Sakae Kurami
C-GEAR Inscrit le : 23/08/2013 Messages : 14282
Région : Hoenn, Kalos.
| Je souhaiterais tout d'abord préciser aux potentiels utilisateurs de cette encyclopédie que je me base, pour vous décrire les pokémons dont traite mon pokédex, uniquement sur des observations personnelles. La numérotation a été reprise à celle du célèbre professeur Chen, et ce pour plus de cohérence. |
— # 650 | - MARISSON.:
Ce pokémon est un MARISSON. Les marissons sont de toutes petites bogues que l'on retrouve régulièrement dans la région de Kalos. Haut comme trois pommes, ou plutôt hauts comme trois bogues, ce sont des pokémons bipèdes, végétaux comme en témoignent beaucoup d'éléments de leur corps. Leur peau est marron crème, parfois plus foncé comme sur les pattes ou certains endroits de leur visage. Ils marchent sur deux pieds larges, dotés de deux griffes très longues qui leur offrent assise et stabilité qu'ils marchent ou qu'ils escaladent. Leurs mains sont moins bien dotées, simplement terminées par trois doigts tous ronds. Leur tête est ronde, avec un museau peu prognate et deux grands yeux comme des billes noires. Mais dès qu'ils se retournent, exit le marron, bonjour le vert. Tout leur dos est recouvert de peau de feuille vert clair, qui rappelle les nouvelles pousses du printemps, aussi jeunes qu'eux. Cela recouvre jusqu'à l'arrière de leur crâne, ce dernier étant plein d'épines à la manière des marrons et des châtaignes que l'on ramasse une fois l'hiver venu. Ils peuvent durcir ses épines, principalement comme un réflexe lorsqu'ils se sentent menacés. Cela leur sert principalement de carapace. Enfin, ils ont également une petite queue en pointe, qui se termine par une note d'orange qui rappelle leur nez.
Au combat, les marissons sont des pokémons extrêmement équilibrés, bien qu'à peine plus à l'aise au contact qu'au lancer de projectiles, qui sont de parfaits pokémons pour les dresseurs débutants. Ils sont peut-être un petit peu moins coriaces que les bulbizarres par exemple, mais ils ne sont pas sans rappeler les arckos. Heureusement, ils tirent sans trop de mal leur épingle du jeu, normalement en étant facilement résistants à toutes sortes de projectiles grâce à leur carapace qui officie comme un gilet pare-balle. Plutôt que d'attaquer bêtement, ils commencent par infecter leurs ennemis grâce à leurs vampigraines, avant de se mettre directement à attaquer. Ils diffèrent alors d'un individu à l'autre : certains préfèrent se rouler et charger sur l'ennemis, quand d'autres préfère au contraire frapper de leurs fouets lianes. Il faut surtout faire attention à ne pas trop fatiguer ces petits pokémons, car ils sont encore jeunes ; et mieux vaut donc ne pas les envoyer contre des pokémons qui seraient hors de leur tier.
Comme on peut l'attendre de pokémons d'une telle jeunesse, les marissons sont naturellement curieux. Ils fourrent toujours leur petit nez un petit peu partout, à la recherche de découvertes à faire ou de réponses à trouver. Ou bien de nourriture à chipper, car ce sont des pokémons d'une gourmandise étonnante, pour un si petit corps ! Pourtant, ils peuvent se goinfrer jusque plus soif. Il est bon de vérifier leur consommation alimentaire, car il s'agit tellement de gourmandise dans leur cas qu'il pourrait se rendre malade à force de trop manger leurs aliments préférés. Cette curiosité qui peut arriver n'importe quand leur attire souvent des ennuis, que ce soit envers des êtres humains ou pokémons ; ou bien parce qu'ils se retrouvent coincés, perdus, bloqués quelque part. Une attention toute particulière n'est pas de trop lorsque l'on doit s'occuper de ces petits pokémons. Heureusement, ils ont le plus souvent l'esprit léger, et sont de grands optimistes. Peut-être un petit peu trop, car ils se disent toujours qu'ils finiront par s'en sortir, et cela ne leur offre aucune retenue pour leurs bêtises suivantes. Ils sont souvent offerts aux jeunes dresseurs d'Unys, mais l'on met souvent en garde les parents du tempéraments de ces pokémons. Néanmoins, feunnecs et grenousses ne sont pas en reste non plus.
| — # 651 | - BOGUÉRISSE.:
Ce pokémon est un BOGUÉRISSE. Ces gros marrons tout droit tombés de l'arbre sont l'évolution des petits marissons. Leur corps très rond est porté sur deux jambes courtaudes, et ils gardent leur équilibre grâce à une longue queue qu'avaient déjà les marissons avant eux. Ils possèdent deux bras musculeux mais courts également. Sur leur coque, différentes couleurs se disputent l'espace : du vert et du marron majoritairement, ce qui leur permet de s'adapter à leur environnement naturel ; mais également du orange et du marron plus clair par exemple. Si leur corps est aussi rond, c'est parce que celui-ci est en fait engoncé dans une bogue qui agit comme une armure protectrice de ce qui les entoure. De leur intérieur, on ne voit finalement que leur visage, avec leur petit museau en pointe et leurs touffes de poils brunes. Sur toute leur armure végétales, ils ont des piquants qui peuvent se détacher, être propulsés ou tomber à gré.
Au combat, leur armure leur permet de parer les projectiles qu'on leur enverrait sans trop de mal, dans la mesure où ils sont presque intégralement recouvert. Les tirs faciles doivent être dirigés vers leur visage afin d'être efficaces. Il leur arrive souvent de se recroqueviller pour encaisser les coups avant de contre-attaquer avec des nuées des dards qu'ils ont dans le dos. Beaucoup de leurs techniques reposent ainsi sur ceux-ci, comme lorsqu'ils chargent tel un bélier avec les dards de leur poing en avant pour infliger un maximum de dégâts à leur ennemi, ou lorsqu'ils se transforment en véritables canons à graines, qui sont elles-mêmes aussi hérissées que des bogues de châtaignes. Ils peuvent se permettre de telles offensives parfois un petit peu risquées car ils sont des pokémons à la défense imparable, surtout lorsqu'il s'agit de coups reçus au corps à corps.
Ces pokémons vivent quasiment toujours dans des forêts, où ils sont très à l'aise et plus libres de leurs mouvements qu'on pourrait le penser au premier abord. Ils nichent en haut des arbres et s'en laissent tomber quand ils ont besoin d'aller ailleurs. Ils ne sont loin d'être pokémons agressifs ; ils sont au contraire très conciliants et attentifs. Ce ne sera jamais eux qui commenceront des disputes. Néanmoins, ils ont un caractère assez enthousiastes et sont donc très remarquables : toujours un petit peu bruyants et remuants dans le champ de vision de leur dresseur. Il faut donc un petit peu de patience pour ne pas être agacé par ces pokémons. Néanmoins, ils ont suffisamment de retenue pour pouvoir vivre tranquillement en communauté sans que tout le monde ait envie de leur taper dessus. Ils ont des réflexes communautaires très forts, qui les poussent à être très protecteurs envers les membres de leur clan. Ils se presque toujours devant vous pour vous protéger de potentiels coups. Attention quand même, car en se mettant devant vous, ils vous exposent à leurs piquants. Parce que c'est avant tout ça, un boguérisse. Un marron. Qui pique. Ce sont des marrons qui piquent.
| — # 652 | - BLINDÉPIQUE.:
Ce pokémon est un BLINDÉPIQUE. Les blindépiques sont la dernière évolution des tous petits marissons. Ils sont bien entendu toujours des végétaux mais n'en sont pas moins de féroces combattants. Ils sont les plus imposants de leur espèce. Ils ne sont pas des géants en terme de taille, pourtant ils sont très imposants et paraissent très gros. Ils sont toujours et éternellement des bipèdes, avec une longue et épaisse queue qui leur permet de garder leur équilibre en toute circonstance et de faucher leurs ennemis si nécessaires. Néanmoins, ils sont plus épais tout d'abord car ils sont bien plus carapacés que leurs prédécesseurs. Là où les boguérisses étaient verts et marrons, les blindépiques tirent presque sur le blanc, un crème clair qui se fonce ou s'éclaircit selon les zones de leur corps. Certaines de leurs plaques de carapaces sont entourées de bandes vertes, et parfois rouges également. Ils ont de longues griffes à chaque pieds et main. Des piquants hérissent de nombreuses parties de leur corps : queue, bras, épaules. Leurs épaules, d'ailleurs, sont la partie la plus imposante de leur corps, car c'est sur elle que repose le gros de leur carapace, et c'est à ce niveau-là qu'ils ont le plus d'ampleur. Autant dire que lorsqu'ils carrent les épaules, c'est impressionnant.
Au combat, les blindépiques ont beau avoir pour tendon d'achille les pokémon aériens, ils ne s'en démènent pas moins bien contre tous les autres adversaires. Si ça n'a pas d'ailes, ils peuvent se les faire. Leurs carapaces leur donne un véritable côté pare-balle sur lequel beaucoup de pokémons se cassent les dents. En plus, ils vont jusqu'à faire de la gonflette directement sur le terrain pour encore être plus résistants. Ce sont en effet des pokémons qui préfèrent largement jouer de leurs muscles directement au contact et jouer de leurs poings marteaux de bois qui font un sacré ménage sur les terrains. Le reste du temps, ils plaquent leurs ennemis après leur avoir sauté dessus en provoquant le plus souvent un giga impact qui secoue tous ceux qui se trouvent autour. Il vaut donc mieux attaquer rapidement là où ça fait mal pour eux.
