Le membre 'Caroline Mistouflet' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°1' :

Caroline se précipite sur la vieille dame en détresse.

Caroline : Bonjour Madame, je vois que vous êtes en difficulté. Laissez-moi vous aider.

D’abord surprise, la vielle femme se laisse guidé par Caroline qui réussit sans peine à composter le billet. La vielle dame remercie chaleureusement la jeune femme à la chevelure bleue et commence à lui raconter sa vie.

Vielle Dame : Vous êtes fort agréable ma petite. Dans le temps tout le monde n’était pas aussi pressé et les contrôleurs poinçonnaient les tickets eux même sans ces maudites machines.

Bien que cette conversation ne l’intéresse pas le moins du monde, Caroline écoute patiemment la vielle dame raconter le monde du siècle dernier. Elle a bien vu sur son billet la destination de la dame, mais elle fait mine de ne rien savoir.

Caroline : Et vous allez-vous comme ça madame ?

La vielle dame apprécie de se sentir considérée et répond avec toute la gentillesse du monde qu’elle se rend à Rosalia pour assister à une représentation au dojo des Kimono.

Caroline : Quelle coïncidence ! Moi aussi je vais à Rosalia. Le monde est petit quand même.

La vielle dame est sous le charme, et Caroline ne profite pour l’accompagner, elle et son Delcatty, à bord du train. Elles s’assoient l’une à coté de l’autre juste à temps pour que le train démarre.

Modération:

---

Que voulez-vous faire, coordinatrice Caroline ?

Une minute après avoir quitté la gare de Doublonville, un contrôleur passe dans l’allée du train en demandant leurs tickets à tous les passagers. Caroline feint de fouiller dans ses poches et dans son sac en vain. Elle fini par pleurer dans un sanglot digne d’un oscar.

Caroline : Oh non, j’ai perdu mon billet.

Contrôleur : Pas de billet égale une amande. Quel est votre nom ?

La petite dame qui accompagne Caroline s’offusque devant le manque de compassion du contrôleur et commence à lui taper dessus avec sa canne.

Vielle Dame : Vous n’avez pas honte d’embêter cette brave jeune fille ? Sans elle j’aurai raté mon train à cause de vos maudites machines. Allez plutôt faire le kakou devant les voyous du wagon restaurant et arrêtez d’importuner les honnêtes gens.

Les autres passagers applaudissent le discourt de la vielle dame. Sous la pression sociale, le contrôleur quitte le wagon la queue entre les jambes sans contrôler le reste des passagers. Caroline essuis ses larmes et remercie la vielle dame de son intervention.

Vielle dame : Ce n’est rien mon enfant. Je sais que vous n’avez jamais eu de billet. La prochaine fois tâchez d’en prendre un.

Les deux femmes s’échangent un clin d’œil complice. Caroline comprend qu’elle a peut-être abusé le contrôleur et les autres passagers, mais la vielle dame a bien compris son petit manège.

Caroline : J’y penserai peut-être la prochaine fois.

Fuite:

Le membre 'Caroline Mistouflet' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°1' :

En arrivant à Rosalia, Caroline se sépare de sa complice de voyage et découvre la ville de Rosalia. L’architecture et la décoration n’ont rien à voir avec ce qu’elle connait. Le contraste est flagrant avec Illumis mais aussi avec Doublonville qui n’est pourtant pas loin. Elle se sent totalement dépaysée mais n’oubli pas pour autant son objectif. Pendant qu’elle erre dans ce nouvel environnement, Caroline cherche le lieu de rendez-vous avec son contact.

Le lieu de rendez-vous qui lui a était donné est pour le moins très imprécis. Elle doit attendre à l’arrêt de bus situé devant la boutique d’un antiquaire à seize heures et trente-deux minutes. Un quart d’heure avant le rendez-vous, elle est assise sous l’abribus. D’autre personnes sont également là, l’une d’elles est peut-être son contact, ou elles attendent toutes le prochain bus.

A l’heure convenu, un bus s’arrête à son niveau et des passagers descendent et montent sous ses yeux ébahis. Un homme vient s’assoir à coté d’elle en attendant que le bus reparte et que les autres voyageurs se dispersent. Cet homme, c’est l’homme au chapeau, qui l’a contacté à Illumis et lui a proposé de venir à Johto.

Caroline : Vous avez pris le même avion que moi ?

Homme au chapeau : Cela n’a pas d’importance. Vous devriez vous montrez plus discrète pour progresser dans ce métier. Le coup du contrôleur ce n’était pas malin. Et ne soyez pas trop en avance lorsqu’on vous donne un rendez-vous. Ça attire l’attention quelqu’un qui squatte un abribus pendant un quart d’heure.

Modération:

Un peu vexée du jugement de l’homme au chapeau, Caroline baisse les yeux. L’homme continue ses explications.
Homme au chapeau : Vous avez encore beaucoup à apprendre, mais nous sommes là pour ça.
Caroline soupire, son petit train-train de voleuse d’article de luxe à Kalos lui manque déjà.

Homme au chapeau : Vous voyez cette boutique derrière nous ?

L’homme au chapeau retient Caroline de se retourner. Dans la vielle boutique d’antiquité, on peut distinguer plusieurs meubles anciens ainsi que des bibelots et tableau en tout genre.

Homme au chapeau : Il y a dans cette boutique plus de babioles que dans une décharge. Mais il y a quelques objets de valeurs. Vous allez vous procurer l’un de ces objets.

