embêter et ce n'est pas le but de ce dex.
C'est dans ce genre de contexte que ces félins deviennent les plus téméraires. C'est là qu'ils sont plus à même de manquer de nourriture et aller s'attaquer, comme vu précédemment, à des proies potentiellement dangereuses. Ils pourront aussi s'écarter de leur régime alimentaire normal et, lorsqu'ils en trouvent, s'abaisser à manger quelques baies. Cependant ce n'est pas le genre d'alimentation qui leur convient et ils ne pourront pas survivre en bonne santé très longtemps s'ils se contentent de cela. Beaucoup de Chacripan meurent de ce fait pendant les longues et dures périodes hivernales.
Milieu urbain : C'est là l'autre milieu où l'on peut trouver le plus de Chacripan. Les plus évidents, ceux que l'on voit la plupart du temps, c'est les Chacripan de salon ou simplement de compagnie. Ces pokémons, par leur bouille enjôleuses, ont su se faire apprécier des ménages où on le propose souvent comme pokémon à adopter car on peut lui faire des câlins et il joue bien avec les enfants. De plus c'est un pokémon propre, alors que demander de plus ? Depuis que les adoptions ont commencées en masse, de nombreux accessoires ont vu le jour comme le sac à main de transport, les rubans, toute la gamme des petits habits, les lits et, le must du must, très à la mode en ce moment chez les ménagères de plus de quarante ans : les piercing pour Chacripan. Aussi étonnant que cela puisse paraître vu le public ciblé, donner un petit air rebelle à son chat de salon semble beaucoup plaire. Je ne comprendrais jamais, mais ce n'est que mon humble avis. Les pokémons eux s'y font car on peut faire beaucoup de choses pour un toit et de la nourriture gratuite.
Mais outre le petit Chacripan à sa maman, il existe en ville une autre catégorie de ces chatons qui seraient plus de gouttière. Ceux-ci vivent en bande, comme ceux des campagnes, mais ils ne chassent pas. Ils préfèrent disputer les poubelles avec les Miaouss et autres pokémons carnivores des rues. Ils peuvent aussi quémander auprès des humains, mais ils en retirent moins de fierté que d'avoir gagné face à un autre félin ; et surtout ils ont une réputation de voleurs qui peut parfois être plus forte chez les humains que leur bouille toute mignonne. Réputation méritée, d'ailleurs. Si vous voyez un ou deux Chacripan traîner près de chez vous, faîtes attention à vos effets personnels brillants qui risqueraient de disparaître.
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Leopardus
– type ténèbres, pokémon implacable
taille moyenne : 1,1 m / poids moyen : 37,5 kg
Leopardus est un pokémon de type ténèbres que l'on qualifie d'implacable. Ce qualificatif trouve sa source dans la manière de se comporter de ce pokémon qui ne fera preuve d'aucune pitié envers ses adversaires, ses proies ou même ses congénères. Il est connu pour attaquer et tuer vite et bien. Il ne cherche pas à faire souffrir ses victimes, seulement l'efficacité et la rapidité. Son pelage, aussi bizarre que cela puisse paraître, agit comme un camouflage dans toutes sortes de milieu ; ceci ajouté à sa discrétion féline en font un maître des attaques surprises. Sa fourrure est d'ailleurs très prisée comme matériel rare, ce qui donne lieu à beaucoup de braconnage. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Les Léopardus sont les meneurs de troupes dans les rassemblements de membres de leur espèces. Ils veillent sur leurs pré-évolution pour instaurer un système de hiérarchie bien défini : les petits ramènent ce qu'ils peuvent à manger et en échange les grands assurent leur protection. En effet, cette espèce n'est pas naturellement solidaire et s'il n'a plus d'intérêt à protéger les autres, Leopardus s'en ira purement et simplement : il n'a besoin de personne pour vivre correctement, mais reste partisan du moindre effort. Les plaines regorgent de petits rongeurs comme les Rattata dont sont très friands ces pokémons et donc ils n'ont aucun mal à les tuer. Sa fourrure, pour une raison qui m'échappe un peu, lui sert de très bon camouflage dans les herbes et tout spécialement la nuit. Les motifs arrondis permettent aussi de déstabiliser les proies afin de défaire la forme du pokémon et le rendre plus difficile à appréhender pour ses adversaires. Ces pokémons n'ont aucune difficulté à vivre dans ce genre de milieu, que se soit en groupe ou en solitaire.
Milieu forestier : Contrairement à Chacripan, Leopardus a accepté le fait de se déplacer à quatre pattes et à optimiser l'utilisation de ses griffes pour grimper aux arbres et avoir accès à de nouvelles proies. Certains scientifiques voient ça comme une régression comme il abandonne la posture verticale, mais je vois plus ça comme une adaptation à son mode de vie et à ses capacités. Peut-être qu'un jour Léopardus sera capable de se déplacer sur ses deux pattes de derrière, mais alors ses besoins auront sûrement changé également. La forêt, malgré leurs nouvelles capacités, reste cependant un terrain hostile pour ces pokémons qui craignent les capacités de type insecte. Ils se servent au mieux de leur camouflage afin de ne pas être vu et usent de toute leur discrétion naturelle pour se déplacer au quotidien. Généralement, les Leopardus que l'on trouve en forêt sont beaucoup plus discrets que ceux que l'on trouve ailleurs car c'est sur cette faculté qu'ils ont déjà naturellement que repose leur survie en générale. Ici aussi, en ce qui concerne la nourriture, ils n'ont aucun mal à se procurer de petits rongeurs ou oiseaux qui leur conviennent parfaitement en guise de repas.
Milieu aquatique : Comme sa pré-évolution et énormément de félins, Leopardus n'aime pas l'eau. Il rechignera à s'en approcher si ce n'est pour boire et ne mettra jamais que le bout de la patte dedans volontairement. Cela ne veut pas dire pour autant qu'il ne sait pas nager, c'est juste qu'il n'aime pas ça du tout. Si vous entreprenez de laver votre Léopardus, les grands gants pour se protéger des griffures ne suffiront plus au vu de la taille de la bête. L'idéal serait une armure, mais c'est assez difficile à se procurer et très peu pratique. L'idéal serait d'avoir un pokémon plante avec vous qui pourrait l'immobiliser à l'aide de ses lianes pendant que vous le lavez, mais tout le monde n'en a pas à disposition. Alors je ne peux que vous conseiller d'avoir du désinfectant et des pansements pour réparer les dégats une fois le bain terminé. Aussi, essayez de ne pas trop approcher votre tête de votre pokémon pendant le bain, je ne voudrais pas que vous perdiez un oeil dans l'opération.
Milieu désertique : Tout comme les Chacripan, les Leopardus ne sont pas des pokémons faits pour vivre dans le désert, ni même pour en supporter longtemps la chaleur. Ils aiment se prélasser au soleil, mais il y a des limites de température à respecter. A ce stade, ils ne feront que rechercher de l'ombre et certains penseront même à creuser un trou pour s'en créer. Aussi, sur le sable, ils risquent de se brûler les coussinets ce qui leur rendra la marche difficile, même s'ils seront trop fiers pour l'admettre et préféreront souffrir en silence que de vous supplier de les remettre dans leurs pokéballs. Vous l'aurez compris, les Léopardus sauvages ne vivent pas dans le désert où ils ne trouveraient de toute façon que très peu de nourriture et qui serait difficile à attraper. Il leur faut des proies qui n'ont pas de carapaces pour pouvoir y planter les griffes et les dents car, même s'ils sont les plus rapides, s'ils ne peuvent pas blesser la proie, comment pourraient-ils la tuer pour la manger ?
Milieu montagneux : Bien que Léopardus aie grandi et grossi suite à son évolution, il peut toujours se faufiler dans les espaces étroits, ce qui lui permet de se trouver de bonnes cachettes en montagne ; à l'abri des prédateurs célestes que sont les grands rapaces. Ils entreront d'ailleurs en conflit pour la nourriture car leurs proies sont à peu près similaires, à la seule différence que les autres peuvent s'attaquer à des cibles plus grandes. Leopardus pourra aussi, s'il repère un nid, essayer d'aller manger les oeufs ou les oisillons. Autant dire que ces espèces ne s'entendent pas du tout et auront même tendance à se faire une guerre farouche dans les montagnes. Leopardus ne vit pas dans les grottes car ils sont dotés d'une très bonne ouïe et les cris des Nosferapti auront tendance à les rendre fous assez vite et leur faire perdre tous leurs repères. Ils peuvent s'y aventurer en cas de besoin, mais n'iront jamais bien loin.
Milieu neigeux : Les Leopardus ne sont pas fans de la neige. Contrairement à leurs pré-évolutions, il n'aimeront pas jouer dedans non plus, préférant se prélasser au chaud. Ils n'aiment pas avoir les pattes mouillées et ne sortiront de leur abri que si cela est vraiment nécessaire. Ils sortiront pour chasser tout en ayant conscience que dans ces milieux ou en hiver, le gibier est bien moins abondant et qu'il faut le chercher longtemps pour le trouver. C'est là que leurs capacités de camouflage et d'attaque furtives sont les plus utiles car toute créature a tendance à devenir plus méfiante dans ce genre de lieux. Une fois la chasse terminée, ils retourneront à leur tanière et passeront de longs moments à se toiletter pour chasser la désagréable sensation qu'a laissé la neige sur leur pelage. C'est dans ces lieux et périodes difficiles qu'ils sont les plus impitoyables avec les membres de leur espèce. Il n'est pas rare de retrouver en hiver, lorsqu'il y a eu famine, des carcasses de Chacripan qui ont été mangés par les plus forts du groupe.
Milieu urbain : Comme c'est le lieu qui concentre le plus de Chacripan, c'est également celui qui contient le plus de Leopardus. Certains sont chats de salons, mais la plupart sont chats d'égoûts où ils vivent suivant une hiérarchie similaire à celle qu'ils exercent dans la nature. C'est pour cette raison qu'il n'est pas rare de croiser des Chacripan en ville, mais qu'il faut beaucoup de chance pour voir des Leopardus. Ces derniers préfèrent rester tapis dans l'ombre en attendant que les plus jeunes ramènent de la nourriture. En échange, ils les empêchent de se faire attaquer par d'autres gangs de félins ou bien de se faire attraper par les différentes fourrières pokémons. Les accidents humains résultants d'attaques de Leopardus ne sont pas rares en ville. La domestication de ces derniers est d'ailleurs très difficile car bien qu'ils soient fanatiques de l'activité "je me prélasse sur un coussin", ils sont habitués à une vie rude et risqueraient de griffer à la moindre contrariété, ce qui n'est pas l'idéal dans un foyer humain.
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 517](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/517.png) | Munna – type psy, pokémon mangerêve
taille moyenne : 0,6 m / poids moyen : 23,3 kg
Munna est un pokémon de type psy que l'on qualifie de mangerêve. Pour celui-ci on peut dire que les scientifiques ne se sont pas vraiment foulés car cela consiste seulement à coller les deux mots qui qualifient la principale activité de ce pokémon. Il peut de manger les rêves des humains et des autres créatures vivantes. Son caractère peut changer selon s'il mange une grande quantité de jolis rêves ou de cauchemars. Il est possible de dire qu'un Munna est de bonne humeur lorsqu'il crache une fumée rose, témoignage qu'il s'est nourri de quelque chose de beau et agréable pour le rêveur. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Comme cela a déjà été dit, les Munna se nourrissent des rêves des créatures vivantes. Ils peuvent ainsi tout aussi bien se nourrir de ceux des humains que de ceux des pokémons. Pour cette raison la plupart des milieux sont plus ou moins adaptés pour la survie de cette créature. Cependant les lieux un peu dégagés où il y a beaucoup de passage sont de ses préférés. La nourriture y est abondante entre les dresseurs campeurs et les gîtes qui y sont implantés ça et là. De plus ces lieux sont peuplés par divers types de pokémons, ce qui permet à Munna de varier les plaisirs quand à son alimentation. Rien n'est encore certain, mais il semblerait que les rêves aient différents goût selon leur nature, mais aussi selon l'espèce auprès de laquelle il se fournit. Si vous êtes intéressés, le professeur Oryse à Unys mène des recherches plus poussées sur le monde des rêves.
Les pokémons sauvages sont généralement sympathiques avec les Munna comme ces derniers ne souhaitent pas les manger et que de toute façon ils ne sont pas comestibles. La grande menace qui pèse cependant sur eux dans ces espaces dégagés est leur propre pouvoir. En effet la fumée rose que cette créature dégage, respirée par d'autres êtres, peut altérer leur comportement en bien ou en mal. Et si c'est en mal, il se peut que les adversaires attaquent violemment la source de leur désarroi. Comme l'air circule très librement dans ce genre d'endroit, la fumée se propage par conséquent mieux et plus vite.
Milieu forestier : Le milieu forestier sied à la survie des Munna à condition qu'ils ne soient pas trop difficiles en ce qui concerne la nourriture. En effet, les types de créatures que l'on y trouve sont moins variés que dans les plaines. Ainsi il aura le goût des pokémons de type insecte, plante et poison. Si vous capturez un Munna venant de ce genre de milieux, il faudrait mieux que vous ayez une de ces créatures avec vous sinon il risque de faire la tête car la nourriture ne lui conviendra pas. Comme les humains, les pokémons peuvent être difficiles. Du coup ils sont également plus difficiles à rencontrer car les humains ne les intéressent tout simplement pas. Ils ne constituent pas un garde manger potentiel à leurs yeux alors ils préfèrent en rester éloignés s'ils le peuvent.
Les problèmes que rencontrent ces pokémons, outre l'histoire de fumée dont on a parlé plus haut, sont leurs interactions avec les pokémons sauvages de type poison. En effet les créatures en liberté peuvent apprécier moyennement de se réveiller et constater qu'un Munna est en train de les sonder pour manger leurs rêves. Pour cette raison ils peuvent devenir violents et, si par sa capacité de lévitation et ses pouvoirs psychiques la bestiole rose arrive à s'enfuir, elle ne pourra rien faire si elle se retrouve empoisonnée au départ.
Milieu aquatique : Les Munna ne sont pas équipés de la fonction sous-marin. Par conséquent la mer est l'un des seuls endroits où ils ne peuvent pas survivre. S'ils sont capables de léviter en continu pour rester au dessus de l'eau sans se noyer, ils ne pourront pas s'approcher suffisamment des pokémons sauvages endormis sous l'eau pour espérer manger leur rêves. Au mieux ils pourront exceptionnellement trouver un Wailmer ou un Wailord à la limite de la surface pour pouvoir respirer, mais rien de plus. Du coup, au final, il risque de perdre toute sa force, ne plus pouvoir léviter et se noyer comme un Racaillou. Par conséquent et par instinct de survie, ces pokémons évitent de s'engager trop loin sur les eaux.