Ce sont des pokémons qui ont perdu une partie de la jovialité. Ce sont toujours des individus d'une très grande gentillesse et d'un grand calme. Ils sont souriants, mais moins joueurs, en somme. Ce sont des pokémons extrêmement protecteurs envers leurs alliés, qu'ils le soient par le cœur ou par le devoir. Ils se servent de leur corps comme d'un bouclier vivant pour protéger ceux qu'ils souhaitent. Ils sont régulièrement appelés au combat par des professionnels comme des soldats, mais aussi par des gardes du corps. Ils sont à la fois très défensifs, mais aussi très très forts. Ils peuvent pousser des charges très importantes, montant jusqu'à plusieurs tonnes. Le tout est de ne jamais se retrouver dans leur ligne de mire lorsqu'ils commencent à foncer. Si vous savez être à leur écoute cependant, ils sauront être attentifs à vous et vous épargner de nombreuses peines.
| — # 653 | - FEUNNEC.:
Ce pokémon est un FEUNNEC. Ces renards au caractère enflammés ne sont pas sans rappeler le pokémon pyroli. Ce sont des petits quadrupèdes au pelage dru d'une couleur jaune assez chaude. Ils sont montés sur quatre fines pattes. Leur cou est fin aussi, mais vraisemblablement très costaud (construit de grosses vertèbres) pour soutenir une tête aussi volumineuse. Avec leur petit museau en pointe et leurs touffes de poils sur les joues, ils ont tout pour être les adorables de l'année. Ils ont de grands yeux oranges, du même orange que le bout de leur queue et de la touffe de poils qui sort de leurs oreilles. Ces dernières sont en amande, très grande, avec tout ce duvet orange qui ressemble à des flammes. De l'air chaud s'en dégage, et c'est étonnamment par-là qu'ils évacuent et régulent leur température. Ils ont également une queue touffue, jaune et orange.
Au combat, les feunnecs n'ont pas la férocité des salamèches ou le volontariat des poussifeu. Plus délicat, ils basent tout sur leur rapidité tant de mouvement que d'exécution. Ils se déplacent rapidement, à pas légers, pour pouvoir attaquer à distance. Ils compensent leur petite taille par des nitrocharges qui leur permet toujours plus de vitesse. Dès qu'ils sont touchés, notamment par une attaque terrestre, ils grondent de toutes leurs cordes vocales. Ce n'est pas le plus intimidant certes, mais les rafales psychiques qui s'ensuivent rabattent tout de suite les caquets.
Les feunnecs sont des pokémons qui ont l'habitude de vivre dans les déserts. Ils se nourrissent de pas grand chose, contrairement à leurs voisins sabelettes, bien plus difficiles. De même, ils peuvent ne pas boire pendant plusieurs jours d'affilée, adaptés qu'ils sont à leur milieu de vie. Ils vivent dans des terriers qu'ils parviennent à creuser extrêmement vite en cas de danger. Ils ont une très bonne ouïe, qui leur sert bien la nuit quand ils n'y voient plus rien juste avec leurs yeux. Cela leur permet également de communiquer entre eux, de terrier en terrier quel que soit les conditions climatiques ou l'heure. Ce sont, en revanche, des pokémons au très fort caractère ! Ils sont souvent capricieux, et même s'ils essayent toujours d'aider, il suffit qu'ils soient de mauvais poil pour qu'ils le fassent de mauvaise grâce ou bien montre ostensiblement que cela les fait chier – même si ce n'est pas toujours le cas. Heureusement, il leur arrive d'être dans de bonnes dispositions, et d'aider avec sourire et plaisir. Ils n'aiment pas être salis, ce qui se comprend quand on voit leur poil à la fois épais et duveteux, c'est-à-dire le plus relou à nettoyer au monde. Surtout quand on n'a que sa langue et un peu d'herbe à disposition. Souvent choisis comme pokémon de départ, il leur arrive bien facilement de nouer des relations exclusives avec leur dresseur, ou du moins souhaiteraient-ils qu'elle le reste...
| — # 654 | - ROUSSIL.:
Ce pokémon est un ROUSSIL. L'évolution des feunnecs est le même renard de feu quoique plus grand, et cette fois surtout se tenant debout. Grands comme de petits humains, un petit peu comme des nez, on peut tout de même dire qu'ils ont bien grandi. Leur fourrure a beaucoup poussé. Toujours majoritairement jaune, elle garde la teinte des feunnecs, et son côté très épais et chaud. Leur queue notamment est plus fournie et touffue qu'auparavant ; elle tombe presque jusqu'au sol. On y retrouve dedans leur bâton de majorette, qui n'est en soi rien d'autre qu'un simple branchage. La fourrure de leur buste, de leurs épaules et du bas de leur visage est cependant blanche. Leurs pattes postérieures sont quant à elles d'un gris très très très foncé (comme certains costumes de Batman). Elles sont fines mais robustes, et font d'eux des pokémons taillés pour la course. Leur visage s'est considérablement affiné, et il est en pointe. Ils ont un regard doux, qui semble plein de compréhension. Leur museau avance et ils ont un bon odorat, bien que ce ne soit pas leur capacité sensorielle la plus développée. Sur leur crâne, leurs oreilles triangulaires, elles aussi taillées en pointe ont grandi, et sont à présent mobiles. Deux gerbes de poil d'un orange vif en jaillissent comme des flammes. On retrouve cette teinte franche au bout de leur queue.
Au combat, les roussils font partie des quelques pokémons à se battre systématiquement avec un accessoire. Le bâton qu'ils portent au quotidien soit derrière leur oreille, soit planté quelque part dans leur fourrure vient prendre place dans leur mains pour agrémenter leurs attaques. Les roussils ont une importante puissance de feu, mais leur bâton leur permet de l'amplifier encore plus. Ils l'enflamment, puis jouent de ces flammes pour déverser leur danse-flammes sur le terrain. Ils s'approprient énormément l'espace de combat, et il faut leur opposer des pokémons prestes et adaptables pour ne pas perdre leur moyen face à ces cabrioles. Comme ils se battent avec leur bâton cependant, ils deviennent vulnérables, démunis pendant quelques secondes lorsqu'on leur enlève. C'est donc là que doit se porter les premières offensives contre un roussil. D'autre part, il faut que le roussil apprenne à se débrouiller sans. Heureusement pour eux, cela peut passer par le développement de leurs capacités psychiques. Les chocs psychiques que peuvent recevoir les adversaires face à des pokémons qui ne semblent pas posséder ces capacités peut complètement faire tourner le combat en leur faveur. De ce fait, les roussils sont des pokémons qui se basent uniquement sur la distance après avoir dressé un mur de lumière comme défense, que les flammes et les chocs traversent sans mal. Eux-mêmes prennent très mal les coups au corps à corps.
Leurs capacités psychiques, cependant, n'est qu'embryonnaire en terme d'inné. Cela nécessité vraiment d'être travaillé, développé si l'on veut vraiment créer un lien mental avec le pokémon. D'une certaine manière, ils ont l'avantage d'être naturellement dotés d'une empathie très impressionnante. Mais de part leur empathie, ce sont des pokémons qui peuvent très vite devenir possessifs, voire facilement jaloux envers leur dresseur, et qui peuvent avoir du mal à le voir se lier avec d'autres pokémons. Mais si la relation est construite sur des bases saines et équilibrés, ce sont des pokémons qui sont, certes peu communicatifs hors de leur relation privilégiée avec leur dresseur, mais très aidants (roussil de M. N.). Ils ont du mal à se lier avec plus d'une personne à la fois, et cela demande beaucoup d'efforts et de patience pour les amener à se tourner vers une vie sociale plus diversifiée. Leur bâton, bien qu'ordinaire (ça aurait pu au moins être un bâton de sourcier ou quelque chose comme ça dites donc !), mais leur sert bien plus qu'en apparence. Il les calme, occupe leur esprit lorsqu'ils font des jeux d'adresse avec. Cela permet notamment de canaliser leurs trop-pleins de flux psychiques lorsqu'ils commencent à développer ce don. Il leur sert bien entendu également à amplifier leur capacité de feu ; mais aussi à communiquer. En effet, les roussils vivent en grands groupes, qui sont de vraies sociétés très organisées. Ils ont développé un système de communication muet, entre discussions de flux mentaux et mouvements de bâtons enflammés — à la manière des mouvements de drapeaux à l'époque médiévale. Ils sont parfois employés dans des cirques, aux côtés des cracheurs de feu. Il faut tout de même faire attention à leur suivi médical, car ils ont un système immunitaire faible face à certaines afflictions, et peuvent véhiculer un certain nombre de maladies qui les affaiblissent.
| — # 655 | - GOUPELIN.:
Ce pokémon est un GOUPELIN. En terminant d'évoluer, les goupelins mettent pleinement en avant leurs aptitudes à la fois ignées et psychiques. À présent à taille adulte, c'est leur fourrure qui est ensuite la plus impressionnante. Ils en avaient jusque là une assez duveteuse mais seulement mi-longue. À présent, leur toison est longue et soyeuse. Elle est majoritairement rouge : sur leurs jambes et leurs bras, et au niveau de leurs oreilles. Le reste est jaune, comme lorsqu'ils étaient des petits feunnecs. C'est un petit peu moins pratique pour se déplacer rapidement et avec efficacité, mais il faut avouer que ça en jette niveau allure. En vrai, cela ressemble finalement à une grande robe de soirée. Ils ne gardent plus leur branche particulièrement dans les poils de leur queue (pas très classe), et tendent à la garder toujours avec eux, quelque part dans leur fourrure épaisse. Car non, ils ne s'en sont pas départis ! Pour le reste, ils relèvent surtout de grands roussils : la même peau noire sur leur main et leurs pieds, mêmes griffes et même dentitions. Ils ont un port de tête plus noble cependant.
Au combat, les goupelins sont des pokémons de fond de cour, qui préfèrent attaquer à distance. Ainsi, leur rapidité leur permet d'éviter la plupart des charges et des projectiles s'ils sont assez concentrés sur le terrain. En effet, en plus de leurs lances-flammes et autres déflagrations, les goupelins peuvent créer sur le terrain de larges zones magiques, au sein desquelles ils peuvent ensorceler leurs feux. Cependant voilà, cela leur demande une grande concentration. Seuls les plus prescients d'entre eux parviendront tout en se concentrant sur leurs capacités psychiques à être conscients des actions sur le terrain. Ceux qui n'en ont pas la capacité préféreront sans doute attaquer à simple coups de psykos, ou alors ils poseront des pièges sous forme de feux follets sur le terrain, pour casser toutes les charges qui approchent. Comme beaucoup de pokémons, ils réussiront mieux à se battre en plein jour plutôt qu'en pleine nuit, et encore plus sous le zénith, évidemment. Les éclipses sont donc à proscrire !
Les goupelins sont pleins de ressources. Au combat comme à la ville, ils peuvent se servir de leurs pouvoirs psychiques pour amplifier toutes les flammes qu'ils créent. Ils peuvent les rendre plus grandes, plus puissantes et plus chaudes. Ce sont leur moyen de défense principal. Certains goupelins, plus rares, peuvent même prédire l'avenir en regardant dans leur flamme, telle une boule de cristal. Ces prédictions prennent souvent la forme de vagues indications plus que de mots, de concept précis. Cependant, les goupelins, comme beaucoup de pokémons psychiques, ils sont capables de communiquer plus ou moins clairement par la pensée. Du fait de leurs pouvoirs, on les retrouve assez régulièrement aux côtés de magiciens, ou même en tant que stars principales de spectacles de magies. Comme ils peuvent communiquer par la pensées, ils étaient autrefois craints par certaines communautés rurales, qui les voyaient comme des genre de fées, ou d'esprit du feu. Ils faisaient parfois du troc, et peu de gens y refusaient, car l'on croyait qu'en provoquant leur courroux, ces pokémons aux pouvoirs magiques viendraient récupérer leur dû, voire plus, échangeant ce qu'ils avaient pris avec leurres.
| — # 656 | - GRENOUSSE.:
Ce pokémon est un GRENOUSSE. C'est grenouilles d'eau sont des pokémons typiques de Kalos. Amphibies qu'ils sont, leur peau est toujours humide. Leur peau est intégralement bleue clair, et ils se confondent ainsi parfois dans les rivières, d'autant plus qu'ils ont de l'écume sur leur dos et autour de leur cou notamment. Seule une bande de bleu plus foncé est présente entre leur deux yeux. Ces derniers sont particulièrement globuleux, sur le haut de leur crâne, comme il est typique des êtres aquatiques. Leur corps, une fois tout allongé, et non plié comme ils le sont toujours, mesure une bonne trentaine de centimètres, grâce à leurs longues pattes. Celles-ci sont puissantes, les postérieures plus que les antérieures. Ils ont une détente complètement spectaculaire. Sous leurs orteils, ils possèdent de petites ventouses, pas parfaites, mais déjà bien utiles.
Au combat, les gernousses sont assez faibles et gauches au départ, mais ils ont une marge de progression absolument phénoménale, même sans évoluer nécessairement. Ils sont très rapides, et leur vive-attaque leur assure de frapper en premier à quasiment tous les coups. Ce sont plus des attaquants que des pokémons défensifs ; leurs vibrations aquatiques peuvent être redoutables. Cependant ils peuvent générer plus ou moins d'écume tout autour de leur corps pour amortir les projectiles et coups qu'ils pourraient recevoir. Cela leur fait toutefois perdre en mobilité, et c'est tout une maîtrise que de savoir quand utiliser proprement cette technique. Grâce aux gigantesques bonds qu'ils peuvent effectuer, les grenousses ont une remarquable capacité d'esquive même pour des pokémons de leur taille.
Leurs sauts peuvent faire parfois plus d'un mèter de long grâce à leur détente. Ils ne se déplacent quasiment qu'en sautant de la sorte, même si parfois ils grimpent simplement aux murs et troncs d'arbres grâce aux ventouses situées sous leurs pattes. Ils vivent dans des milieux proches des points d'eau, même si la présence d'éléments végétaux est également déterminant. Ils nichent en effet parfois dans l'humus en bord de rivière. Ils pourraient se retrouver à Hoenn du fait de sa situation insulaire, mais il apparaît que la région soit sous de trop chaudes latitudes. Même s'ils ont souvent l'air dans la lune, ce sont des pokémons assez attentifs. Ils ont un fort caractère : ils se vexe vite et un petit peu trop facilement, et son compétitifs. Ils peuvent être obéissants, ou bien pas du tout ; il faut donc leur montrer dès le départ que vous êtes gentil mais pas non plus une grosse bille quand même. Heureusement, ils sont aussi assez vite solidaires s'ils lient des liens forts avec un groupe. À Kalos, ils sont consommés pour la chair de leurs cuisses. Il n'y a d'ailleurs bien que là-bas qu'on ne trouve pas ça dégoûtant : bien au contraire !
| — # 657 | - CROAPORAL.:
Ce pokémon est un CROAPORAL. Les croâporal sont des pokémons aquatiques, évolution des grenousses. Ce sont de grandes grenouilles aux différentes nuances de bleus, dont deux principales pour mieux pouvoir se fondre dans leur milieu aqueux. Tout leur corps est prévu pour la rapidité et la discrétion. Leurs pattes postérieures sont musclées, avec une très forte détente et des pattes palmées afin de pouvoir se propulser sans mal. Leurs pattes antérieures sont moins palmées mais sont rugueuses pour pouvoir s'accrocher à toutes sortes de surfaces. Leur tête est profilée : ils ont le museau en avant et le front fuyant. Leurs paupières sont souvent baissées, afin de pouvoir plus rapidement s'adapter au changement d'interface air-eau. Ils ont autour du cou de la mousse blanche en collerette, ou en écharpe selon les points de vue.
Au combat, ce sont des pokémons très polyvalents. Ils sont à la fois rapides, et ils attaquent le plus souvent à distance afin d'être toujours hors de portée de leurs adversaire. Ils utilisent tout le terrain à leur avantage : le sol, les murs, le plafond, et tout autre élément qui leur permettrait de faire jouer leur agilité. Ils sont d'une précision impressionnante, même après qu'ils aient dispensé de leur brouillard sur le terrain. Leur technique préférée est celle de l'anti-air. Ils entourent leurs cailloux de bulles d'eau grâce à leur écume avant de les projeter dans la face de leur opposant. Moqueurs, il leur arrive également de venir au contact afin de léchouiller leur ennemi.
Les croâporals sont en effet des pokémons très farceurs qui profitent de leur grande agilité pour aller se percher à plein d'endroits farfelus pour mettre en place leurs pièges. Leurs bonds de géant les rendent difficiles à attraper lorsqu'ils ont décidés de rester hors de portée. C'est d'autant plus difficile, de ce fait, d'en capturer un. Cette composante farceuse se doit sans doute à l'entraînement strict de ninja qu'ils s'imposent pour être prêts pour leur évolution. Eux sont les forces chargées de la sécurité du groupe, notamment des grenousses, lorsque les amphinobis partent dans leurs supers missions secrètes. Ils sont chargés également de les éduquer et de les nourrir lorsqu'ils sont seuls dans la meute. Malgré leur côté rigolos, ils restent des pokémons très responsables et sur lesquels ont peut compter sans le moindre mal. C'est bien pour cela que les professeurs confient parfois des grenousses en guise de premier pokémon. Hélas, certains préfèrent en faire des élevages et les engraisser pour en faire des plats prétendument fin. Le tout, c'est que les conditions de vie ne soient pas trop inhumaines, hein !
| — # 658 | - AMPHINOBI.:
Ce pokémon est un AMPHINOBI. Bien plus ténébreux que leurs cadets, les amphinobis n'en restent pas moins avant tous des pokémons aquatiques, caractéristique qu'ils n'ont pas perdue en évoluant depuis leur stade de craôporals. Des changements, il y en a eu beaucoup d'autres. Tout d'abord, ils ont terminé leur dernière poussée de croissance principale, les amenant maintenant à une stature de bipède à taille humaine. Le bleu de leur peau humide s'est foncé, pour devenir un bleu nuit plus discret encore dans les zones d'ombre. Des points blancs sont apparus au niveau de leurs articulations, et ce sont en fait des endroits où leur peau est plus épaisse, en cas de choc ou de coup. Le bout de leurs doigts et orteils sont toujours très larges afin de mieux s’agripper aux surfaces qu'ils escaladent, et en sentir les moindres aspérités ; et leurs pattes sont toujours palmées. Ce qui était deux oreilles tournées vers l'arrière de la tête chez les croâporal s'est encore allongé, rajoutant un côté très profilé à leur silhouette, et évoquant leur rapidité. Enfin, ce qui rend les amphinobis si reconnaissables, ce sont leur langue, extrêmement longue et toujours pendante, mais pas à la manière d'un excelangue ; au contraire, elle est enroulée autour de leur cou comme une écharpe. Certains trouveront ça dégueu', d'autres trop classe. Choisissez votre camp.
Au combat, les amphinobis se déplacent avec une grande élégance et une grande rapidité. Leurs mouvements rapides servent à désorienter leurs ennemis, autant que les reflets qu'ils créent pour faire apparaître des clones d'eux-mêmes sur le terrain. Ils sont ainsi des champions de la diversion. Ils peuvent également créer une épaisse buée noire (ce qui renforce leur côté dark) dans laquelle ils se dissimilent, avant de s'en extraire grâce à leur tranche-nuit. Ils peuvent aussi arriver par le haut, en aéropique ; mais leur technique préférée est celle du sheauriken. Il s'agit de jets d'eau tellement sous pression qu'une fois qu'ils sont envoyés, ils se mettent à tourner rapidement et sont alors assez denses et rapides pour couper même un métal pas trop épais. Cela ne vaut que rarement un gros coup d'hydrocanon, mais ces derniers sont souvent bien moins rapides à mettre en place. Vous l'aurez compris, les amphinobis sont avant tous des pokémons de l'attaque, qui se déplacent rapidement en espérant ne pas se faire toucher. Ils sont peu prompts au repli ; néanmoins s'ils devaient combattre en équipe, ils peuvent jouer la défense en venant au secours de leurs alliés grâce à leurs tatamigaeshi, mais cela n'a clairement pas leur préférence.
Les amphinobis sont donc des pokémons souples, rapides et discrets. Ce sont des leaders-nés, spécialisés dans l'infilatration et la dissimulation. Il n'est donc pas besoin de dire qu'ils sont très appréciés de divers groupes d'interventions, dans plein de domains d'action différents. Ils ont un caractère fort, droit et savent prendre l'initiative au moindre besoin. Néanmoins, la défaite est quelque chose de plus difficile pour eux qu'ils ne le laissent paraître ; il est donc bon de vérifier qu'ils ne tombent pas dans une spirale d'auto-dépréciation. Ce sont également des pokémons assez anciens, comme beaucoup d'amphibiens et de pokémons aquatiques, dans la mesure où la vie s'est d'abord développée de manière sous-marine. Certains disent qu'ils ont une capacité d'adaptation qui défie l'entendement, les qualifiant parfois de pokémons prothéens, mais ce sont souvent des marginaux. Les amphinobis sont certes capables de grandes choses, mais ils ont tout de même besoin de s'hydrater de manière importante très régulièrement, sans quoi leur peau d'amphibie s'assécherait dangereusement. Vivre près d'un point d'eau est donc conseillé pour évoluer avec ces pokémons, même si la plupart du temps ils ont le bon sens de vérifier qu'il y en a un à proximité dès qu'ils sont sur les routes.
| — # 659 | - SAPEREAU.:
Ce pokémon est un SAPEREAU. Ils sont de petits lapins tout à fait normaux. Le plus remarquable est bien sûr leur grandes oreilles. D'un gris foncé, elles peuvent atteindre une vingtaine de centimètres et leur confèrent une très bonne ouïe. Bon, c'est aussi un petit peu la lose pour les sapereaux de manière relative, car cela signifie bien que leur corps entier fait la même taille que leurs oreilles, ce qui est triste quand même. Néanmoins ce sont des oreilles qui sont capables de préhension, et qui sont articulées, de sorte à ce qu'ils puissent les mouvoir à leur guise. Leur poil est gris et marron, ce qui fait ton sur ton avec leur milieu de vie, toujours près du sol. Autour de leur cou, une collerette marron vient faire un rappel de ces couleurs. Ils ont des bajoues plus grosses que la normale afin de stocker de la nourriture à déplacer d'un point à un autre. En effet, leur tous petits bras ne leur permettent pas de déplcer de grandes quantités. Leurs jambes par contre sont très musclées, et cela les amène à sauter haut. Bien que cela n'atteigne jamais la hauteur d'un saut de grenousse, on ne peut nier qu'ils se débrouillent très bien dans la discipline. Ils ont en outre une dentition proéminente à l'avant, à la manière des rattata.
Au combat, il y a peu de chose à dire sur ces petits pokémons. Leur rapidité est leur atout majeur, pour ne pas dire leur seul atout. Avant l'évolution, ce sont des pokémons encore très chétifs et faiblards qui auront du mal à se démarquer sur le terrain. Ils sont surtout bon pour balancer quelques torgnoles qui malgré tout sont surprenantes car leurs oreilles ont un petit peu de force, avant de lâcher un tir de boue pour aveugler leur adversaire et détaler comme des lapins. Ils sont bons pour la fuite et l'esquive, en gros. Ils peuvent toujours plus se hâter lorsqu'il s'agit de s'éloigner des coups. Du fait de leur rapidité, leur vive-attaque peut être un point à exploiter.
Vous l'aurez compris, les sapereaux cherchent à éviter le conflit. Ils vivent pour cela dans des terriers qu'ils creusent à même le sol avec leur oreilles. Ils s'y dissimulent rapidement et facilement grâce à leur couleur entre poussière et terre. Ils les creusent bien entendu avec leurs oreilles qui sont une seconde paire de bras, qui leur servent à pelleter. Ils creusent aussi des galeries pour circuler plus aisément lorsque le danger rode à la surface. Les plus forts peuvent même retirer les racines qui leur bloqueraient potentiellement le passage, là où des sapereaux plus faibles se contentent de les contourner. Cela peut d'ailleurs constituer une partie de leur alimentation, dans la mesure où ces pokémons sont herbivores. Ils vivent en solitaire ou en couple, mais jamais en groupes plus nombreux. Il ne faut en outre pas se fier à leur air ahuri. Souvent chapardeurs, ils sont en plus de cela des pokémons très territoriaux qui peuvent parcourir plusieurs distance si besoin est, et retour pour rentrer à la maison. Très chassés à une période pour leur peau, ils ont réussi cependant à repeupler la région de Kalos surtout avec une grande vitesse. Ils sont des figures récurrentes de la culture populaire : on les retrouve dans les fables, les contes, les jeux vidéos, etc.
| — # 660 | - EXCAVARENNE.:
Ce pokémon est un EXCAVARENNE. Le moins qu'on puisse dire, c'est que malgré leur type, l'évolution des sapereaux est loin de paraître normale ! Ces pokémons à présent affilié à la terre ont bien grandi, et paraissent plus grand encore avec leurs oreilles qui remontent. C'est tout leur corps de bipèdes qui s'est développé, leur donnant une allure très trapue. Leur bidon est bien rondelet, comme s'ils s'étaient gavés de chocolat. Ils ont une ceinture de fourrure marron et beige sur leur poil ras et gris. Leurs oreilles, qui sont le point marquant de ces pokémons, ont tellement grossi et grandi qu'elles ploient sous leur propre poids. Elles sont dodues, pourvues d'une fourrure grise et marron. À leur bout, elles se divisent en trois et ils peuvent s'en servir comme d'une paire de bras. Leurs cuisses sont bien fournies du fait qu'ils se déplacent par petits bonds à pieds joints. Même leur visage semble plus bouffis jusqu'au bout de leurs bajoues. On devine cependant une dentition acérée qui dépassent de leur bouche.
Au combat, les excavarennes peuvent être assez décevants d'une certaines manière, ou plutôt ils laissent à désirer. D'une part, ils maîtrisent des techniques très... Techniques. Ils peuvent rebondir et asséner leurs marto-poings dans la face de l'ennemi, ou bien déclencher de leurs double-pied un séisme. Hélas, ce sont des pokémons plutôt défensifs. Leur puissance est très limitée, et ces techniques d'ordinaire impressionnantes manquent là de puissance. En plus, malgré leur endurance honorable, ils sont moins robustes que d'autres pokémons de leur genre, et flanchent plus vite que d'autres. Finalement, dans des combats à haut niveau, ils n'arrivent pas à poser autre chose que leurs crocs fatals avant de se faire bouler.
Les excavarennes sont des pokémons crépusculaires, parfois nocturne. Ils vivent au minimum en couple, et au maximum en groupe – en fait il n'y a pas de maximum. D'ailleurs, mâles comme femelles excavarennes ont tendance à courir les lockpins mâles et femelles, qui leur paraissent plus attrayants que leur propre espèce. Cela contribue notamment au brassage génétique nécessaire à la bonne survie d'une espèce. Ils vivent dans de gros terriers et sont des herbivores convaincus. Lorsqu'ils pressentent un danger, ils tapent du pied sur le sol pour prévenir au sol, et leur très bonne ouïe leur assure d'en être prévenu même à grande distance. C'est par ailleurs une habitude qui ne disparaît pas avec le temps une fois domestiqués. Ils sont souvent employés dans les mines et chantiers pour les travaux d'excavation. En effet, s'ils sont toujours maculés de terre, c'est parce qu'ils ramassent tout ce qu'il dépasse du sol. Cela leur crée un sale syndrome du capidextre : leurs bras sont minces voire maigres, car ils les gardent toujours posés sur leur bidon, et se servent bien plus de leurs oreilles. Ils sont, par rapport à leurs emplois, très à cheval sur leur planning : ils travaillent certes, mais ne font pas d'heures supplémentaires et vont farnienter le reste de la journée. Certains en font l'élevage pour l'industrie alimentaire. Il faut avouer qu'ils sont bons en civet. D'autres sont chassés, parce qu'ils font des proies plus enthousiasmantes que le bébé sapereau que l'on perd vite dans le sous-bois du fait de sa petite taille.
| — # 661 | - PASSEROUGE.:
Ce pokémon est un PASSEROUGE. Les passerouge sont des petits oiseaux typiques de Kalos. Comme la plupart des oiseaux de la ville, ils ne sont vraiment pas bien grand. Il leur arrive souvent de passer sous les voitures pour aller récupérer quelques frittes tombées dans le caniveau, c'est dire. À la différence des nirondelles dont la tête n'est pas entièrement rouge, celle des passerouges est entièrement orange, du poitrail jusqu'à l'arrière du crâne, et l'équivalent de leur nuque (bien que celle-ci ne soit pas très marquée). Le reste de leur plummage, relativement bouffant, est gris. Il n'y a que le bout de leurs ailes qui est blanc. Ce sont de petites ailes, pas très larges, qui ne leur donne que peu d'envergure supplémentaire. Ils ont deux grands yeux entourés d'une pointe de jaune, desquels on ne distingue pas la pupille. Au-dessous, leur bec est très fin, et très noir. Ils disposent de deux pattes, avec deux serres principales et une plus petite pour leur permettre de s'agripper. Leur queue est plus longue que la moyenne, noire avec une bande blanche, et séparée en deux au milieu.
Au combat, les passerouges sont, comme tous leurs homologues aériens, relativement faibles au combat. Bien que ni les fantômes ni les attaques terrestres ne puissent les atteindre, ils sont relativement faciles à battre. Ils ont au moins l'avantage d'être rapides et plutôt vifs dans leur compréhension des conditions de combat. Eux-mêmes ne sont pas intrinsèquement belliqueux ; néanmoins, ils aiment se mesurer aux autres dans de petites compétitions, qui pourraient ensuite tourner en combats. Hélas, ils ne sont pas très résistants. Leur vive-attaque atteindra peut-être leur cible, mais dès qu'ils seront attrapés par leur adversaire, ils auront du mal y résister. Il faut donc les faire combattre des pokémons de leur taille, afin de les entraîner et de ne pas les démoraliser jusqu'à ce qu'ils évoluent.
Très connus dans les villes de Kalos, les passerouges sont cependant des pokémons tout autant urbains que ruraux. Ils vivent souvent en colonies étendues. Ils sont notamment très appréciés des vacanciers pour leur chant mélodieux et leurs gazouillis, que l'on retrouve dans les anciens récits et dans les plus récents commentaires sur les sites de chambres d'hôtes. Ils sont également très appréciés dans les jardins des grandes masures, si bien que les jardiniers en ont souvent pris quelques uns sous leur protection. Ce sont des pokémons peu orgueilleux, très affectueux mais aussi très espiègles. Ils aiment rire des plus petites bêtises. Ils sont aussi peu farouches : ils savent très bien reconnaître lorsqu'ils auront un désavantage. Néanmoins ils redeviennent farouches lorsqu'ils sont en groupes. Et cela arrive plus particulièrement lorsqu'un étranger s'invite sur leur territoire. Ils se déversent alors par dizaines sur l'ennemi pour le faire fuir. S'ils sont aussi attaché à leur territoire, c'est qu'il leur garantie un stock de nourriture. Sans cela, leur survie ne serait pas assurée. Ils chassent majoritairement des insectes, vivants ou morts. Entre eux, ils communiquent par leurs différents chants, mais aussi par des mouvements de queue et d'ailes.
| — # 662 | - BRAISILLON.:
Ce pokémon est un BRAISLLON. Grâce à leur évolution, ces oiseaux confirment leur affiliation à l'élément feu. Gros de soixante-dix centimètres, ils sont bien plus imposants que leurs cadets. Ils sont certes plus gros, mais également plus profilés et moins ronds. Leurs yeux sont perçants, sous la houppette de plumes oranges qu'ils ont sur le sommet du crâne. Leur plumage orange s'est d'ailleurs étendu, et il recouvre à présent tout leur dos, jusqu'à leur queue. Celle-ci se trouve garnie d'un double empennage, avec deux plumes noires rayées de blanc, qui leur servent à se stabiliser. Le plumage sur leur poitrine et sous leur ventre est plus épais et plus duveteux, de couleur grise. Leurs ailes se sont élargies elles aussi afin de mieux supporter leur poids, et non sont plus grises et blanches mais noires au bout jaune. Ce sont des pokémons extrêmement mobiles sur leurs pattes noires à trois griffes, qui peuvent se poser aussi bien sur le sol que dans les arbres, pour aller picorer ce qu'ils auront choisi comme nourriture.
Au combat, les braisillons sont extrêmement faibles contre l'élément rocheux, et le moindre éboulement peut leur être fatal, surtout en plein vol. Ils ne sont pas très coriaces et ne peuvent subir qu'un nombre limité de coup avant de tomber au tapis. Mais heureusement pour eux, ils sont relativement rapides pour des oiseaux de cette envergure, et peuvent faire en sorte d'éviter les projectiles qui leur sont envoyés. Ils ont notamment un don naturel dans la maîtrise de l'air, et leurs coupes-vents sont souvent effectués plus rapidement que la moyenne. Leurs flammèches, si elles sont reçues de trop près par l'adversaire, peuvent brûler assez sévèrement une peau à nue. Il est intéressant d'exploiter les possibilités des braisillons lorsqu'ils atterrissent, car cela leur permet de se reposer sans arrêter de combattre. Attention à ce qu'ils ne soient pas plus vulnérables en retombant au sol, alors qu'ils pourraient être polyvalents !
Bien que toujours territoriaux, les braisillons se déplacent bien plus que les passerouges et couvrent de grandes distances. Ils cherchent de cette manière des territoires toujours plus abondants en nourriture pour eux et les quelques congénères qui les accompagnent. Ils se nourrissent le plus souvent d'insectes. Ils les chassent en mettant légèrement feu à quelques hautes herbes, ou bien à un petit peu d'écorce, afin que les petits pokémons tentent de s'en échapper et se signalent par leurs déplacements. Il ne reste plus qu'aux braisillons de les attraper au vol ! Cellui-ci est stable, et s'ils peuvent gagner en vitesse, cela leur prend le temps de réchauffer leur corps ; un petit peu à la mau démarrage d'une voiture ! Ils ont besoin en effet que leur poche de chaleur dans la poitrine soit à très haute température pour pouvoir voler très vite. S'ils sont toujours aussi affectueux qu'auparavant, les braisillons le montrent moins, très concentrés qu'ils sont à être efficace, à s'entraîner, à participer à l'effort de groupe. Ils sont très attentifs aux mouvements des gens autour d'eux et surtout de leurs adversaires et ont une grande capacité d'adaptation en conséquence. Ils apprennent vite ! Ils chantent moins aussi, mais lorsqu'ils le font c'est toujours avec les mêmes douces mélodies, qui détonnent avec leur sérieux apparent.
| — # 663 | - FLAMBUSARD.:
Ce pokémon est un FLAMBUSARD. Grâce à leur dernière évolution, ces oiseaux de feu atteignent une véritable corpulence d'oiseau d'altitude. Leur envergure est de près d'un mètre vingt, ce qui en fait de belle bête, dans les mêmes allures que des rapasdepic, étouraptor ou vaututrice. Et cela n'est pas par hasard, car ce sont également des rapaces, bien que pas tout à fait de la même morphologie. Ils sont bien plus élancés à présent, tout en ayant une musculature plus développée. Leur plumage rouge s'est étendu à une grande partie de leurs ailes, ainsi qu'une certaines plumes sur leur poitrail et leurs pattes qui sont rouges également. Le bout de leurs ailes sont quant à eux devenus noirs. Leur queue est plus étendue, ce qui leur permet une stabilité toujours plus grande en vol. Leur bec n'a cependant pas grandi, donnant l'impression d'un petit bec pour leur stature, mais s'est recourbé pour mieux manger leur nourriture – ou la dépecer. Ils ont à présent des serres à trois doigts, chacun d'entre eux griffus, à la peau jaune.
Au combat, les flambusards sont des pokémons aux capacités assez équilibrées, mais qui se démarquent par leur grande rapidité. Dès qu'ils sont en l'air, ils enchaînent les acrobaties aériennes en profitant aux maximums des vents arrières présents là où ils combattent. Leurs ailes puissantes peuvent sinon les aider à produire des bourrasques afin de contrer l'élan de leurs adversaires. Ils attaquent comme beaucoup de rapaces grâce à leurs ailes d'acier, mais pas uniquement. S'ils ont besoin d'une plus grande puissance de feu, ils lancent des nitrocharges qui gagnent en rapidité à chaque coup. Ce sont des pokémons qui excellent contre les insectes ou bien les pokémons végétaux ; cependant les attaques rocheuses en viendront rapidement à bout, dès qu'elles commenceront à les atteindre.
Ces pokémons sont par ailleurs très combatifs et ne manquent pas de courage. Les combats qui leur opposent un petit peu de résistance les trouvent exaltés, et leur enthousiasme est alors tel qu'il n'est pas rare qu'ils lâchent dans leur sillage des traînées de flammèches dont ils n'auront pas forcément conscience. Ils sont capables en outre de voler en moyenne altitude, sans que leur corps ardent ne baisse jamais en température. Lorsqu'ils chassent, ils peuvent fondre sur leurs proies à près de cinq cent kilomètres par heure, puis achèvent leurs proies de leurs serres le plus souvent. Leur bec ne leur sert qu'à découper la viande lorsque le pokémon est déjà mort. Ils se nourrissent principalement de petits oiseaux, comme des goélises ou des picassauts. Dans le groupe ou dans une équipe, ils savent néanmoins être très affectueux, et ne sont jamais avares en encouragements lorsque des plus jeunes en méritent.
| — # 666 | - PRISMILLON.:
Ce pokémon est un PRISMILLON. Ces grands insectes ailés sont l'évolution des petits pérégrains. Comme de nombreux papillons des forêts de nos régions, ceux-ci ont une envergure impressionnante, de plus d'un mètre de bout en bout. Leur petit corps gris n'est pas sans rappeler celui presque filiforme des lépidonilles, qui s'était caché dans leur cocon au cours de l'évolution. Leurs yeux à facettes sont toujours présents pour leur offrir une plus large vision. Ils gagnent cependant une paire de jambes d'un seul tenant et une paire de bras tous ronds, ce qui peut s'avérer bien utile, on en conviendra. Ils sont également dotés d'une paire d'antennes, qui les aide à se diriger dans les airs. Ils possèdent par contre deux paires d'ailes, toutes chamarrées et hypnotiques lorsqu'ils en battent. Elles peuvent être d'une infinité de couleurs et de motifs différents, bien qu'une vingtaine de nuanciers aient été identifiés.
Au combat, les prismillons font preuve d'une précision étonnante pour des pokémons qui se déplacent dans les trois dimensions à la fois. Au contraire, ils parsèment souvent de la manière la plus discrète possible le terrain d'une de leurs nuées de poudre afin de limiter la visibilité de leurs ennemis, et si possible, leur pourrir la vie en les empoisonnant, les paralysant ou les rendant somnolent. Ils peuvent à cela ajouter un vent violent afin de mieux disséminer ces poudres, et rendre tout mouvement compliqué au sol. Ce sont avec cela des pokémons extrêmement pernicieux dans leur approche du combat. Afin d'embrouiller leurs adversaires, ils font comme des papillodanses ou bien émettent un bruit de bourdon dont les ultrasons rendent confus les ennemis en place. Mais s'ils ont surtout cette réputation, c'est du fait de leur technique du survinsecte, qui affaiblit de toute part les ennemis. Si l'on rajoute à cela qu'ils peuvent d'un baiser vampiriser l'énergie ennemie pour se soigner, ils semblent ne pas démériter de cette réputation. Lorsqu'ils combattent en équipe, les prismillons ont tendance à vouloir toujours défendre leurs alliés des projectiles ennemis en étendant leurs ailes devant ceux-ci, pour créer comme un mur ou une rune de protection créée par le motif de leurs ailes qui battent. Attention, car ils pourraient prendre des dégâts inconsidérés, mais cela peut être une stratégie payante : à vous de voir ce que vous en pensez ! Pourtant, ce ne sont pas des pokémons increvables, loin s'en faut ! Leur réputation joue en leur faveur, laissant les dresseurs un petit peu effrayés face à ces insectes. Il suffit finalement de garder de la rigueur, et d'en appeler à un bon projectile rocheux pour les faire tomber au sol. Du sang-froid sera la clé !