Caroline écoute attentivement la description de l’objet faite par son informateur. Il s’agit d’une statuette de porcelaine d’une vingtaine de centimètres représentant un Persian la tête haute assis majestueusement sur un tas de pèces d’or. Sa fourrure est détaillée avec soin et chaque mèche de poil est ciselée dans la porcelaine. Le socle représentant un tas de pièce d’or et recouvert d’une peinture dorée mate qui recouvre également ses yeux, sa truffe et l’intérieur de ses oreilles. Ces reflets d’or contrastent avec le blanc nacré du Persian.

La mission de Caroline est simple, s’emparer de la statuette et la rapporter à l’homme au chapeau.

Homme au chapeau : Je vous attendrai dans le parc, non-loin du dojo des Kimono.

Capture:

Caroline ouvre la porte de la boutique d’Antiquité et franchie le seuil. Sur la porte il y a écrit le nom de la boutique, Boutiquité. Caroline constate que les boutique de Kalos n’ont pas le monopole des jeux de mots en matière de nom. En entrant dans la boutique d’antiquité, une clochette en bronze accrochée au-dessus de la porte sonne et avertie l’antiquaire de la présence d’un visiteur.


Caroline : Bonjour, il y a quelqu’un.

La tête de l’antiquaire surgie de derrière une étagère. Les rares cheveux de son crâne sont d’un blanc immaculé et rides de son visage montre que l’homme a tout à fait sa place dans les rayons de sa boutique d’antiquité. Le vieil homme se rapproche de son comptoir en boitant. IL est habillé d’un élégant costume trois pièces ancien provenant de Galar avec des boutons qui semblent être en ivoire.

Antiquaire : Bonjour mademoiselle, que me vaut le plaisir de votre venue.

Caroline balaye très vite la pièce du regard afin de repérer une diversion lui permettant de chaparder la statuette du Persian. Entre les différentes pièces de collections exposées, elle remarque une épée ancienne provenant de Galar, un vase portant l’inscription « Hoopa », des fossiles, des gemmes de différentes formes, tailles et couleurs, et encore des centaines d’objets non identifiés.

Caroline : Le plaisir est pour moi. Je cherche un cadeau pour mon heu… pour mon oncle.

Antiquaire : Votre oncle est un collectionneur ?

Caroline hoche la tête de haut en bas pour confirmer.

Caroline : Oui, oui, oui. Il adore les objets historiques.

Capture:

Antiquaire : Dans ce cas, j’ai peut-être quelque chose en réserve.

Pendant que le vieil homme cherche dans ses rayonnages, Caroline jette un coup d’œil dans la boutique à la recherche de la statuette de Persian. Nombreux sont les objets de valeurs sur lesquelles elle pose son regard, mais elle ne trouve pas la fameuse statuette. L’antiquaire revient avec une boite en bois entre les mains.

Antiquaire : L’objet contenu dans cette boite fait partie d’une collection de vingt-huit pièces réparties de par le monde.

Lorsque l’antiquaire ouvre la boite, il expose à caroline une sculpture en granite rose représentant un Pokémon. D’après le commerçant, cette statuette représente une des formes du Pokémon Zarbi arpentant les ruines d’Alpha. Cette collection aurait appartenu à l’explorateur Jean-François Panchollion qui a participé aux fouilles dans les ruines d’Alpha il y à deux siècles. La légende dit qu’il aurait réussi à percer leur secret.

Caroline se creuse la tête, elle n’est pas du tout intéressée par cette histoire de Zarbi mais cherche désespérément la statuette de Persian. Elle tente de gagner du temps en faisant discuter l’antiquaire et en essayant de l’amener à parler de ce qu’elle veut.

Caroline : Très intéressant, vingt-huit statues en granite rose ça doit vous prendre de la place ?

Capture:

L’antiquaire rigole, il répond qu’elles ne sont pas toute en granite rose et que chacune des pièces est faite dans un matériau différent. Il précise aussi qu’il n’a pas en sa possession toutes les statues et qu’il n’en n’a vu que quelques-unes dans toute sa carrière. La collection a été séparée il y a plus de deux siècles et personne depuis n’a réussi à les rassembler.

Caroline : Et c’est courant ça d’avoir des sculptures représentant des Pokémon ? Je suppose qu’il y en a des plus communs que les zarbi.

L’homme sourit devant la naïveté apparente de Caroline. Il lui explique que depuis les premières peintures rupestres de la préhistoire jusqu’aux graffitis dans les rues, les Pokémon ont toujours été une grande source d’inspiration pour les artistes. Il cite l’exemple de la tour Chetiflor de Mauville qui en est un parfait exemple.

Antiquaire : J’ai évidement de très beaux articles représentant des Pokémon. J’ai de nombreuse tirelire à l’effigie de Miaouss ou de Magicarpe, mais parfois il m’arrive d’avoir des pièces uniques. Tenez celui-ci par exemple.

L’antiquaire se retourne et ouvre une porte coulissante du meuble derrière lui pour en sortir une extraordinaire statue en Crystal représentant un Onix. En laissant la porte ouverte, Caroline aperçoit de nombreux objets dont le persian qu’elle convoite tant.

Antiquaire : Cet Onix de cristal est une pièce unique. Réalisée il y a cinquante ans par une femme amoureuse d’un homme d’Argenta. Lorsque cette femme découvrit que cet homme avait des relations charnelles avec leur voisin, elle a quitté la région et me l’a vendu pour trois fois rien. Aujourd’hui cette sculpture vaut une fortune.

Modération: