Arcko est le starter Plante de la région d'Hoenn. Il ressemble à un petit gecko, principalement vert, avec une touche de rouge pâle sur le ventre qui remonte jusqu'à sa mâchoire inférieure. Sa queue à la forme d'une feuille épaisse verte foncée. Il a deux yeux jaunes avec une pupille noire et ses pattes ont trois doigts chacune. C'est un pokémon qui reste calme en quasi toute circonstance et qu'il est très difficile de surprendre. A l'inverse, il adore observer l'air surpris de ses adversaires quand il marche à la verticale sur les murs ou même la tête à l'envers quand il est au plafond. De ce fait, Arcko est un pokémon qui est capable de beaucoup d'ingéniosité au combat, même contre un pokémon plus grand ou plus fort que lui.
Comme tout starter, Arcko est maintenant quasi introuvable dans la nature. La capture intensive de cette espèce et la destruction de son habitat naturel à cause de la hausse du tourisme dans la région ont fait qu'il est maintenant donné par les scientifiques présents, en partenariat avec les nombreux éleveurs du coin. Bien sûr il n'est pas impossible d'en voir quelques-uns dans les zones forestières d'Hoenn, disposant d'assez d'humidité dans l'air pour que le lézard soit à l'aise. Mais il faut mieux le laisser dans le coin, afin d'essayer de repeupler la région de ses pokémon sauvages.

Au combat, le petit lézard est avant tout très rapide. Se déplaçant n'importe où, il attend le bon moment pour utiliser son attaque spéciale à l'aide d'une capacité de type Plante. Vu son attaque spéciale de base, il aurait tort de s'en privé ! C'est sa défense spéciale qui vient ensuite, suivit par son attaque, ses points de vie et sa défense. Il faut donc éviter de tomber contre un autre pokémon qui tape hors de ses types. Surtout que ces points de vie ne sont pas très important, dans ce cas la il ne fera pas très long feu. Si vous voulez lui donner un petit coup de pouce avec quelques CT puissantes, il apprend par exemple Lance-Soleil, qu'on peut doubler de Zénith pour oublier le tour de chargement, Eco-shère, Casse-Brique, Aéropique et Noeud d'herbe. Bien sûr, je vous conseille avant d'attendre un peu, pour voir comment votre Arcko veut combattre et si au final l'apprentissage de capacités en dehors de son type est vraiment utile. Au niveau des sensibilités, il est résistant aux types Plante, Eau, Electrique et Sol, alors qu'au contraire les types Feu, Glace, Poison, Vol et Insecte lui causeront beaucoup de soucis !

Pour communiquer, Arcko est largement assez intelligent pour apprendre le langage des signes. Il a certes que trois doigts aux pattes, mais avec un peu de pratique et quelques modifications des signes, ce n'est pas vraiment un problème. Il peut également parler en morse quand la situation lui demande, par mouvements de sa feuille par exemple, vers la gauche pour un son long et vers la droite pour un court, ou inversement. Ou en tirant la langue, il aime beaucoup cette manière, étrangement. Dans tout les cas, c'est typiquement le genre de pokémon qui arrive très bien à se faire comprendre ! Que ce soit par son regard légèrement moqueur a certains moments, ou qu'il prenne une branche pour dessiner grossièrement sur le sol ou même pour vous la lancez, Arcko est un compagnon idéal pour commencer à discuter avec ses pokémon !

Massko est l'évolution d'Arcko à partir du niveau 16, il est de type Plante et il est originaire d'Hoenn. Le petit lézard vert à bien grandit, alors que son corps est maintenant tout en longueur et tout fin. Des feuilles ont poussé à ses poignets et sur sa tête. Celles de sa queue en ont profité pour s'ouvrir également avec l'évolution. La touche de couleur de ce pokémon est son ventre rouge qui remonte jusque son cou et la partie inférieure de sa mâchoire. Ses yeux jaunes à moitié fermés non rien perdu du calme d'Arcko et ils montrent a quel point Massko a gagné en assurance ! Dans la nature, il est invisible pour quasi tous les pokémon sauvage et même les plus rapides de ses adversaires ne peuvent rivaliser avec son agilité hors du commun quand il est sur son territoire. Autant vous dire qu'il sera impossible de le capturer à l'état sauvage dans de telles conditions et que le seul moyen d'avoir et de l'avoir choisi si vous venez d'Hoenn. Pour les autres, on croise les doigts lors des échanges interrégionaux. Il est fort apprécier que ce soit pour les combats que pour la coordination. Il faut avouer que son sérieux en fait un pokémon qui n'a pas peur de passer des heures et des heures pour se surpasser !

Pour les combats, il dispose avant tout d'une vitesse incroyable pour un pokémon de stade intermédiaire. Son attaque spéciale est juste derrière, ce qui lui permet des attaques de type Plante très puissantes ! Ensuite, sa défense spéciale et son attaque sont à égalités et sont plutôt corrects, suivi par des points de vie un peu moyen et une défense tout juste derrière. De ce fait, il est peut être un peu fragile avec le peu de points de vie qu'il a, mais c'est une faiblesse qui peut être comblée par sa défense spéciale si on l'améliore un peu. Mais avec sa vitesse, il est quasiment sûr d'attaquer le premier et de porter des attaques dévastatrices. Certaines CT pourront le booster encore plus de ce côté là : Toxik, Zénith, Lance-Soleil, Casse-Brique, Aéropique, Eco-Sphère, Faux-Chage, Danse-Lames et Plaie-Croix. Au niveau des sensibilités, pas trop de surprise pour un monotype Plante : il résiste bien aux types Plante, Eau, Electrique et Sol, mais attention aux types Feu, Glace, Poison, Vol et Insecte.

Pour communiquer, il dispose de plusieurs façons. La plus simple d'entre elle reste le morse, vu qu'il ne dispose que de deux doigts à ses pattes avant, ce qui rend le langage des signes impossible. Le plus simple reste le mouvement de ses feuilles pour communiquer, si vous avez une oreille attentive. C'est un langage très discret, qui a son avantage lors des combats. Pour un langage plus visible, il peut faire également bouger la feuille de sa tête dans différentes directions, qui peuvent signifier un son long ou un son court en fonction de comment vous le décidez.

Jungko est un pokémon de type plante et il est originaire d'Hoenn. Il est le stade final de la famille Arcko à partir du niveau 36. Le petit lézard à finir par bien grandir pour rester un bipède principalement vert aux allures reptilienne. Les feuilles au niveau de sa queue se sont transformer en un branchage rappelant ceux des sapins. Il a également deux feuilles sur ces avant bras, qui sont extrémement tranchante. Sa mâchoire inférieure est de couleur rouge et il a une bande de la même couleur sur son ventre. Il possède 6 graines sphérique jaune dans son dos qui lui servent de réserves de nutriments. Si l'une d'entre elle se détache, une autre fini par repousser. Avant, on racontait qu'une seule de ces graines suffisaient a faire pousser des forêts luxuriantes et que la forêt de Cimetronelle aurait pousser ainsi.
Malheureusement, aujourd'hui la population de Jungko sauvage est quasiment éteinte a cause de chasses intensives. A cause de ses pouvoirs pour faire pousser des arbres où bon lui semble, il était jugé nocif pour les hommes qui eux, essayaient de garder de la place pour l'agriculture. Aujourd'hui il est une espèce protégée, si bien qu'éleveurs et scientifiques travaillent ensemble pour permettent aux dresseurs débutants de posséder cette famille s'ils le souhaitent.

Pour combattre, Jungko dispose avant tout d'une très bonne vitesse qui lui permet d'attaquer en premier quasiment a coup sur. En plus, son attaque spéciale de base est plutôt élevée si bien que les attaques offensives de type plante sont rapidement puissante ! Sa défense spéciale et son attaque sont à égalités juste après, suivi de ses points de vie puis de sa défense. C'est donc un pokémon rapide et offensif, avec des défenses qui ne sont pas encore trop a la traîne, il est donc assez polyvalent ! De plus, il apprend des CT offensives intéressantes, comme par exemple Poing Eclair, Tunnel, Casse Brique, Tomberoche, Vampi-Poign, Poison Croix, Acrobatie, Centrifugifle et Abattage. De quoi taper dans les faiblesses de pas mal de ses adversaires !
Pour les sensibilités du lézard, il résiste plutôt bien aux types Plante, Eau, Electrique et Sol. Attention toute fois si jamais vous l'envoyez contre des adversaires de type Feu, Glace, Poison, Vol et Insecte !

Pour communiquer avec un Jungko, plusieurs méthodes sont possibles grâce au fait qu'il soit un pokémon bipède. Toute fois, comme il ne possède que trois doigts à ses pattes avant, je vous déconseille d'essayer de lui apprendre le langage des signes. Même s'il a perdu la grande feuille sur sa tête, qui était bien pratique pour le morse, il peut globalement faire la même chose avec la branche de sapin à sa queue pour l'agiter vers la gauche ou la droite pour un son long ou court. J'avoue que cette façon de faire me faire assez rire, on dirait qu'il est content quand il parle, à l'image d'un canidé, mais son air reste globalement blasé – a moins que ce soit justement parce que je rigole... ? - Sinon la technique du son avec les feuilles marche encore mieux pour ceux qui ont une bonne oreille, maintenant qu'elles sont sifflante quand elles tranchent l'air.

Poussifeu est le starter de type Feu de la région d'Hoenn. C'est un oiseau ressemblant à un poussin, principalement orange avec ses petites ailes jaunes et trois plumes sur sa tête de la même couleur, rappelant des flammes avec leur base orangée. Son bec comme ses pattes sont crème et il a deux yeux ronds et noirs.
C'est un pokémon de nature curieuse et qui met généralement plein de vie dans les aventures de son dresseur ! Il est l'un des pokémon feu les moins impulsifs, il aime être tranquille, faire des câlins et certains sont même un peu peureux sur les bords. Pour le moment on est bien loin des starters feu plus caractériels tels que Flamiaou ou Salamèche. A l'état sauvage on pouvait les voir en petit groupe avec un Galifeu ou un Braségali pour les surveiller, dans les alentours des zones chaudes d'Hoenn. Il n'était donc pas rare de les voir près des sources chaudes de Vermilava ou encore dans le désert pour les plus téméraires d'entre eux. Mais en raison de sa rareté, il a subi des captures intempestives qui ont réduit très fortement le nombre d'individus sauvages, aujourd'hui il existe des programmes mis en place chez les éleveurs pour essayer d'en réintroduire dans la nature.

Pour combattre, le petit poussin de feu dispose d'une solide attaque spéciale, suivi d'une attaque des plus correcte. Les défenses, spéciale et normale, suivent et sont tout à fait honorables pour un pokémon de base. Ses principales faiblesses sont sa vitesse et ses points de vie un peu faible. Il faudra donc faire en sorte que le combat ne dure pas si vous voulez voir votre Poussifeu vainqueur !
Bien sûr, il dispose de capacités de type Feu, mais également de types Normal, Vol et même une capacité de type Sol. Attaquant a coup de Griffe dans un premier temps pour se protéger, en grandissant il sera capable de faire ses premières attaques Flammèche. Picpic suivra peu de temps après quand son adversaire voudra être un peu trop proche de lui et pour les plus téméraires, il pourrait même commencer à attaquer le premier avec une capacité Vive-Attaque. En gagnant de l'expérience, il apprend des capacités telles que Rebondifeu, Tranche et Lance-Flammes, de quoi impressionner ses adversaires qui ont bien du mal à le prendre au sérieux avec son petit côté maladroit.
Et si vous voulez lui donner un coup de pouce, il apprend quelques CT intéressante qui pourraient être utiles vu son attaque de base élevée. Ca serait dommage de ne pas en profiter après tout ! Toxik, Tunnel, Tomberoche, Aéropique, Chant Canon, Griffe Ombre et la CS Eclate-roc sont des capacités qui pourraient très bien donner un coup de pouce a votre petit pokémon !

Pour communiquer, ses petites ailes encore bien jeunes ne lui sont d'aucune utilité pour essayer un langage des signes. Pour peu d'avoir essayé de les utiliser, Poussifeu perd même l'équilibre et fini par tomber ! Je me suis donc rabattue sur le morse, bien plus simple dans son cas. Il peut par exemple utiliser ses pattes, pour frapper le sol, ou même laisser des traces plus ou moins longues pour parler en morse. Son bec peut être également une bonne solution, pour frapper les troncs d'arbres tel un pivert, mais attention qu'il ne n'attrape pas mal au crâne à cause d'une trop grande utilisation de cette technique !

Évoluant au niveau seize, votre petit poussin chauffant peut devenir un Galifeu, gagnant ainsi en taille et en envergure. Gardant ses couleurs chaudes d'origine, Galifeu possède le bas du corps d'un orange enflammé, comme s'il avait un pantalon, alors que le haut est d'un jaune assez doux, couleur poussin, montrant que notre petit poulet n'est pas encore un adulte, loin de là. Les trois plumes sur sa tête sont passées du jaune à l'orange, orange que l'on retrouve aussi sur son bec et dans ses yeux pleins de détermination. Il possède maintenant trois griffes acérées à chaque bras, ainsi que des pattes plus puissantes avec des griffes a chaque doigts. En grandissant, Galifeu a prit goût à l'entrainement, il court énormément pour se muscler et donner des coups de pied incroyables, allant jusqu'à dix coups par seconde ! Mais il ne perd en rien en sa nature obéissante et douce. Bien qu'il aime botter les fesses des autres Pokémons, ou les cramer, au choix, il sera toujours aussi ravi de vous servir de bouillotte lors d'un câlin !

Lors des combats, ce qu'on peut dire, c'est que l'entrainement paie toujours ! Bien que ses attaques feu deviennent bien plus menaçantes, il a apprit à se servir de ses bras et de ses jambes, lui donnant le type combat. Ainsi, il se voit offrir une double résistance au type insecte, en plus de résister aux types ténèbres, plante, glace, feu et acier. Il perd même sa faiblesse à la roche, mais ne soyez pas dupe, il en gagne évidemment d'autres malheureusement. Il devient donc sensible aux attaques de types vol, sol, psy et eau. On ne peut hélas pas avoir le beurre et l'argent du beurre, désolée... Mais bon avec des attaques comme double-pied ou nitrocharge, il fait quand même son travail, on ne peut pas lui reprocher ça !

Au niveau communication, c'est un ange ! Si vous faites passer les exercices à lui apprendre à parler pour un entrainement, il vous suivra sans poser aucune questions ! Maintenant qu'il possède des bras, je vous conseille le langage des signes, bien plus pratique que le langue morse lorsqu'il était un Poussifeu. Bien sur rien ne vous empêche de continuer sur la même lancé, mais Braségali possède des pattes plumeuses, du coup, je vous conseille de faire la transition, pour plus de facilité entre vous deux !

Braségali est un pokémon de types Feu et Combat, originaire d'Hoenn. Il est l'évolution finale de Poussifeu et Galifeu, à partir du niveau 36. Le petit poussin à bien grandit, devenant un fier coq de combat, avec un petit côté rapace en prime ! Alors que ses couleurs principales restent surtout le rouge et le jaune, qu'on retrouve sur son visage, ses bras et ses jambes, de longues plumes blanches ont également poussées sur sa tête et sur son torse. Les plumes qui parcourent son corps sont si longues qu'on voit à peine les serres de ses pattes arrières. Seuls les plumes de ses bras sont courtes, laissant ses mains nues. Au niveau du visage, il à deux longues et fines plumes rouges, comme deux antennes, ses yeux sont jaunes avec les pupilles bleues.
Ne vous attendez pas à en voir un dans la nature. En effet les Braségali sont une espèce en voie d'extinction à l'état sauvage, ce qui lui a donné son rang de starter feu d'Hoenn depuis de nombreuses années. Pour les rares survivants, on dit qu'ils vivent sur le Chemin Ardent et les alentours de Vermilava, bien qu'on en ait plus observé depuis un moment. Pourtant, de temps en temps, on retrouve un œuf de Poussifeu près des sources chaudes, seule preuve qu'ils sont encore la quelque part. C'est un pokémon plutôt calme et réservé, peut être même l'une des seules espèces à ne pas être caractériels comme quasi tous les starters feu des différentes régions. C'est également le seul à ne pas avoir de flammes visibles sur le corps.

Pour combattre, Braségali dispose d'une attaque et d'une attaque spéciale très impressionnante ! Ses points de vies et sa vitesse restent également correctes, alors que sa défense et sa défense spéciale ne sont pas très loin derrière. De ce fait Braségali peut être parfait pour donner des coups bien puissants en premier pour peu qu'on l'entraine sur sa vitesse. Après vous pouvez aussi privilégier ses défenses pour qu'il tienne plus longtemps sur le terrain. En tout cas, il est aussi doué dans son double-type que dans les autres pour peu qu'on lui apprend quelques CT, telles qu'Aiguisage, Lance-Soleil, Séisme, Casse-Brique, Lance-Flammes, Aéropique, Griffe Ombre et Direct Toxik. Ainsi, l'oiseau de combat montre clairement qu'il n'est pas là pour rigoler et il n'a plus besoin de faire ses preuves vu comment on le retrouve dans les combats de haut niveau !

Pour communiquer, son allure de bipède l'aide à pouvoir communiquer par le langage des signes. Par contre celui-ci reste relativement limité, car Braségali ne dispose que de trois doigts comparé à nous et en plus ils restent relativement souvent sous forme de serres ce qui limite les mouvements. Mais sinon le morse reste une manière tout à fait utilisable, même de manière plus simple que le langage des signes d'ailleurs. Que ce soit de manière brutale, en utilisant des flammes ou des coups de poings ou de pieds pour réaliser une rythmique à lire, il sait également faire preuve de finesse en utilisant ses griffes pour écrire le morse. Mais cette option ne marche que pour les plus patients d'entre eux !

Gobou est un Pokémon Poissonboue. Petit spécimen originaire d’Hoenn, ce Pokémon est d’une peau bleue aux teintes foncées au niveau de son dos, ses pattes et sa tête, alors que celle-ci prend des teintes plus claires sur son ventre, sous sa mâchoire et au niveau de ses nageoires. Des nageoires, il en possède deux. Une derrière ses pattes arrière, qui lui sert notamment de gouvernail lorsqu’il nage mais lui permet aussi de pousser des accélérations impressionnantes sous l’eau. L’autre, sur sa tête, au dessus de ses deux grands yeux noirs qui ne cessent d’observer le monde autour d’eux d’un air curieux, est un véritable radar. Grâce à elle, Gobou est capable de sentir tous les mouvements autour de lui, que ce soit sur terre ou en milieu aquatique, et ce même s’il ferme les yeux. Cela représente donc un avantage stratégique des plus impressionnants permettant au petit Pokémon Poissonboue de ne jamais se faire surprendre. En plus de ces atouts non négligeables, Gobou possède de grandes branchies orange situées sur ses joues qui lui permettent de respirer indéfiniment aussi bien sous l’eau qu’à la surface, ce qui fait de lui un Pokémon des plus polyvalents pour les nouveaux dresseurs. Pokémon hélas en voie de disparition, de nombreux élevages basés sur Hoenn tentent tant bien que mal de réintroduire le spécimen dans la nature. Ces derniers distribuent d’ailleurs régulièrement des Gobou aux scientifiques de la région afin que ceux-ci puissent sensibiliser les nouveaux dresseurs et leur proposer en tant que starter. Car de toute évidence, il ne fait nul doute que Gobou est un excellent Pokémon pour les dresseurs débutants. Agréable, facile à vivre, ce petit être a beau être mignon à souhait, il n’en est pas moins costaud. En effet, malgré le fait qu’il fasse partit des petits gabarits, Gobou est capable de briser un rocher massif d’un seul coup. De quoi faire trembler les Pokémons de la première arène d’Hoenn.

Comme expliqué précédemment, Gobou est petit mais costaud et il le fait clairement sentir au combat. Possédant en effet une force de frappe physique assez intéressante pour un Pokémon non évolué, il est plus ou moins correct et parfaitement équilibré dans tous les autres domaines. Il n’est donc pas exclu que votre petit Pokémon Eau se retrouve à frapper sur le plan physique, spécial, ou même les deux avec suffisamment d’entrainement. Pour commencer en frappant sur le plan physique, l’attaque Jet-Pierres devrait l’aider un peu, cependant même s’il pourra plus tard accéder à d’autres types d’attaques, il reste indéniable que la majorité de ses capacités restent de type Eau lorsque Gobou est encore jeune. S’il n’évolue pas trop tôt en Flobio, il sera même capable d’accéder à l’attaque hydrocanon ! Assez résistant aux attaques Feu, Eau, Glace et Acier, ne laissez pas trop votre petit compagnon combattre les Pokémons Plante ou Electrique pour ne pas le retrouver au tapis avant qu’il n’ait eu le temps de se donner à fond.

Gobou partage des origines communes avec la famille d’Axoloto, tandis que leur ancêtre est apparu lors du Silurien. A l’époque, celui-ci ressemblait à un reptile aux deux pattes antérieurs inexistantes et aux deux pattes postérieures palmées. Il possédait déjà une nageoire radar sur la tête, et mesurait un peu moins d’un mètre de long. Cette espèce continuera de vivre ainsi au fond des océans pendant des centaines d’années, échappant aux Léviators et autres prédateurs grâce au travail d’équipe. Cependant, ils finiront par venir gouter à la vie terrestre vers la fin du Permien comme beaucoup d’espèce. Si les Gobou sauvages ont aujourd’hui quasi-intégralement disparu, c’est parce que les premières civilisations les traqueront sans relâche durant l’antiquité, persuadés que la viande de ce petit spécimen les rendrait plus fort et plus courageux.

Flobio est un Pokémon Poissonboue. Originaire d’Hoenn, il est la forme évolué du petit Gobou. Plus grand et plus robuste qu’autrefois, votre compagnon aquatique a maintenant prit le type sol pour type secondaire. Les branchies sur ses joues étaient toujours présentes, une nouvelle tâche de la même couleur est apparue sur le ventre de ce spécimen lors de l’évolution. Couleur également présente dans ses yeux à présent. Si sa nageoire radar est toujours bien présente, disposé sur le haut de son crâne, son ancienne nageoire caudale s’est finalement dédoublée, alors que les trois ont prit une couleur gris anthracite. Ses pattes avant, bien plus développées que lors de sa pré-évolution, arborent maintenant fièrement des doigts, bien qu’épais et grossiers. Ses pattes arrières de leur coté, bien qu’un peu plus petite que les antérieures, sont extrêmement musclées. En effet, si Gobou prenait plaisir à barboter dans l’eau, Flobio lui, prend un plaisir fou à barboter dans la boue. Gadoue, vase, sable mouvant ou humide à la marée basse… tant qu’il peut s’en enduire et que ça lui colle à la peau, Flobio est le plus heureux de Pokémon. Mais c’est justement à force de lutter et évoluer dans ces environnements difficilement praticables que le Pokémon Poissonboue à fini par obtenir cette force dans ses pattes postérieures. A tel point d’ailleurs que Flobio est maintenant capable de se déplacer nettement plus vite dans la vase que dans l’eau. Dans la foulée, il a réussi à acquérir une dextérité telle que se déplacer à la façon d’un bipède n’est plus un souci pour lui. D’autant plus que ; son corps étant recouvert d’un film de peau extrêmement fin lui permettant de conserver de l’humidité pendant de très longues périodes, Flobio peut se déplacer sans problème sur la terre ferme sans avoir besoin de retourner s’hydrater au point d’eau le plus proche et ce des semaines d’affilé s’il le souhaite. S’il existe encore quelques Flobio à l’état sauvage, il vous faudra vous lever tôt pour espérer en attraper un. En effet, ces derniers ne s’éloignant que très rarement de leurs zones de confort, à savoir des terrains difficilement praticables : il vous sera quasi-impossible de mettre la main dessus avant que celui-ci ait réussi à prendre la fuite, vous couvrant de boue au passage.

Comme son dernier stade évolutif, Flobio a la particularité d’avoir un double type relativement rare et intéressant. En effet, les types eau et sol peuvent lui permettre de frapper assez fort sur deux types qui, offensivement parlant, peuvent ensemble couvrir un large éventail de faiblesse. Avec des capacités comme Séisme ou Ocroupi obtenues naturellement, et l’accès notamment aux CT Surf, Cascade ou Ebullition, Flobio pourra sans aucun doute envoyer plus d’un adversaire au tapis, et qui plus est avec des capacités couvrant de larges zones d’effet. Si toutefois votre Flobio se trouvait finalement vouloir profiter de sa statistique la plus élevée à la naissance, à savoir l’attaque physique, sachez qu’il lui sera tout de même possible de frapper sur d’autres types tout aussi intéressant… bélier, éboulement, laser glace, Cradovague, Casse-brique, Dégommage… les possibilités sont multiples. Enfin, sachez que défensivement parlant, son double type permettra à Flobio de se passer complètement de son ancienne faiblesse au type électrique pour à présent ignorer purement et simplement ce genre de capacité. Toutefois, ce sont vos rivaux ayant choisis Arcko au laboratoire du professeur Seko qui vont être content. Le type plante, c’est assurément la plus grande faiblesse de Flobio et il lui faudra à présent fuir certains adversaires comme la peste.

L’évolution de Gobou en Flobio date bien évidemment de l’arrivée de Gobou sur la terre ferme, et ainsi du Permien. En effet, dans la suite logiques des choses tandis que les petits Gobou débarqueront sur terre, ils souffriront bien souvent de leur difficulté à se déplacer hors de l’eau – du moins dans un premier temps – et feront ainsi des proies extrêmement faciles pour leurs prédateurs. Désireux de se rebeller contre cette nature cruelle, la majorité d’entre eux migreront vers des régions plus difficiles à traverser où la vase est reine. La suite de l’histoire, vous la voyez déjà venir : L’évolution étant la plus puissante des forces, les Gobou apprendront à se déplacer au sein de ces nouveaux écosystèmes pour finalement devenir de véritables rois de la glisse : Flobio.

Laggron est le stade final d'évolution de Gobou et Flobio, à partir du niveau trente six. Il est originaire d'Hoenn et il possède le double type Sol et Eau. En évoluant, Laggron est devenu plus imposant et il se déplace à quatre pattes. Toujours principalement bleu, avec un ventre plus clair, il a des excroissances orange sur chaque patte et sur les joues qui finissent en deux pointes agissant comme des radars sous l'eau. Il a également trois nageoires, deux justes au dessus des yeux et la dernière sur l'arrière train. Ce Pokémon est tellement fort qu'il est capable de soulever de gros rocher qu’il empile d’ailleurs autour de son habitat naturel dès qu’il sent la moindre tempête arriver à l’aide de ses nageoires qui sont de véritables radars ! De ce fait, il est très difficile de le débusquer dans la nature. De toute façon, je ne vous conseille pas d'essayer de le capturer, un Pokémon capable de soulever des pierres d'une tonne, j'éviterais de l'énerver si j'étais vous ! Mais si vous l'avez en tant que dresseur originaire d'Hoenn ou bien suite à un échange, il est généralement protecteur et obéissant. Il aime faire plaisir et il n'hésite pas à se plier en quatre pour y parvenir, c'est peut être de là qu'il tient sa force ! Quand les conditions le permette, il peut même méga-évoluer, ce qui lui permet d'être encore plus costaux et bourrin. Autant vous dire qu'ils ne vont pas rigoler vos adversaires !

Justement parlons combat, bien que son attaque spéciale soit plus faible que son attaque ce qui s’avère être un peu dommage, il a quand même de quoi tenir la route : Boue-Bombe, Eboulement, Ocroupi, Bélier, Séisme et même Marto-Poing ! En plus, il apprend quelques CTs très intéressante, comme Laser Glace, Tunnel, Casse-Brique, Cradovague ou encore Ebullition ! De quoi lui offrir des attaques un peu plus précises que celles précédemment citées ! Surtout qu'il n'est pas très rapide, si bien que s'il pouvait ne pas louper ses attaques, ca ne serait pas du luxe. Par contre il a de belles défenses et encaisse sans soucis. Surtout qu'il est insensible au type Electrique grâce à son type Sol, ce qui lui fait une faiblesse de moins, alors qu'il est également résistant aux types Feu, Poison, Roche et Acier. Par contre, attention au type Plante, contre lequel il est très faible. Etant toutefois sa seule bête noire, il est asse aisé de le placer en match !

Pour parler avec lui, on peut tout à fait utiliser le langage des signes, il faudra juste l'adapter car il n'a que trois doigts. Mais étant donné que les Pokémons capables de l’apprendre son rares, c'est intéressant de le souligner ! Sinon, grâce a ses excroissances gonflables sur les joues, il peut tout à fait parler en morse également, autant sur terre que dans l'eau et c'est un petit plus sympa si vous voulez faire de la plongée avec lui. Un son court en les dégonflant, un son long en les gonflant, rien de plus simple ! Sinon, la méthode ultime, pour les représentants les plus intelligents, c'est de lui apprendre à écrire dans la boue. En effet avec ces capacités de type Sol, il ne manquera jamais de surface pour écrire, mais c'est une solution très difficile, n'hésitez pas à en changer si vous voyez que cela ne fonctionne pas !

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Chenipotte est un pokémon insecte originaire d'Hoenn. Il est connu pour avoir deux évolutions possibles, à savoir Armulys et Blindalys, mais surtout car, il évolue au hasard entre ces deux évolutions. Impossible à l'heure actuelle de déterminer comment il choisit sa forme, même si personnellement, je pense que la personnalité du pokémon en question doit énormément jouer sur la forme qu'il préfère avoir.
C'est donc une petite chenille principalement rouge, notamment sur le dos et le haut de la tête, alors que le bas de son visage ainsi que son ventre. Il possède de grands yeux jaunes avec des pupilles noires, une corne jaune sur le front ainsi que deux pics sur le postérieur, de la même couleur. Bien qu'il ne possède pas le type Poison, les fameux pics lui permettent de réaliser l'attaque Dard-venin, donc éviter de les toucher ! Il possède également dix pattes très simplistes, qui comme tous ses cousins chenille du style Chenipan ou encore Aspicot, lui permettent de grimper partout, surtout sur les arbres pour se nourrir des feuilles.
C'est un pokémon très commun de la région, si bien qu'on les retrouve facilement dans toutes les zones boisées, où il peut se nourrir et se cacher. On le trouve autant en solitaire quand petit groupe et il n'est pas très hostile à l'homme. Pas peureux, plutôt curieux, il n'hésitera pas à venir vous voir tant que vous ne l'attaquez pas. Lui lancer une pokéball sans même le combattre suffit bien largement, ce qui en fait un pokémon parfait pour les débutants !

Niveau combat, c'est un pokémon qui convient également très bien pour les premiers essais. Disposant de points de vie assez correct, ainsi que d'une bonne attaque, il a également une défense et une défense spéciale qui lui permettra de tenir si vous faites des erreurs de stratégies qui peuvent arriver à tous. Son attaque spéciale et sa vitesse par contre ne sont pas terribles du tout, mais bon, on ne peut pas tout avoir ! Mais bon, au pire commencer par lui faire lancer une attaque Sécrétion ou deux et sa faiblesse pourrait être vite compensé ! Surtout que c'est une attaque de zone, alors c'est toujours bien pour le faire monter de niveau rapidement. Sinon il dispose de Charge et de Dard-venin, qui ont le mérite de faire bien mal vu que c'est son attaque qui est supérieure à son attaque spéciale. Après, soit pour essayer de le laisser sous cette forme pour l'attaque Piqûre qu'il apprend au niveau 15, ou bien vous le laissez évoluer rapidement pour qu'il apprenne d'avantage d'attaques sous sa forme finale. Surtout qu'il n'apprend aucune CT ou CS. Niveau faiblesse, Chenipotte résiste plutôt bien aux types Plante, Combat et Sol, mais ne fera pas le poids contre les types Roche, Vol et Feu.

Pour communiquer, sa physiologie laisse peu de place à l'imagination. Et ses pattes sont tellement petites que même pour parler en morse ca devient vite compliqué. Par contre, comme toutes ses congénères chenilles, avec l'attaque sécrétion, il est capable de faire des dessins assez grossier, mais qui reste compréhensible. Si jamais le vôtre n'a pas la fibre artiste en lui, il peut toujours utiliser ses pics comme d'un métronome, en accélérant ou ralentissant pour un son court ou long !

Armulys est l’une des évolutions possibles de Chenipotte à partir du niveau 7. Il est de type Insecte et il est originaire d’Hoenn. C’est un gros cocon tout blanc et ovale, dont plusieurs fils ressortent pour potentiellement s’accrocher sur une surface le temps d’évoluer à nouveau. Une pupille rouge sur le côté gauche est la seule chose qu’on peut voir du pokémon en lui-même. Le décrire plus en détail est donc un peu compliqué, à moins que vous ne soyez un savant fou et que vous avez envie de lui enlever sa coquille protectrice. Mais comme ce n’est pas le genre de la maison, vous n’aurez rien de plus comme détails, désolé !
Globalement pour le trouver, ce n’est pas très compliqué, vous allez dans une forêt d’Hoenn ou même en bordure et vous regardez dans les arbres, il est fort probable qu’ils sont en masse sur certaines branches pour se protéger. Bon après il faut juste que vous fassiez attention à ne pas capturer un Blindalys par erreur si jamais vous voulez un Charmillon plus tard. C’est d’ailleurs une méthode plus efficace qu’attraper un Chenipotte si vous voulez vraiment choisir l’évolution finale de votre pokémon. Mais si jamais vous n’avez pas de préférence, c’est toujours mieux de capturer le stade de base pour consolider le lien affectif. Surtout qu’établir un lien avec un Armulys est un peu compliqué, ne vous attendez pas à ce qu’il saute de joie si jamais vous essayez de lui faire un câlin, vu qu’il ne peut pas trop bouger.

Comme on peut s’y attendre pour combattre, ce n’est clairement pas le choix le plus optimal que vous pouvez faire si jamais vous cherchez à vous protégez d’un pokémon sauvage. Et même d’une manière générale, c’est assez galère de le faire gagner suffisamment d’expérience pour qu’il puisse de nouveau évoluer dans une forme plus mobile. Comme on peut s’y attendre au niveau de ses statistiques, Armulys dispose avant tout d’une bonne défense et d’un bon nombre de points de vie. Ensuite il a une attaque acceptable, ainsi qu’une attaque spéciale et une défense spéciale pas trop mauvaise. Mais son défaut, forcément vu sa mobilité, c’est sa vitesse. Autant dire que le pokémon adverse a quasiment le temps de le frapper deux fois avant que celui-ci ne se décide à contre attaquer. Et à ce stade, il n’apprend pas de CT histoire de pouvoir lui donner un cheat code qui le ferait évoluer plus vite. Donc en gros, bon courage !
Au niveau des sensibilités, pas de grosses surprises vu son monotype Insecte : Il résiste bien aux types Plante, Combat et Sol mais il sera totalement à la merci des types Feu, Vol et Roche.

Pour communiquer… autant dire que c’est quasi mission impossible. Je vous jure que j’ai failli abandonner étant donné qu’il n’a pas de membres apparemment qu’il pourrait agiter pour parler, qu’il peut à peine bouger – j’ai encore des doutes qu’il mouve volontairement d’ailleurs, vu que la plupart des cas c’est qu’il tombe sur le côté en roulant – donc franchement, c’est peut-être l’une des espèces les plus compliqués pour échanger, avec son jumeau maléfique Blindalys. Est-ce que j’ai abandonné pour autant ? Non, au W.A.dex on n’est pas comme ça. A force d’étudier ce pokémon, je me suis rendu compte qu’il pouvait émettre un bourdonnement. Une espèce de ronronnement en quelque sorte. Alors ce n’est pas forcément facile de le motiver, parce que le pokémon qui est à l’intérieur du cocon est dans un état un peu méditatif en attendant sa prochaine évolution, mais pour les moments où il est un peu éveillé, un bourdonnement plus ou moins fort pour essayer de communiquer en morse, c’est faisable. Après, en toute franchise, le temps que vous arriviez à mettre cela en place, il est fort probable qu’il évolue entre temps en Charmillon, donc à votre place je ne m’embêterais pas trop.

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Nénupiot est un Pokémon Aquaplante. Petit Pokémon originaire de la région d’Hoenn, il ne mesure que cinquante centimètres pour moins de trois kilos au total. Le moins que l’on puisse dire sur ce Pokémon, c’est qu’il possède une physionomie assez déroutante. Possesseur de six petites pattes, son corps est recouvert d’une peau lisse et bleu, ne laissant ainsi dépasser que ses deux petits yeux et son étrange bec jaunâtre. Sur sa tête trône une grande et épaisse feuille, semblable à un nénuphar, qui se trouve être extrêmement importante pour Nénupiot. En effet, c’est notamment grâce à elle que notre petit Pokémon est capable de rester en pleine forme même sur la terre ferme : bien hydratée et gorgée d’eau, celle-ci lui permet de stocker de l’eau tout en étant protégé du soleil. Ainsi, même par un temps ensoleillé, Nénupiot est capable de se balader sans dépérir desséché. Elle fonctionne d’ailleurs comme un excellent indicateur : Si celle-ci semble fanée, c’est que Nénupiot manque d’eau et qu’il a besoin de se baigner ou au moins de boire un peu. A l’état sauvage, il n’est pas rare de les voir se balader en groupe d’une dizaine d’individus. Ensemble, ils partent à la recherche d’un point d’eau le plus pur possible, pour pouvoir profiter de ce nouvel habitat et se nourrir des algues et autres végétaux du coin. Pour se reposer, ils laissent leur corps flotter à la surface, laissant ainsi simplement leur feuille dépasse au dessus du niveau de l’eau. Par ailleurs, c’est aussi un moyen de camouflage très efficace, car à moins d’être un expert, il est très difficile de faire la différence entre la feuille d’un Nénupiot et un véritable nénuphar. Si vous apercevez une personne s’adresser à des feuilles de nénuphar au hasard au beau milieu d’un point d’eau, ne cherchez pas plus loin, c’est un dresseur qui est à la recherche de son compagnon de route. Au sein de votre équipe, vous vous rendrez vite compte que Nénupiot est un amour. Toujours là pour rendre service, il est vivement recommandé pour les dresseurs débutant tant il est facile à vivre. A la moindre occasion, il saura se montrer présent pour vous venir en aide, que ce soit à vous, dresseur, coordinateur ou même auprès de vos autres compagnons. Il n’est d’ailleurs pas rare de voir certaines Nénupiots encore sauvage aider les autres Pokémons à traverser des points d’eau en les promenant sur leur feuille. N’est-ce pas l’un des Pokémons les plus adorables que vous pourriez croiser ?

Qu’on se le dise, sous sa première forme évolutive, Nénupiot n’est pas forcément le Pokémon le mieux taillé pour combattre. Assez faible dans bien des domaines, il possède toutefois une défense spéciale un peu au dessus, qui lui permet tout de même d’encaisser quelques coups sans trop broncher, à condition que ses adversaires ne soient pas non plus des combattants hors pair. Par chance, son double type Eau – Plante lui permet tout de même d’avoir une couverture offensive sur le type spécial assez intéressante. Avec l’accès aux compétences de drain de vie de type plante comme Vol-Vie, Méga-Sangsue et Giga-Sangsue, il pourra tout de même se maintenir sur pieds quelques temps lors d’un combat, mais il ne faudra pas trop lui en demander. De plus, sachez que la table des types ne pardonnera pas toujours votre petit compagnon, et qu’il est donc très important de ne pas le laisser exposé aux attaques de type insecte, vol et poison.

Nénupiot est né lors du silurien. Si la taille du petit Pokémon Aquaplante n’a jamais vraiment changé au fil des siècles, il a été plutôt indécis lors de ses premiers pas sur terre. D’abord habitant des fond marins, les premiers Nénupiot sortirent leur bec hors de l’eau vers l’arrivée du Jurassique. Le niveau des océans ayant diminué, ces derniers ont eu l’opportunité de gouter à la vie terrestre, sans doute à la recherche de territoires fertiles où ils pourraient se nourrir d’une multitude de végétaux. Toutefois, la nature étant ce qu’elle est, l’espèce subit de lourdes pertes. Proposant une proie facile pour bien des prédateurs, la vie sur terre ne leur réussit que très moyennement, et c’est lors du Crétacé que les lois de la mutation génétique proposèrent un coup de pouce au petit spécimen, lui offrant ainsi cette fameuse feuille que nous lui connaissons afin de lui permettre de se camoufler au fond des lacs, étangs et marais.

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Grainipiot est un Pokémon Gland. Petit spécimen de mono type plante et originaire de la région d’Hoenn, il ressemble fatalement, comme sa classification officielle le laisse présager, au fruit du chêne. Mesurant une cinquantaine de centimètre en moyenne pour un peu moins de cinq kilos, le Pokémon Gland, bipède, est complètement dépourvu de bras. Ses deux petites pattes, beiges, partagent leur couleur avec le motif autour de ses deux grands yeux noirs. Le reste de son « buste », quant à lui, est d’un marron déjà plus foncé. Il possède de plus une sorte de chapeau grisâtre en tout point identique à celui d’un véritable gland. Logeant généralement dans les forêts Hoenniennes, les Grainipiots ont l’habitude de vivre en petits groupes de 4 à 5 individus maximums. Bien que l’espèce soit relativement sociale, ses représentants restent suffisamment gourmands et territoriaux pour se partager les forêts de la région afin de ne pas tous se retrouver suspendus aux mêmes arbres. En effet, bien que notre cher Grainipiot ne possède pas de bras – ce qui pourrait se révéler être un véritable handicap pour réussir à se nourrir – il lui suffit en réalité en quelques bonds de se suspendre aux branches les plus basses des arbres avec l’excroissance située au sommet de son chapeau. Ainsi, il pourra, accompagné de ses autres camarades Grainipiot, se repaitre de l’eau, la sève ainsi que de différents nutriments de sa « proie ». Ainsi, il pourra se nourrir jusqu’à finir par s’écraser sur le sol sous le poids de son festin, à moins que ce ne soit le vent ou un autre Pokémon qui ne provoque sa chute. Car s’il peut en général profiter pleinement de ces moments de tranquillité perché au dessus du sol, il arrive parfois que certains Pokémons – voir même dresseurs ou coordinateurs entre autres – en viennent à confondre le Pokémon gland avec un fruit ou une baie de grosse taille.
Si vous cherchiez donc à en capturer un, sachez qu’il sera donc plutôt aisé d’en croiser lors d’une balade en forêt si vous levez un peu la tête en direction des branches.
Vous vous en doutiez sans doute, Grainipiot n’est pas forcément un grand combattant. En effet, du haut de ses quelques centimètres, le petit Pokémon Gland ne dispose pas d’un arsenal extraordinaire. Malgré tout, le fait qu’il soit capable d’encaisser les attaques physiques avec un peu plus d’aisance reste notable. Pour autant, n’envoyez pas votre petit camarade comme un véritable mur pour encaisser les attaques les plus dévastatrices, il reste un petit Pokémon de premier stade évolutif. D’autant qu’il n’aura malheureusement pas forcément accès à une multitude de capacités offensives… si ce n’est Patience et par la suite, Explosion. Si vous souhaitez éviter d’envoyer votre Pokémon combattre comme un simple kamikaze, il faudra donc sans doute envisager de lui permette une évolution au plus vite… ou bien de dépenser quelques pokédollars en Capsules Techniques. Coté table des types, son mono-type plante lui permettra au moins se de défendre correctement contre les attaques Sol, Electrique, Eau et Plante. En revanche, s’il n’est déjà pas bien solide, Grainipiot ne fera pas de vieux os s’il reçoit des attaques Insecte, Vol, Poison, Glace ou encore Feu.

Grainipiot fait partie de cette multitude d’espèce ayant vu le jour lors du Crétacé. En effet, si les premiers ancêtres de cette espèce étaient en réalité de type Normal et vivaient lors du Jurassique, l’avènement d’une grande population de prédateurs forcera ces spécimens à s’enfoncer dans les forêts tropicales de ce qui deviendrait plus tard la région d’Hoenn. A force de fuite et en apprenant au fil des générations l’art du camouflage, la forme physique de Grainipiot se rapprochera de plus en plus de celle que nous connaissons aujourd’hui, jusqu’à ce que celui-ci soit finalement capable d’échapper sans soucis à ses prédateurs naturel en se fondant dans le décors des milieux forestiers.

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Goélise est un pokémon possédant le double type Eau et Vol. Il est originaire de la région d'Hoenn. C'est une espèce aviaire, avec un corps ovale assez petit et qui donne l'impression que sa tête en fait parti intégrante. Ses ailes au contraire sont beaucoup plus grandes, ce qui lui permet de planer sur de très longue distance. Il est recouvert de plumes blanches, avec des plumes bleues sur les ailes qui forment un trait sur chaque et au bout des rectrices.
Comme son double type le laisse entendre, c'est un oiseau qu'on retrouve principalement sur les côtes. Grâce à l'envergure de ses ailes, on n'a aucun mal a le retrouver sur des îles éloignés ou a le voir suivre des bateaux en pleine mer. Pokémon curieux et sociable, il vole souvent par bande et hésite pas à venir vous approcher si jamais vous essayer de le nourrir avec un bout de biscuit.

Au niveau de ses statistiques, notre oiseau des mers dispose d'une bonne vitesse qui lui donnera l'opportunité d'attaquer avant certains adversaires, surtout si ce sont des pokémon non évolué. Son attaque spéciale est également appréciable, surtout qu'il apprend principalement des capacités offensives de son double type naturellement. Pour le reste, c'est plutôt moyen et il faudra bien l’entraîner pour palier a ses faiblesses naturelles. Ses points de vie sont plutôt faiblard, hors sa défense spéciale et sa défense n'arrange pas du tout la chose. Pour finir son attaque faible de base fait que l'utilisation de CT serait trop coûteux pour que ce soit réellement intéressant. Il apprend quand même deux trois choses qui peuvent valoir le coup de casser votre tirelire, comme Toxik, Danse Pluie, Ebullition par exemple. Pour le reste, attendez de voir quand il aura évoluer.
Au niveau des sensibilités, il a l'avantage d'être totalement insensible au type Sol ! Il résiste plutôt bien aux type Feu, Eau, Combat, Insecte et Acier. Il n'y a que deux types qui peuvent être vraiment dangereux pour lui, c'est le type Roche et mention spécial pour le type Electrique qui ne lui fera absolument aucun cadeau !

Pour communiquer avec lui, le morse est préférable. En plus avec lui, on a plusieurs possibilités liés a ces deux types. Il peut faire différentes figures aérienne pour dire des choses précises, mais cet entraînement prendra du temps, car instinctivement Goélise préfère planer et il sera difficile de lui faire changer cette habitude. Ou bien vous pouvez utilisez son type eau, pour une utilisation du morse beaucoup plus classique. Un jet d'eau pour exprimer un son long, une bulle pour un son court et il ne vous restera plus qu'a traduire les pensées de votre volatile préféré !

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Tarsal est un Pokémon Sentiment. Mesurant moins de cinquante centimètres, les Tarsals possèdent un physique plutôt enfantin. Leur corps est presque entièrement blanc, et se termine au niveau des jambes en un long drap, dans lequel votre petit Pokémon ne manquera pas de trébucher. Seul son « casque » est de couleur verte. Celui-ci est constitué d’une matière plus solide que le reste de son corps, et retombe tout autour de son visage à la manière d’une coupe au bol. Sur celui-ci sont logées deux cornes rouges et plates qui lui permettent de ressentir les émotions autour de lui. En effet, Tarsal est un Pokémon très réceptif, et son humeur dépendra très fortement de celles des gens qui l’entourent. Si vous êtes un fanfaron dans l’âme, il y a de fortes chances que votre Pokémon suive la même voie que vous. C’est d’ailleurs pour cette raison que Tarsal est un très bon starter, et qu’il est donc proposé aux coordinateurs : Pour peu que vous y mettiez un peu du votre, votre relation pourrait bien devenir plus fusionnelle que prévu. Il essaiera toujours de vous faire plaisir, et tentera bien souvent de calquer sa personnalité sur la votre. En revanche, si vous êtes plutôt froid, que vous n’aimez pas la compagnie, et que vous avez constamment le sourire à l’envers, il est déconseillé de s’occuper de ce genre de Pokémon. Si certains Tarsals prendront peur face aux ondes négatives qui émanent de vous, d’autres finiront simplement dépressif. Cette hypersensibilité est d’ailleurs assez intéressante à observer à l’état sauvage, puisqu’un Tarsal pourra très bien passer d’une humeur macabre à une humeur joyeuse en quelques instants, contaminants au fur et à mesure tous les compères proches de lui.

Evitez d’envoyer Tarsal combattre. Honnêtement, le petit être n’est pas fait pour le combat, ça se voit au premier coup d’œil. Il est frêle, peureux, et ne supporte pas la souffrance autour de lui qu’elle soit physique ou morale. Je sais bien que vous aimeriez beaucoup avoir un ou une Kirlia dans votre équipe, mais privilégiez au maximum le travail d’équipe. Offrez à votre Tarsal le garde du corps qu’il mérite, avec un Pokémon de nature protectrice, et il vous le rendra en envoyant des attaques Psy à distance. Et ne comptez surtout pas sur lui pour encaisser les coups, qu’importent leurs types, et encore moins les attaques Poisons, Acier et Spectre.

Les Tarsals, tous comme le reste de leur cycle d’évolution ont toujours été apparentés de près ou de loin à l’Homme. Ils ont vu le jour en même temps, possèdent des caractéristiques physiques assez proches, et ont toujours eu de très bon rapports ensembles. Déjà au moyen âge, les Tarsals se trouvaient être des Pokémons de choix pour les prêtres et même certains apothicaires. Et aujourd’hui, on en retrouve beaucoup lors des concours de coordinations, et auprès des psychologues. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il devient plus facile pour deux êtres humains de communiquer lorsqu’un Tarsal permet de faire le lien, mettant à nue les émotions de chacun.

Kirlia est un Pokémon Emotion. Evolution de Tarsal, ce Pokémon de type Psy – Fée mesure maintenant 80cm environ pour une vingtaine de kilos en moyenne. Sous cette nouvelle forme, votre compagnon a largement gagné en grâce et en élégance. L’ancien casque vert qu’il possédait sur sa tête a maintenant été remplacé par une « chevelure » verte des plus soyeuses. Celle-ci retombe de chaque côté de sa tête ainsi que sur son visage pour ne laisser apparaitre que ses deux grands yeux rouges. Une petite coupe régulière sera toutefois nécessaire si vous souhaitez apercevoir le joli sourire de ce spécimen. Sa membrane blanche – autrefois semblable à une longue robe – ressemble aujourd’hui au tutu d’une ballerine et laisse ainsi apparaitre de longues jambes, vertes elles aussi.
Les fameuses cornes qui permettaient à Tarsal de ressentir les émotions sont toujours bien présente sur son évolution. Logées au sommet de sa tête, celles-ci sont encore plus puissantes qu’auparavant : la capacité à ressentir les émotions de Kirlia est bien plus impressionnante et agit même sur son comportement au quotidien. En effet, lorsqu’elle se trouve en compagnie d’êtres humains, il n’est absolument pas rare que ce Pokémon émotion se synchronise à la perfection avec son entourage. Ainsi, lorsque son dresseur est d’humeur joyeuse, Kirlia n’aura de cesse de chanter, danser et extérioriser toute la bonne humeur qu’elle perçoit autour d’elle. En plus d’être un véritable récepteur d’émotions, les pouvoirs psychiques de ce spécimen ont considérablement augmenté. Outre le fait qu’il soit bien meilleur en matière de télékinésie, Kirlia est aussi capable – du moins pour les individus les plus expérimentés – de distordre littéralement l’espace-temps pour entrevoir très brièvement l’avenir. C’est d’ailleurs à cause de certaines de ces facultés psychiques qu’ils furent chassés pendant des années par l’Homme. Il est donc devenu extrêmement rare d’avoir la chance de croiser un Kirlia sauvage. Aujourd’hui, il est en revanche beaucoup moins rare d’en voir accompagnés de coordinateurs et coordinatrices, pour permettre notamment à la grâce de ce Pokémon émotion de se s’épanouir pleinement sur scène.

Au combat, Kirlia possède quelques atouts relativement intéressants dans sa manche. Plutôt intéressant sur le plan spécial – bien que ce soit une toute autre histoire sur le plan physique – elle est notamment capable d’utiliser certaines capacités comme Zone étrange, Reflet Magik ou encore Balance pour affaiblir son adversaire et le désorienter sans même faire appelle à la moindre capacité offensive. Des Capsules Techniques comme Distorsion, Cage éclair, Feu Follet ou encore Charme pourront lui permettre de continuer sur cette lancée et continuer de mettre des bâtons dans les roues de ses opposants, tandis que d’autres capacités comme Rune Protect, Mur Lumière ou Protection lui permettront de venir en aide au reste de son équipe. Naturellement, Kirlia apprendra les capacités Psycho et Eclat Magique qui resteront sans aucun doute deux de ses armes de prédilections pour frapper ses adversaires sur le plan spécial. Enfin, notez tout de même que si les types Combats et Psy n’auront pas grand impact sur sa constitution – le type Dragon se révèlera même inefficace – les capacités Poison, Spectre et Acier auront déjà beaucoup plus d’impact sur votre compagnon.

Bien que Kirlia ait toujours été relativement bien vu par l’Homme, sa situation s’est nettement détériorée vers le XVeme siècle. En effet, cette période marquant notamment le point culminant de la chasse aux sorcières notamment au cœur des régions de Kalos et Hoenn, les étranges pouvoirs de divination de Kirlia eurent très vite fait de la rattacher aux dites « sorcières » persécutées, à tel point que la grande majorité des propriétaires de Tarsal se mirent à investir des sommes astronomiques en pierre stase et autre méthodes parfois surprenantes pour éviter l’évolution à leur Pokémon. Dans le même temps, la mise en avant de cette capacité à distordre l’espace-temps eut bien vite fait de convaincre les braconniers les plus récalcitrants à se mettre en chasse pour tirer de bons prix d’un tel spécimen. La survie de l’espèce n’est due qu’aux accords d’Algatia, qui permirent entre autres la conservation de l’espèce en faisant appel aux éleveurs de la région d’Hoenn dans un premier temps, puis de toutes les régions.

Gardevoir est un Pokémon étreinte. Dernier stade évolutif du cycle Tarsal – Kirlia qui l’a précédé, ce Pokémon originaire d’Hoenn mesure maintenant un bon mètre soixante pour un peu moins de cinquante kilos en moyenne. Véritable représentation de la grâce et de l’élégance chez les Pokémons, la silhouette du Pokémon Psy – Fée s’est allongée alors les pattes que l’on pouvait être qualifiée de jambes pour ce bipède sont maintenant complètement cachées sous la membrane blanche recouvrant le bas de son corps. Si celle-ci ressemblait plus à un tutu de danse jadis, elle a aujourd’hui prit la forme d’une longue robe flottante. Cette couleur blanche, on la retrouve aussi au niveau du buste ainsi que du visage de Gardevoir. Il est d’ailleurs possible d’y retrouver ses deux grands yeux rouges, tandis que sa chevelure verte boucle maintenant au bas de son visage tout en continuant de retomber sur celui-ci. La corne rouge servant de récepteur à Tarsal et Kirlia n’est plus disposée sur le sommet du crâne de Gardevoir. Celle-ci ressemble maintenant à un aileron qui a prit place au centre de sa poitrine ainsi que de son dos. Ses bras, quant à eux, sont maintenant « dénudés » de sa membrane blanche et laisse donc apparaitre une couleur verte semblable à sa chevelure, ainsi qu’à l’intérieur de la membrane en question. Si Kirlia était déjà capable d’offrir quelques bribes de l’avenir à son entourage à l’aide se ca capacité à distordre l’espace temps, les compétences de Gardevoir sont d’un tout autre niveau. Véritable force de la nature, ce spécimen est capable de distordre les dimensions, à tel point qu’il lui est aujourd’hui possible de créer de véritables trous noirs et d’influer directement sur l’espace temps pour les individus les plus expérimentés. Sa capacité à prédire l’avenir le rend ainsi plus que délicat à surprendre, puisqu’à moins de saturer l’esprit de Gardevoir d’information, celui-ci aura toujours un coup d’avance. Véritable télépathe accomplie, il est aussi capable de prouesses lorsqu’il s’agit de télékinésie. Cependant, ce pouvoir est aussi à double tranchant et il est bien souvent préférable de ne pas exposer Gardevoir aux lieux bondés trop longtemps. En effet, le flux d’information en provenance direct de son entourage est tel que votre Pokémon pourrait souffrir de terribles migraines et se verrait même dans l’incapacité de filtrer trop longtemps autant de pensées et d’émotions simultanées tout autour de lui.

Gardevoir est un Pokémon des plus délicats à combattre. Rapide et extrêmement qualifié sur le plan spécial, que ce soit offensivement comme défensivement, il sera bien souvent ardu de venir à bout d’un tel Pokémon. Capable de prédire l’avenir et de calculer ainsi les différentes issues du combat avant même qu’elles n’aient lieu, seuls des combattants expérimentés ou suffisamment endurant pourront espérer avoir une chance de vaincre un tel spécimen. D’autant plus que Gardevoir est capable de transformer sa faiblesse en force. S’il a en effet bien du mal à encaisser les capacités physique, il lui est possible d’utiliser la capacité Zone étrange. Ainsi, il pourra intervertir sa défense spéciale et physique, renversant ainsi la vapeur contre certains opposants. A l’aide d’une multitude d’autres capacités comme Glas de Soin, Balance ou encore Distorsion, Gardevoir aura tout un panel de capacité à sa disposition pour retourner l’issue d’un match officiel, avant d’utiliser des capacités Psy ou Fée pour en finir avec son adversaire. Ses capacités sont telles qu’il sera possible pour un Pokémon de sa trempe de lutter lors de duels psychiques avec des Pokémons tels qu’Alakazam. Rien que ça. D’autant plus que lorsqu’il s’agit de combattre pour son dresseur, Gardevoir n’aura de cesse de lutter jusqu’à ses toutes dernières forces. En effet, le lien qu’il est capable de créer avec un être humain est tel que le Pokémon étreinte verra même sa puissance décupler s’il se trouve en compagnie d’un être aimé. C’est d’ailleurs tout aussi valable lors de concours de coordinations, ou ce Pokémon sera capable de donner le meilleur de lui-même sur scène. Toutefois, il faudra redoubler de vigilance lorsque les adversaires de Gardevoir sont capables de frapper sur les types Acier, Spectre et Poison, qui restent malgré tout les faiblesses élémentaires de ce spécimen.

Il est presque impossible de dater officiellement la naissance de Gardevoir tant le spécimen a toujours été extrêmement rare. Seuls les rares Kirlia ayant atteint un niveau d’expérience et de sagesse hors norme étant capable d’accéder à cette évolution, les représentants élues de l’espèce n’avait certainement pas pour habitude de rester en compagnie d’êtres humains à moins de l’avoir délibérément choisit. Les représentations de Gardevoir dans l’histoire sont donc peu nombreuses, la grande majorité de ces spécimens préférant simplement s’exiler dans les contrées les plus reculées d’Hoenn pour méditer loin de toute civilisation. Il est toutefois intéressant de noter que d’après plusieurs études sur les anciennes civilisations ayant peuplées cette même région, plusieurs fresques attestent de la présence d’un « coven » de Gardevoir au sein de la région d’Hoenn. Celles-ci se transmettraient ainsi de génération en génération la tâche de veiller au bon déroulement des choses et ne se montreraient que très rarement aux yeux de l’Homme pour éviter de véritables catastrophes. D’après certaines études, elles seraient entre autre entrée en contact à plusieurs reprises avec le peuple météore. Bien que cela soit aujourd’hui vu comme une légende urbaine, des recherches sérieuses continuent d’être menées à ce jour pour en savoir plus à ce sujet.

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Skitty est un félin de type Normal de la région d'Hoenn. Petit chat aux allures de peluche, il est principalement rose pâle sur le dos et une partie de la tête, le reste étant de couleur crème, alors que la forme sur son visage rappelle un croissant de lune, tel la pierre dont il a besoin pour évoluer. Court sur patte, il joue souvent à tourner en rond avec sa queue de forme ovale avec trois billes tel les appareils de massages crâniens qui ressemblent à des appareils de torture. Petit point rigolo, son pelage est entièrement lisse sauf au niveau des oreilles, dont l'intérieur est violet. Il a continuellement les yeux fermés et affiche un petit sourire, ce qui donne vraiment envie de le dorloter.
En milieu sauvage, ce n'est pas le Pokémon le plus difficile à dénicher. En effet, il a tellement bon caractère qu'il n'est pas rare de le voir jouer avec d'autres espèces tel les Zigzatons. On les retrouve principalement dans les clairières, proche des points d'eau et bordures de forêt. On raconte qu'ils partent en petits groupes dans les montagnes pour trouver les pierres nécessaires à leur évolution. Cependant, certains Skitty restent ainsi toute leur vie, très satisfait de leurs conditions de chatons joueurs.
Une fois capturé, ils ne perdent rien de leurs habitudes ! Si vous êtes du genre à prendre un peu de temps pour jouer avec vos compagnons ou leur offrir quelques caresses, il deviendra rapidement le plus heureux des chats ! S’il est capturé pour devenir un Pokémon de compagnie pour de jeunes enfants ou autres, veillez à ce qu'il ne reste pas seul, sinon il pourrait vite devenir dépressif. Un autre Pokémon joueur suffira amplement à l'occuper.

Au départ, ce n'est vraiment un combattant, ce sont d'ailleurs les Delcatty qui les protègent dans la nature. Il a plutôt un rôle de soutient, usant de combos tel Berceuse et Réveil forcé, ou encore Voix enjôleuse et Charme. En duo il peut être donc intéressant, en solo, mieux vaut le faire évoluer pour le faire gagner en puissance. Au niveau des forces et faiblesses, on retombe dans le classique avec le monotype Normal. C'est à dire insensible au type Spectre et une faiblesse au type Combat !

Niveau communication, je joue sur la subtilité. Les trois billes au bout de sa queue bougent au gré de ses envies, il n'est donc pas dur pour lui de réaliser des combinaisons et parler ainsi. Soit une combinaison devient une lettre, soit carrément un mot. La première méthode est plus longue pour communiquer, mais la deuxième devient plus vite limitée avec le peu de combinaisons possibles.

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Ténéfix est un Pokémon Obscurité. Bipède, il possède un corps majoritairement violet, composé de plusieurs gemmes. Deux à la place des yeux, qui lui permettent de voir dans l’obscurité la plus totale, une plus petite, rouge, sur le torse, ainsi que trois autres, respectivement verte bleu et rouge, disposées dans son dos. Sa peau est lisse et froide, semblable à une roche polie, et ses griffes sont tranchante et possède une résistance à toute épreuve. Très difficile à débusquer, ce Pokémon mène souvent une vie en solitaire, au fin fond des grottes les plus sombres d’Hoenn. Là bas, il passe la plupart de son temps à creuser, dormir, et manger. L’absence de proie autour de lui l’importe peu, puisqu’il se nourrit exclusivement de la pierre qu’il creuse à grand coups de griffe, jusqu’à tomber sur des gemmes, diamants, et autre pierres précieuses, qui constituent son plat favoris. Une fois capturé, ils pourront s’avérer être farceur, après un long, très long moment durant lequel il faudra vous armer de patience pour l’intégrer à votre équipe. Car Ténéfix est de nature peu communicative, et préfère rester stoïque, sans parler, à seulement observer son entourage lorsqu’il est hors de sa Pokéball. Une fois habitué à votre compagnie, il se révélera être un joyeux luron, ne ratant pas une occasion de s’amuser.

Lorsqu’il s’agit de se battre, Ténéfix est loin d’être le dernier. Fourbe, il adore regarder son adversaire se fatiguer lentement, esquivant les coups les plus dur, encaissant les plus faible sur sa peau, rendue solide à cause de son régime alimentaire. Lorsque l’occasion de présente, il tailladera celui-ci d’un grand coup de griffe, préférant le mettre KO en un coup plutôt que se fatiguer à l’attaquer de temps en temps pour l’affaiblir. L’un de ses avantages les plus flagrants, c’est donc sa peau qui ne faiblit face à aucunes attaques. Aucunes attaques, excepté aux câlins des Pokémons Fée, qui le termineront de l’achever pour peu que votre compagnon soit déjà bien affaiblit. Son autre avantage, c’est sa capacité à apprendre. Ténéfix possède une capacité d’adaptation très intéressante. Pour peu que vous soyez un temps soit peu fortuné, il sera en mesure d’apprendre bon nombres de Capsules Techniques et de Capsules secrètes, aux types divers et variés. De quoi constituer une force de frappe tout aussi diversifiée que menaçante.

Les Ténéfixs, de part leur isolement au fond des grottes, ont une histoire assez méconnue. Les premières traces de ce qui devait être l’ancêtre des Ténéfixs est apparu en même temps que l’homme. Sans doute cousins, l’Homme et le Ténéfix partageaient beaucoup de similitude. Leur morphologie notamment, que ce soit le visage, la peau, le gabarit... Ils étaient seulement un peu plus petits, et possédaient deux oreilles pointues. Peuple nomades, ils vivaient en tribus dans les montagnes que l’on appel maintenant mont Chimnée. Luttant contre les tempêtes gelées du Quaternaire, ils finirent enfermé, scellés sous des tonnes de pierres. Pour s’en sortir, ils creusèrent, s’adaptèrent, évoluèrent, afin de lutter contre la faim, contre la mort. Finalement, leur corps entier se métamorphosa, et avec lui leur comportement. Après que leur ADN finisse complètement modifiée, certains mineurs cherchèrent à en acquérir le plus possible, se servant de leurs sens aiguisés et de leur appétit sans fin pour dénicher les pierres précieuses.

Mysdibule est un pokémon de types Acier et Fée, originaire d’Hoenn. Petit être humanoïde féminine principalement de couleur jaune, elle est facilement identifiable à l’énorme bouche noire avec une tache jaune qu’elle a en guise de queue de cheval. De ce fait, je vous déconseille fortement d’essayer de la prendre par surprise de dos, ça serait forcément un échec cuisant. Surtout vu la force qu’elle possède avec cette mâchoire, si elle vous attrape, partez du principe que vous être foutu. De ce fait, ce n’est pas forcément un pokémon qui est très simple à capturer, ni à amadouer dans un premier temps. Faut-il d’ailleurs déjà pouvoir la trouver, car cette créature aux allures de petite fille n’est pas du genre à prendre des risques inconsidérés. Si elle attaque, c’est uniquement par surprise et elle sait très bien jauger ses adversaires.
Elle aime se cacher dans les endroits abandonnés ou dans les grottes, pour rester à découvert. Il arrive également de la retrouver en forêt et c’est donc en lisière que je vous conseille de rester si jamais vous essayer d’en avoir une dans votre équipe. La nourriture reste le meilleur moyen de l’appâter, surtout avec des choses qu’elle ne connait pas. Même si elle reste très prudente, elle cache un esprit particulièrement curieux et certaines semblent friandes de sucreries. Bon, après d’autres préfèrent la viande alors faites attention que votre bras de devienne pas son prochain repas. Surtout si vous décidez de la méga-évoluer, ça peut devenir un véritable monstre de violence alors prudence !

Pour combattre, Mysdibule dispose avant tout d’une très bonne attaque ainsi que d’une bonne défense. Pour le reste, c’est plutôt équilibré, son attaque spéciale et sa défense spéciale sont juste un peu au-dessus de ses points de vie et de sa vitesse. Vous ne serez donc guère surpris si je vous dis que ce petit pokémon pourrait devenir un monstre de potentiel si jamais vous avez assez d’économies de côté. Avec des CT tel que Poing Glace, Poing Eclair, Lance-Soleil, Eboulement, Vent Glace, Casse Brique, Assurance, Ball’Ombre, Bombe Beurk, Lance-Flamme, Rayon Chargé et Psycho-croc, elle peut frapper dans un bon nombre de faiblesses pour bien des adversaires. Sans parler des trois crocs élémentaires qui restent un classique pour elle. En plus, au niveau de ses sensibilités, les types Poison et Dragon sont totalement inefficace contre elle. Elle résiste également très bien aux types Normal, Plante, Glace, Vol, Psy, Roche, Ténèbres, Fée, avec une double résistance pour le type Insecte. Au final, seuls les types Feu et Sol seront problématique pour elle si jamais ils frappent plus vite.

Pour communiquer, sa mâchoire reste évidemment la manière la plus simple pour communiquer avec elle en morse. Il lui suffit de lui apprendre à la faire claquer en rythme et autant dire qu’elle adore ça ! J’ai commencé les exercices avec la mienne en lui donnant des trucs à mâchouiller, mais rien ne résiste très longtemps à sa force, même l’acier. Si jamais vous avez accès à des matériaux encore plus résistants, je suis preneuse ! Surtout que communiquer de cette manière en occupant sa mâchoire l’apaise peu à peu. Elle tente moins de mordiller tout ce qui passe à sa porter et autant dire que c’est plutôt appréciable.

Galekid est un Pokémon Armurfer. Très lourd pour sa taille, c'est-à-dire soixante kilos pour moins de cinquante centimètres en général, de type acier et roche, son corps est fait d’acier, excepté sur son ventre où il possède une peau noir, mais qui est tout aussi résistante. Il possède une carapace recouvrant son dos et toute sa tête, laissant seulement apparaitre ses deux grands yeux bleus. Sa carapace possède quelques trous et une sorte de petit aileron au niveau de son dos.
Les Galekid vivent en communauté dans les montagnes. Ils se nourrissent exclusivement de métaux en tous genres. Ils peuvent sentir l’odeur du fer à plusieurs dizaines de mètres, ce qui fait d’eux de véritables détecteurs de métaux. Premier cycle d’évolution précédant Galegon, puis Galeking, ils perdent leur carapace au moment d’évoluer, qui repousse ainsi sous sa nouvelle forme. Il est en revanche très rare de trouver ces « mues » dans la nature, car les Galekids vivant en communautés, les compères de l’heureux élu accédant à l’évolution auront vite fait de grignoter la carapace fraichement tombée.
Outre les minerais et les carapaces de leurs congénères, les Galekids sont souvent responsable de la disparition de voie ferré et de la fragilisation voir la chute de ponts. En effet, s’ils venaient à s’éloigner un peu trop des zones minières, ils n’hésiteront pas à grignoter les rails, ponts et véhicules. Et voir arriver un troupeau de Galekid affamés vers votre voiture ne doit pas être une des expériences les plus intéressantes à vivre.

Les Galekids, contrairement à leurs prochaines évolutions, restent assez faibles au combat. Sur le plan offensif au moins. Ils tenteront souvent au combat de cogner leurs adversaires en les percutant la tête la première, mais leur potentiel s’arrête là bien souvent. Sur le plan défensif, ils possèdent une résistance intéressante aux dégâts physiques qui pourraient les atteindre grâce à leur armure. Si leur double type les rends très exposés aux attaques Combat et Sol, puis aux attaques Eau, ils ont en revanche un panel de résistance très intéressant, alliant les résistances aux types Vol, Dragon, Fée, Glace, Insecte, Normal, Psy et Roche, avec une immunité totale aux types Poisons. Ils restent donc un bon moyen de temporiser en combat ou de mettre en difficulté un adversaire n’ayant aucun moyen de passer son armure, mais n’occasionneront que rarement de gros dégâts.

C’est au tout début du Mésozoïque que l’ont verra naitre les premiers Galekids dans les montagnes. Ceux-ci n’avaient au départ aucune carapace, leur corps était recouvert de la même peau que leur ventre et ils étaient noirs de la tête aux pieds. Possédant déjà leurs goûts prononcés pour les filons de fers, à force d’en consommer à outrance, la peau présente sur leur dos commença à se durcir de plus en plus, avant qu’une fine couche d’acier s’y forme et vienne prendre la forme que leur carapace a aujourd’hui, les protégeant définitivement des carnassiers. Si certains montagnards s’en servent comme détecteur de métaux, ils seront rarement au contact de l’homme, jugé trop nuisible pour les infrastructures. En revanche, ils étaient parfois employé en temps de guerre au moyen âge, pour saboter les armureries avant certaines batailles décisive, laissant les hommes ennemis sans armes ni armures.

Galegon est un Pokémon Armufer et le second cycle d’évolution de Galekid. Depuis qu’il a quitté sa petite carapace pour en obtenir une plus grande, il ne fait nul doute que le gabarit de votre petite créature à considérablement changé. Pour faire simple, il a doublé. En effet, le poids moyen d’un Galegon par rapport à un Galekid est deux fois plus important, et il en est de même pour sa taille. Sa carapace d’acier s’éteint sur la totalité de son dos et possède un aileron au milieu, alors qu’elle est toujours parsemées de petits trou ici et là. Concernant ses flancs et le bas de son corps, ils sont toujours recouverts d’une peau noire qui se trouvent être devenu encore plus solide qu’auparavant.
Malgré sa nouvelle forme physique, Galegon suit toujours le même style de vie : En groupe, aux cotés d’autres Galegon ou même de Galekid au sein des montagnes les plus riches en minerais possibles. Parce qu’au contraire, s’il y a bien une chose qui n’a pas changé, c’est bien leur gout plus que prononcé pour le fer. En effet, ils sont toujours d’éternels dangers pour les infrastructures humaines les plus proches, grignotant ponts, rails et véhicules sans même se poser la moindre question. C’est pour cette raison notamment qu’il est crucial de bien les briefer à ce sujet si vous veniez à être en possession d’un Galegon ou même d’un membre de sa famille : Réfléchir avant de bouloter le moindre petit morceau d’acier. Vous ne voudriez pas avoir à payer les réparations s’il se faisait un festin en plein parking n’est-ce pas ?
Mis à part ce léger point de détail, il a bon caractère. Bien qu’un peu plus grincheux depuis qu’il a évolué, il n’est pas bien difficile de faire ressortir le bon coté d’un Galegon. Il suffit de lui montrer un peu d’affection et celui-ci se comportera aussi docilement que lorsqu’il n’était encore qu’un jeune Galekid.

Un autre aspect changeant de son évolution, c’est son gout pour les combats. Il a maintenant une véritable âme de combattant, et n’hésitera pas une seconde à se rendre sur le champ de bataille pour montrer de quoi il est capable. Il est maintenant capable d’encaisser des coups bien plus féroces que par le passé, et sa force de frappe à elle aussi bien changée. D’autant plus que son double type Sol – Acier lui permet de tenir bon face à un bon nombre d’adversaire, vous avez en votre possession un solide gaillard ! Cependant, vous devriez rester méfiant vis-à-vis des Pokémons de type Combat, Sol et Eau, juste au cas où, car il se poussait bien que l’armure de votre compagnon possède encore quelques faiblesses.

Assez logiquement, le premier Galegon est apparu plusieurs années après Galekid. C’était effectivement à prévoir : A force de se goinfrer de métaux en tout genre, le gabarit du petit Galekid s’est très vite retrouvé complètement saturé de cette dose de fer trop importante. Que faire dans de telles conditions, pour continuer d’accumuler toujours plus de fer tout en le stockant sur soi ? Transcender l’évolution bien sur. Afin de pouvoir stocker une plus grande quantité de minéraux pour continuer de se solidifier, Galekid a simplement mué, avant de continuer à grossir pour devenir Galegon. Si ce procédé n’arrivait qu’après une haute saturation de fer par le passé, il s’est tellement répandu au sein de l’espèce que l’évolution pourra aussi avoir lieu une fois un certain niveau de maturité atteint.

Galeking est un Pokémon Armufer originaire de la région d’Hoenn. Mais il est aussi la meilleure chose qu’il pouvait arriver à votre Galegon. Maintenant capable de se tenir uniquement sur ses deux pattes arrière en bon bipède qu’il est devenu, Galeking est sans aucun doute l’un des Pokémons pour qui le mot « évolution » prend tout son sens. En effet, s’il mesurait un bon 90cm lors de son précédent stade d’évolution, Galeking mesure maintenant plus de deux mètres ! Avec ses 360kg de ferrailles sur le dos, votre nouveau Pokémon est devenu une véritable machine de guerre. Comme sa pré-évolution, Galeking a le corps entièrement recouvert d’une excellente cuirasse. Faites de différents alliages composés à plus de 87% de fer, cette armure qui lui permet d’encaisser aussi facilement les coups est bicolore : Noire sur la majorité de son corps, avec toujours son coté gris tirant vers le blanc au niveau de son dos, des cercles à la base de ses membres, mais aussi de l’immense casque qui siège au sommet de son crâne. Ce dernier est d’ailleurs sa meilleure arme de dissuasion. Mettez vous à la place des Pokémons adverses… attaquer un colosse d’acier de deux mètres, c’est une chose, mais s’il possède en plus trois cornes capables de vous transpercer en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, la motivation se fait encore plus rare. Comme si cet attirail n’était déjà pas suffisant pour se faire respecter, Galeking possède aussi des griffes tranchantes au bout de ses quatre pattes, une mâchoire suffisamment robuste pour briser la roche comme si elle n’était que poussière et une queue capable d’assommer le plus résistant des mastodontes. What else ? Malgré tout, il faut savoir que toutes ces armes à sa disposition ne seront pas de trop, car à l’état sauvage Galeking est un Pokémon extrêmement territorial et il est hors de question que qui que ce soit ne puisse qu’imaginer une seule seconde lui voler ses terres. Et quelles terres ! Bien souvent, ce sont de montagnes entières que l’on parle lorsqu’il s’agit du territoire d’un Galeking. Extrêmement solitaire, ils prennent soins au quotidien des hauts plateaux et des grottes qui sont leurs, allant même jusqu’à remodeler et replanter les flancs de montagnes en cas de gisement de terrain ou d’incendies. Au contact d’un dresseur ou d’un coordinateur, ils sont souvent assez délicats à dresser, c’est pour cette raison qu’il est vivement conseillé d’adopter directement un petit Galekid. De cette façon, son comportement ne changera que très peu, et même s’il aura sans doute besoin d’un peu plus de solitude en vieillissant, il n’aura aucun soucis à continuer de vivre en compagnie de ses camarades auprès desquels il a grandit. Toutefois, c’est un Pokémon qui saura toujours se montrer extrêmement protecteur, ayant de toute évidence la capacité de tenir le rôle de quatre gardes du corps minimum.

Galeking est un combattant né, nul besoin d’être un grand scientifique pour s’en rendre compte. Son corps d’acier, son gabarit, le panel offensif qu’il est capable d’apprendre au combat, tout y est. Son énorme point fort, c’est bien entendu sa défense titanesque. Sur le plan physique, il est presque inutile d’espérer lui faire du mal. Il a aussi d’ailleurs de quoi se faire craindre offensivement parlant lorsqu’il s’agit de frapper physique. Cela ira d’ailleurs parfaitement avec sa capacité à taper sur une multitude d’élément, pour peu que vous souhaitiez mettre la main au porte feuille pour lui proposer quelques Capsules Techniques. Laser Glace, Lance soleil, Aeropique, Séisme, Casse-brique, Tonnerre, Lance flamme, Griffe ombre, Vibrobscur, Draco-queue et même Surf. La liste est relativement longue n’est-ce pas ? Avec une capacité Malédiction et couplé à un Pokémon utilisateur de distorsion, votre Pokémon pourrait bien faire des miracles. Il se doit toutefois de rester méfiant concernant le plan spécial et la vitesse, qui ne sont clairement pas sa spécialité et qui pourraient bien se retrouver être son talon d’achilles. Surtout si les attaques adverses se trouvent être de type eau, ou pire encore, de type Combat ou Sol, qui sont très clairement les deux énormes points faibles de ce Pokémon.

Ce n’est que lors du Moyen âge que les premiers Galeking virent le jour et ce au contact de l’Homme. En effet, afin de régler les conflits internes à la région d’Hoenn mais aussi chez leurs voisins, plusieurs généraux Hoenniens décidèrent d’employer Galekid et Galegon, les envoyant ainsi dans les rangs ennemis afin de saboter les armureries ou même directement sur le champ de bataille pour s’occuper des armures directement sur le terrain. La première évolution de Galeking de l’histoire est très exactement datée de l’an 846 et à eu lieu sur la célébrissime bataille du col météore, où le Galegon du héros de guerre Aeterna évolua en direct sur le champ de bataille avant de faire remporter la victoire à son camp, en faisant preuve d’une poigne de fer… dans un gant d’acier.

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Charmina est un Pokémon Méditation. Originaire de la région de Hoenn, ce spécimen au double type Psy – Combat est une véritable source d’inspiration au sein des dojos locaux, mais aussi à travers les autres régions du globe. Mesurant un mètre trente environ pour une bonne trentaine de kilos, Charmina, il semble évident au premier coup d’œil que ce Pokémon humanoïde, dernier stade évolutif de Makuhita, est taillé pour le combat. Ses bras et son buste, relativement frêles pour ceux d’un combattant chevronné, sont de couleur grise à l’instar de la peau qui recouvre son visage. Ses « jambes » en revanche, sont recouvertes d’une épaisse peau rose - et de deux cercles jaunes au niveau des genoux - qui cache une quantité impressionnante de masse musculaire. Le dessus de son crâne est d’ailleurs lui aussi surplombé par une sorte de « coiffe » rose et parsemée de trois points jaunes. Cette peau bien plus coloré n’est en réalité placé de cette façon par hasard. Les zones roses sont ainsi recouvertes d’une peau plus résistante et dure encore que le cuir d’un Escroco, lui permettant entre autre de protéger son crâne ainsi que ses deux jambes, mais aussi de s’en servir comme de véritables massues. Les zones jaunes, quant à elle, abritent toutes des tissus nerveux capables d’entrer en résonnance avec les pouvoirs psychiques de Charmina. Le Pokémon méditation sera donc capable de concentrer son énergie plus intensément encore sur ces parties de son corps. L’exemple le plus courant d’utilisation au combat se retrouve bien souvent lors d’un coup de pied sauté de la part de Charmina. Si la maitrise parfaite des arts martiaux ainsi que la constitution du combattant font de cette attaque un coup mortel, il est à noter que les Charmina les plus expérimentés peuvent ainsi concentrer leurs capacités psychiques directement sur leur genoux pour que celui-ci heurte sa cible avec une puissance décuplée ; notamment grâce à la télékinésie. Il semble donc évident que ce Pokémon n’est pas un combattant à prendre à la légère, et qu’avant d’envisager sa capture ou son dressage tout bon dresseur qui se respecte devra avant tout être capable de mériter son respect. Il faut toutefois noter qu’en débusquer un à l’état sauvage sera loin d’être simple, puisque qu’ils n’hésitent souvent pas à se terrer dans les montagnes les plus reculées pour méditer tranquillement. En effet, adepte de la méditation et de la solitude, Charmina n’est sans doute pas le Pokémon le plus sociale dont vous croiserez la route. Il aime avant tous le calme et, bien que capable de sociabiliser avec d’autres Pokémons, préférera toujours se retrouver avec lui-même de temps à autres.

Au combat, Charmina est un Pokémon relativement équilibré. Plus rapide que la moyenne, il n’hésitera pas à frapper le premier pour mettre fin au combat d’un grand coup de pied sauté et avant même que son adversaire ne puisse faire preuve de répondant. Que ce soit sur le plan physique et spécial, sa défense est plutôt intéressante elle aussi, seule ses capacités offensives de base restent relativement basse. C’est exactement pour cette raison qu’il faudra prioriser l’entrainement sur ce point : car un Charmina capable de frapper fort sera aussi capable de tenir un maximum de temps sur le terrain. D’autant plus que la capacité Détection lui permettra d’éviter certains coups qui pourraient bien lui être fatal. Il reste toutefois nécessaire de garder un œil sur la table des types pour éviter que le combat de ne termine trop rapidement. Ainsi, il faudra sans doute changer de stratégie lorsque les opposants de votre compagnon pourront frapper fort sur les types Vol, Spectre ou encore Fée.

Aussi surprenant que cela puisse paraitre, il a été scientifiquement prouvé au travers d’analyse ADN que Charmina – ainsi que Méditikka – possède un ancêtre commun à la famille des Machoc – Machopeur – Mackogneur. En effet, s’il est aisé de deviner qu’au beau milieu du quaternaire, ce fameux spécimen servant de souche commune aux deux espèces était lui aussi de type combat, c’est avant tout une divergence de pratique qui aura finit par scinder cette seule espèce en deux nouveaux spécimens au fil des siècles. C’est en effet à force d’apporter un œil nouveau sur les arts martiaux et la pratique du combat que viendrons au monde les premiers Méditikka. De fil en aiguille, ce n’est qu’à force de travail, de concentration et de centaines d’heures de méditations que l’Homme verra apparaitre les premiers Charmina. Si ces spécimens ne se laisseront pas approcher aisément par les premières civilisations, il ne sera en revanche pas rare de voir de longs pèlerinages organisés par quelques maitres des arts martiaux et ce à toute époque dans le seul et unique but de pouvoir défier des Charmina sauvages et ainsi s’entrainer à leurs cotés.

Dynavolt est un Pokémon originaire d'Hoenn et il possède le monotype électrique. C'est un canidé dont la fourrure est principalement verte, avec une touche de jaune sur la queue et sur le museau, laissant une ligne en passant par ses yeux et de chaque côté de sa tête plate. Oui il a une tête relativement plate, qui le rend d’ailleurs aérodynamique et lui permet d’atteindre des hautes vitesses lors de brusques accélérations. C'est également la raison pour laquelle il a un corps aussi allongé alors qu'il est plutôt court sur patte. Pour s'aider, il s'envoie des impulsions électriques dans ses muscles pour courir encore plus vite, si bien qu'il est presque impossible de le suivre du regard. Dans le même genre que Voltali, il stock principalement l'électricité statique dans ses poils pour l'utiliser ensuite. Il a donc besoin de se recharger régulièrement et il n'hésitera pas à mordre dans les câbles pour le faire !
Il est très difficile à capturer à cause de sa vitesse et de ses réflexes, car s'il n'a pas peur de combattre, il peut fuir s'il sent que la situation tourne à son désavantage. On en retrouve beaucoup près de la piste cyclable d'Hoenn, car ils aiment bien puiser de l'électricité dans les pilonnes électriques qui l’entourent. Il n'est pas rare de le voir cohabiter avec des Posipi et des Négapi, avec qui il joue avec plaisir. Si vous en voulez un, essayez de le motiver à jouer avec vous, c'est un chien après tout, il se prendra peut être d'affection pour vous avant de vous suivre ?

Au combat, il joue sur sa vitesse et il n'hésite pas à ralentir encore plus son adversaire avec Cage-Eclair. Ensuite il attaque soit au corps à corps avec une Vive-Attaque pour enchainer avec Morsure ou Crocs Eclair, ou bien il garde ses distances avec Etincelle ou Coup d'Jus, en fonction de son niveau. En plus il apprend quelques CT sympa, comme Change Eclair, Lance Flammes ou Tonnerre qui, contrairement à Eclair fou, ne le blessera pas avec le contrecoup. Pour un Pokémon de base, il a une vitesse et une constitution plutôt élevés, tout comme une attaque spéciale très appréciable qui donnera beaucoup de puissance à ses attaques électriques. Pour autant, il n'est pas résistant du tout, avec ses défenses bien faibles. Alors même s’il survivra tout de même aux attaques de son propre type, et potentiellement contre les types Vol et Acier, attention au type Sol qui absorbera ses puissantes attaques sans broncher avant d'envoyer au tapis votre canidé vert.

Pour communiquer, j'utilise ses facultés à se déplacer très rapidement, afin de le faire utiliser un peu son énergie et qu'il ne devienne pas ingérable. Pour autant, il va falloir lui apprendre à ralentir un peu le rythme si vous voulez réussir à le suivre a l'œil nu. Quand ce sera le cas, lui demander de se déplacer vers la gauche ou la droite pour utiliser le morse sera un jeu d'enfant ! Et si il ne veut vraiment pas ralentir le rythme, apprenez lui à faire des flash lumineux pour communiquer également en morse, très pratique pendant les soirées ou même en pleine nuit !

Elecsprint est l'évolution de Dynavolt à partir du niveau 26, il est originaire d'Hoenn et il est de type Electrique. C'est un canidé bicolore dont les poils sont courts à certains endroits et très hérissé a d'autres ! La quasi totalité de son corps est bleu, ainsi que son visage, alors que le reste de sa tête est recouvert de poils jaune, ainsi qu'à ses pattes avant et sur ses hanches. C'est principalement ici qu'on retrouve des poils longs, hérissés par l'électricité qui parcourt son corps. Même sa queue est tordue, rappelant vaguement la forme d'un éclair. C'est l'un des rares pokémon capable de méga-évoluer et dans ce cas là, une épaisse crinière jaune recouvre la quasi totalité de sa tête et de son dos.
C'est un pokémon au sang froid exemplaire, c'est ce qui l'a conduit à devenir l'un des pokémon que les agents du monde entier peuvent choisir sous la forme de sa pré-évolution. Très intelligent, à l'état sauvage il fuit les êtres humains comme la peste et il sait gérer son électricité comme personne. Si la plupart des pokémon Electrique utilise le courant simplement pour attaquer leurs adversaires, Elecsprint l'utilise également pour augmenter sa vitesse et a des fins curatives. Il peut effectivement apaiser ses douleurs musculaires ainsi, bien pratique quand le combat traine en longueur !

En parlant de combat, voyons un peu la répartition des statistiques du canidé bleu et jaune : Sans surprise, c'est sa vitesse qui est en tête, avec l'attaque spéciale. Le reste de ses compétences sont plus faibles en comparaison mais plutôt bien équilibré, son attaque est en deuxième place, suivi par ses points de vie et ses défenses qui sont à égalités. Vu le bon nombre de capacités électriques qu'il apprend naturellement, on peut clairement dire qu'il s'en sort plutôt bien ! Un entrainement prolongé pour augmenter son attaque pourrait également lui permettre d'utiliser à plein potentiel Crocs Feu qu'il apprend aussi naturellement. Niveau CT offensives, il n'apprend pas grand chose qu'il n'a pas déjà de base, peut être lui donner en plus Lance-Flamme et Change Eclair qui lui permettra de switcher avec un autre pokémon s'il est trop mal en point ! Au niveau de ses sensibilités, pas de grandes surprises avec son monotype Electrique : Il résiste bien aux types Acier, Vol et Electrique, mais le type Sol pourrait bien lui être fatale attention !

Pour la communication, en bon canidé qu'il est, Elecrprint a tout à l'intelligence et les capacités de retenir plusieurs méthodes en fonction des situations. Comme c'est un quadrupède, en reste évidemment sur le morse. Ma technique préférée pour les pokémon Electrique me vient justement d'agents qui ont l'habitude de travailler avec lui. A distance, en plus d'être un véritable signal lumineux sur pattes, très pratique pour ne pas se perdre, il peut également émettre des flashs lumineux. Ainsi, c'est un jeu d'enfant pour lui de les émettre en rythme pour vous donner des informations à distance. Et quand il est plus près, les aboiements marchent également à la perfection !

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Rosélia est un Pokémon au double types Plante et Poison originaire d'Hoenn. C'est une petite créature végétale à l'allure humanoïde avec une « peau » couleur vert clair, une robe en feuille et une coiffe avec trois épines d'un vert plus foncé. Sur la feuille qui semble représenter le devant de sa robe, il y a une partie jaune qui démarre du cou pour s'amincir jusqu'aux deux tiers de la feuille. En guise de mains, Rosélia possède deux roses, une rouge à droite et une bleu à gauche.
Si c'est un Pokémon sympathique, offrant une douce odeur très agréable pour ceux qui s’approchent de lui, il est également capable de produire un poison très violent pour se protéger. Il accepte avec grand plaisir que les Pokémons insectes butinent ses roses, mais attention à celui qui voudrait les cueillir ! C'est un Pokémon qui est très fier de ces fameuses fleurs et qui ne vit que pour en prendre soin, lui couper le rendrait furieux de voir ainsi son travail fichu en l'air, et il aurait un caractère vraiment mauvais le temps qu’elles repoussent. Certains d'entre eux acceptent par contre de travailler en parfumerie, en offrant des pétales de temps en temps pour ensuite les reformer et avoir toujours des fleurs. Ce procédé permet d’obtenir un parfum très rare, considéré luxueux pour beaucoup de monde.

En combat, avec son attaque spéciale très élevée et le fait qu'il n'apprenne presque que des capacités de son double type, on peut dire qu'il tape fort, très fort ! Et vite avec ça. Commençant principalement par empoisonner son adversaire avec Dard-Venin ou Toxik, il peut également couvrir le terrain de pics pour chaque entrée, avec Pics Toxik, utile en arène par exemple. Par la suite, c'est un véritable déluge de capacités de type plante qu'il utilise : Para-spore si son adversaire n'est pas empoisonné, Vampigraine pour drainer tranquillement la force vitale de son adversaire, Siffl'Herbe pour l’endormir... C'est un Pokémon vraiment utile dont il faut se méfier ! L'habit ne fait pas le moine comme on dit, et à haut niveau, il sera vraiment difficile à faire tomber, surtout s’il se bat contre des Pokémons de types Plante, Eau, Electrique, Combat et Fée ! Par contre, si ses adversaires sont des Pokémons de types Psy, Vol, Glace et Feu, même avec toute la volonté du monde, il pourrait bien finir KO.

Pour communiquer, j'ai vraiment trouvé un truc tout bête, qui pour une fois n’est vraiment pas casse tête ! J'utilise le morse pour ce Pokémon, vu que l'absence de véritables mains est plutôt ennuyeux pour faire autrement. Mais, avec ses roses de couleurs différentes, c'est vraiment super simple de le faire parler ! En effet, tel une pom-pom girl lors d’un match de football, Rosélia n'a cas secouer l'une de ses roses pour un son long, et l'autre pour un son court. Avec la différence de couleur, on ne peut vraiment pas se tromper !

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Caravanha est un Pokémon féroce. Originaire de la région d’Hoenn, il est sans aucun doute l’un des Pokémons eau les plus agressifs connu à ce jour. Du moins, si on oublie son évolution, qui est encore pire que lui. Mesurant presque un mètre pour une bonne vingtaine de kilos, Caravanha est déjà un sacré morceau pour un Pokémon de premier stade évolutif. Le haut de son corps, de couleur bleu, possède deux nageoires dorsales se terminant en pointe. Son ventre lui, est de couleur rouge alors excepté sur le motif en forme de croix qu’il possède sous sa gueule. Celui-ci s’avère être de couleur jaune, tout comme ses différentes nageoires. Une nageoire, Caravanha en possède d’ailleurs une ventrale, de la même forme que les deux qui trônent déjà sur son dos. En plus ce celles sur son flanc, le Pokémon féroce possède aussi une nageoire caudale délimitée par une bande rougeâtre. C’est d’ailleurs grâce à toutes ces nageoires aux emplacements variés que ce Pokémon eau est capable de se mouvoir aussi facilement sous l’eau. D’ailleurs, il est extrêmement difficile de lui échapper une fois que celui-ci a décidé de vous prendre en chasse. Pourtant croyez-moi, vu la mâchoire du spécimen, vous aurez plus qu’envie de vous échapper, que vous soyez les pieds dans l’eau ou même sur un petit bateau. En effet, les crocs acérés de Caravanha sont bien assez aiguisés et pointus pour broyer la coque d’un navire en un rien de temps. Ce n’est certainement pas un peu d’acier qui le fera rebrousser chemin. Il est d’ailleurs considéré nuisible au sein des eaux Hoenniennes pour cette raison : lorsqu’un banc de Caravanha a décidé de changer de territoire pour se poster un peu trop près des côtes, il devient impossible pour les pécheurs locaux de s’aventurer en haute mer sans risquer de voir son navire se transformer en épave en un instant. Par chance, il se trouve que ce Pokémon eau ne soit pas aussi téméraire qu’il aime le laisser sous-entendre. En effet, si en banc, Caravanha n’hésitera pas un seul instant à vous poursuivre jusqu’au bout du monde dans le seul but de vous faire regretter d’être venu au monde, ce spécimen se trouve être en réalité bien plus craintif lorsqu’il est seul face à l’adversité. Vous savez donc comment vous y prendre si vous souhaitez en capturer un à l’état sauvage… Une fois qu’il s’est familiarisé à son dresseur (cette étape peut prendre un certain temps en fonction du caractère de l’individu) Caravanha peut devenir un excellent partenaire dont la loyauté ne vous fera jamais défaut. Il reste toutefois primordial se le garder à l’œil surtout lorsqu’il est en présence de vos autres compagnons : s’il peut se montrer fidèle à son dresseur, ce Pokémon peu aussi se montrer cruel envers vos autres compagnons. Il faudra donc vous armer de patience pour qu’une vrai cohésion de groupe s’installe entre vos autres Pokémons et lui mais croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle.

Lorsqu’il s’agit de combattre, Caravanha se montrera toujours présent ne serait-ce que pour impressionner son dresseur ou encore pour simplement ridiculiser un adversaire plus faible que lui. Les matchs ne tournant clairement pas en son avantages s’avèrent en revanche être nettement moins sympathiques à ses yeux et il vous faudra parfois faire preuve d’un peu de compassion si celui-ci venait à prendre peur. N’oubliez pas : le réprimander sèchement ne pourra jamais vous apporter de résultats véritablement concluants. Sur le plan statistique, votre petit compagnon est une véritable machine à tuer, faisant preuve d’une férocité sans nom lorsqu’il s’agit de frapper sur le plan physique. De quoi provoquer des dégâts plus que concluants sur ses adversaires notamment avec des capacités comme Croc givre, bélier ou crochet venin qu’il est capable d’apprendre naturellement. Cependant, il n’est pas mauvais non plus lorsqu’il doit frapper sur le plan spécial, son double type Eau – Ténèbres lui apportant une combinaison relativement intéressante. S’il est aussi capable de se mouvoir avec aisance, le Pokémon aquatique est en revanche bien plus mauvais lorsqu’il s’agit de recevoir les coups. Ainsi, si la grande majorité de ses adversaires pourront se montrer dangereux, les Pokémons frappant sur le type plante, électrique, combat, insecte ou fée le seront encore plus.

On date les premiers Caravanha au milieu du Permien. Le monde étant encore très clairement habités par une majorité de Pokémons eaux, certains ancêtres du Pokémon féroce que nous connaissons aujourd’hui auraient en fait muter pour devenir de véritables prédateurs. A l’origine, ceux-ci auraient été de simples et paisibles spécimens. Cependant, face à la véritable abondance de spécimens aquatiques présent en haute mer, l’évolution les aurait simplement pourvus d’une mâchoire anormalement puissante pour pouvoir réguler les populations maritimes à leur façon. Cela ne les placera toutefois pas dans le cœur des hommes et ce peu importe l’époque : véritable hantise des marins, Caravanha sera bien souvent craint et ainsi chasser pour chercher à réduire leur population lorsque ceux-ci s’approchent trop près des ports et des habitations maritimes.

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Chartor est un Pokémon Charbon. Quadrupède d’une cinquantaine de centimètre, il ne pèse pas moins de 80kg malgré sa petite taille ! Son corps est recouvert d’une peau lisse orangée de la tête aux pattes, celles-ci étant d’ailleurs équipées de trois petites griffes. Son dos est protégé par une épaisse carapace de couleur grise, couleur que l’on retrouve par ailleurs sur les anneaux présents au niveau de chacune de ses pattes et de son cou. Cette fameuse carapace possède des ouvertures d’où s’échappe une épaisse fumée noire lorsque Chartor est en surchauffe ou lorsqu’il souhaite aveugler ses adversaires. Si ses yeux semblent toujours fermés, c’est parce que les Chartor ont bien souvent une très mauvaise vue, et sont donc constamment obligé de plisser les yeux à leur maximum. Comme beaucoup de Pokémons feu, Chartor est capable de stocker une grande quantité de chaleur, et sa réserve à lui se situe sous sa carapace. Se nourrissant principalement de charbon, le corps de notre petit compagnon myope absorbe certains nutriments du minerai pour les transformer en combustibles afin de s’en servir comme source d’énergie. Il puise plus ou moins dans celle-ci en fonction de la situation, rendant les trous de sa carapace plus ou moins lumineux et dégageant de la fumée plus ou moins noire et épaisse en conséquence. Il est cependant toujours obligé de faire attention à la gestion de ses combustibles afin de ne jamais en manquer, car si Chartor venait à manquer de charbon, son pronostique vital pourrait très vite être engagé. C’est pour cette raison qu’à l’état sauvage, ces Pokémons vivent exclusivement dans les montagnes et zones minières où ils sont sur de pouvoir s’approvisionner en charbon sans aucun soucis. Une fois domestiqué, Chartor s’avère être un compagnon fidèle et loyal à son dresseur en toute circonstance. Il n’hésitera pas à donner le meilleur de lui-même dans la vie de tous les jours comme au combat, faisant preuve d’un courage exemplaire.

Comme dit précédemment, Chartor est un combattant courageux. Il n’hésite pas à encaisser les coups, surtout physique, en profitant de la solidité de sa carapace avant de les rendre sans sourciller. C’est donc un excellent Pokémon lorsqu’il s’agit de recevoir les coups physiques, et il se débrouille tout à fait correctement contre les coups spéciaux, mais aussi sur le plan offensif en général. Des attaques comme Malédiction lui permettront d’accroitre encore plus son potentiel défensif en plus de son attaque physique, en plus de posséder des compétences feu plus qu’intéressantes comme Canicule ou même Feu d’Enfer. Exuviation lui permettant de devenir une vrai machine de guerre, veillez à ce qu’il ne prenne pas de coup trop important après avoir utilisé cette attaque, car ses défenses s’en trouveront considérablement réduites. Si vous souhaitez lui offrir un panel offensif plus varié au niveau de la table des types, sachez que Chartor est capable de maitriser des Capsules Techniques intéressantes comme Lance Soleil, Séisme, Bomb-Beurk, Lame de Roc, Gyroball, Eclat-roc et même Explosion pour terminer le match en beauté. Cependant, malgré ses avantages stratégie, notre compagnon de type feu possède toutefois une faiblesse et pas des moindres. En plus de rester fragile contre les Pokémons Eau, Roche et Sol, il est affreusement lent. De toute évidence, la fable du Sapereau et de la Chartor écrite par Jean de la Fouinette disait vrai quant à la lenteur de ce spécimen.

Chartor est sans doute l’un des plus anciens Pokémons encore présent sur terre à l’état sauvage. Apparu quelques années seulement après la majorité des espèces « fossiles » maintenant disparues, ce Pokémon n’aura jamais eu grand mal à survivre, car si bien des prédateurs en avaient après eux, briser la carapace d’un Chartor était un véritable exploit. Même les plus féroces des Rexillius se brisaient fréquemment la mâchoire en essayant de venir à bout de la défense ultime des Chartor. Au moyen âge, les chevaliers les plus fortunés n’hésitaient d’ailleurs pas à faire renforcer leurs armures et boucliers à l’aide de morceaux directement prélevées sur les carapaces de Chartor. Ils seront d’ailleurs bien vite domestiqués, d’une part grâce à leur caractère facile, mais aussi parce qu’ils deviendront vite les meilleurs amis des mineurs d’Hoenn. Véritable torche ambulante afin d’éclairer les galeries les plus sombres lorsqu’ils utilisent suffisament d’énergie, les Chartor sont de véritables détecteurs de charbon, bien pratique pour repérer les bons filons à exploiter.