Les différents motifs et couleurs qui existent chez les prismillons sont l'extension à l'extrême des différentes races au sein de chaque espèce de pokémon. Ces différences s'observent d'une région à l'autre, de climats à d'autres. Les températures, l'humidité, l'ensoleillement ; mais aussi le type d'alimentation disponibles semblent être autant d'explications possibles à ces mutations. Néanmoins, des prismillons différents ne s'entendront pas moins bien entre eux, et l'on ne recense pas de manière notable des cas de communautarisme chez ces pokémons. Il existe des personnes qui collectionnent les papillons. D'autres poussent à l'extrême en collectionnant seulement les différents types de prismillons. Cela demande cependant beaucoup de place, vue la taille de ceux-ci. Ils ont en outre la réputation d'être de parfaits petits sourciers, capable de trouver de l'eau sans le moindre problème. Violette, la championne de Neuvartault à Kalos, en oppose un aux jeunes dresseurs, plus pour ses capacités de combat que pour celles de sourciers, et il est un pokémon reconnu dans la région pour être une véritable épreuve.
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| | | | Sakae Kurami
C-GEAR Inscrit le : 23/08/2013 Messages : 14282
Région : Hoenn, Kalos.
| — # 667 | - HELIONCEAU.:
Ce pokémon est un HELIONCEAU. Les hélionceaux sont des les lionceaux de feu normaux de Kalos, à l'instar des lixys pour Sinnoh. Hauts comme trois pommes, ils ont le corps potelé caractéristiques des enfants. Ils ont une fourrure marron foncée, qui est plus claire sur les pattes et sur le visage. Ils sont par ailleur quadrupède, et les pattes présentent des coussinets très épais. Ils possèdent une queue, avec une petite touffe de poil au bout. Leur visage est rond, d'apparence enfantine, avec un petit museau et des yeux rieurs. Leur nez est rouge, ainsi que la petite crête qu'ils ont sur la tête. Ils ont une paire d'oreilles rondes à la manière de celles des marills. Leur corps présente toujours une température relativement élevée, entre quarante et quarante-cinq degrés celsius.
Au combat, les hélionceaux sont des pokémons non pas particulièrement rapides, mais qui courent tout le temps, et sont donc parfois difficiles à attraper. Cependant, leur jeune âge les rend très peu résistants, et un pokémon expérimenté n'aura hélas pas de mal à le mettre hors combat. Bien qu'ils puissent se battre à coups de béliers ou de crocs enflammés, ils préfèrent rester à distance et sautiller tout autour de leur adversaire pour leur souffler des flammèches légères mais qui à l'usure peuvent faire leur petit effet. Ils n'hésitent pas à râler ou bien à se rengorger pour prendre confiance en eux dans les combats les plus compliqués pour leur petite tête.
À la naissance, les hélionceaux sont aveugles pendant plusieurs jours. Ils sont donc tout à fait dépendant. Ils sont allaités pendant très longtemps. Si vous avez à charge un jeune hélionceau, il faudra donc prendre à charge le fait de leur donner plusieurs biberons de lait par jour. Sans aucun doute, ces petits pokémons ont bon caractère. Ils sont naturellement joueur et très curieux. Ils cherchent toujours à découvrir de nouvelles choses. Leur frimousse est d'ailleurs bien souvent souriante. Ils vivent, lorsqu'ils sont sauvages, en hordes. Les plus jeunes tentent souvent de s'isoler du groupe pour aller à l'aventure, ou bien pour faire l'expérience des combats. Ils se font bien souvent rattraper par les femelles de la hordes. Une fois domestiqués, il faut bien les surveiller car ils peuvent partir jouer et très facilement se perdre sur le chemin du retour. Ils aiment les combats, qu'ils voient comme un jeu. Pendant ces combats, leurs température augmente. Si leur ennemi est trop puissant pour eux, la chaleur augmente d'autant et peut devenir ingérable pour eux. Ils finissent par avoir de la fièvre, et cela devient même difficile de les porter tant ils sont brûlants. Il faut donc bien y aller graduellement dans leurs entraînements.
| — # 668 | - NÉMÉLIOS.:
Ce pokémon est un NÉMÉLIOS. En évoluant, les hélionceaux deviennent de majestueux lions de feu. Ce sont de sacrées bêtes, qui mesurent facilement plus d'un mètre au garrot. Autant ne pas les énerver tout de suite ! Leur robe est bicolore : marron sur la majeure partie de leur corps, dos et ventre notamment, et beige sur les pattes et remontant sur les cuisses, ainsi que sur le poitrail. Ils possèdent une longue queue fine et souple, qui se termine par une houppette de poils beiges. Leur corps est fin, quoique d'une envergure similaire à celle de leurs cousins luxrays. Leurs quatre pattes sont cependant musculeuses, toujours prêtes à bondir. Elles se terminent par quatre orteils garnis de coussinets, mais aussi de griffes acérées. Leur signe distinctif reste avant tout leur crinière, très volumineuses. Les mâles l'ont la plupart du temps déployée toute autour de leur tête, ce qui dissimule leurs oreilles rondes, les mêmes que leurs cadets hélionceaux. Cela leur donne une présence et une prestance qui en impose. Les femelles l'ont en général seulement sur le haut de leur tête, mais qui continue le long de leur dos. La couleur reste cependant la même qu'il s'agisse de mâles ou de femelle : rouge vermeil rayé de jaune. Cela n'est pas sans rappeler les flammes dont ils sont dotés. Leur visage est mangé par deux grands yeux vert océan le plus souvent, et par leur museau ravancé. Ils ont une dentition importante, et acérée comme la majorité des carnivores.
Au combat, les némélios sont, sans être intimidants, très prompts à donner de leur personne. Ils préfèrent souvent commencer par tourner autour de leur adversaire afin d'en retirer un maximum d'informations, pour ensuite leur sauter dessus. Cela a tendance à rajouter de la tension à l'atmosphère déjà bien chargée d'un début de combat. Ce sont des pokémons très rapides, autant que les elecsprints pour donner un ordre de comparaison. Autant dire que lorsqu'ils ont décidé de se jeter sur leur ennemi, il n'y a pas grand chose qui leur échappe. Une fois leurs mâchoires refermées, ils tentent le plus possible de maintenir leur proie au sol. Ils sont pour cela très endurants. Néanmoins, ils préfèrent tout de même attaquer à distance, tentant de calciner leurs ennemis grâce à leurs lancés de flammes. Ils rugissent également aussi fort, comme le font les brouhabam, tels des mégaphones.
Ces pokémons sont considérés comme des espèces menacées, vulnérables même. Cependant, à l'état sauvage lorsque l'on en trouve encore, ils vivent en meutes. Une grande rivalité est souvent présente entre les membres d'une même meute, bien qu'elle ne se termine que rarement sur des événements fâcheux. Et c'est bien heureux, car sinon leur population n'en décroîtrait qu'encore plus. Cependant, cette habitude qu'ils ont pris de toujours vouloir être dans les plus importants conduit souvent à une certaine tension au sein d'une même équipe, même lorsqu'ils sont bien intégrés. Le mâle qui a la crinière la plus imposante devient généralement le chef de meute ; en effet ils évoluent dans une société où un chef mène le reste du groupe. Certains individus sont les chasseurs pour le reste du groupe. Ce sont en effet des pokémons carnivores. Ce sont souvent ces chasseurs que l'on entend rugir dans la savane, de ce cri puissant et distinctement reconnaissable. Si les némélios soumettent leurs jeunes hélionceaux à un rite de passage où ces derniers sont chassés du groupe pour une donnée définie, ils restent très protecteurs envers leurs jeunes, et ne les quittent jamais du regard. Ce sont, une fois capturés, des pokémons étrangement affectueux, bien que leurs câlineries peuvent parfois vous infliger quelques griffures. (Némélios d'A. L.)
| — # 669 | - FLABÉBÉ.:
Ce pokémon est un FLABÉBÉ. Le pokémon en lui-même ne correspond qu'au petit être sur la fleur, mais ils y sont tellement greffés qu'on ne peut pas véritablement les aborder comme deux entités distinctes. Ce sont de petits lutins des prés, avec un corps tout blanc, et des jambes toutes vertes à la manière de la tige d'une fleur. Ils ont deux grandes oreilles sur le côté de leur tête toute ronde, et un visage expressif et rieur. Une couronne de pétales orne leur crâne. De leurs deux petits bras, ils se tiennent sur leur fleur en son cœur, et s'y accroche par le pistil. Leur fleur n'est pas vraiment descriptible : chaque flabébé choisit la sienne, et cela peuvent donc être des fleurs de toute sorte.
Au combat, les flabébés ne payent pas de mine. Sans leur fleur ils ne sont guère plus grand qu'un statitik, et c'est bien facile de leur rouler dessus. C'est pour cela qu'ils préfèrent largement rester à distance pour se créer une défense végétale, à l'aide notamment de fouets lianes et d'un vent féérique pour garder au loin les ennemis. Ils sont néanmoins capable de mobiliser l'énergie des plantes qui les entourent pour déclencher de fabuleuses volées d'herbes tranchantes. Ils n'ont guère d'atout au combat que celui parfois de leur petite taille pour se réfugier dans les interstices, et leur air veinard qui semble parfois jouer de chance avec eux.