Cependant ils n'ont aucun problème avec la rivière puisque ce n'est pas la mort du Lackmécygne pour la traverser et que plein de pokémons sont tout à fait accessibles lorsqu'ils dorment ou séjournent aux alentours. Lorsqu'il fait trop chaud c'est même un buffet à volonté puisque les créatures auront tendance à se rapprocher de l'eau pour essayer d'avoir plus frais et pouvoir boire à volonté. Les Munna apprécient donc de flotter dans les parages.
Milieu désertique : Grâce à ses ondes psychiques, Munna peut réguler la chaleur de son corps, ce qui lui permet de ne pas souffrir de la chaleur du désert. Si vous en possédez un dans ce genre de milieu, vous pourrez profiter de ses facultés en restant près de lui, il pourra se concentrer sur lui-même et sur vous sans trop de difficultés. Ces créatures, à l'état sauvage, ne se sentent pas très à l'aise dans le désert. En effet se sont des créatures d'extérieur. J'entends par ici qu'elles n'ont pas les moyens d'aller sous le sable ou dans les petits fissures. Elles ne savent ni creuser ni se déformer pour ce faufiler dans ces endroits. Or il s'agit là des cachettes de la grande majorité des pokémons sauvage, l'endroit où ils vont pour dormir et donc rêver. Trouver de la nourriture devient plus difficile et comme la plupart des gens ne font pas de camping dans le désert (je ne vois pas pourquoi), les Munna risquent vite de mourir de faim.
De plus, dans le désert les pokémons sauvages ont tendance à être un peu plus hargneux à l'égard de ceux qui s'introduisent sur leurs territoires, même si les intrus ne représentent pas une nourriture potentielle. N'étant pas de nature agressive, saufs s'ils ont mangé des cauchemars violents, les Munna chercheront à prendre la fuite après avoir stoppé par des capacités psy leurs adversaires. On peut penser qu'ils ne risquent alors pas grand chose, mais s'ils ne réagissent pas assez vite, ils pourraient se prendre une bonne paire de coups.
Milieu montagneux : En fait la description de ce milieu risque de ressembler à celle du milieu désertique. La grande caractéristique de Munna c'est qu'il se nourrit des rêves des créatures vivantes, et donc il faut qu'il les trouve. Sauf que les habitants de la montagne, se cachent également dans les petites fissures dans la roche, ou des endroits trop étroits pour que la créature de type psy puisse passer. Pour faire simple on va prendre un exemple. Imaginons que Munna soit dans une des grottes que l'on trouve en montagne et que sa seule cible soit la grande majorité de la population locale : les Nosférapti. Ces chauve-souris dorment dans des endroits souvent reculés et la tête en bas. Pour que Munna puisse absorber les rêves, le bas de son corps doit être juste au dessus de la tête du rêveur. Donc à moins d'avoir là un pokémon acrobate qui fait des pirouettes et arrive à rester la tête en bas (car pour une raison ou une autre, tout pokémons psy et en lévitation qu'ils soient, les Munna ne se déplacent normalement pas la tête en bas). Il leur est donc quasiment impossible de manger les rêves d'un Nosférapti. Les autres pokémons dont ils pourraient manger les rêves, comme les Racaillou, ils les évitent un peu. Comme le goût change selon le type, je suppose que ça a justement le même goût que si vous suciez des graviers. Pas terrible.
Et à l'extérieur on en parle même pas avec les rapaces qui sont très souvent grognons. Surtout pendant les périodes de couvée et lorsqu'ils élèvent leurs petits. La moindre créature qui s'approche à moins de cent mètres du nid risque de se faire rouer de coups ou menacer intempestivement. Ils ont aussi comme un détecteur de présence dans la tête qui fait qu'ils se mettent à rager en plein milieu de la nuit alors qu'ils sont en train de dormir si quelque chose approche. Alors le pauvre Munna, c'est pas là qu'il va réussir à se fournir en nourriture.
Milieu neigeux : Comme dans le désert, les Munna sont tout à fait capables d'utiliser leurs pouvoirs psychiques pour se réchauffer dans les milieux glacials. Cependant cela leur demande plus d'énergie alors ils seront plus vite épuisés. Et ils ne peuvent rien faire contre l'engourdissement de leurs petites pattes. Cela n'est pas des éléments essentiels de leur anatomie, mais c'est ce qui leur permet de se déplacer un peu s'ils se retrouvent dans une situation d'épuisement des capacités psy qui leur permettent de léviter. Et comme cela a été dit, ils se fatiguent bien plus vite dans le froid qu'ailleurs, donc ils peuvent vite se retrouver dans une situation délicate s'ils restent trop longtemps dans un milieu enneigé.
On peut même dire que se sont les lieux les plus dangereux pour les Munna car les pokémons qui y vivent, s'ils sont généralement parés au froid, peuvent aussi être constamment à la recherche d'un abri. Surtout ceux de petites taille qui, s'ils ne voient pas Munna comme un garde manger, peuvent considérer habiter quelque temps à l'intérieur de son corps. C'est très rare, comme il y a peu de Munna sauvages dans ce genre d'endroits, mais c'est un risque qu'ils courent. En tant que dresseur, ne perdez surtout pas votre compagnon de vue dans ce genre de milieux.
Milieu urbain : Les Munna sont des pokémons que l'on trouve souvent en ville en tant que pokémons de compagnie. Les particuliers ne les apprécient pas spécialement pour leurs capacités ou la praticité de le nourrir puisqu'il suffit de dormir, mais pour leur esthétique. Beaucoup apprécient l'idée d'une espèce de boule rose pale à petite fleur dans le salon ; surtout les personnes de sexe féminin. De plus ils ne sont pas réputés pour être bien turbulents alors ils ne causent pas de problèmes dans les maisons. Les seuls imprévus c'est quand les membres de la famille ont des cauchemars, ce qui peut altérer l'humeur et le comportement du Munna de compagnie, mais il n'attaquera jamais ses maîtres.
Les autres Munna de la ville se trouvent généralement dans les laboratoires scientifiques. Leurs capacités à affecter les rêves et les manger est apprécié des scientifiques car ils espéreraient utiliser ces créatures pour que les gens puissent visualiser leurs propres rêves, mais aussi pour aider les domaines psychiatriques qui pourraient alors travailler à partir de cette matière jusqu'àlors convoitée, mais difficilement explorée. Munna et son évolution Mushana sont donc vus comme des éléments essentiels pour l'avancée de ces domaines de médecine.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 519](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/519.png) | Poichigeon - type normal/vol, pokémon tipigeon
taille moyenne : 0,3 m / poids moyen : 2,1 kg
Poichigeon est un pokémon de type normal et vol que l'on qualifie de tipigeon. Ce qualificatif, disons le franchement, ne fait pas sérieux. Cela correspond bien à ce pokémon qui peut faire le désespoir d'un dresseur par sa mémoire défaillante et son incapacité à se souvenir des ordres que l'on vient de lui donner. Ceci doublé par son inaptitude à comprendre les ordres trop compliqués, on peut dire qu'il n'est pas aisé d'élever un Poichigeon et que ce qualificatif de tipigeon affectueux peut trouver son origine dans le fait que oui, il est stupide, mais quand même, il est mignon. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Ce genre d'espace est l'un des milieux où l'on trouve le plus de Poichigeon et où ils sont le plus à l'aise. Pokémons sociables, ils vivent en groupe pour leur survie, surtout en campagne. Ils chassent en groupe de petits pokémons insectes, mais une fois que la cible est morte, c'est chacun pour soi. Ils picorent ce qu'ils peuvent sur la carcasse jusqu'à ce qu'elle soit réduite à une toute petite quantité que l'un d'entre eux pourra emporter jusqu'à son nid. Généralement les groupes de Poichigeon se reconnaissent car ils nichent tous dans le même arbre. Une hiérarchie s'y établi d'ailleurs ; les pokémons évolués se plaçant dans les branches plus hautes. Ils servent ainsi, grâce à leur vue perçante et leurs capacités cérébrales plus développés, de gardiens pour les plus petits. Des conflits éclatent de temps en temps entre les groupes de Poichigeon pour des arbres plus fournis et plus grands que ceux dans lequel ils se trouvent. Il leur arrive aussi de se confronter à d'autres espèces, mais ils évitent généralement les trop hargneuses comme les Piafabec qui leur paraissent trop menaçants.
Poichigeon trouve très facilement sa nourriture dans ce genre d'endroit car son alimentation est composée en grande majorité et baies et de petits insectes. Ils ont tout à disposition dans leur propre arbre ou dans les herbes environnantes. Les fermiers cependant ont tendance à ne pas trop les apprécier car ils viennent parfois faire des ravages dans leurs vergers. C'est pourquoi ils se munissent souvent d'un pokémon électrique pour les repousser et c'est là la plus grande menace pour les Poichigeon dans ce genre de milieu car, s'ils se sont adaptés à la menace des rapaces, ils sont toujours surpris par les éclairs dans une ferme.
Milieu forestier : Quelques groupes de Poichigeon se risquent à vivre dans la forêt, mais c'est un milieu déjà nettement plus hostile pour cette espèce. C'est pourquoi généralement, les pigeons capturés en forêt seront naturellement plus robustes que ceux trouvés en plaine. Ils vivent haut dans les arbres pour essayer d'échapper aux pokémons poisons qui vivent dans ce genre d'endroits. Cependant cela ne suffit pas à les protéger car, comme cela a déjà été évoqué, les Poichigeon ont un tout petit cerveau qui ne les aide pas vraiment au quotidien. En conséquence ils n'arrivent pas à retenir s'ils peuvent manger un insecte sans danger ou non. C'est donc régulièrement que l'on retrouve de ces pokémons morts empoisonnés et qui servent de nourriture à des créature poison carnivores car eux sont immunisés. Les Poichigeons peuvent développer une résistance à ce genre de menaces s'ils arrivent à s'en sortir après une première bêtise. Mais malgré tout, ils restent des oiseaux très fragiles qui, s'ils veulent vivre longtemps en forêt, feraient mieux de se dépêcher d'évoluer.
En forêt, très franchement, les Poichigeon ne peuvent être utile que contre des créatures comme Doudouvet ou Mystherbe qui ne sont généralement pas très menaçants ou agressifs naturellement. Alors à moins que se soit votre petit chouchou qui se balade toujours avec vous, vous feriez mieux de le laisser dans sa pokéball. Avec sa mémoire défaillante, il n'est même pas fiable en tant qu'éclaireur ; il risquerait de ne pas vous retrouver.
Milieu aquatique : Les Poichigeons peuvent voyager au dessus de l'eau aussi longtemps que leur endurance le leur permet, mais s'ils ne trouvent pas un bout de terre ils risquent de finir noyés. Ils resteront hors de l'eau aussi longtemps qu'ils pourront s'agiter dans tous les sens, car il ne savent pas nager, mais ensuite ils tomberont épuisés au fond de l'eau... S'ils ne se sont pas fait manger par des pokémons sauvages avant cela. Ces créatures sont des proies faciles pour les êtres aquatiques carnivores qui passent par là à ce moment précis. Il faut savoir qu'une fois dans l'eau, les Poichigeons ne sont pas capables de s'en sortir en volant. Leurs ailes et le reste de leurs plumes se gorgent d'eau et ils sont incapables de se transporter sur de longues distances. Au mieux ils pourraient faire quelques mètres avant de se crasher lamentablement à la merci des prédateurs.
En combat donc il ne serait pas très utile. Il suffirait que son adversaire le mette une fois dans l'eau pour qu'il se retrouve complètement désœuvré. A la limite il pourrait être utile en combat duo si son coéquipier et capable de sortir l'ennemi de l'eau pour qu'il utilise ses capacités de type vol. L'avantage pour un dresseur d'avoir un Poichigeon, c'est que cette fois il peut servir d'éclaireur en mer. Généralement, le pokémon, même s'il oublie son objectif premier, cherchera le premier endroit où se poser et, à moins que vous soyez dans un endroit avec des dizaines de bateaux, il ne pourra pas se tromper et reviendra vers vous.
Milieu désertique : Poichigeon n'est pas un pokémon qui est spécialement gêné par la chaleur. Ce qui le gênera plus dans ce genre de milieu, c'est le sable. Si cela peut lui être utile pour se gratter ou se rouler dedans pour se débarrasser des parasites, en volant c'est tout de suite moins agréable. Une attaque tempêtesable peut complètement désorienter une de ces créatures. Comme il n'est pas très gros ni très résistant, sa trajectoire peut déjà être perturbée par jour de grand vent alors si en plus il y a du sable qui vole dans tous les sens c'est pas vraiment la joie pour lui. Pour cette raison il préférera se déplacer en sautillant dans le sable, ses pattes n'étant pas très sensible à la surface sur laquelle il se déplace. Le problème qu'il rencontre à ce moment là c'est les pokémons sauvages au sol. Il n'est pas vraiment équipé pour faire face à des pokémons de type sol par exemple. Contre un Maracachi il n'aura pas de problème, mais le reste, c'est tout de suite une autre histoire.
Autre problème qu'il va très vite rencontrer si vous n'en avez pas apporté avec vous, c'est celui de la nourriture. Il n'y a rien à manger pour lui dans le désert. S'il s'y retrouve perdu et qu'il y reste pendant plusieurs jours, il perdra progressivement son énergie pour devenir une proie facile et mourir.
Milieu montagneux : Les Poichigeons ne sont pas des pokémons qui se baladent habituellement en montagne. Ils sont trop effrayés par les grands rapaces qui s'y trouvent naturellement. Même s'il a un petit cerveau, il sait pertinemment que face à un Guériaigle ou un Vaututrice, il n'est l'équivalent que d'un petit bout de viande et que s'aventurer dans le coin c'est comme signer son arrêt de mort. Les grands oiseaux, des cibles aussi faciles, ils ne demandent que cela. Ces pokémons évitent donc naturellement les hauteurs et préfèrent rester en plaine.
Et dans les grottes... Et bien autant le dire franchement, ce n'est pas très glorieux non plus. Ils ne voient pas spécialement bien dans l'ombre et ils ne sont pas capables de se défendre face à des Racaillou ou autres pokémons roches. Même contre les Statitik, ils peuvent être désavantagés s'ils n'attaquent pas en premier.
Milieu neigeux : Comme tout pokémon vol qui se respecte, Poichigeon n'aime ni le froid, ni la neige. Si un des adversaires utilise l'attaque grêle, n'espérez même pas qu'il puisse voler. Si rien qu'avec du sable il est complètement désorienté, il pourrait se casser les ailes par un temps pareil. Seulement s'il reste à terre dans la neige, il se retrouve dans une position tout aussi délicate. Ses plumes ne le protègent pas du froid de manière optimale alors très vite il se retrouvera complètement engourdi, au risque de geler. Ce n'est pas un pokémon très résistants et il peut vite être victime des aléas de la nature. C'est pour cette raison que l'on ne trouve pas de Poichigeon sauvages dans ces lieux. Le climat leur est clairement hostile. S'ils leur arrive d'y passer un séjour, au pire ils meurent, au mieux ils reviennent avec une maladie bien coriace. De plus ils ne peuvent pas se nourrir dans ces régions où les baies ne poussent pas et où les insectes ne sont pas foule.
En tant que dresseur, je vous conseille de laisser votre Poichigeon bien à l'abri lorsque vous traversez ces étendues glaciales. Il risquerait de vous détester ensuite.
Milieu urbain : C'est l'un des deux endroits au monde où on trouve le plus de Poichigeon. Tout le monde a déjà été sur une place pour en voir un attroupement qui attend avidement que des gens en terrasse leur donne ou fassent tomber des miettes de leur pain. Car plutôt que de chercher des baies ou chasser quelques insectes, ceux-ci attendent qu'on vienne leur donner. Les seules batailles qu'ils effectuent sont entre eux pour savoir qui repartira avec le quignon jusqu'à son nid. Autant dire que, contrairement aux spécimens des campagnes qui arrivent à garder la ligne par une activité physique régulière, ceux-ci sont sacrément gras. Cela les rend bien plus drôle à regarder quand ils se déplacent en se dandinant tout en préservant leur liberté. Car franchement, rares sont les dresseurs qui iraient capturer leur compagnon parmi ces pantouflards qui seraient bien plus véloces en roulant qu'en marchant.
En ce qui concerne leurs relations avec les humains, il y a deux camps. Ceux qui les aiment et ceux qui ne les aiment pas. Ces derniers considèrent ces pokémons comme des troubles qui dégradent les monuments. On peut par exemple se souvenir du cirque qui avait été fait lorsqu'il avait été question de placer des sortes de clous sur les bords de toitures du palais de Chaydeuvre pour les empêcher d'y déféquer. Les associations de préservation du patrimoine étaient devenus fous. Et dans ceux qui les aiment, il y a les petits enfants qui courent après pour leur mettre des coups de pieds et les gens qui achètent spécialement des grains à Poichigeoin pour aller leur donner l'après-midi, c'est leur passe-temps. Comme quoi ces pokémons sont plutôt bien lotis en ville.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 535](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/535.png) | Tritonde
- type eau, pokémon têtard
taille moyenne : 0,5 m / poids moyen : 4,5 kg
Tritonde est un pokémon de type eau que l'on dit têtard, en référence à son apparence. Il partage cette caractéristique avec Ptitard, bien que ces deux pokémons soient extrêmement différents. Les Tritonde ont de grosses joues qu'ils font vibrer pour communiquer avec ses semblables. Les humains ne sont pas aptes à entendre les sons émis par ces vibrations contrairement aux pokémons. Les autres créatures n'aiment pas trop s'approcher d'eux car les ondes qu'ils se transmettent leurs sont souvent désagréables aux oreilles. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Il est tout à fait possible de rencontrer des Tritonde dans ce genre de milieux lorsqu'il a plut la veille ou qu'il est encore en train de pleuvoir. Ils se réunissent autour des flaques d'eau dans lesquelles ils barbotent avec joie. Cependant leur lieu préféré, car souvent leur lieu de naissance, sont les milieux herbeux marécageux ; les espèces de tourbières que l'on peut parfois trouver sans vraiment s'y attendre et peuvent être dangereuses pour l'être humain. Une zone d'entre deux de terre et aquatique qui est idéale au développement des Tritonde puisque ces pokémons évoluent sur les deux milieux. Ces lieux sont aussi propices à la communication de ces pokémons car en plus du son de ses joues lorsqu'il les fait vibrer, cela provoque des remous à la surface de l'eau qui sont également décodés par ses semblables.
Si les Tritondes sont la plupart du temps inoffensifs pour les autres pokémons dans ce genre de milieu puisqu'ils se déplacent en groupe et ne se nourrissent que de baies et d'algues, ils sont la cible de gros pokémons insectes et quelques pokémons oiseau. Le réflexe de ces créatures, dans ces moments là, est de se serrer les unes contre les autres pour se protéger mutuellement et émettre le plus de vibrations possibles ; ce qui fait la plupart du temps fuir les prédateurs. Ces pokémons construisent des stratégies de protection en groupe qu'ils adaptent selon l'endroit où ils se trouvent.
Milieu forestier : Il arrive que certains groupes de Tritonde s'éloignent des plaines et des abords des rivières ou des lacs pour décider de vivre au beau milieu de la forêt. Cela arrive généralement dans les endroits où la pluie est extrêmement fréquente. Si ces conditions météo ne sont pas réunies toute l'année, il arrive que l'on se retrouve avec des groupes de Tritonde migrateurs qui ne passent que quelques mois en forêt. Ce milieu est généralement apprécié par ces pokémons car il n'y fait pas trop chaud et que, lorsque les conditions météo sont optimales, le sol est toujours boueux ; et ils préfèrent nettement la boue à l'eau plus propre. Ils essayent de se terrer au plus possible entre les racines des arbres afin de se protéger des prédateurs qu'ils retrouvent malgré tout ici.
On peut donc dire que ce milieu est plus propice à la survie des Tritonde que le précédent, même s'ils y rencontrent des problèmes avec un autre genre de pokémons que leurs prédateurs naturels. En effet les créatures comme les Haydaim ou les Cerfrousse qui se baladent en forêt ont tendance à ne pas vraiment regarder ce qu'il se passe dans les flaques de boues où ils passent. Et forcément ils leur arrive de marcher sur des petits Tritonde et de les écraser, tout simplement. Pour contrer cette menace, les petits têtards ont pris l'habitude d'emettre des vibrations dès qu'une créature qu'ils considèrent de grande taille se fait voir aux alentours. Cependant cela signale également aux prédateurs leur position ; ils ont intérêt à bien se cacher ensuite ou continuer d'émettre de toutes leurs forces ; au risque de perturber la faune locale.
Milieu aquatique : Je pense que je ne vous apprend rien si je dis que les Tritonde apprécient énormément ce genre de milieux. Même lorsqu'ils ne sont pas exactement près d'un lac ou d'une rivière, ils s'arrangent pour vivre dans des endroits plus ou moins aquatiques. Ces pokémons ont leurs préférences en ce qui concerne leurs lieux de vie ; par exemple ils vont privilégier les eaux calmes d'un lacs à celles agitées d'un torrent. La seule partie de leur corps qui leur permet de lutter contre le courant est leur petite nageoire qui peut paraître ridicule par rapport à leur corps. Par conséquent elle ne leur donne pas vraiment de puissance pour résister. Lorsqu'ils peuvent vivre en eaux un peu plus profondes que ce que leur permettent les flaques, ils sont protégés des prédateurs qui les attaques généralement par les airs. Ces pokémon n'étant d'aucun intérêt nutritif pour les poissons et autres pokémons aquatiques (il n'y a rien à manger sur un Tritonde et en plus c'est caoutchouteux), ils peuvent vivre en paix.
On ne trouve cependant pas de Tritonde dans la mer ou l'océan. Ces pokémons sont fait pour la vie en eau douce et supportent mal l'eau salée. Le manque d'habitude peut les affaiblir, voir les faire mourir si la transition est trop violente pour eux. Il faudra attendre leur évolution en Batracne pour qu'ils supportent mieux ce genre de milieu et puissent être utiles en combat aquatique marin.
Milieu désertique : Contrairement à ses évolution Batracne et Crapustule, Tritonde n'est pas encore doté du type sol. Cela a pour conséquence de lui rendre la vie dans le désert très difficile et hostile. En effet ce pokémon a encore absolument besoin d'eau pour survivre et bon... Dans ce genre de milieu cela ne coure par les rues. De plus, s'il a l'habitude de se déplacer sur du sol, c'est toujours des endroits où il y a de l'herbe et des plantes et où il règne une certaine humidité ambiante. Ici la chaleur l'étouffera très vite et lui fera perdre toute ses forces et, en plus, le sable ne lui sera pas agréable et il risquerait de se blesser. Alors, oui, certes, ce pokémon peut-être très utile contre les type sol et feu qui se baladent dans le désert, mais pour sa propre survie, il vaudrait mieux le faire évoluer avant de l'entraîner dans une telle aventure.
Milieu montagneux : Il arrive que des groupes de Tritonde vivent en montagne ou dans les grottes, mais c'est bien plus rare qu'en plaine ou en forêt. S'ils y vivent, c'est généralement près des sources ou des parois suintantes, il leur faut toujours un contact avec l'élément aquatique. Les grottes peuvent aussi être un environnement propice, mais au final ils n'aiment pas trop tout ce qui est caillou. En plus avec les ondes qu'ils s'envoient ils gênent les Nosférapti et la cohabitation est juste impossible. Cela résulte pour ces deux pokémons en une cacophonie sans nom qui leur fait perdre tout leurs repères et déséquilibre tout simplement la vie en ces lieux. Si vous trouvez des Tritonde en montagne, se sera toujours en extérieur et, comme d'habitude, en groupe. Ils ont besoin de se regrouper pour survivre car leurs conditions de vie sont bien plus difficiles ici.
En effet, cette fois ils ne se font pas attaquer par des petits Roucool, mais par des Furaiglon et autres grands oiseaux qui, même s'ils ne sont encore que petits et à leur premier stade d'évolution, n'en sont pas moins des prédateurs féroces. Et encore heureux pour les têtards que les grands rapaces ne soient pas intéressés par eux, trop petits, sinon il n'y en aurait plus du tout dans ces régions. Pour pallier à ces problèmes, ces petites créatures ont pris l'habitude de rester constamment en communication les uns avec les autres, ne serais-ce que pour toujours se signaler mutuellement leurs présences. Ainsi les pokémons sauvages n'approchent que peu leur groupe, repoussés par les ondes et, si la fréquence de l'un d'entre eux change pour annoncer un danger, c'est tout le réseau qui sera mis au courant et ils pourront tous aller se mettre à l'abri le plus rapidement possible.
Milieu neigeux : Certes, les Tritonde ont besoin d'eau pour vivre, mais l'eau gelée ce n'est pas ce qu'ils préfèrent. On peut même dire qu'ils n'aiment pas ça du tout, le froid. Comme tous les pokémons aquatiques, ils ont une résistance naturelle à la glace, mais cela n'empêchera pas le gel de leur petite nageoire très fine. C'est quelque chose qui se fera rapidement, encore plus si la créature est statique. Comme c'est cette dernière qui leur permet de se déplacer lorsqu'ils sont sur la terre ferme, ils ne pourront plus bouger et seront la proie des pokémons sauvages qui, dans ce genre de conditions climatiques, ne sont pas trop regardants sur la nourriture. Il pourra même se faire dévorer par une créature que l'on dit normalement végétarienne, faute de trouver autre chose à se mettre sous la dent. Aussi, en parlant de nourriture, il y a de fortes chances que votre compagnon ne trouve pas du tout de quoi manger ici, alors si vous tenez absolument à l'emmener avec vous, prévoyez lui de quoi se rassasier, cela l'aidera à lutter un peu contre le froid.
Les groupes de Tritonde ne s'aventurent pas dans les contrées gelées, ils ne sont pas fous. Ils savent très bien que se serait risquer la mort car, même en se blottissant les uns contre les autres, ils ne pourraient pas produire assez de chaleur pour la survie de chacun. De plus en se regroupant ils seraient plus visibles pour les prédateurs. Non, franchement, ce n'est pas un endroit pour les Tritonde, gardez-le dans votre pokéball.
Milieu urbain : Certaine personnes trouvent que les Tritonde ont des bouilles toutes mignonnes et décident d'en adopter un ou deux. Généralement ces gens ne savent pas qu'ils risquent de se transformer en Crapustule, mais passons. Omis ce cas, il sera très rare d'en trouver en ville. En effet, on pourrait croire qu'ils peuvent vivre en groupe dans des parcs où il y a des points d'eau, mais il n'en est rien. Leurs ondes perturbent les autres pokémons sauvages, mais surtout les domestiques qui viennent tranquillement avec leurs propriétaires pour paresser ou jouer. Du coup cela pose des problèmes à la population alors on envoie des rangers pour les déplacer hors de la ville. Il arrive bien sûre que certains reviennent s'installer, mais cela ne dure jamais bien longtemps.
On peut peut-être en trouver qui restent plus longtemps dans les égouts, mais comme avec leurs ondes ils vont fuir tous les Rattata, Tadmorv et autres créatures joyeuses dont, généralement, les citadins n'ont pas envie d'entendre parler ; on se dépêche de s'en débarrasser également. Les Tritonde ne sont pas des pokémons bien aimés en cité s'ils sont à l'état sauvage. Mais si vous avez votre petite bestiole de compagnie, elle ne devrait poser de problèmes à personne.
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Batracné
- type eau/sol, pokémon vibration
taille moyenne : 0,8 m / poids moyen : 17 kg
Batracné est un pokémon de type eau et sol que l'on dit pokémon vibration. Cette appellation est due aux capacités que lui donnent les espèces de pustules qu'il a sur la tête. Ces vibrations peuvent aller jusqu'à provoquer de petit tremblements de terre, ce qui peut être problématique pour les installations humaines. Au niveau de son apparence, il ressemble encore un peu à un têtard, si on fait un effort d'imagination, mais disons qu'il se rapproche un peu plus de l'espèce de ballon gonflé en caoutchouc, ou quelque chose comme ça. Ce n'est pas un pokémon très apprécié en raison de son apparence plutôt disgracieuse ou, plus précisément, parce qu'il ne ressemble à rien.- suite de la descriptions ?:
Milieu herbeux : Ces pokémons vivent en compagnie des Tritondes près des lieux boueux qui ressemblent un peu à des tourbières. Par contre, ils ne vont pas vivre avec eux dans les flaques, ils sont désormais trop grands pour que si peu d'eau puissent les satisfaire. Cependant il faut noter qu'ils ne sont pas aussi dépendants que leur pré-évolution à l'eau et peuvent tout à fait survivre sans. C'est juste qu'ils préfèrent cet élément au reste. Ils s'appliquent à protéger leurs petits compagnons par leur plus grande force et provoquent de léger tremblement de terre pour repousser les prédateurs terrestres. Généralement ces derniers sont effrayés et rebroussent chemin, ne souhaitant pas s'aventurer plus loin dans une zone instable. Bien sûr ce n'est pas du tremblement super impressionnant, on ne parle pas encore d'un Crapustule, et il n'a pas beaucoup d'envergure.
Par contre ils ne peuvent rien faire contre les pokémons de type vol qui ne sont pas sensibles aux capacités de type sol. Aussi ils ont quand même du mal à protéger les petits Tritonde, même s'ils arrivent à prévenir quelques attaques en envoyant des jets d'eau dans les airs. Le plus gros problèmes qu'ils ont dans cette mission est leur côté complètement pataud. Leurs pattes ne sont pas vraiment ce qu'il y a de mieux pour aller vite ou sauter efficacement. Alors, souvent, et bien ils font des plats parce qu'ils se prennent les pattes dans rien du tout.
