Le repas se termine dans la bonne humeur, même si Ekko semble être naturellement bougon. Dans un sens, il équilibre la tempête qu’est Netali et tu te dis qu’ils se sont bien trouvés ses deux-là. De ce que tu en as compris, ils se connaissent depuis quelques années maintenant, ayant été en classe ensemble au collège. Tu ne sais pas pourquoi ils ont décidé tous les deux de devenir éthologues, mais cela t’importait peu dans un premier temps. Tu venais à peine de les rencontrer, tu aurais du temps à revendre pour apprendre à les connaitre. Surtout si Netali était du genre à prévoir des soirées du jour au lendemain. Ou presque. Finalement le râleur de service viendrait avec vous, car ça serait l’occasion parfaite selon lui de préparer votre expédition.

- Tu serais prête à partir pour le week end prochain ?

- Evidemment !

Il t’avait encore toisé du regard, avant d’afficher un petit sourire satisfait. Visiblement, il n’aimait pas qu’on lui réponde par la négative. Or être prête en toute circonstance, tu en avais l’habitude avec ton père. C’était l’avantage d’avoir été élever par un militaire, si tu devais le dire ainsi.
Naturellement avant de partir, tu récupéras les numéros de téléphone de tes deux futurs coéquipiers. Charlotte en profita pour te demander les papiers pour ton stage. D’un point de vue pratique, elle serait ta tutrice, même si de ce que tu en avais compris ça serait surtout Ekko qui mettrait son grain de sel dans ton stage. D’ailleurs ce dernier ne semblait pas d’accord sur le fait que sa grand-mère lui demande déjà la paperasse.

- Je suis sûre que votre expédition test va très bien se passer. Donc inutile de perdre plus de temps que cela non ? Puis à force de refuser tout le monde Ekko, je doute que quelqu’un se présente avec un profil aussi bon que le sien.

Tu affiches ta surprise alors que lui de son côté ronchonne. Mais l’affaire semble entendue, alors tu n’as qu’à faire tout ton possible pour confirmer ses propos. Tu la remercies et tu fais de même une nouvelle fois envers Netali pour le repas. Puis tu te tournes vers le garçon, hésitante.

- Merci… de me donner une chance, je suppose ?

- Ouais, on va dire ça comme ça.

Pourtant, tu peux voir la commissure de ses lèvres se relever. Tu fais de même, avant de saluer tout le monde et repartir de la maison. Ce n’est qu’une fois que tu entends la porte se refermer derrière toi que tu lâches un soupir de soulagement. Tu avais réussi la première étape. Maintenant, il fallait vraiment que cette expédition fonctionne.
Et maintenant, tu devais te préparer à une nouvelle vague de questions et d’inquiétude de la part de tes parents. Tu avais bien avancée, mais le plus dur restait à venir. Encore pire, tu ne voulais pas penser à la réaction de ton ainé en apprenant que ton entretien c’était bien passé. Heureusement que l’expédition aurait lieu le week end prochain, tu louperais le prochain repas de famille ainsi.

508 mots

---

Fuite:

Le membre 'Eillen O'Neill' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°2' :

Sur le chemin du retour, tu étais partagée entre la joie et la crainte. L’entretien avait été plutôt un succès, tu devais le reconnaitre. Charlotte et Netali semblaient vraiment enthousiastes à ce que tu rejoignes la petite troupe d’apprenti éthologues. Par contre, concernant Ekko, c’était encore une autre histoire. Tu n’arrivais pas à savoir pourquoi il était autant sur la défensive, mais tu allais devoir redoubler d’efforts la semaine prochaine pour pouvoir le convaincre de ton utilité. Mais ce que tu crains le plus, c’est la réaction de tes parents. Enfin, de ton père surtout. Tu avais réussi à gagner du temps en annonçant que ce n’était pas encore joué, mais maintenant, tu sais que tu touches ton rêve du bout des doigts. Et cela, ça n’allait clairement pas lui faire plaisir. Le concernant, redoubler d’effort ne serait pas encore suffisant pour le convaincre que tu prenais la bonne décision concernant ton avenir. C’était un choix que tu avais murement réfléchit et dont tu avais vérifié que cela t’apporterait la sécurité financière. Mais ce n’était pas le choix de ton père, donc à ses yeux, tu allais forcément droit vers le mur.