Les flabébés sont des pokémons fragiles par bien des aspects. Un rien les blesse, même une caresse dispensée avec un petit peu trop d'enthousiasme. Il faut donc veiller à ce qu'ils ne soient pas mis en danger plus que de raison. Ils sont cependant d'un naturel curieux, toujours prêts à explorer de nouveaux horizons sur leur fleur. Ils parlent volontiers aux voyageurs qu'ils croisent, et s'attachent facilement de part leur caractère extraverti. Cependant, ils ont vite la frousse, et au moindre risque ils se réfugient à l'abri. Dès leur naissance, ils choisissent une fleur qui les accompagnera durant toute leur jeunesse, et dont ils prendront soin toute leur vie de florges. On dit que leur vie va de pair avec celle de la fleur. Elle est aussi leur monture : lorsqu'ils partent à l'aventure, c'est en se laissant porter par les vents, comme s'ils chevauchaient un cerf-volant rikiki. Ils restent avant tout des pokémons très jeunes, portées sur la découverte et l'amusement.
| — # 672 | - CABRIOLAINE.:
Ce pokémon est un CABRIOLAINE. Ces pokémons végétaux ont au garrot la taille d’un enfant. Ce sont des ongulés quadrupèdes dont le pelage est une laine épaisse marron qui recouvre presque tout leur corps. Seules leurs pattes et leur tête arborent une douce couleur blanche, ainsi que leurs sabots qui oscillent entre le orange et le rouge. Pour le reste, leur beau marron chocolat recouvre le tout. C’est sur leur dos que vient se poser leur composante végétale. Un tapis de feuilles de lierre et d’autres plantes les drape d’un manteau de verdure. Ils surplombent tout ceci d’un visage rond et enfantin. Ils ont un museau noir également rond, et deux yeux mutins foncés. Sur leur crâne, une paire de cornes s’élève en s’évasant vers la gauche et la droite. Elles poussent à l’horizontale.
Au combat, ces jeunes pokémons ont l’enthousiasme des dé buts. Il faut bien prendre garde à les diriger avec précision et fermeté afin qu’ils ne se blessent pas, ou ne se fassent pas blesser inutilement et plus que de raison. Ce sont des pokémons très équilibrés quant à leurs aptitudes, et c’est pour cette raison qu’ils font des bons pokémons de départ. Leur envie d’apprendre ou bien de s’entraîner ne peut être que bénéfique pour un jeune dresseur. Dès le départ il faudra leur apprendre à infecter leur ennemi, car cela leur donnera un avantage certain qui pèsera dans la balance. Tout ce qui peut leur permet de synthétiser de l’énergie est toujours bon à prendre, surtout pour de jeunes pokémons comme eux. Par prédilection, ils utiliseront souvent soit leurs lianes soit leurs tranch’herbe. Pour autant, ils ont d’autres armes dont il faut savoir tirer parti. Leurs cornes leurs permettent d’être d’excellents béliers qui chargent sur l’ennemi ; et leurs sabots leurs rend possible de piétiner le sol pour déstabiliser l’adversaire.
Historiquement, les cabriolaines sont quasiment les premiers compagnons de l’Homme, après les pokémons chiens. En tout cas, ils ont été les premiers pokémons d’élevage des hommes ; et c’est une tradition qui perdure. Leur viande est tendre, bien plus que celle de leurs aînés. Leur laine est naturellement très douce, et il n’y a pas besoin d’un traitement adoucissant avant qu’elle n’aille aux ateliers de filature. Seul leur lait n’est pas consommable avant l’évolution, car il est trop âpre. Eux-mêmes sont herbivores, toutefois ils n’ont pas forcément besoin de nourriture. S’ils ont de l’eau et du soleil de manière continue, ils peuvent se passer de manger et regagnent leur énergie par photosynthèse. Il ne faut d’ailleurs pas oublier de tailler leur végétation régulièrement, sans quoi leur vitalité en sera affectée. Car ils en sont pleins, de vitalité. Ce sont des pokémons très joyeux mais également difficile à tenir. Ils gigotent et sautillent dans tous les sens, et ne sont paisibles finalement que lorsque la fatigue prend le pied sur toute cette énergie. Ils peuvent être des monture pour les plus jeunes qui souhaiteraient apprendre à monter, ce qu’ils feraient avec plaisir, mais il ne faut pas excéder un certain poids, sans quoi ils abîmeraient leur dos de manière définitive, et l’évolution ne pourrait plus arranger cela.
| — # 674 | - PANDESPIÈGLE.:
Ce pokémon est un PANDESPIÈGLE. Ces petits pandas sont de fieffés combattants malgré leur allure de peluche. Ils font une cinquantaine de centimètres, et leur fourrure blanche et noire, très duveteuse, aide à leur donner une allure assez ronde. Tout leur corps est noir ou gris, sauf leur tête et leur queue qui sont blanches. Cependant, leurs grands yeux ronds sont cerclés de noirs. Leur tête est perpétuellement ébouriffée par leurs bêtises. Leurs oreilles rondes rappellent les teddiursas, tout comme leur petit museau triangulaire, cousins qu'ils en son. Ils ont des mains avec un pouce opposables ; et sous leur pied ils ont des coussinets mais pas de griffes apparentes. Sans que l'on sache trop, ils mâchonnent toujours une feuilles entre leurs dents, qu'ils ne quittent sous aucun prétexte.
Au combat, les pandespiègles tentent toujours d'impressionner leurs ennemis, même si ce n'était pas tout simple pour eux, avec leur allure de gros bébés. Alors à la place ils se rengorgent dans leur vexation et se jettent à corps perdu dans la baston. S'ils sont un peu lents, ils n'en démordent pas moins et vont toujours cogner directement au contact de leur adversaire. Ils aiment jouer de leurs poings comme des comètes ou des karatékas, mais ils sont plus efficaces alors contre des adversaires de leur taille, qu'ils finiront par pouvoir projeter de l'autre côté du terrain. Malheureusement, la moindre offensive psychique leur fera perdre toute leur concentration.
Comme beaucoup de pokémons combattants, les pandespiègles cherchent à beaucoup s'entraîner pour garder leur forme physique. Ce qui peut surprendre, vue leur tronche de doudou. On n'y croit d'autant moins qu'à la moindre gratouille, ils se roulent sur le sol pour mettre le bidon en évidente et réclamer des caresses. D'ailleurs, dans le cadre du groupe, certains pandespiègles deviennent susceptibles à force de ne jamais être pris au sérieux, alors pourtant qu'ils sont des petits sérieux et efficaces. Ils ont ainsi appris à être autonomes si le besoin s'en fait ressentir, même s'ils préfèrent tout de même la compagnie de leurs amis. Ce sont des pokémons téméraires, toujours à sautiller partout et dans tous les sens, à faire des cabrioles dignes d'un capumain. Le tout leur sert beaucoup pour mettre en place leurs farces préférées, facétieux qu'ils sont.
| — # 676 | - COUAFAREL.:
Ce pokémon est un COUAFAREL. Rencontrer ces chiens est bien commun en se baladant dans les rues de Kalos, et il n'est pas difficile de les reconnaître. Du haut de le mètre vingt, difficile de rater ces chiens de compétition — et c'est le cas de le dire. Tout leur corps est presque entièrement recouvert d'une épaisse et longue fourrure blanche qui font leur fierté et leur renommée. Ils marchent toujours le poitrail en avant, plantureux et presque fiers. Seuls en dépassent leur tête et leurs pattes. La première découvre leur peau noire (à l'instar des polarhume et polagriffe sous leur fourrure), avec un museau en pointe surmonté d'un petit nez rond. Ils n'ont pas un odorat très développé, et ce n'est de toute manière pas pour cela qu'ils sont recherchés. Ils ont une paire d'yeux rougeâtres qui leur donne toujours un air un petit peu hautain. Même leurs oreilles sont recouvertes de fourrure, mais elles restent faciles à retrouver car elles sont très mobiles. Leurs pattes, noires elles aussi, laissent dépasser de tous ces poils quatre orteils, dont un à l'arrière. Leur spécificité, c'est d'être palmées, ce qui en font des bons nageurs.
Au combat, ce sont des adversaires peu disciplinés. Ce sont des pokémons jappeurs qui sautent dans tous les sens pour essayer de frapper. Cela peut soit déconcentrer son adversaire, soit le rendre tristement plus facile à attraper par leur manque de rigueur au combat. On les retrouve plus facilement dans les concours, où leurs regards touchants pleins de charme trouveront plus aisément des adeptes. Bien que pas naturellement adaptés au combat, il ne faut pas pour autant les sous-estimer. Leur rapidité les aide à venir au contact pour mordre, puis ils s'éloignent en vitesse pour parer les attaques, une fois que la distance leur a fait perdre de la puissance. Ils pallient leur manque relatif de savoir-faire par des coups bas dès que la garde adverse se baisse.