Milieu forestier : Tout comme les Tritonde, les Batracné peuvent avoir des tendances de migrateurs en ce qui concerne les forêts. Ils y vivent avec plaisir en compagnie de leur pré-évolution pendant les périodes les plus humides, à l'ombre. Cependant ils s'y plaisent un peu moins qu'avant car en évoluant ils ont gagné le type sol qui leur fait apprécier le contact avec la terre plutôt qu'avec la mousse et autres feuilles ou racines. Il sera donc possible pour les dresseurs de trouver plus fréquemment des Batracné les lendemain de jours pluvieux aux endroits où passent les tracteurs et autres gros véhicules. Les traces qu'ils laissent dans le sol sont des lieux propices pour le barbotement dans la boue. Ils aimeront aussi s'installer en bordure de forêt, là où il peut y avoir des enclos pour Tauros qui passent leur temps à piétiner, bourrer et manger, ce qui fait disparaître la verdure au profit d'une terre meuble et boueuse. Cependant ils évitent cette dernière option car ils ont conscience que c'est très dangereux pour les Tritonde.
Pour ce qui est du danger, les Batracné en subissent nettement moins que leurs pré-évolutions. Ils ne craignent plus de se faire marcher dessus, déjà. Ainsi ils passent leur temps à prévenir l'arriver de ce genre de créatures. Ils n'hésitent pas non plus à attaquer ceux qui s'avèrent violents. Cependant ils ne feront jamais les fiers face à de puissants pokémons poisons. Dans ces cas là, ils s’évertueront à provoquer de petits tremblements de terre et pour intimider l'ennemi et pour prévenir leurs petits protégés.
Milieu aquatique : Etant toujours de type eau, les Batracné apprécient cet élément plus que tous les autres. Ils aiment vivre aux bords des rivières ou des étangs, là où l'espace est un peu boueux. Ils se frottent contre les bords pour se construire un petit espace à la taille de leurs corps où ils dorment. Comme ils peuvent respirer aussi bien dans l'air que sous l'eau, ils ne craignent pas de tomber en plein sommeil et se noyer. Ils ne craignent pas non plus les prédateurs car personne ne viendrait essayer de manger un Batracné. Leur corps est majoritairement caoutchouteux et, si une puissante mâchoire arrive à passer au travers, il n'y aura pas grand chose à manger. Ils peuvent donc vivre tranquillement en compagnie des Tritonde, n'ayant même pas à les protéger car personne ne vient les embêter s'ils vivent un peu en profondeur.
Si les Tritonde ne peuvent que survivre en eau douce, les Batracné sont tout à fait capable de survivre en mer. Ils apprécient même ces lieux où il peuvent se frotter contre le sable. On ne sait pas vraiment pourquoi, mais ils adorent ça. Ils aiment aussi faire la planche dans l'eau où ils servent de perchoir aux pokémons vol de petite taille.
Milieu désertique : Etant désormais doté du type sol, Batracné supporte très bien le désert malgré son type aquatique. Bien sûr il lui est toujours nécessaire de trouver de l'eau assez régulièrement, mais il ne tombera pas comme une crêpe trop cuite au bout d'une dizaine de minutes. Il fournira un effort constant pour maintenir son corps glissant et visqueux, comme il l'est naturellement. Pour se faire il va piocher dans ses propres réserves d'eau et c'est pour cette raison qu'il est très important de l'hydrater régulièrement. Cependant ce n'est pas qu'un désavantage car cette peau glissante lui permet de se déplacer rapidement en milieu désertique, un peu à la manière d'un Pingoleon : il se couche sur le ventre et pousse avec les pattes.
Il faut aussi prendre en compte que, en plus de son avantage de type (sauf contre Maracachi évidemment) , l'aspect caoutchouteux de Batracné lui permet de rebondir facilement et d'être malléable, ce qui est non négligeable face à la force brute dont font preuve la plupart des pokémons dans le désert. Ca peut d'ailleurs être assez drôle à regarder ; la déformation du corps d'une de ces créatures peut aller jusqu'à un point impressionnant.
Milieu montagneux : Les Batracné ne vivent pas vraiment en montagne. Si les Tritonde peuvent se contenter de vivre tranquillement dans les endroits où il y a un petit peu d'eau, cela ne convient pas du tout aux Batracné. Eux ils ont besoin d'espace. Déjà parce qu'ils sont plus gros, mais aussi par ce que l'évolution entre deux d'un pokémon correspond un peu à une crise d'adolescence et ça les rend complètement mégalos quand ils sont au grand air. Ou alors c'est juste la mienne, peut-être. Enfin bref, ils ne peuvent vivre en montagne que s'ils se trouve un jolis étangs comme on peut en voir sur les cartes postales. De plus les endroits potentiellement plein de pierres, comme ça, cela ne leur convient pas. Déjà parce qu'ils risquent de s'abîmer le caoutchouc et ensuite parce que s'ils s'abîment une pustule et bien... C'est de l'acide et d'autres joyeusetés du même genre qui va en sortir et cela risque d'affecter le milieu. Déjà parce que les autres créatures se retrouveront face à un espèce de truc dégoulinant dégoûtant qui ne ressemble à rien ; et ensuite parce que le temps que ça se refasse, il a le temps de dévaster la flore de tous les endroits où il va passer et créer plein de trous dans les cailloux.
En plus, si Batracné n'est pas d'un grand intérêt pour beaucoup d'autres pokémons, s'il se retrouve face à un Guériaigle, il ne va pas faire le malin. Et comme ces créatures peuvent attaquer pour attaquer, juste parce qu'ils sont de mauvaise humeur, et pas exclusivement pour la nourriture, et bien nos petits nos petits pokémons vibrations auront beau vibrer tout ce qu'ils peuvent, il seront mal barrés.
Milieu neigeux : Est-ce que vous saviez qu'environ 2% des avalanches annuelles sont déclenchées par des Batracnés en colère selon les recherches du stagiaire ? Et bien il se peut que se soit vrai car ils n'aiment pas vraiment le froid, et surtout pas le froid où il peut potentiellement se mettre à geler. Comme je l'ai déjà dit, il est constamment recouvert d'une matière un peu visqueuse majoritairement composée d'eau ; ce qui signifie très logiquement que cette matière peut geler. Et comme il la produit nécessairement, sans pouvoir l'arrêter, et bien Batracné peut tout simplement se mettre à geler. Heureusement que, contrairement aux Tritonde, ils ont des pattes qui leur permet de se déplacer, ce qui pourrait, peut-être, leur assurer un minimum de survie. Mais j'espère que, rien qu'avec ces informations, vous pourrez avoir la présence d'esprit de ne jamais les laisser s'aventurer dans ce genre d'endroits.
Milieu urbain : Les Batracnés ne viennent pas vivre naturellement en ville. Généralement, ceux que l'on voit dans ce genre de milieu sont des pokémons abandonnés après leur évolution par leurs dresseurs. Comme cela a été dit dans la description de sa pré-évolution, les propriétaires de Tritonde les trouvent mignons, mais ne sont pas spécialement au courant de l'apparence de ce qui vient après. Et comme, il ne faut pas se mentir, les Batracnés sont assez disgracieux, certaines personnes qui ne s'attachent qu'à l'esthétique n'ont absolument aucun scrupules à les laisser tomber au lendemain de leur évolution. Alors que ce n'est pas parce qu'ils évoluent qu'ils auront un plus mauvais caractère que lorsqu'ils étaient Tritonde. Au contraire, ils pourront même gagner un instinct protecteur qui les rendra encore plus adorables.
Les Batracnés abandonnés finissent généralement dans les égouts et posent les même problèmes que les Tritonde. Ainsi on s'en débarrasse rapidement et ils doivent se réadapter comme ils peuvent à la vie sauvage.
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![[AD] Les études - 5ème génération 537](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/537.png) | Crapustule
- type eau/sol, pokémon vibration
taille moyenne : 1,5 m / poids moyen : 62,0 kg
Crapustule est un pokémon de type eau et sol que l'on qualifie de pokémon vibration. Ce qualificatif lui vient de capacités particulières qu'ont les pustules disséminées sur son corps. En effet, cette créature est capable d'augmenter sa puissance lorsqu'il les fait vibrer en coordination avec ses mouvements et ses intentions. Par exemple s'il donne un coup de poing tout en faisant vibrer la pustule sur son bras, sa puissance sera autant décuplée que si un pokémon ami avait utilisé coud'main pour le soutenir. Crapustule est souvent fui par les humains de par son apparence repoussante et le fait que, qui dit pustules, dit trucs un peu dégueulasses dedans qui rapproche plus ce pokémon du Miasmax que du Milobellus. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Contrairement à leurs pré-évolutions, les Crapustules sont des pokémons plus indépendant et qui n'ont pas nécessairement besoin de l'esprit de groupe pour vivre. Certains décident de rester avec les Tritonde et Batracné, d'autres non et partent vivre en solitaire. Ce qui permet cette mouvance nouvelle à ces pokemons est le développement de leurs pattes de derrière ainsi qu'une moindre dépendance à l'élément aquatique. Bien sûr ils aimeront toujours les lieux bien humides et boueux, mais n'en auront pas besoin au même point que leurs pré-évolutions. Les Crapustule provoquent de gros dégats en plaine car ils ont la capacité, en remuant leurs pustules, de provoquer des ondes sysmiques. Bien sûr ils ne les utilisent pas gratuitement, mais peu importe la situation, faire trembler la terre n'est jamais bien bon. C'est pour cette raison que, peu importe le milieu, mais tout de même surtout en plaine car c'est l'endroit où il est le plus facile de les trouver, des organisations controversées se chargent de réguler les populations de Crapustule en les chassant. Cependant c'est aussi une excuse pour le braconnage car la substance trouvée dans leurs pustules permettrait de créer certaines drogues paralysantes, mais rien n'a encore été confirmé.
Milieu forestier : Les Crapustule sont beaucoup moins attirés par la forêt que leurs pré-évolutions. Ils aiment toujours les régions marécageuses, mais ils sont devenus trop gros pour se poser tranquillement dans la plupart des flaques de boues que l'on trouve en forêt. La plupart ne sont pour eux que des bains de pieds. En forêt, les Crapustule ont donc plus tendance à se tourner vers les étangs. Les autres quittent la forêt pour se rendre dans d'autre lieux, même s'ils sont dépourvus d'eau. Ils ne sont, par la même occasion, pas spécialement appréciés en forêt de par leurs capacité à créer de petits séïsmes qui font trembler les habitats de toutes les créatures alentours. Beaucoup de pokémons vivent dans des terriers et voient leurs foyers s'effondrer juste parce que Crapustule a secoué ses pustules, ce qui est assez désagréable. Les arbres en souffrent aussi, bref, avec des particularités comme les leurs, la forêt n'est plus vraiment un environnement qui peut leur convenir et ils préfèrent se tourner vers d'autres lieux plus neutres.
Milieu aquatique : De part l'importance que prend désormais son type sol, Crapustule nécessite encore moins l'élément aquatique que ses pré-évolutions. Cependant, cela ne l'empêche pas de pouvoir vivre dans l'eau et d'apprécier y être si c'est dans le caractère de tel pokémon particulier. Ils ne sont pas spécialement véloces dans l'eau, mais il est difficile de les y attaquer car d'une part ils sont presque toujours aussi caoutchouteux que Batracne, ce qui les rend difficiles à "déchirer" ; d'une autre part car ils sont devenus assez résistants et dotés d'une certaine force physique qui leur permet de dissuader asses facilement leurs adversaires de venir leur causer souci. Je n'en ai pas encore parlé spécifiquement, mais les Crapustules se nourrissent de tout types de créatures faites de chair qu'ils paralysent à l'aide des substances contenues dans leurs pustules pour ensuite leur tordre le cou et les manger. Cependant dans l'eau cette technique peut poser quelques problème car le poison ne va pas partir en ligne droite ; il va se diffuser et toucher toutes créatures alentours tout en perdant en efficacité. Ceci à la grande joie des créatures aquatiques moins véloces qui peuvent alors plus facilement capturer des proies et se nourrir.
Milieu désertique : Crapustule n'ayant quasiment plus besoin d'eau, il n'a aucun problème pour vivre dans le désert. Ses bras puissants et l'acide qu'il peut produire lui permettent de se nourrir même à travers les carapaces des proies potentielles qu'il peut trouver dans la région. Les seules créatures qu'il ressent le besoin de fuir sont les Maracachi. Les Crapustule sortent surtout la nuit car la chaleur du désert en journée reste un peu trop intense pour eux et qu'ils risquent de se déshydrater. La journée, ils restent généralement à l'ombre de certaines structures que l'on peut trouver dans le désert comme le chateau enfoui ; et s'ils n'en trouvent pas ils se creusent un trou pour chercher de la fraicheur. Ici, leur capacité à provoquer des tremblement de terre est pratique dans ces lieux car cela permet aux pokémon de type sol de marquer leur territoire. Bien sûr il peut y avoir des conflits et, généralement, les Crapustule se retrouvent avant de grandes portions de territoire étant considéré comme le leur car leurs capacités de type eau leur permet de faire face à une grande variété d'adversaires dans ce milieu.
Milieu montagneux : Les Crapustule peuvent bien plus aisément vivre en montagne que leurs pré-évolution car ils n'ont plus besoin d'eau et ne chercheront donc pas forcément les petits cours d'eau ou l'humidité des grottes. Cependant ils n'y sont pas spécialement bien accueillis par la faune locale. En effet, leur capacité à provoquer des petits séïsmes dès qu'ils sont contrarié n'est pas très bonne pour l'environnement ; provoquant des éboulements ou de petites fissures qui perturbent la vie sauvage et la nature en général. Par conséquent il est très rare d'en trouver dans ces milieux parce qu'ils se font chasser, mais aussi parce qu'ils ont conscience que ce n'est pas un lieu où ils peuvent être en bonne harmonie avec leur environnement. Les pokémons ont tendance à sentir ce genre de choses et savoir quand il leur faut déménager. Les Crapustule que vous trouverez en montagne seront donc la plupart du temps des pokémons de passage qui ont besoin de traverser le lieu pour se rendre là où ils veulent aller.
Milieu neigeux : Crapustule n'a pas grand chose contre les températures basse, mais quand il se met à geler c'est un peu trop pour lui. Comme c'est un pokémon particulièrement pataud, il aura du mal à se déplacer dans la neige et s'épuisera rapidement dans ce milieu. Le liquide qui est à l'intérieur de ses pustules a pour propriété de pouvoir geler rapidement, surtout car il n'est recouvert que par une fine couche de peau qui n'est pas suffisante pour apporter la chaleur du corps au liquide pour lui permettre de résister à de basses températures, ce qui est assez handicapant pour ce pokémon puisque c'est grace à cet atout qu'il chasse et peut se nourrir. On peut donc considérer que, la plupart du temps, il ne pourra pas trouver de nourriture et qu'il est donc presque suicidaire pour lui de décider de s'installer dans un tel milieu. Aussi, car on en revient toujours à cette capacité à provoquer des perturbations sismiques, les Crapustule peuvent être à l'origine de nombreuses avalanches rien qu'en agitant par réflèxe, comme cela leur arrive parfois, leurs pustules. En clair, ce milieu n'est pas du tout optimal pour la vie de Crapustule.