Assise dans le train qui te ramenait à la maison, tu étais en train de réfléchir à comment tu allais pouvoir le tempérer. Tu ne pourrais pas gagner du temps indéfiniment, tu en étais parfaitement conscience. Mais tant que tu habitais encore chez eux, tu aurais cette discussion houleuse quotidiennement et cela, ce n’était plus possible. Tu ne voulais plus te disputer avec lui comme tu l’avais fait la veille. Mais sans une rentrée d’argent mensuelle, tu pouvais faire une croix à l’idée de te trouver un appartement. Bien sûr, tu avais encore quelques économies de quand tu bossais pendant tes études, mais ça ne serait clairement pas suffisant. Et jamais tes parents n’accepteraient de te laisser partir du cocon familial tant qu’ils ne seraient pas certains que tu n’allais pas te retrouver sous un pont dès le lendemain.

Tu poussas un soupir, laissant glisser ta tête contre la fenêtre alors que Larméléon t’observait de son regard éternellement surpris. Le chemin que tu avais choisi était semer d’embuche, c’était indéniable. Tu ne devais surtout pas te décourager, sinon ça serait reconnaitre que ton père et ton frère avaient raison te concernant. Non, tu devais te concentrer sur la tâche qui t’attendait une fois que tu serais de retour à la maison. Tu allais devoir te renseigner à fond sur les montagnes qui entour Ludester, afin que vous ne soyez pas pris au dépourvu et tu avais peu de temps vu que tu allais revoir tes futurs coéquipiers dés demain. Il fallait que tu sois prête à répondre à un maximum de questions d’Ekko si tu souhaitais qu’il te lâche un peu la grappe. Autant dire que la soirée n’allait pas être de tout repos.

476 mots

---

Demande de modération : Apparition d'un pokémon sauvage s'il vous plait

Tu sors du train et tu vérifies que Larméléon est toujours bien accroché dans ton cou. C’est un peu le souci quand on a un pokémon un peu discret et capable de disparaitre, c’est qu’on n’est jamais sûre de savoir où il est caché. Au final, tu en avais eu pour plus longtemps que prévu et tu rentrais au milieu de l’après-midi. L’air commençait à se rafraîchir et à devenir plus humide alors que le soleil n’était pas encore couché. Faire un trek dans les montagnes en Automne, ça ne serait pas facile. D’ailleurs si vous finissez par réellement faire équipe pour devenir éthologues tous ensemble, vous n’allez pas commencer au meilleur moment de l’année avec l’Hiver qui approchait à grand pas. Tu allais devoir prendre cela en compte également. Tes pensées tourbillonnaient d’une idée à l’autre, si bien que tu pris quelques notes dans un carnet le temps de faire la route de la gare jusqu’à chez tes parents. Larméléon observait ce que tu faisais de son air surpris. Il faut dire que jusqu’à présent, tu avais été plutôt passive dans ton quotidien. Depuis la fin de tes études, tu voyais le temps passer, lentement, alors que tu essayais désespérément de prendre ta vie en main, de tenir tête a tes parents. Mais maintenant que tu avais une opportunité, tu comptais bien t’y investir à deux cent pour cent. Tu voulais prouver que tu prenais la bonne décision, que ce soit pour tes parents mais également pour Ekko. Tu n’étais pas dupe, si Cochrane avait tant insisté auprès de son petit fils pour qu’il te donne une chance, c’est qu’il avait dû refuser bon nombre de profil. Tu te demandais d’ailleurs pourquoi il ne s’était pas tout simplement lancé en duo avec Netali si prendre une troisième personne dans le groupe le dérangeait autant.