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Kraknoix est un Pokémon piégeur. Mesurant à peine 70cm, c’est un Pokémon que l’on retrouve exclusivement en région désertique. Quadrupède à la peau dure et orangée, seule la surface sur son ventre est de couleur blanche. Sa tête, ronde et au moins aussi imposante que le reste de son corps, abrite une paire d’yeux sournois et une énorme mâchoire. Celle-ci est suffisamment puissante pour permettre à Kraknoix de briser des rochers sans fournir d’effort particulier. C’est d’ailleurs à l’aide de celle-ci qu’il est capable de chasser aussi efficacement. N’avez-vous jamais aperçu de trous dans le sable lorsque vous vous promeniez dans les étendus désertiques d’Hoenn ? Ne cherchez plus, c’est un Kraknoix qui attend patiemment qu’un Pokémon tombe dans son piège. En effet, ce sont des Pokémons très patients, et s’il leur faut attendre plusieurs jours sans bouger avant qu’un Cacturne ne se prenne les pattes dans le trou de Kraknoix, ce ne sera en aucun cas un problème. En revanche, à l’instant où la proie de Kraknoix enfonce sa jambe dans le trou, le petit Pokémon Sol happera immédiatement ce qui passe à sa portée afin d’empêcher son diner de se sortir de là. Veillez donc à être extrêmement vigilant lors de vos déplacements dans les zones à risques, surtout si la météo est mauvaise. Lors d’une tempête de sable, il est plus que difficile de localiser correctement les tanières de Kraknoix, et la moindre erreur pourra vous couter au mieux une bonne fracture du tibia. Cependant, ce système de chasse est aussi un véritable atout pour les débusquer. Si vous êtes à la recherche d’un Kraknoix, il vous suffit d’envoyer un Pokémon remuer le sable non loin d’un trou au beau milieu du désert, et la probabilité de débusquer l’un de ces Pokémons sera quasi certaine ! Une fois hors du sable, libre à vous de l’affronter à la loyale ou non. Sachez juste que la tête de Kraknoix est la partie la plus lourde de son corps, et donc qu’une fois sur le dos, il aura bien du mal à se remettre seul sur ses pattes. Une fois capturé, c’est un petit Pokémon farceur qui rejoindra votre équipe. Les Kraknoix sont bien souvent de nature taquine et n’hésiterons pas à chercher constamment le chahut avec leur dresseur ou les autres Pokémons autour d’eux.

Kraknoix est un très bon Pokémon au combat lorsqu’il s’agit d’occasionner un maximum de dégâts physiques. Avec une telle mâchoire, rien de bien compliqué pour lui. Cependant, c’est bien là le seul domaine où il excelle, car dès qu’il s’agit d’encaisser ou de frapper sur le plan spécial, notre pauvre Pokémon sol devient vite plus que moyen. Et c’est sans parler de sa rapidité d’exécution au combat qui est pour ainsi dire… inexistante. Kraknoix est sans conteste l’un des Pokémons les plus lents recensés à ce jour. Il devient donc une cible facile pour beaucoup de Pokémons, alors que ses défenses plutôt faibles ne lui permettent pas d’encaisser beaucoup de coup. A moins d’avoir une puissance de feu impressionnante sur le plan physique, il faudra bien entrainer votre Kraknoix avant de l’envoyer combattre lors des matchs officiels. De plus, n’essayez même pas de lui faire disputer un combat contre un adversaire de type Eau, Glace ou Plante, qui auront un avantage certain sur votre Pokémon Sol. En revanche, celui-ci sera immunisé au type Electrique, et se montrera plutôt résistant contre les attaques Poison et Roche.

Les Kraknoix sont issus d’une régression de la part des Vibraninf. A l’origine cousin de Yanmega, lorsque le Quaternaire arrivera sur terre, apportant avec lui ses température glaciales, une majorité des Vibraninf ne survivront pas. Cependant, les plus rapides d’entre eux tenteront d’atteindre les zones les plus chaudes et désertique, avant de s’enterrer. Pendant de longues années, ces Pokémons passeront leurs journées à creuser des galeries sous les plus grand désert d’Hoenn et Unys, perdant peu à peu leurs ailes pour gagner une mâchoire plus importante afin de briser les rochers sur leur chemin.

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Libégon est un Pokémon Mystique. Pokémon aux types Sol et Dragon originaire de Hoenn, il est le troisième et dernier stade évolutif de la famille Kraknoix – Vibraninf – Libégon. Atteignant à présent facilement les deux mètres de long pour en général un poids situé entre 80 et 90kg, le petit compagnon que vous aviez connu jusque là et devenu un fier dragon. Son corps, presque intégralement recouvert de vert, possède maintenant une longue queue rayée de peau plus ou moins foncée pour se terminer en trois pointes relativement claires et encadrées par des bandes rouges. Ses ailes, beaucoup plus puissantes qu’auparavant, sont elles aussi recouvertes d’une fine membrane aux tons verts clair et cerclées de rouge. Tout en restant dans les tons rouges, ses deux yeux sont recouverts de sphères de membranes de cette même couleur le protégeant notamment du sable qui compose en grande majorité son habitat naturel ; tandis que deux longues cornes sont disposées sur le sommet de son crâne, bien qu’elles lui servent en réalité plus d’antennes pour se repérer à travers les tempêtes de sable que de véritables armes. Ses pattes postérieures sont suffisamment puissantes pour lui permettre de prendre de véritables impulsions avant le décollage, tandis que ses pattes antérieurs, plus fines et plus petites, sont armées de trois doigts et griffes tranchantes lui permettant entre autres de se défaire assez rapidement de ses proies.
S’il est extrêmement rare de croiser un Libégon à l’état sauvage, il est encore plus délicat de le voir de ses propres yeux. En effet, ce Pokémon aussi surnommé « Esprit du désert » est extrêmement difficile à observer sur son habitat naturel puisqu’il se déplace bien souvent au cœur même de tempêtes de sables. En effet, lorsque ce Pokémon Mystique décide se de déplacer, ses ailes battent si vite et fort qu’elles sont capables de déplacer une quantité affolante de sable tout autour de lui, allant dans la majorité des cas jusqu’à créer de véritables tempêtes s’il se situait au beau milieu d’étendues désertiques. Par ailleurs, ses battements d’ailes sont capables par résonnance de produit une sorte de mélodie envoutante, qui ne manque souvent pas d’attirer les proies de ce spécimen en plein cœur des tempêtes qu’il aura lui-même créer, lui permettant ainsi de chasser dans les conditions qui lui sont les plus favorables. Extrêmement fidèle à leurs dresseurs, il est en général plus que conseillé d’obtenir un Libégon par évolution après qu’il se soit attaché à vous sous sa forme de Vibraninf. Si ce n’est pas le cas, il faudra s’armer de matériel et de courage pour aller en débusquer un spécimen sauvage au beau milieu des déserts d’Unys ou Hoenn, mais aussi de patience, car un Libégon capturé à l’état sauvage ne pourra se montrer docile qu’envers un dresseur qui le respecte mais aussi qui inspire le respect au Pokémon dragon.

Comme vous vous en doutiez sans doute à la vue de ce spécimen, Libégon est un combattant à ne certainement pas prendre à la légère. Relativement bon dans tous les domaines, il excelle toutefois lorsqu’il s’agit de porter un coup physique à ses adversaires, en plus d’être bien plus rapide qu’une majorité de Pokémons qui pourraient avoir l’honneur ou le malheur de se retrouver face à lui. Si son double type Sol – Dragon lui offre déjà un panel offensif plus qu’intéressant, ses prédispositions sur le plan physique et quelques Capsules Techniques lui permettront de devenir une véritable machine : Mâchouille, Surpuissance, Bourdon, Bang Sonique, Lance-Soleil, Eboulement, Lame d’Air, Ailes d’acier, Poing de feu, Poing éclair… la liste est longue et pourra permettre à Libégon de couvrir un nombre de type différents considérable pour écraser ses adversaires. De plus, l’accès à d’autres compétences comme Tempête de sable, Atterrissage, Toxik ou encore Demi-Tour lui permettront même de mettre au tapis ses adversaires les plus coriaces ou encore de procéder à un repli stratégique en urgence pour mieux revenir sur le terrain. Il est donc évident que ce spécimen ne doit pas être pris à la légère. Pour autant, il devra rester méfiant car malgré son attirail plus que remarquable, la table des types ne pardonne pas et les attaques de type Fée, Dragon ou pire encore, de type Glace auront vite fait d’entamer sérieusement la fierté mais aussi la santé de votre Libégon.

C’est paradoxalement lors du Quaternaire que les premiers Libégons virent le jour. Si une très grande majorité des Vibraninfs vivant jusqu’alors n’eurent d’autre choix que de muter pour devenir Kraknoix et ainsi s’enfouir dans le sable des régions les plus chaudes du monde, d’autres très rares spécimens furent suffisamment fort pour transcender l’évolution et devenir de magnifiques Libégons. Plus grand, plus résistants et surtout beaucoup plus fort, cette évolution leur permit non seulement de survivre – bien que difficilement aux températures fraiches de ces zones pourtant tropicales – mais aussi d’être suffisamment armées pour s’attaquer aux proies les plus solides, capables elles aussi de tenir têtes aux fortes baisses de températures. Bien que rarissime, Libégon n’eut jamais vraiment de soucis avec l’Homme ou d’autres spécimens quels qu’ils soient. Suffisamment fort pour se défendre contre la grande majorité des autres Pokémons qui partagent son habitat naturel, l’Homme n’aura eu que trop peu d’occasion de le croiser, et encore moins d’occasion de ressortir indemne des tempêtes qu’il provoque. Pour ainsi dire, jusqu’à la toute fin du moyen âge, il était tellement difficile de croiser un Libégon et de pouvoir rapporter cette observation que ce Pokémon était classifié comme Pokémon légendaire. Vénéré comme véritable esprit et gardien du désert par les peuples d’Hoenn comme le peuple météore entre autre, il reste aujourd’hui un symbole et une véritable source d’admiration pour bien des dresseurs.

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Tylton est un Pokémon oiseau de type Normal et Vol originaire d'Hoenn. C'est un tout petit oiseau bleu azur avec un corps en forme de poire dont on ne différencie pas la tête du corps. Il a deux longues plumes sur la tête qui lui donne un épi en forme de « V », et il a une queue avec deux longues plumes également. Ses ailes sont faites de coton blanc, et ses petites pattes et son bec sont bleu-gris. Il a de tous petits yeux aux pupilles noires.
C'est une espèce très répandue au sein d’Hoenn, on en trouve très facilement que ce soit dans les villes ou dans la nature. Ils ne sont pas du tout farouches et il n'est pas rare que l'un d'entre eux se pose sur la tête d'un passant pour servir de chapeau cotonneux à ce dernier. Quand le ciel est couvert, on peut le voir voler à travers les nuages pour échapper à ses prédateurs. C'est un Pokémon très curieux, pour l'attraper, appâtez-le avec des fruits ou des baies sucrées. Il est fort possible qu'il se laisse attraper sans résistance après un bon repas !
Une fois dans votre équipe, c'est un Pokémon qui mettra l'ambiance dans votre quotidien ! Il est tellement joyeux de nature qu'il arrive à s'entendre même avec les Pokémons les plus grincheux ! Il faut dire qu'il est difficile de résister a ses chants mélodieux qui donne le sourire à ceux qui ont la chance de pouvoir les écouter ! Il adore quand on prend soin de ses ailes, n'hésitez pas à acheter une brosse pour vous en occuper, il est très maniaque sur la propreté de son coton !

Par contre ce n'est pas un Pokémon très fort au combat, préférez lui une place de soutien plutôt qu'une place de véritable combattant. S'il peut se défendre avec des attaques telles Picpic, Etonnement, Furie, Bélier ou Dracochoc pour les plus expérimentés, ses capacités de soutiens sont tout aussi utiles ! Berceuse, Rune Protect, voir Requiem pourrait bien vous sauver la mise plus d'une fois ! En plus il peut apprendre quelques CT pour le rendre plus puissant, tel que Lance-Soleil, Aile d'Acier, Laser Glace et Dévorêve. Enfin, il est insensible aux types Sol et Spectre, en plus d'être résistant aux Plantes et aux Insectes. Attention aux types Glace et Electrique qui ne lui feront pas de cadeaux.

Pour discuter avec lui, je privilégie le chant, pourquoi s'en priver quand sa voix est aussi agréable ? Je me base sur le morse, un son dans les aigu pour un son court et un son dans les grave pour un son long. Il peut jouer aussi simplement sur la durée sans la sonorité mais c'est plus difficile de faire la différence au bout d'un moment. Et si jamais vous n'avez pas l'oreille musicale, il vous suffit d’utiliser ses ailes. Vers le haut pour un son court et vers le bas pour un son long !

Altaria est un pokémon de types Dragon et Vol, il est originaire d'Hoenn et il est l'évolution de Tylton. Il ressemble d'ailleurs énormément à sa sous évolution, gardant une tête, ses pattes et une queue bleue, alors que ses ailes sont recouvertes du tout doux des cotons. Quand il est au sol, il les replis autour de lui, si bien qu'on a l'impression qu'il porte un petit nuage dont sa tête dépasse. Il a également une méga évolution, le rendant encore plus cotonneux, oui c'est possible et le bleu de son corps est plus clair qu'à l'origine.
C'est un pokémon très commun dans sa région d'origine, où on le retrouve surtout dans les forêts où il établit ses nids en hauteur, pour pouvoir avoir un peu de calme. C'est un oiseau très sympathique, même à l'état sauvage et qui n'hésite pas à aider son prochain. En effet il n'est pas rare de voir un couple d'Altaria s'occuper d'un bébé pokémon d'une autre espèce qui aurait été abandonné ou perdu par ses parents d'origine. Bon nombre de pokémon cohabite avec eux pour récupérer le coton de ces derniers quand ils muent, pour dormir dedans. Une fois capturé, il peut devenir une vraie maman poule pour vos compagnons plus petits, qu'il porte avec plaisir sur son dos. Mais même pour les plus gros, il essayera toujours d'offrir un peu de douceur, même si ceux-ci sont plus caractériels. Altaria est donc un parfait médiateur entre pokémon qui ne s'entendrait pas bien ! Pour cela, son chant clair et mélodieux est le meilleur des remèdes contre les esprits belliqueux.

Pour combattre, Altaria dispose de statistiques globalement équilibrés. Il a avant tout une très bonne défense spéciale, surement du à son coton qui doit absorber la plupart des attaques adverses ! Sa défense est juste derrière, suivit par sa vitesse. En effet, en évoluant l'oiseau a réussi à obtenir la grâce des pokémon Dragon et il est très impressionnant par sa dextérité à réagir au quart de tour contre son adversaire. Ses points de vie sont correct, tout comme son attaque et son attaque spéciale. Alors oui, ce n'est pas forcément terrible d'avoir les attaques dernières au niveau des stats, mais bon, au moins vous pouvez le faire combattre autant dans son double type, quand lui apprenant des CT ! Justement au niveau de ces dernières, il apprend Laser Glace, Atterrissage, Lance-Soleil, Séisme, Lance-Flammes, Aéropique, Aile d'Acier et Vol ! De quoi rendre votre pokémon vraiment polyvalent ! Au niveau des sensibilités, il est insensible au type Sol, il résiste très bien au type Plante et il se débrouille bien contre les types Feu, Eau, Combat et Insecte. Par contre attention tout particulièrement au type Glace, alors qu'il ne fera pas non plus long feu face aux types Fée, Dragon et Roche.

Pour communiquer avec un Altaria, rien ne vaut le chant si vous avez la chance d'avoir l'oreille musicale. En effet c'est un véritable plaisir d'entendre cet oiseau chanter, si bien qu'il serait dommage de s'en priver ! Lui apprendre à parler en fonction de la hauteur des notes et de leur longueur pourrait vous permettre de créer un langage propre que seul vous êtes en mesure de comprendre. Pour ceux qui ont une mémoire plus courte ou qui n'ont tout simplement pas envie de se casser la tête, le morse reste une solution de facilité tout à fait acceptable ! Il n'est pas dur du tout pour un Altaria de communiquer en son plus ou moins long et ca reste une mélodie tout à fait sympathique à écouter.

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