Milieu urbain : Les Crapustule que l'on trouve en ville sont tous domestiqués. Comme cela a été vu dans la description de Batracne, ceux qui sont abandonnés et vivent dans les égouts sont évacués par les autorités en raison des problèmes qu'il peuvent poser. Aussi quand ces Batracné évoluent, ils se trouvent 90% du temps en dehors de la ville. Crapustule n'est pas un pokémon qu'il est facile à avoir en maison ou appartement, pour les même raisons qu'il peut poser problème dans la nature. La solution la plus simple est de le laisser dans sa pokéball et ne le sortir qu'occasionnellement, mais ce n'est pas très très sympa pour votre pokémon. Une autre solution que j'ai découverte quand je cherchais comment gérer ma propre Crapustule est des espèces de petites calles en sorte de mousse et autres petits chaussons à mettre entre et autour des pustules afin qu'ils ne puissent plus créer d'ondes sismiques avec. Ils peuvent mettre quelques jours à s'habituer, mais ça en vaut la peine pour leur confort au quotidien.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 597](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/597.png) | Grindur - type plante/acier, pokémon graine épine
taille moyenne : 0,6 m / poids moyen : 10,8 kg
Grindur est un pokémon connu comme pokémon graine épine. Ce nom fait référence à sa physionomie qui ressemble à une graine épineuse, mais aussi à la manière dont il est fait. En effet, la partie en acier de son corps peut correspondre à ce qu'il y a autour de la graine avant qu'elle germe, en tant que protection, tandis que son corps végétal représente la future plante en puissance. Ces pokémons ne sont pas très actifs et passent la majeure partie de leur temps à attendre sans rien faire pour chasser. De fait, ils sont assez difficile à voir à l'état sauvage, car particulièrement discrets.- suite de la description ?:
Milieu herbeux : Cela n'est pas là le lieux où on est le plus susceptible de rencontrer ce pokémon, mais il arrive que certain se retrouvent à vivre ici. Le terrain ne leur est pas spécialement hostile et ils s'y retrouvent un peu de par leur type plante. Comme les pokémons oiseaux, ils vivent dans les quelques arbres qui s'y trouvent et auxquels ils grimpent en plantant leurs épines dans les troncs et roulant tout le long. C'est d'ailleurs son seul moyen de déplacement, de rouler, car il est dépourvu de pattes. Pour se nourrir, les Grindur chassent les pokémons se type aquatique ou qui ont quelque chose à voir avec l'eau, donc même les pokémons plantes, afin d'en absorber, au moyen de ses épines, l'eau dont il a besoin pour vivre. Les minéraux il peut les trouver facilement au sol. Cependant, en ce qui concerne cette créature, le mot « chasse » est un bien grand mot. Sa technique consiste plutôt à se laisser tomber comme une pierre sur sa proie depuis la branche d'où il guette et planter immédiatement ses épines à l'intérieur de cette dernière. Il ne la tue pas, mais la laisse dans un état assez lamentable.
Un des gros avantages que possède cette créature dans ce genre de milieux, c'est qu'il n'a pas de prédateurs ni d'adversaire potentiel qui viendrait lui chercher des noises. Personne ne se nourrit de Grindur et la carapace en acier protégeant leur corps végétal est bien trop résistante pour que les dents du plus vigoureux Rattatac puissent la transpercer. On peut donc dire qu'il mène dans ce genre de milieux une vie relativement tranquille.
Milieu forestier : Pour ce lieu, je risque de me répéter par rapport au précédent. Ils utilisent la même technique de chasse, le long des arbres, et trouvent encore des proies plus abondantes. Quasiment tous les pokémons qui vivent en forêt possèdent ce dont il a besoin pour se nourrir. Pour cette raison, les quelques Grindur qui vivent en forêt ont tendance à être plus volumineux et bien portant que les autres. On pourrait même dire que, puisqu'ils passent leur temps à se gaver, ils ont tendance à devenir bien vite en surpoids. Certes, il est très étrange de penser à ce genre de pokémon comme étant en surpoids, mais c'est possible. Seulement, au lieu de se traduire par de la graisse, cela se témoigne par une carapace plus lourde et des épines un peu plus molles, ce qui l'empêche de pouvoir se mouvoir correctement.
Un risque que courent cependant ces pokémons est celui de s'embourber. Et s'ils s'embourbent, c'est un peu la fin de tout. Ils n'ont pas de prises pour s'accrocher avec leurs épines et rouler loin de cette situation embarrassante. Tout ce qu'ils risquent de faire c'est soulever de la terre humide et en projeter aux alentours avant de s'enfoncer encore plus qu'avant.
Milieu aquatique : Grindur ne sait pas nager, et je pense que je ne vous apprend rien en vous donnant cette information. Il n'a aucun membre qui lui permettrait de lutter contre le courant ou encore se maintenir à la surface de l'eau. Et bien sûr, il ne flotte pas. Conclusion, s'il a le malheur de tomber dans l'eau, il tombe comme une pierre. C'est d'ailleurs là la plus grande cause de mortalité chez ces pokémons, mais nous y reviendrons lorsque nous parlerons de leur vie en montagne. Sachez également que, même si vous possédez une plate-forme sur laquelle il peut s'appuyer pour se battre, il ne sera pas d'une très grande utilité pour les combats contre les créatures aquatiques du coin. Ceci car, évidemment, il ne peut pas aller rouler sur l'eau pour les attaquer en direct et que, tout ce qu'il pourra faire, c'est projeter ses pics sur son adversaire ; et si cela peut être efficace contre certains pokémons les plus faible, cela ne sera d'aucune utilité contre, par exemple, un Tentacruel. Ce dernier risque de vous regarder en rigolant et de vous envoyez valser avec un bon coup de tentacule.
Milieu désertique : Les Grindur ne sont pas des créatures très enclines à vivre dans le désert car s'ils peuvent y trouver de la nourriture sous forme de minéraux, ils ne pourront pas vraiment se fournir en ce qui concerne l'eau nécessaire à leur corps de par leur type plante. Je crois que je ne l'ai pas encore précisé, mais ce type est leur cœur même, ce qu'il y a à l'intérieur de la carapace. Alors si, peut-être, les plus résistants pourront survivre avec une carapace défectueuses, ils ne peuvent rien faire sans ce qu'il y a à l'intérieur qui est, on pourrait le dire, la base de ce pokémon. Ainsi les Grindur ne peuvent pas vivre dans le désert. Ils ne pourront y être trouvés que s'ils accompagnent leur dresseur.
Dans ce cas là, ils peuvent survivre et même s'avérer très utiles en combat contre les créatures de type sol qui pullulent dans ce genre de lieux. Cependant il faudra prendre garde à ne pas les laisser trop longtemps en combat et les hydrater régulièrement, sinon ils risquent de se retrouver dans un sale état. Je vous conseille également de faire attention aux Darumarond et autres créatures de type feu qui existent dans ces lieux à Unys, elles pourraient s'avérer dévastatrices pour votre compagnon.
Milieu montagneux : C'est dans ces lieux que l'on trouve le plus de Grindur, on pourrait même dire qu'il s'agit là de leur habitat naturel. Ils vivent parfois aux alentours des grottes, mais le plus souvent c'est à l'intérieur qu'on les trouve. Cependant ils peuvent être difficiles à repérer car ce n'est pas au sol qu'il faut les chercher, mais au plafond. En effet, ils répètent ici la même technique de chasse qu'en plaine ou en forêt, sauf qu'au lieu de s'accrocher aux arbres, ils enfoncent leurs épines dans la roche pour se suspendre juste aux dessus de vos têtes. Dans la pénombre, ils sont difficilement repérables. On pourrait penser que, puisque c'est leur milieu naturel, c'est là qu'ils courent le moins de risque, sinon ils auraient déménagé, mais non. C'est peut-être le seul lieu où ils rencontrent de véritables prédateurs : les Anchwatt.
Les pokémons de type aquatique sont ceux dont raffolent le plus les Grindur. Pour cette raison, ils ont la dangereuse manie d'aller chasser au plus près des points d'eau dans les grottes. Cependant, tomber, ce n'est pas forcément très précis. De plus, ils suffit qu'ils n'arrivent pas à se planter correctement dans leur cible ou que cette dernière gesticule assez pour les faire tomber, et il y a de forte chances pour qu'ils se retrouvent projetés dans l'eau. Bien sûr, s'il n'y avait que ça, ils pourraient très souvent s'en sortir, car il leur suffirait de planter leurs épines dans la pierre la plus proche pour ensuite rouler jusqu'à sortir de l'eau, auquel cas il leur suffirait d'avoir les poumons bien accrochés. Cependant dans ces eaux vivent également des Anchwatt. Ces derniers, dès qu'ils voient Grindur tomber dans l'eau, se ruent sur lui afin de manger ses épines et ensuite aller mordre jusqu'à l'intérieur de la carapace par les espaces qui auront été dégagés, cherchant les parties les plus tendres. Ayant perdu ses épines, Grindur n'a plus de moyen de se défendre. Et quand bien même il les aurait projetées avant, cela n'aurait fait que créer un boulevard pour que les prédateurs s'engouffrent. Ils ne reste au final de ces pokémons que leur carapace qui reste au fond de l'eau jusqu'à ce qu'on vienne la trouver.
Milieu neigeux : Grindur est un pokémon de type plante. Les plantes n'aiment pas le gel. Fin de l'exposé. Ou plutôt non, il est bon de détailler que s'il chercher à rouler dans une neige trop haute, Grindur a de fortes chances de se noyer. En effet, il devra s'accrocher à la terre, la neige étant trop molle, donc il devra être complètement enfoncé dedans. Donc il aura de la neige partout dans ses voies respiratoires qui va fondre et ensuite risque de le ne noyer. Il pourra survivre en essayant de monter dans les arbres, mais comme il fait trop froid, des épines risquent de finir par geler et se casser au moindre mouvement, laissant le froid s'infiltrer à l'intérieur de la carapace avant qu'il n'ait le temps d'en créer de nouvelles. Donc, si vous possédez un Grindur, ayez la précaution de ne pas lui demander de se manifester dans ce genre de lieux.
Milieu urbain : Grindur n'est pas très prisé comme animal de compagnie, mais il peut arriver d'en trouver à l'état sauvage. Souvent, se sont des pokémons un peu désorientés qui ne savent pas trop où aller et errent donc en laissant de belles traces d'épines dans les bâtiments en béton. Il peuvent aussi être trouvés dans les arbres des parcs, à essayer de se nourrir sur les pokémons de compagnie des gens. Pour ces deux raisons, comme il est facile de s'en douter, ils ne sont pas très appréciés par les citadins. Entre l'honnête citoyen qui retrouvent sa nouvelle façade style pointillisme art moderne et l'enfant qui revient du parc accompagné de son Gobou à moitié mort suite à une attaque, il y a de quoi râler. Pour cette raison, les rangers sont souvent sollicités pour les chasser des villes. Se sont souvent des cas isolés, alors il est aisés de les ramener dans la nature, généralement dans une grotte. Pour les villes qui se situent près des montagnes, et donc des lieux où ils pullulent, les infirmière Joëlle, les Leveinard et les Nanmeouïe suivent des formations spéciales sur la manière de soigner un pokémon victime d'un Grindur.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération Sans_t18](https://i.servimg.com/u/f38/17/88/12/69/sans_t18.jpg) ![[AD] Les études - 5ème génération 531](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/531.png) | Nanméouïe - type normal, pokémon audition
taille moyenne : 1,1 m / poids moyen : 31,0 kg
Nanméouïe est une pokémon de type normal qualifié de pokémon audition. Il tire ce nom de ses capacités auditives exceptionnelles qui lui permettent d'aller jusqu'à connaître l'état de santé des gens ou savoir quand un œuf va éclore. Ces caractéristiques font que c'est un pokémon souvent domestiqué pour servir en centre pokémon, au même titre que les Leveinards, ou dans n'importe quelle structure prétendant à l'accueil de plus d'une dizaine de personnes afin de pouvoir agir en cas d'incident. Dernièrement, certaines personnes voulaient faire passer des lois obligeant à avoir un Nanmeouïe dans chaque entreprise. Il est peut-être moins efficace que Leveinard, mais il est bien moins rare et donc plus facile à se procurer.- suite de la description ?:
Milieu herbeux : Les Nanmeouïe sont des pokémons capable de s'adapter à peu prêt à tous les types de milieux et qui ne souffrent pas des prédateurs, même s'ils décident de rester seuls dans leur vie de tous les jours. Les plaines sont pour eux des espaces de déambulation idéaux. Car déambuler, c'est ce qu'ils font majoritairement de leur vie. La plupart du temps conscient de leurs capacités rares pour le soin, ils ont tendance à se sentir investis de la responsabilité de soigner, ce qui les pousse à toujours voyager à la recherche de pokémons en difficultés à qui ils pourraient apporter leur aide. Les seuls Nanméouïe fixés quelque part sont ceux qui auront décider de s'installer dans une communauté de pokémons en particuliers afin d'être leur soigneur officiel. La plaine voyant toujours circuler un grand nombre de pokémons à soigner, ou même d'être humains, c'est ici que l'on trouve la plus grande concentration de ces pokémons.
Ces pokémons sont des herbivores, se nourrissant de baies et d'autres plantes qui leur sont comestibles. On pourrait penser qu'ils seraient une proie facile pour les pokémons carnivores, et effectivement ils le sont, mais ceux-ci évitent de les attaquer s'ils ne sont pas réellement affamés. Comme les Nanméouïe ont conscience de leurs capacités de soin, les prédateurs ont la même conscience de l'aide que peuvent leur apporter ces pokémons. Alors même s'ils restent complètement à découvert en plaine, ces créatures roses ne risquent quasiment rien.
Milieu forestier :Les Nanméouïe sont tout à fait capables de s'adapter à ce genre d'environnement. Ils ne craignent ni l'humidité, ni les pokémons poisons prédateurs qui, ici aussi, les laissent tranquilles. Ils sont même accueillis dans les nids de ces créatures pour vérifier la santé des plus jeunes et des œufs. Même les plus hargneux des Dardargnan laissent le champ libre à ces soigneurs. De plus ils ne peuvent pas souffrir du manque de nourriture puisque, par définition, les baies poussent dans les arbres et qu'il s'agit de ce que l'on trouve le plus en forêt. S'ils ne savent pas grimper aux arbres par eux-même, ils demandent aux pokémons qui vivent là d'aller leur en chercher en échange de leurs services. La vie des Nanméouïe en forêt diffère peu de celle en plaine, si ce n'est qu'ils ont plus tendance à s'inscrire dans une démarche communautaire que de rester en constante déambulation à la recherche de pokémons lambda à aider.