Ton portable se mit à sonner alors que tu continuais à prendre des notes. C’était ta mère et tu devinais sans mal qu’elle se demandait où tu étais. Après tout, tu n’avais pas non plus prévu que tu mangerais chez eux, alors elle devait être inquiète de ne pas te voir rentrer. Tu décrochas et tu entendais au son de sa voix que tu étais sur haut-parleurs. Ah. Est-ce qu’elle t’appelait sur demande de ton père ? Difficile d’imaginer ce qu’il pouvait avoir en tête alors qu’il avait remarqué que tu n’étais pas encore rentrée. Mais tu ne pouvais pas t’empêcher d’être légèrement agacée, après tout, tu avais passé l’âge pour être surveillée. Tu étais encore un peu grognon de votre dernière dispute et cela jouait sur ton interprétation de l’appel, tu le savais. Mais entre la raison et les sentiments, c’était bien souvent difficile de trancher.

454 mots

---

HRP:

Fuite:

Le membre 'Eillen O'Neill' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°2' :

Tu rassuras immédiatement ta mère, annonçant que tu n’étais plus qu’à quelques minutes de la maison et tu t’excusas de ne pas avoir donné de nouvelles, essayant ainsi d’apaiser de futures tensions. Tu entendis ton père grogner au loin et immédiatement la voix de ta mère se fit soulagée. Tu ne savais pas ce qu’ils avaient imaginé encore, mais visiblement la discussion ce soir n’allait pas être de tout repos visiblement. Ta mère te dit qu’elle attend que tu sois rentré pour savoir comment ton entretien c’est passé et elle raccroche après que tu lui réponds simplement « D’accord ». Une fois l’appel fini, tu raccroches et tu enregistres tes notes avant de remettre ton portable dans ta poche.

Tu vois la maison au loin et autant dire que tu trainais un peu des pieds. Pourtant, tu savais parfaitement que repousser l’affrontement ne servait strictement à rien. Tu n’échapperais pas à une nouvelle dispute. Non seulement ton père ne serait pas ravi que ton entretien se soit bien passé, mais en plus tu n’avais pas donné de nouvelles de la journée. Il allait surement dire que tu étais encore trop jeune et trop irresponsable pour devenir éthologue et vu que ta mère était constamment inquiète pour toi, elle ne pourra qu’être d’accord avec lui. Tu allais devoir faire preuve de sang-froid si tu voulais t’en sortir. Plus tu t’énerverais contre lui, plus il s’en servirait pour dire que tu te comportais comme une gamine. Tu traverses le petit jardin qui se trouve devant la demeure familiale et tu respires calmement pour te préparer à la tempête. Tu pouvais le faire, il fallait juste que tu te montre plus intelligente que ton père.

- Je suis rentrée.

Tu enlèves ton manteau pour l’accrocher dans l’entrée et tu retires tes chaussures pour retrouver le confort de tes pantoufles. Immédiatement ta mère t’accueille avec le sourire, mais vu son regard tu n’es pas dupe. Tu as eu visiblement raison de te préparer mentalement, ton père doit être de sale humeur. Larméléon disparait de nouveau, visiblement lui aussi à bien compris que l’ambiance allait encore être électrique. Tu ne cherches pas à fuir et tu vas dans le salon, t’installant dans le fauteuil non loin du canapé où se trouvait ton père. Visiblement ce dernier ne s’attendait pas à ce que tu viennes docilement vers lui vu qu’il te surveillait de loin, affichant un air quelque peu surpris et te voyant t’installer. Ta mère suit peu de temps après, apportant un plateau avec du thé et des biscuits. Bon au moins tu aurais le droit à une petite douceur avant de te faire engueuler.

440 mots

---

Demande de modération : Utilisation de la CS Force par Séviper S ( première utilisation ) et apparition d'un pokémon sauvage s'il vous plait

---

Que voulez-vous faire, dresseuse Eillen ?

Tu attrapes le mug qui est devant toi sur la table basse pour y poser tes paumes. La chaleur te traverse et te réconforte, si bien que tu serais presque tentée de lâcher un soupir d’aise. Tu préfères te retenir, tu ne sais comment ton père pourrait l’interpréter, ce soupir. Autant éviter de lui donner du grain à moudre dans la discussion. Ta mère s’installe en face de toi, à côté de son mari. Tu vois son inquiétude, alors que tu bois une gorgée de thé matcha. Tu supposes que les hostilités allaient commencer.

- Alors ma chérie, comment c’est passé ton entretien ?

Tu es plutôt surprise que ce soit ta mère qui commence et par cette question. Tu aurais cru que vous alliez commencer par ton retard, même si de ton point de vue, ça n’en était pas vraiment un. Après tout, tu n’avais jamais dit à quelle heure tu rentrerais à la maison et tu mettais toujours un point d’honneur à ne pas rentrer trop tard. Du coup de ton point de vue, ton père exagérait d’être en colère pour si peu. A moins qu’il n’eût pas encore dirigé la dispute d’hier, tout comme toi, et cela avait mit de l’huile sur le feu. De toute manière tu allais le savoir rapidement, autant te concentrer sur la première question, dont la réponse n’allait pas lui plaire non plus.

- Plutôt bien, je crois. Cochrane était contente de mon dossier et elle avait communiquer avec l’un de mes professeurs, qui visiblement a fait mes éloges. Il y avait également deux autres personnes, qui ont dans ma tranche d’âge et qui profitent déjà son enseignement. Visiblement elle voulait s’assurer que ça pouvait coller entre nous avant de me donner une réponse. On va faire une randonnée sur le week end qui arrive, afin et je suppose qu’en fonction de nos résultats, elle acceptera ou pas de me prendre en stage.

Tu prends le temps pour une pause et reprendre une gorgée de thé. Tu observes la réaction des tes parents par la même occasion. Ta mère semble plutôt contente de savoir que l’un de tes profs est assez content de toi pour le confirmer à une personne extérieure à la fac. Ton père lui, plisse des yeux. Ce n’est pas très difficile de comprendre qu’il aurait préféré que cela ne fonctionne pas. Tu préfères éluder certains détails d’ailleurs, pas sûre qu’il apprécierait de savoir que ce n’est pas l’éthologue en elle-même qui te prendrait sous sa tutelle, mais plutôt son petit-fils.

421 mots

---

Fuite:

Le membre 'Eillen O'Neill' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°1' :

- Ils m’ont proposé de manger avec eux, pour faire plus ample connaissance. Du coup je ne me voyais pas de refuser, ça aurait été contre-productif pour avoir mon stage. Mais dans le feu de l’action je n’ai pas pensé à vous prévenir. Je suis désolée si je vous ai inquiété.

Tu essayes d’avoir une voix aussi douce que possible. Reconnaitre tes tords – bien que de ton point de vue à ton âge tu es censé faire ce que tu veux de tes journées – ça devrait apaiser un peu ton paternel, du moins tu l’espères. Si ce n’est pas le cas, tu gardes au moins l’espoir de lui couper l’herbe sous le pied.

- Donc tu vas partir en vadrouille pendant deux jours avec des personnes que tu connais à peine ? Ça ne me plait pas trop.

Ah. Ça, tu devais avouer que tu ne l’avais pas vu venir. Tu prends une inspiration et tu serres les dents. Plus tu resteras calme, moins il pourra te reprocher quelque chose.

- Ils m’ont justement proposé qu’on se voit demain soir à un restaurant à Kickenham afin qu’on prépare l’itinéraire et qu’on apprenne justement à mieux se connaitre.

- Tu sors encore demain ?

- Je sors, mais c’est pour mon stage. Ce n’est pas comme si j’allais m’amuser avec mes amies.

- Ça ne me plait pas trop de savoir que tu va reprendre le train à une heure tardive…

- Je prendrais un taxi ! Je rentrerais même plus vite comme ça et ce n’est pas beaucoup plus cher.

Tu vois tes parents se regarder, visiblement, ils sont en manque d’arguments et tu retiens le petit sourire qui commence à se dessiner sur ton visage. Ils ne peuvent pas t’obliger à la maison et ils le savent très bien. Tu n’as plus quinze ans et tu n’es pas en sucre, il serait temps qu’ils le comprennent et qu’ils te laissent faire ce que tu veux de ta vie.