Milieu aquatique : A moins que je sois très mal informé, les Nanméouïe ne possèdent pas encore de branchies, ce qui fait que l'eau est un des milieux auxquels ils ne s'adaptent pas. Ils n'ont aucun problème à vivre ou être au bord de l'eau, mais ils ne peuvent pas s'enfoncer dans les profondeurs pour aller aider les pokémons marins. Ils ne savent d'ailleurs pas nager, trop patauds pour ça. Afin de signaler leur présence aux pokémons qui ne sont pas loin de la surface de l'eau, ils lancent contre la surface leur attaque vibra-soin qui s'étend à partir de là et montre aux créatures proches qu'un soigneur est par ici. La portée augmente en fonction du niveau du pokémon, mais comme elle n'est pas lancée directement sur un patient, elle n'a pas réellement d'effet de soin. Nanméouïe ne peut pas prétendre à du soin de masse de cette manière. Au mieux, il chassera quelques fourmis des nageoires engourdies.
Chez les humains, les Nanméouïe sont habitués à la vie en bateau, étant très souvent emmenés pour servir à vérifier la santé des marins sur les longs trajets. Le bruit des vagues est d'ailleurs très agréables à ses oreilles hypersensibles ; c'est un son très souvent régulier et qui ne contient aucune violence. A ce niveau là, on peut considérer que c'est sur un bateau en mer que ces pokémons se sentent le mieux.
Milieu désertique : C'est ici l'autre milieu auquel ces pokémons ne peuvent pas vraiment s'adapter ; tout simplement parce qu'ils n'y trouvent pas de nourriture. La verdure et les baies ne sont pas foules dans ce genre d'endroit. La plupart du temps, les Nanméouïe qui, au cours de leurs déambulations, ont la témérité de s'aventurer dans le désert et se perdent sont très souvent retrouvés morts de faim. Sinon, ils arrivent que certains décident de s'installer autour d'oasis, ajoutant à la concentration de pokémons sauvage autour de ces lieux, même si ces derniers n'ont pas spécialement besoin d'eau. S'il arrive à s'installer dans ce genre d'endroit, Nanméouïe trouvera généralement sa vie très gratifiante car venant apporter de l'aide à des pokémons vivant dans un milieu qu'il juge pour lui-même particulièrement hostile.
Comme beaucoup de pokémons du désert ne sont pas vraiment fait de chaire et de sang, plutôt de pierre et d'argile, les carnivores de ce lieu se trouvent plus souvent poussés à bout qu'ailleurs. Ici, donc, le Nanméouïe risquera plus d'être pris pour cible et de se faire dévorer, la faim primant sur le reste.
Milieu montagneux : Contrairement à ce que l'on pourrait penser à voyant leurs corps un peu patauds, les Nanméouïe sont très endurants et n'auront donc aucun mal à supporter sur de longues distances les chemins de montagnes même les plus escarpés. Dans les hauteurs, c'est là qu'ils peuvent le mieux entendre le vent qui est pour eux, au même titre que les vagues, un son très agréable. C'est en écoutant le vent qu'ils repéreront les grands rapaces qui ont besoin de son aide. Si une de ces créature est blessée, le mouvement de ses ailes ne pourra être le même que d'habitude et ne produira pas le même son. Pour repérer les autres pokémons, il placera ses oreilles contre le sol et pourra ainsi entendre les vibrations des pas.
Cependant en montagne on trouve aussi des grottes, seul endroit où Nanméouïe ne s'aventurera jamais plus de trois pas. Les grottes, c'est les lieux où on trouve des Nosférapti par centaines, ces créatures qui produisent d'ignobles son continuellement pour se diriger puisqu'ils sont aveugles. Ces bruits agissent comme si des perceuses venaient perforer la tête du soigneur et il ne peut les supporter plus de quelques minutes. C'est à peine s'il peut s'approcher d'un endroit pareil.
Milieu neigeux : Nanméouïe est un pokémon qui possède une bonne quantité de graisse compensant son absence de fourrure pour le protéger du froid. Bien sûr, à mesure qu'ils déambulera dans les zones enneigés, il puisera dans ses réserves et sera contraint de ne pas rester plus d'une semaine là au milieu sans risquer de se tuer. Car de la nourriture, il y en a, mais pas assez pour entretenir sa carrure habituelle. C'est pour cette raison qu'ils ne passent que peu dans ce genre de milieux, ou alors ils y restent en puisant dans les réserves de nourriture des pokémons qu'ils soignent. Mais, forcément, s'ils font ça trop longtemps, les patients commencent à devenir hostiles à la présence de ce pokémon qui passe son temps à leur soutirer de la nourriture.
Ici aussi, un peu comme dans le désert, il risque de devenir la cible de quelques carnivores, même si ce n'est pas aussi fréquent. Ceci car il suffit aux carnivores de suivre Nanméouïe jusque près des cachettes des autres pokémons comestibles et de faire ensuite une descente tout crocs dehors.
Milieu urbain :Comme cela a été dit en début de description, les Nanméouïe sont très souvent domestiqués pour leur capacité de détection des maladies et de soin. Ils vont même jusqu'à s'en servir en complément des échographies pour écouter l'enfant dans le ventre de sa mère et savoir si, oui ou non, il est en bonne santé. On les trouve aussi au sein d'organisations comme les pompiers afin d'établir un ordre de traitement des victimes dans le cas où elles sont nombreuses puisque le mal n'est pas forcément visible. On a pensé une fois à s'en servir dans les forces de l'ordre, pour détecter plus rapidement de quel mal souffraient certaines victimes, mais on a découvert que ses capacités ne fonctionnaient que sur les vivants.
Etant des pokémons moins rares que les Leveinard, il est possible pour chaque foyer de posséder son Nanméouïe afin de s'épargner des visites chez le médecin en cas de petit malaise qui partirait avec seulement une bonne nuit de sommeil. Cela embête beaucoup les docteurs qui jugent perdre une bonne quantité de clientèle à cause de la généralisation de ces créatures dans les chaumières. Ils essayent de forcer une taxe sur la possession de Nanméouïe à la maison, mais puisque taxer la possession d'un pokémon serait ridicule, ils sont loin d'avoir gain de cause.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 582](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/582.png) | Sorbébé - type glace, pokémon poudreuse
taille moyenne : 0,4 m / poids moyen : 5,7 kg
Sorbébé est un pokémon de type glace qualifié de pokémon poudreuse. A mon avis cette appellation aurait mieux été à une autre créature car la première chose qui vient à l'esprit quand on le voit ce n'est pas l'urgence de savoir ce quelle sorte de neige il est constitué, mais bien sa ressemblance avec une glace. C'est d'ailleurs de là qu'il tire son nom, il ressemble à un sorbet. C'est un pokémon plutôt mignon, mais qui n'est pas spécialement apprécié comme pokémon de compagnie de par son type qui fait qu'on ne peut pas vraiment le noyer de câlins. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Ces pokémons ne se cantonnent pas eu lieu froids pour vivre, même s'ils les préfèrent. Il n'est donc pas exceptionnel d'en croiser dans ce genre de milieu et sous le soleil. Ils ont la capacité de réguler eux-même leur température corporelle qu'ils maintiennent en permanence en dessous de -50°C. Comme le souffle qu'ils expirent est également à cette température, cela leur permet de créer tout autour d'eux une sorte d'enveloppe glacée ou du moins bien refroidie dont ils profitent pour être à l'aise. Si vous voyez un Sorbébé qui respire plus fort et vite que la normale, ce n'est pas qu'il est épuisé, mais simplement qu'il trouve qu'il fait un peu trop chaud autour de lui à son goût. De toute manière, pour qu'il commence à être gêné par la chaleur, il faut que se soit la canicule alors il y a peu de risques. Les Sorbébé se nourrissent de l'humidité ambiante et sont parfois gourmands de quelques baies qu'ils gèlent avant de les mordiller juste pour le goût. Ils n'ont donc aucun mal à trouver de la nourriture dans ce genre de milieu. La taille de l'espèce de pâté de sorbet qu'ils ont au sommet du crâne correspond d'ailleurs à leur alimentation. S'il commence à être trop gros pour lui permettre de garder l'équilibre, c'est qu'il mange trop.
Milieu forestier : Le mode de vie de ces créatures dans ce milieu ne diffère pas vraiment de celui qu'ils adoptent en général. La seule différence c'est que les autres créatures leurs seront peut-être un peu plus hostiles. Les pokémons plantes qui peuplent les forêt risquent de ne pas voir d'un très bon œil l'installation chez eux d'une créature de type glace qui peut potentiellement leur faire du mal en éternuant à côté d'eux. Du coup, généralement, les Sorbébé ne restent pas très longtemps là au milieu, préférant des endroits où on ne leur est pas hostiles. Ce ne sont encore que de jeunes pokémons très jovials en général alors il est dur pour eux de se faire jeter par d'autres espèces.
Milieu aquatique : Sorbébé se nourrit de l'humidité ambiante et il appréciera donc fortement de se retrouver aux côtés de mares, lacs, mers, rivières... etc etc. Il préférera toujours la neige, bien sûr, mais faute d'en trouver il aura tendance à s'installer autour de ces espaces aquatiques. Cependant il n'y pénétrera jamais tout simplement parce qu'il n'a rien à y faire. Il pourrait, s'il en avait envie, mais il n'y aura pas d'intérêt. Il risque juste de se diluer un peu et perdre un peu de poids du sorbet qu'il a au sommet du crâne, rien de plus. Il ne coulera pas car s'il est capable de léviter pour se déplacer, il est tout aussi capable de s'extirper de l'eau de la même manière. Et même s'il baisse considérablement la température tout autour de lui, il n'est pas encore assez puissant pour pouvoir geler ce qu'il y a autour de lui par inadvertance. Il ne se retrouvera donc pas malencontreusement coincé sous les eaux. Les créatures sauvages aquatiques ne feront pas attention à Sorbébé car de l'eau, il en ont déjà à revendre ; il n'y a donc aucun intérêt à venir en croquer un morceau.
Milieu désertique : Alors oui, nous avons dit dans la description d'un précédent milieu que Sorbébé pouvait se balader sous le soleil sans problème. Cependant, si le dit soleil commence à produire une température supérieure à 40°C, ça risque de poser des problèmes. Il aura beau refroidir autour de lui tout ce qu'il veut, le petit sorbet ne pourra pas ne pas souffrir de la chaleur. Il sentira des gouttes de lui-même couler le long de son visage et se sentira fondre petit à petit s'il y reste trop longtemps. Et c'est ainsi que les Sorbébé peuvent mourir : en fondant. Car leur visage et leur cerveau et protégé par l'épaisse couche de glace qui les constitue ; cependant si elle commence à fondre, ils n'auront plus rien pour se protéger et le tout finira par tomber, être détaché du reste de son corps. Il ne restera de votre pokémon que la partie de glace plus dure qui en constitue la base et encore, s'il fait vraiment trop chaud cette dernière sera attaquée également. Il risquera aussi de se faire agresser par certaines créatures sauvages en recherche d'un peu de fraîcheur en pleine journée.
Milieu montagneux : Il n'est pas rare que des Sorbébé vivent à l'état sauvage en montagne. La température y est idéal lorsqu'ils atteignent les hauteurs et ils ne sont pas menacés par les pokémons sauvages qui ne manquent pas d'eau et n'en ont pas grand chose à faire des températures extrêmement basses qu'il peut produire autour de lui. Les petites glaces se regrouperont pour vivre autour des ruisseaux et autres endroits où il y a de l'eau. Ils pourront aussi aller vivre dans les grottes, mais les Nosférapti n'apprécient pas vraiment leur compagnie alors ils auront la même réaction que face aux pokémons plantes dans la forêt : ils ne resteront pas dans un lieu où on ne veut pas d'eux. A part cela il n'y a rien de particulier à noter sur le mode de vie des Sorbébé en montagne.
Milieu neigeux : Cela ne sera une surprise pour personne, mais c'est dans ce genre de milieu que Sorbébé se sent le mieux. C'est un pokémon de type glace alors il aime le froid et s'y sent comme chez lui. Il n'aura pas d'effort à faire au niveau de sa respiration pour créer une température qui lui convient tout autour de lui et pourra donc vivre en ayant à se soucier d'un élément en moins. Les Sorbébé dans ce genre de milieu auront tendance à être plus gros et plus robustes que les autres car ils évoluent dans un milieu qui leur convient parfaitement. Ils ne risquent d'ailleurs rien dans ces lieux car les pokémons qui vivent ici ont déjà assez de neige et de glace à revendre pour vouloir s'intéresser à ces petites boules de glace. Ils peuvent donc passer tout leur temps à jouer entre eux. C'est ici aussi que vous pourrez trouver les Sorbébé avec les meilleurs caractères si vous recherchez un pokémon amical car ils auront été habitués à vivre avec beaucoup d'autres pokémons sans aucune hostilité entre eux. Enfin il peut y en avoir selon les caractères de ceux à qui ils se confrontent, mais ils n'iront jamais jusqu'à quitter l'endroit où ils vivent à cause d'eux comme avec les pokémons plantes dans la forêt ou les Nosférapti dans les grottes.
Milieu urbain : Les Sorbébé ne vivent pas en ville et il est très rare d'en croiser. Si vous en voyez un, se sera certainement en compagnie de leur dresseur car il n'a aucun intérêt à venir vivre en ville par lui-même. Il n'est pas non plus apprécié comme pokémon de compagnie car il est bien trop froid pour cela. Il est mignon, mais l'atmosphère qu'il crée tout autour de lui fait qu'il vous fera exploser la facture de chauffage si vous voulez être bien chez vous. Ils sont cependant appréciés et parfois vus dans les rayons surgelés des supermarchés où ils aident à réguler la température et servent de sympathiques distractions aux enfants pendant que leurs parents sont en train d'observer les différentes produits.
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| ![[AD] Les études - 5ème génération Sans_t11](https://i.servimg.com/u/f18/17/88/12/69/sans_t11.png) ![[AD] Les études - 5ème génération 587](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/587.png) | Emolga
- type électrique/vol, pokémon pteromys
taille moyenne : 0,4 m / poids moyen : 5,0 kg
Emolga est un pokémon de type électrique et vol que l'on appelle pokémon pteromys, mot en apparence mystérieux qui est simplement le nom scientifique de ce genre de pokémon et le permettant d'être distingués d'autres qui lui ressemblent comme Pachirisu qui est un autre type d'écureuil. Emolga est un pokémon particulièrement apprécié par la population unysienne qui aime l'avoir comme animal de compagnie sympathique et quasiment inoffensif ; surtout depuis qu'il est devenu le pokémon phare de la championne Inezia de Méanville. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Les Emolga s'adaptent tout à fait à ce genre d'environnement pour vivre. Ils y trouvent tout ce dont ils ont besoin pour se nourrir. Ces pokémons sont majoritairement végétariens et se nourrissent donc principalement de baies qu'ils peuvent trouver dans diverses arbres du coin. Il leur arrive aussi de prendre de la viande pour compléter leur alimentation, mais dans ce cas ils ne s'attaquent qu'à des créatures à la carrure de Lépidonille par exemple. Se sont des créatures très sociables entre elle et avec les autres espèces qui ne peuvent pas constituer une partie de leur nourriture. C'est pourquoi ces créatures préfèrent vivre en groupe, qu'il soit constitué d'autre Emolga ou qu'il mélange diverses pokémons, il ne sont pas regardant sur leur compagnie tant qu'ils peuvent les trouves sympathique. En plaine par exemple, il n'est pas rare de voir un Emolga s'associer avec un groupe de Rattata ou même de Médhyena. Le plus fréquent reste tout de même Zigzaton car ils ont à peu prêt le même type d'alimentation et ils peuvent aider leurs camarades en allant chercher les baies dans les arbres. Il ne sont pas trop pris pour gibier par les pokémons carnivores qui habitent les lieux car il n'y a pas grand chose à manger sur eux. Le seul cas où ils ont besoin de se méfier et donc ne s'associent plus avec les autres espèces, c'est en cas de disette où même eux constituent un bon repas potentiel.
Milieu forestier : La forêt est un lieu de prédilection pour ces petits écureuils volants qui aiment plus que tout vivre dans les hauteurs des arbres. Dans les forêt denses, il n'est pas rare d'en voir se jeter de branche en branche, planant pour arriver en douceur dans l'arbre d'en face. Prenez garde cependant car il leur arrive de mal calculer leur coup et s'ils voient qu'ils sont en train de trop descendre et qu'ils n'arriveront pas à attendre leur objectifs, ils n'hésiteront pas à relâcher l'électricité qu'ils accumulent dans leurs membranes pour reprendre de la hauteur grâce à son impulsion. Si vous être juste en dessous à ce moment précis, vous risquez d'avoir bobo et les cheveux quelque peu cramés. Au niveau de l'association avec les autres créatures, ils auront un peu de mal avec les insectes dans la forêt qui sont déjà très communautaires entre eux. Ils se tourneront donc plus volontiers vers les pokémons de type plante qui les accueilleront généralement bien. Ils n'auront aucun mal non plus avec la nourriture qu'ils trouveront à foison et seront encore moins sujets à être les repas des autres en forêt car il y a moins de carnivores. Ou du moins on ne les rencontre pas dans les hauteurs des arbres où ont l'habitude de se trouver les Emolga pour jouer.
Milieu aquatique : Les Emolga n'ont rien contre un bain et ils sont d'ailleurs soucieux de leur pelage, en particulier celui de leur quelque qu'ils veulent bien en forme d'éclair et toute fluffy. Ils prennent aussi bien garde à garder propres leurs membranes afin qu'elles leurs permettent de voler de manière optimale et en toute sécurité. Ils n'ont donc rien contre les petits bassins où ils ont pieds. Dans les étendues plus vaste et profondes, c'est une autre histoire. Tout ce qu'ils arriveront à faire c'est la planche et ils n'aimeront pas spécialement ça parce qu'il leur sera difficile de se redresser ou même de retrouver le bord dans cette position. S'ils sont sur un sol dur comme celui d'un bateau, ils pourront se battre, mais ne les laissez surtout pas se jeter à l'eau ; auquel cas ils deviendraient complètement impuissants et seraient condamnés à se tortiller dans tous les sens en attendant que quelqu'un vienne les aider. Aussi, dans la panique, ils risquent de relâcher leur électricité, ce qui risque de fort déplaire aux créatures aquatiques présentes dans le coin. Prudence donc.
Milieu montagneux : Comme ils apprécient tout particulièrement les hauteurs et pas que celles des arbres, il n'est pas rare de voir des Emolgas sauvages dans ces milieux. Plus particulièrement lorsque la végétation est abondante car c'est là qu'ils trouveront de la nourriture à foison. Ils vivront là de la même manière qu'en plaine ou en forêt, sauf qu'ils risquent de rencontrer moins de pokémons amicaux dans ces lieux. C'est le fief des créatures de type roche et ils ne sont pas connus pour faire dans les effusions amicales alors ils toléreront la présence des Emolga, mais ils n'iront pas faire spécialement copain copain avec ou avoir un esprit d'association avec ces écureuils. Cependant cela n'empêchera pas les rongeurs de venir auprès d'eux par simple curiosité par exemple. Car ces pokémons ont tendance à l'être, curieux, même si cela peut leur jouer des tours comme quand ils décident de s'engouffrer dans une grotte pleine de Nosférapti et qu'ils décident de relâcher leur électricité pour prendre de la hauteur.
Milieu désertique : Les Emolga ne viennent pas vivre dans ce genre de milieu pour la simple et bonne raison qu'ils n'y trouvent pas de nourriture. Il y fait trop chaud aussi, mais ils peuvent très bien le supporter car ils n'ont pas une fourrure trop abondante. Aussi, ils n'aiment pas la typographie de ces lieux qu'ils ne trouvent pas assez de hauteurs comme ils peuvent les avoir avec les arbres ou les rochers en montagne. Alors comme il est hors de question pour les groupes de Emolga de vivre dans ces lieux, il n'est même pas question de faire copain copain avec les habitants du désert. Le seul moment où une de ces créature viendra chercher de la sociabilité auprès des pokémons de ces lieux, c'est accompagné de son dresseur car c'est bien la seule condition à laquelle il viendra mettre les pattes là au milieu.
Milieu neigeux : Les Emolga ne peuvent pas vivre dans les milieux où c'est l'hiver perpétuel comme aux alentours de Frimapic, mais ils peuvent supporter les hivers de Flocombe. Ils ont pour habitude afin de passer l'hiver de stocker le plus de nourriture qu'ils peuvent dans un nid qu'ils se font cette fois individuellement et hiberner pendant toute la saison. Et lorsque le printemps revient, ils reviennent tous ensemble et reprennent leurs activités normales. Si, en tant que dresseur possédant un Emolga, vous vous retrouvez à faire une excursion un peu longue dans des lieux ayant ce genre de climat, il ne faudra pas vous étonner si votre pokémon commence à être de plus en plus somnolant à mesure que les jours avancent. C'est qu'il n'a pas l'habitude de rester actif dans ce genre de climat. Alors privilégiez d'autres pokémons pour le combat et pour les activités en général, laissez le se reposer dans sa pokéball.
Milieu urbain : Comme cela a été dit en tout début de description, les Emolga sont des pokémons apprécié par les hommes en tant qu'animal de compagnie. Ils sont tout aussi sociables avec les humains qui ne présentent pas de signe d'agressivité à leur égard qu'avec les autres pokémons, ce qui fait qu'ils s'adaptent très bien dans les foyers souhaitant les adopter. Ils s'entendent aussi bien avec les enfants car ils savent supporter les petites violences que peuvent parfois leur infliger les bambins en jouant avec eux sans riposter car ils sentent que ce n'est pas fait pour être méchant. Dans le cas contraire cependant ils n'hésiteront pas à envoyer une faible décharge électrique pour faire comprendre que cela ne leur plaît pas. Ils sont également populaires dans le monde de la mode depuis que Inézia, la championne électrique de Méanville et mannequin, a fait un défilé en duo avec l'un d'entre eux avant de l'annoncer comme son pokémon phare avec Zéblitz.
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 633](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/633.png) | Solochi
- type dragon/ténèbres, pokémon rude
taille moyenne : 0,8 m / poids moyen : 17,3 kg
Solochi est une pokémon de type dragon et ténèbres que l'on qualifie de pokémon rude. Ce justificatif se trouve dans ce que cette créature ne peut appréhender son environnement que par la morsure car ses yeux sont cachés pas une grosse touffe de poils particulièrement rigide qui ne lui permet pas de voir la lumière du jour. Son sens du touché n'est pas assez aiguisé outre mesure pour que d'autres parties de son corps puissent lui apporter des informations assez détaillées pour qu'il comprenne plus ou moins son environnement. De fait, il n'est pas vraiment apprécié des autres pokémons. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : L'avantage d'un tel milieu pour Solochi, c'est qu'il a de la place pour s'élancer dans la direction qu'il veut en fonçant tête baissée sans risquer de rencontrer grand chose. Ou alors s'il en rencontre, se sera des choses dures auxquelles il aura des difficultés à faire du mal par la seule force de son petit crâne. Seulement, ce n'est pas son milieu naturel et il sera extrêmement rare d'en trouver comme ça en plaine. La plupart du temps, s'il arrive qu'il y en ait dans ce genre de lieu, ils sont rapidement chassés par les autres pokémons sauvages ou par des équipes de rangers pokémon parce que ce n'est absolument pas chez eux et qu'ils ne peuvent apporter rien de bien ici. Comme ce n'est pas leur milieu naturel ils n'en sont d'ailleurs que plus désorientés et arrivent encore moins à se repérer qu'à l'habitude. Pour cette raison ils mordent avec beaucoup plus de vigueur tout ce qu'ils croisent et c'est là qu'ils peuvent faire de gros dégâts. L'écorce des arbres et même parfois certains troncs un peu jeunes ne sont pas de taille pour résister à leurs puissantes mâchoires. Il n'est donc pas rare de trouver une multitude d'arbres écorcés après qu'un Solochi ait été repéré dans une région. Autre victime de ses mâchoires sont les pokémons sauvages, mais ça c'est tout à fait normal parce qu'il est exclusivement carnivore. Seulement comme la nourriture n'est pas ce à quoi il est habitué, cela ne lui plaira pas vraiment et ils ne finira jamais après avoir croqué une fois dedans. Du gâchis.
Milieu forestier : Les Solochi qui se retrouvent à vivre dans ce genre de milieu ont la tête dure. Ceci car ils passent leur temps à se prendre des troncs d'arbre à force de foncer en aveugle dans tous les sens. C'est la première raison pour laquelle ils ne sont pas appréciés par les habitants de la forêt. Surtout ceux qui vivent dans les arbres, parce que se prendre l'équivalent d'une secousse sismique sur son chez-soi, cela n'a jamais été agréable pour personne. C'est que les Solochi ne manquent pas de force! Ils se retrouveront donc assez souvent avec des insectes qui leur tombent sur le coin de la figure car délogés de leur habitat. C'est ce qui constituera la majeure partie de leurs repas d'ailleurs. Pour cela, les petits dragons de cette espèce qui vivent dans la forêt auront acquis une certaine résistance au poison. L'autre raison pour laquelle les Solochi ne sont pas appréciés en forêt, c'est que plus que la déstabilisation des habitats, ils peuvent aussi en provoquer la destruction. Ceci car comme partout ailleurs, ils s'acharneront sur les troncs d'arbre pour les écorcer et ces derniers finiront par dépérir ou mourir.
Milieu aquatique : Les Solochi peuvent se débrouiller dans l'eau grâce à leur compétence « nage du petit ponchiot », mais ils ne pourront pas faire grand chose d'autre. Déjà, comme ils ne peuvent pas voir où ils vont et qu'ils appréhendent le monde qui les entourent majoritairement par le goût, il leur sera très difficile de se diriger en nageant. Et puis la nage du petit ponchiot, c'est bien gentil, mais ce n'est pas ça qui donne l'aisance nécessaire à un combat. Les Solochi sont des pokémons qui ne peuvent pas se battre ou se défendre vraiment dans l'eau. Le mieux qu'ils pourront faire c'est mordre un bon coup leur adversaire ou prédateur sans le lâcher, mais si ce dernier décide de l'entraîner dans les profondeurs pour le noyer, il lui sera peu possible de riposter. Aussi en mer, faîtes attention car si vous possédez un Solochi un peu limité cérébralement mais avec une endurance solide, ne le laissez pas nager sans surveillance car il risquerait de s'en aller toujours plus loin vers le large sans penser à faire demi-tour.
Milieu montagneux : Les Solochi naissent la plupart du temps en montagne, puisque c'est ici que l'on trouve la grande majorité les Trioxhydre. Seulement comme leurs parents ne sont pas très protecteurs et les laissent dès qu'ils sont capables de marcher en indépendants, ces derniers ont tôt fait de quitter le nid et de devoir s'en aller se débrouiller par eux-même et en aveugles. Pour cette raison, le taux de mortalité chez les jeunes Solochi est assez conséquent car quand on ne voit rien, et bien on ne voit pas non plus les bords de falaises ou autres pièges que peuvent réserver les hauteurs. C'est aussi cela qui en fait un pokémon rare à l'état sauvage. Comme ailleurs, ce pokémon se nourrit en montagne de tout ce qu'il rencontre du moment que c'est comestible. Généralement, comme ils ne peuvent que difficilement trouver leurs proies par eux-même, ils attaquent leurs propres prédateurs. Ou plutôt ceux qui pensaient être leurs prédateurs mais se retrouvent ensuite avec un coup de dent bien placé qui les transforme en proie. Malgré leur manque de vision, les Solochi sont un minimum capable de faire la différence entre les différentes luminosités à travers les poils qui couvrent leurs yeux. Cela leur évite de rentrer trop loin dans les grottes la plupart du temps et de toujours pouvoir retrouver la sortie, surtout qu'ils peuvent aussi sentir les différences de température. Car s'ils peuvent trouver refuge à l'orée des grottes lors des intempéries, il n'y a rien de bénéfique pour eux dans les profondeurs.
Milieu désertique : Alors, certes, les Solochis ne risquent pas de rencontrer beaucoup d'obstacles dans le désert et pourront foncer toujours tout droit à leur aise, mais cela ne fait pas du désert un espace optimal pour eux. Déjà ils vont atrocement souffrir de la chaleur à cause de leurs poils. Non seulement ils sont épais, mais en plus ils sont de couleur sombre ce qui absorbera encore plus le chaud. Alors imaginez, si vous vous êtes déjà à songer que vous êtes en train de mourir là au milieu, ce que peut ressentir votre compagnon dans les même conditions. Ensuite ils n'y trouveront pas grand chose à manger car les pokémons qui vivent dans le désert ont plutôt tendance à vivre en dessous du sable qu'au dessus alors ils ne sont pas à portée de mâchoire et jamais les Solochi n'auront le réflexe de creuser pour trouver de la nourriture. Du coup, à part s'ils sont vraiment très chanceux, ils risqueront de mourir de faim si laissés seuls dans ce milieu un peu trop longtemps. Si vous voyez des Solochi sauvages dans le désert, je vous conseille donc d'appeler une équipe de rangers ou de les capturer afin de leur sauver la vie.
Milieu neigeux : On pourrait penser que, grâce à leur fourrure imposante, les Solochi ne souffriraient pas du froid. Or se serait oublier leur type dragon qui lui est sensible à la glace. Par conséquent, il n'est pas spécialement bon pour un dragon de son espèce de se retrouver confronté à des climats de grand froid. Il risque de ne pas tenir le coup et s'épuisera avec une rapidité non-négligeable si vous vous engagez dans un combat avec votre Solochi. Et s'il est à l'état sauvage, il n'aura même pas le refuge de sa pokéball de disponible pour se reposer au chaud. Donc, oui, il y a de fortes chances pour qu'au bout de quelques jours il soit complètement incapable de bouger et se laisse donc mourir de froid. En plus, s'il se met à attaquer rageusement la neige de sa mâchoire comme il le fait partout ailleurs, il en ingérera une quantité non négligeable qui aidera à sa perte d'énergie.
Milieu urbain : Les Solochi ne sont pas des pokémons spécialement appréciés dans les foyers si tant est que l'on tienne un minimum à ses meubles ou même parfois à ses jambes. Car si vous habituez mal votre Solochi il viendra aussi vous mordre vous, ce qui n'est pas souhaitable. Il existe des dresseurs de Solochi qui leur font prendre les bonnes habitudes à avoir pour pouvoir être un pokémon de compagnie, mais ils sont rares et onéreux. Cela n'aide pas à une popularisation de ces pokémons en milieu urbains. La majeure partie des Solochi que l'on trouve en ville appartiennent à des dresseurs et ces derniers les surveillent avec attention lorsqu'ils sont hors de leurs pokéballs pour qu'ils ne provoquent pas d'incident en mordant un inconnu.
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 551](https://2img.net/h/www.pokebip.com/pokemon/pokedex/images/bw_front_m/551.png) | Mascaïman
- type sol/ténèbres, pokémon croco sable
taille moyenne : 0,7 m / poids moyen : 15,2 kg
Mascaïman est un pokémon de type sol et ténèbres que l'on qualifie de pokémon croco sable. Cette appellation vient de son appartenance à la famille des créatures crocodiles et de son lieu d'habitation : le désert. Autant vous le dire tout de suite, la description de ce pokémon sera assez courte sur une bonne partie des milieux que nous allons analyser car il ne se plaît pas du tout ou très peu dans des environnements différents de celui dont il est originaire. Souvent il a même été impossible d'en étudier et j'ai du apporter le mien pour voir comment il se comporterait ; par conséquent cette description se base bien moins que les autres sur des pokémons sauvages. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : On pourrait dire que quelques Mascaïmans sauvages vivent dans ces milieux, mais pour être juste il faudrait plutôt dire que c'est à la juste limite entre le désert et le retour d'un peu de verdure ; dans cet espèce d'entre-deux en progression d'un milieu à l'autre. Du coup ils adoptent le même mode de vie que lorsqu'ils sont dans le désert qui sera décrit tout à l'heure. J'ai donc déposé le mien en plein milieu d'un champ pour voir la manière dont il allait se comporter à différents moments de la journée. Le matin il n'aime pas du tout. L'humidité ambiante et la rosée déposée sur chaque plante le fait frissoner et il tente de rentrer son ventre le plus possible afin de ne pas la toucher le sol avec lorsqu'il se déplace bien que se soit un effort futile. Dans l'après-midi il se porte mieux, mais on voit bien qu'il n'est pas à l'aise lorsqu'il marche. Il essayera de trouver le moindre endroit dégagé de toute herbe pour se poser et s'exposer au soleil. Pour ce qui est de la nourriture, cependant, il n'aura pas de mal à en trouver car comme une fois qu'il a trouvé un coin à peu prêt agréable il est capable d'y rester pendant des heures, les Rattata sauvages finiront par ne plus avoir peur de cette drôle de pierre et risquent de s'approcher imprudemment de sa bouche. Il ne restera à Mascaïman plus qu'à utiliser la vivacité dont il sait faire preuve dans ce genre de cas pour en attraper un, le briser avec sa puissante mâchoire, et en faire son repas.
Milieu forestier : Il est clair et net que les Mascaïman ne se plaisent pas en forêt. Déjà ils n'existent pas à l'état sauvage dans ces lieux, première preuve qu'ils ne sont pas du tout adaptés à ce mode de vie. Pour tout vous dire, le mien, dans la forêt, a bouge de quelques centimètres avant de se mettre à courir vers le point ensoleillé le plus proche. Et encore j'ai bien vu qu'il ne s'y plaisait pas car il rentrait le ventre comme lorsque le sol était trop mouillé pour lui en plaine. Outre ceci, il aura plus de mal à se procurer de la nourriture, car il sera beaucoup moins tranquille qu'ailleurs ce qui le rendra agité ; et donc il ne pourra pas se faire passer pour un objet inerte qui ne présente pas de dangers.
Milieu aquatique : Bien qu'il soit de la famille des crocodiles, Mascaïman ne supporte pas l'eau. En tant que pokémon sol, son corps pourrait se retrouver endommagé s'il entrait en contact avec l'élément aquatique. La seule chose dont il a besoin est de boire un minimum : il ingère l'équivalent d'un verre d'eau pour nous en un mois. Il peut tenir deux mois avec cette même quantité si le besoin s'en fait ressentir. Autant le dire tout de suite : si un Mascaïman se retrouve par malheur projeté dans l'eau, il meurt dans les trois minutes qui suivent. Alors évitez de faire entrer le votre en contact avec cet élément le plus possible.
Milieu désertique : Est-ce une surprise si je dis que c'est dans ce milieu que Mascaïman se sent le mieux et que c'est ici son milieu naturel ? Je ne pense pas. La température dans le désert est idéale pour ce pokémon qui a besoin d'un milieu chaud et aride pour survivre. Comme c'est le seul endroit où ils sont concentrés (ceux qui vivent ailleurs s'étant perdus d'une manière ou d'une autre) ils vivent en groupe sans pour autant s'entraider. Ils sont juste ensemble parce qu'ils sont au même endroit et qu'ils y restent. Les seuls moment où ils sont coopératifs c'est quand il s'agit d'attraper une proie de taille conséquente qui permettrait de tous les nourrir en même temps. Sinon, leur méthode de chasse individuelle, c'est de s'enfouir un peu dans le sable en ne laissant ressortir que le bout de leur nez et leurs yeux qui sont protégés par une membrane du sable et de se jeter sur leur proie quand elle passe à proximité. Ce sont des créatures carnivores et dans le désert ils se nourrissent presque exclusivement de Darumarond et de Sabelette. Ils ne craignent pas le feu à l'intérieur du corps du premier car la chaleur, c'est ce qu'ils recherchent ; et ils ont une mâchoire assez puissante pour passer outre la peau dure du dos du second. Et quand au peu d'eau dont ils ont besoin pour vivre, ils la trouvent en mangeant leurs victimes, ce qui fait qu'ils n'ont jamais besoin d'aller en chercher spécialement, ce qui est tant mieux dans le désert. Oh et un conseil pour tous les humains qui voudraient traverser le désert : les Mascaïman sont couleur sable donc il peuvent très bien se camoufler. Faîtes attention à ne pas marcher dessus !
Milieu montagneux : Le seul endroit où on trouve des Mascaïman à l'état sauvage en montagne, c'est aux alentours de Roche-sur-Gliffe, sur le chemin qui relie la ville à la grotte étincelante. Après étude et interrogation à la mairie, il semble que se soit un éleveur qui ait abandonné des œufs de Mascaïman ici il y a quelques dizaines d'années, et ces derniers ont réussi à survivre avec l'aide des habitants pour finalement réussir à s'intégrer plus ou moins. Maintenant il vivent en autonomie à l'état sauvage, mais comme se sont des pokémons qui ne sont pas dans leur milieu naturel, des scientifiques viennent régulièrement vérifier leur état. Le mode de vie des Mascaïman dans ce lieu est similaire à celui qu'il adopte en plaine si ce n'est qu'il a appris à utiliser des cachettes plutôt que de rester sans bouger. Sa longue gueule lui permet de se dissimuler derrière des rochers en ne faisait ressortir que cette dernière et attraper ses proies au passage sans même avoir été vu.
Milieu neigeux : Je ne sais pas s'il vaut la peine que j'écrive quoi que se soit dans cette catégorie. Je pense qu'il est assez évident que Mascaïman est un pokémon qui ne peut pas s'en sortir dans ce genre de milieu malgré toute la bonne volonté qu'il pourrait y mettre. En tant que dresseur, évitez de faire sortir votre protégé par de tels climats car il risquerait de rapidement tomber malade voir même de mourir si sa température corporelle tombe trop bas.
Milieu urbain : En ville, il est le plus fréquent de voir des Mascaïman dans des zoos. Comme se sont des pokémons qui vivent difficilement en dehors du désert, c'est une créature de base à avoir dans ce genre d'établissements. Les autres que l'on peut trouver son en compagnie de dresseurs. Ils n'auront pas de difficulté à être avec vous en ville, si tant est qu'il ne pleut pas. Pendant les jours de pluie, gardez le bien au chaud au fond de sa pokéball ou alors à la maison avec vous. S'il peut rester à lézarder sous une lampe de bureau (et donc sur votre espace de travail en étant encombrant, mais hé, il est trop mignon pour qu'on l'enlève), il sera certainement aux anges.
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Aaron Sakuragi
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| ![[AD] Les études - 5ème génération 506](https://2img.net/h/pldh.net/media/pokemon/gen5/blackwhite/506.png) | Ponchiot - type normal, pokémon chiot
taille moyenne : 0,4 m / poids moyen : 4,1 kg
Ponchiot est un pokémon de type normal que l'on qualifie de pokémon chiot et je pense que cette appellation se passe de commentaire. C'est un pokémon a l'air inoffensif, mais qui peut être très hargneux et difficile d'approche à l'état sauvage. Cependant, si vous parvenez à le domestiquer, il deviendra un très bon compagnon qui se consacrera corps et âme à son nouveau maître; ce ne sont pas des pokémons très indépendants. Ils sont appréciés par les parents comme premiers pokémons à confier à leurs enfants par leur bonne réputation et leur aspect de peluche. - suite de la description ?:
Milieu herbeux : Les Ponchiot pullullent dans quasiment tous les milieux et surtout dans la région Unys ; cependant c'est en plaine qu'ils se sentent les plus à l'aise. C'est là qu'ils trouvent le plus facilement leur nourriture en tant que petits carnivores et qu'ils arrivent le mieux à organiser leur groupe. Car en effet, ces pokémons ne vivent pas seuls : ils sont toujours par meute d'environ une dizaine de spécimens. Et dans chaque meute il y a aura toujours au moins un Mastouffe pour régner tout autant qu'il protège les plus jeunes. Les Ponchiot ne sont pas des pokémons indépendants et on besoin de la tutelle d'un spécimen plus âgé, mais surtout plus expérimenté et c'est ce que prouve l'évolution. Ils n'ont pas de problème avec les prédateurs dans ces milieux car se sont des chiots particulièrement intelligents qui, s'ils sont vaillants, savent très bien quand un combat est perdu d'avance et ne s'embêteront pas à le faire en préférant la fuite stratégique. En ceci, ils sont plus intelligent que d'autres pokémons que l'on qualifie de vaillant, mais qui n'ont pas l'intelligence de la fuite. C'est aussi ce qui en fait de bons pokémons pour apprendre aux débutants les limites dans le dressage : ils savent quand il ne faut pas aller trop loin.
Milieu forestier : La vie des Ponchiot en forêt ressemble énormément à leur vie en plaine car le milieu ne change pas grand chose à leur organisation. Ils vivent toujours en meute et sont toujours sous la tutelle d'un Mastouffe. La seule majeure différence et que, comme ils sont sensibles au poison, ils s'en retrouveront facilement affectés s'ils ne sont pas assez précautionneux quant à ce qu'ils mangent.
Milieu aquatique : Ponchiot est tout à fait capable de nager, mais ce n'est pas un nageur rapide. Vous vous souvenez de la "nage du petit ponchiot" dont on vous parlait quand vous étiez petits ? Et où vous aviez l'air ridicule et vous n'avanciez pas, mais au moins vous aviez la tête hors de l'eau même sans les brassards ? Et bien c'est ça. Ponchiot adore jouer dans l'eau et il viendra ensuite joyeusement s'ébrouer à côté de vous, mais il ne faudra pas compter sur lui pour un combat aquatique et je pense que vous pouvez facilement voir pourquoi. Comme c'est l'occasion d'en parler : ne négligez pas l'hygiène de votre Ponchiot et laissez le régulièrement se baigner.
Milieu désertique : Le désert est un des milieux dans lesquels Ponchiot ne peut pas s'installer à l'état sauvage. Il ne supportera pas la trop grande chaleur et aura du mal à trouver de la nourriture, la plupart des habitants du désert ne lui convenant pas comme proie où étant dotés de carapace que ses dents n'arriveront pas à briser. Si vous emmenez votre Ponchiot avec vous dans le désert, pensez à l'hydrater régulièrement : c'est un pokémon d'un naturel assez énergique, ce qui lui fait avoir soif plus rapidement et il n'est pas du genre à pouvoir se contrôler sur ce point. Vous pourrez lui demander de se battre pour vous, mais faites attention à l'adversaire auquel vous le confrontez : Ponchiot n'est pas un pokémon qui est encore très fort ou résistant contrairement aux créatures que l'on peut trouver dans le désert, alors ne lui faîtes pas prendre des risques inconsidérés s'il n'est même pas capable de blesser son adversaire.
Milieu montagneux : Les meutes de Ponchiot s'installent sans problème dans les montagnes qui sont des lieux qui leurs conviennent assez bien. Ils n'ont pas de problème pour trouver de nourriture ou des abris, mais la grande différence avec les autres milieux où les meutes s'installent c'est qu'ils ont besoin de plus de Mastouffe pour pouvoir s'en sortir. Ceci car les prédateurs sont plus nombreux et plus forts, alors il faut pouvoir s'en protéger du mieux qu'ils peuvent. La montagne est également le milieu où le taux de mortalité des Ponchiot est le plus élevé pour la raison que nous venons d'évoquer. Cependant, cela implique également que ceux qui arrivent à s'en sortir seront plus résistants que la moyenne, ce qui est un facteur qui peut être intéressant à prendre en compte pour les dresseurs.
Milieu neigeux : Il est ici question du second milieu dans lesquels les Ponchiot ne sont pas capables de vivre. Ils ont une fourrure qui leur tient chaud en général, mais pas assez pour qu'ils puissent survivre dans ces lieux hostiles. Les Mastouffe peuvent le faire car leur pelage est clairement plus abondant que celui de ses pré-évolutions, mais tant que nous parlons d'un petit Ponchiot, il n'en est pas capable. Evitez donc de faire sortir votre compagnon dans ces lieux glacials car il se mettra très vite à trembler et risquerait de tomber malade, ce qui j'espère n'est pas dans votre liste de buts à atteindre.
Milieu urbain : Comme cela a été dit en début de description, les Ponchiot sont appréciés en tant que premier pokémon que l'on donne aux enfants. Ce sont de bons compagnons qui s’accommodent facilement à la vie urbaine. Ils peuvent apprendre à se tenir correctement et sont rapidement propres si on s'y prend de la bonne manière. La seule réelle exigence quand on élève un Ponchiot en ville est de le sortir plusieurs fois par jour, et il n'est pas forcément nécessaire d'avoir un terrain à soi pour qu'ils se sente bien. Il demandera cependant beaucoup d'affection car il voudra se sentir pleinement intégré à la famille. Evitez cependant les Ponchiot en cadeaux d'anniversaire ou de noël, par exemple ; c'est une décision qui doit être discutée avec toute la famille si nous voulons éviter les pauvres petits pokémons abandonnés au bout de quelques mois car la famille n'a ni le temps ni la volonté de s'en occuper.
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