322 mots

---

Demande de modération : Apparition d'un pokémon sauvage s'il vous plait

Malgré tout, tu dû continuer à les rassurer un moment, leur promettant que tu serais bien prudente demain soir. Que tu leur enverrais un message quand tu serais arrivé en ville et quand tu serais sur le point de repartir. Et que si au final tu trouvais ces gens bizarres ou mal attentionnés, tu ne devais pas hésiter à appeler et ton père viendrait te chercher. Tu mordis l’intérieur de ta joue à cette phrase de ton paternel, tu ne lui ferais pas ce plaisir. Bien sûr, tu restais prudente, mais de ce que tu en avais vu, Netali et Ekko n’étaient pas de mauvaises personnes. Bon le jeune homme aimait bien jouer les petits chefs, mais ça, tu en avais l’habitude, tu avais une personne similaire à la maison.

- Au moindre problème j’appellerais oui, tu as ma promesse papa.

Tu te tiens de rajouter « respire » à la fin de ta phrase, tu savais que ça n’arrangerait pas du tout son humeur maussade. Bien sûr, tu as conscience que derrière cet air contrarié, il n’y a pas que de l’inquiétude. Savoir que ça s’est bien passé ne l’arrange pas. La preuve, il n’a pas dit une seule fois qu’il était content pour toi, contrairement à ta mère. Mais qu’importe, de toute manière, tu avais l’habitude d’être une déception à ses yeux. Choisir un autre chemin que celui qu’il t’avait préétabli, c’est choisir un mauvais chemin. Point barre.
Avant de passer à table, tu en profites pour envoyer un message au cadet de la famille, qui est immédiatement plus démonstratif. Il est super content pour toi et ça te rassure d’avoir au moins un O’Neill qui était à fond derrière toi pour te soutenir. Bon tu ne loupes pas aux remarques d’être prudente et compagnie quand tu vas partir le week end prochain avec des quasi inconnus, mais ça t’agace tout de suite moins qu’avec tes parents. Tu sais que Tim te fait confiance, lui au moins ne te prend pas pour une enfant.


- Et vous allez faire du trek où ?

- Du côté de Ludester, dans les montagnes.

- Dans les montagnes ? En Automne ? Ce n’est franchement pas la meilleure période, vous ne pouviez pas choisir un endroit moins dangereux ?

En voila une belle question piège. Ne rien répondre revenait à avouer que tu étais d’accord avec lui mais lui dire la vérité le mettrait dans une colère noire, tu en étais certaine. Ton père avait changé depuis la mort de sa mère. Il n’avait vraiment fait son deuil, tout comme toi. Savoir que tu allais dans les montagnes pour trouver la fleur qui manquait à son herbier… Non, ça n’apporterait rien de bon de lui dire. Il te dirait surement que c’était futile de te mettre en danger pour ça. Depuis sa disparition, il rejetait tout ce qui pouvait lui faire penser à elle.

- Le temps est plutôt sec en ce moment et on sera prudent. De toute manière, on n’aura pas toujours l’occasion de pouvoir choisir nos explorations, donc en choisir une trop facile pourrait nous flouer quand on se retrouvera dans un environnement plus hostile.

- Tu parles comme si c’était déjà acté que tu allais faire ton stage avec eux.

Ton père est suspicieux, il était difficile de le tromper très longtemps. Tu tâchas de garder son sang-froid, affichant un petit sourire. Après tout, même si Cochrane avait beau avoir déjà pris le document, pour le moment il n’était pas encore signé.

- Bah j’espère que ça va fonctionner oui ! Je suis positive quoi.

Ton père grogne, mais tu n’es pas dupe, la semaine va être longue jusqu’au week end. Heureusement que ta mère ne semblait pas vouloir en rajouter une couche. Tu voyais qu'elle était inquiète, mais elle attendait que vous soyez seule à seule pour te parler. Ca évitait d'entretenir la mauvaise humeur du chef de famille.


644 mots

---

Fuite:

Le membre 'Eillen O'Neill' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'[MOD] Fuite n°1' :