D'où la nécessité donc de bien les éduquer. En effet ces pokémons incarnent plus ou moins une sorte de désintérêt tenace pour à peu près tout. Il est extrêmement difficile de les faire se remuer. Cela prouve du travail fourni, en comparaison, lorsque certains des plus grands couafarel sont capables de défiler de manière impeccable pour un concours de beauté ! Et pour cause ! À Kalos, ces pokémons sont des stars ! Le toilettage de ces pokémons tient une place très importante dans le commerce de proximité d'Illumis. Il existe de même des écoles réputées pour apprendre à s'en occuper, et de grands salons comme celui de M. Charly ! Leur entretien est très important car cela leur donne le poil soyeux et duveteux, et que la moindre tache sur le blanc de leur fourrure se voit immédiatement. Ne pas les nettoyer correctement pourra amener un couafarel à se retrouver avec des nœuds voire des dreads. Bon, cela peut être un autre style, comme celui des couafarels à atébas. Mais c'est surtout que leur poils, hypoallergéniques, ne tombent pas d'eux-mêmes. Sans tonte, ils finissent comme des wattouats. Culturellement, c'était les chiens des rois de Kalos. Leur pattes palmées en faisaient des chasseurs en milieu aqueux, notamment la chasse aux psykokwaks et aux couanetons. La coupe étoile et la coupe en cœur, les plus anciennes, étaient utilisées pour facilité leur nage. L'eau glissait mieux sur leurs flancs et les alourdissait moins en gorgeant le peu de fourrure qu'il leur restait. Aujourd'hui ils sont toujours étonnamment à l'aise dans l'eau. Pour autant, les batailles vont toujours bon train quant à savoir quelle est la coupe qui leur va le mieux. Les forums de discussions sont animés à ce sujet, voire tournent au cyber-pugilat. Heureusement, cette frénésie du couafarel ne se retrouve pas partout. À Johto, il est même consommé pour sa chair goûteuse, aux côté du caninos en sauce, dont la chair est moins goûteuse mais plus fondante.
| — # 677 | - PSYSTIGRI.:
Ce pokémon est un PSYSTIGRI. Ces petits pokémons psychiques ressemblent à une grosse peluche. Ce sont des bipèdes qui présentent une fourrure longue, épaisse et douce. Elle est grise, avec des reflets irisés captivants. Nombreux sont ceux qui ont purement et simplement envie de passer leurs mains dans cette fourrure pour n’en plus jamais ressortir ! Seul le bout de leurs pattes, et celui de leurs oreilles ne sont pas gris, mais blanc. Ce qui les rend si spéciaux, c’est bien entendu leur regard. Plantés au milieu de leur figure, deux grands yeux rond, violets à la pupille très sombre, regardent d’un air totalement vide ce qui les entourent. À vrai dire, ils ne clignent absolument jamais des yeux. Ils ont le regard toujours fixé sur un point devant eux, mais leurs yeux ne bougent jamais. Au-dessus de leur crâne sont deux oreilles rondes, rabattues sur elle-même. Ces oreilles cachent leur véritable paire d’yeux. Ce ne sont pas vraiment des globes oculaires car ils ne leur permettent pas de voir au sens propre du terme : ils perçoivent grâce à leurs pouvoirs psychiques. Etonnamment, il arrive très souvent à ces pokémons de ronronner, sans que l’on sache trop pourquoi.
Au combat, les psystigris n’ont peur de rien. C’est comme si leur vision psychiques leur permettait de tout prévoir, leur conférant par la suite une confiance démesurée. Pourtant, il arrive bien souvent que, même en sachant ce qu’il va se passer, ils ne parviennent pas soit à placer leur coup, soit à en éviter un. Ils tentent d’en profiter dès qu’ils arrivent sur le terrain. Ils ne comprennent pas toujours pourquoi, mais à leur arrivée, ils bénéficient de quelques secondes où l’adversaire ne fait rien. En vrai, c’est parce que leurs groz’yeux en perturbent plus d’un. Ils préfèrent attaquer avec leurs psychiques qu’ils peuvent enfin libérer, ou bien font valoir leurs chocs psychiques pour séduire leurs opposants. Ils ne sont cependant pas très robustes, et dès qu’ils se sentent en difficulté ils se dissimulent derrière un mur de lumière et implorent leur adversaire. Il ne faut pas se laisser avoir : dès qu’ils ressentent une ouverture, ils peuvent se précipiter, dans un pic de rapidité inattendu. Pour des pokémons au regard fixe, ils sont également étonnamment précis. C’est grâce à leurs pouvoirs, dont ils peuvent enfin donner la pleine mesure.
Car s’ils dissimulent cette seconde paire d’yeux, ce n’est pas par coquetterie. C’est parce qu’elle est la source de leurs pouvoirs. Ces pouvoirs, ils ne les contrôlent pas hélas, et ils préfèrent donc les retenir plutôt que de tout casser. Leurs pouvoirs sont principalement télékinésiques : ils peuvent manipuler les objets et la matière, plus que réellement agir sur l’esprit des gens. Il ne faut donc pas s’amuser à leur relever les oreilles juste pour s’amuser, ou bien « juste pour voir » comme l’on entend souvent. Et encore moins rester bêtement devant pour voir ce qu’il va se passer : il va sans doute se passer que votre tête va faire boum. À cause de cette retenue permanente, ils ont un caractère très effacé et très absent. Ils mettent en effet toute leur énergie à se contenir. Il ne faut donc pas les soumettre à des émotions trop fortes, car alors ils pourraient perdre le contrôle. Du fait de cette concentration permanente, il leur est difficile de s’attacher à qui que ce soit, car justement ne font attention qu’à cette énergie qui circule en eux. Vous par contre, vous pouvez totalement en être gaga, il n’y a aucun souci, et a priori ça ne pose pas de problème car personne à Kalos ne s’en cache. C’est sans doute dû au fait que toute la population n’est peut-être pas au courant de ces spécificités. Mais personne n’a jamais explosé à cause de trop d’affection. Il est même possible que loin au fond de leur conscience, ils s’en rendent compte, car il leur arrive de ronronner, même si c’est quelque fois en retard. Cette nécessité de retenir leur énergie est tellement intériorisée depuis leur prime enfance qu’elle en parait innée. C’est en fait l’enseignement principal que leur dispensent leurs aînés, outre le fait de se nourrir ou ces autres choses triviales. S’il n’y a qu’une chose qu’ils doivent savoir, c’est à se contenir : pour leur sécurité et celle du groupe. Ils ont parfois une démarche chaloupée improbable, car comme ils ne voient pas par la vue, mais par leur sens, ils envisagent l’espace d’une manière très différente de la nôtre.
| — # 679 | - MONORPALE.:
Ce pokémon est un MONORPALE. Les monorpales sont des épées spectrales. D'une bonne longueur de bras, ces pokémons ressemblent tout à fait à une épée à garde moyenne. La lame est d'un acier extrêmement solide et dont la trempe n'aura pas d'égal dans le monde de la forge aujourd'hui. La garde se termine sur un grand panache de différents bleus, avec un magnifique motif de spirale. Il est fait d'un genre de tissu rugueux, qui se divise en plusieurs fanes à son bout. Celui-ci peut s'auto-dégainer, et alors le tissu viendra tenir le fourreau ouvragé. Cet ouvrage laisse une impression de visage au pokémon, avec deux genre d'yeux. Mais c'est au centre de leur garde que se trouve l'œil de ces pokémons. Cependant, sur le fourreau comme sur la garde, le tout ne sera pas forcément discernable par le regard du profane, et encore moins si le pokémon est manié par son dresseur. Enfin, les monorpales lévitent tels les spectres qu'ils sont, et ont la tendance naturelle à se tenir non loin de la main de leur dresseur.
Au combat, les monorpales ont un avantage non négligeable sur bon nombre d'adversaire. Insensibles aux techniques de combat qu'ils combattent eux-même, ainsi qu'aux poisons ou aux charges les plus normales, ils sont aussi très très résistants à la majorité des attaques. Seuls le feu, la terre ou quelque attaque des ténèbres pourront avoir une réelle chance contre eux. Déjà, cela commence bien pour leur face. Comme leur forme physique l'indique, ce sont des combattants du corps à corps, qui ont notamment une très bonne garde, qu'il serait triste de ne pas exploiter. Ils ne sont cependant ni rapides, ni endurants et délèguent cela à leur épéiste de prédilection. En effet, ils ont pour coutume (et pour besoin) d'emprunter leur force au dresseur qui les tient. Leurs performances dépendent donc aussi pour beaucoup de la force physique et morale de leur utilisateur. Leur style de combat intuitif est plutôt celui d'une danse des lames, grâce à de très amples mouvements. Ils tailladent et tranchent sans vergogne dans tout ce qu'ils rencontrent. Ils peuvent aussi se servir du strido-son généré par leur mouvement. Enfin, prenez garde de ne pas trop toucher à ce qui est leur : ils ont la vengeance insatiable.
D'aucun racontent que les monorpales sont en vie du fait de l'âme de guerriers qui auraient trouvé refuge, passée leur mort, dans leur épée. Moi je dis que c'est un fake, sinon il y aurait un glyphe qui accrocherait l'âme à l'acier. Et puis, il y a besoin d'une tierce personne pour transmuter une âme, hein, et ce n'est pas le genre de chose que l'on fait en quantités industrielles, pour toute une espèce. Non, leur origine doit être différente. Par contre, il est avéré que les bestioles ont besoin de la force de leur dresseur pour tenir le coup. Lors des combat, ils enroulent leur étoffe bleue autour du poignet de celui qui les manie pour leur vampiriser totalement leur énergie. Rares sont les individus de cette espèce à le faire avec beaucoup de plaisir. De toute manière, s'ils tuent, ils n'ont plus qu'à se retrouver une nouvelle source d'énergie, et c'est un long programme. Toutefois, même sans cruauté, on les sent facilement galvanisés dès lors qu'ils sentent un petit peu de pouvoir affluer dans peu importe ce qui fait office de veines chez eux. Le tranchant de leur lame n'a pas besoin d'aiguisage ; ils s'en occupent eux-même. Toutefois, ce sont des lames fragiles dès qu'elles ne sont plus tenues par qui que ce soit. Elles pourraient même en venir à se briser si l'on ne faisait pas assez attention ! Il faut donc prendre grand soin de ce qui vous vampirise. C'est la leçon du jour.
| — # 680 | - DIMOCLÈS.:
Ce pokémon est un DIMOCLÈS. Les évolutions spectrales de ces épées ont pour ainsi dire doublé de volume. Ce sont à présent des pokémons constitués de deux lames entremêlées, plutôt qu’une seule comme c’était le cas des monorpales. Ce sont des épées courtes, là où les monorpales comme les exagides le sont moins. Elles sont toutes deux rangées dans leur fourreau respectif, où elles attendent le moment propice pour se manifester. Elles semblent toujours légèrement endormies car elles sont silencieuses et en tandem. Elles sont en fait croisées, devant un petit écu qui les maintient ensemble à chaque moment de leur vie en tant que dimoclès. Leur œil au centre de leur garde est devenu rose à présent. Et comme elles sont deux lames, les dimoclès ont en fait gagné un second œil. Ils ont toujours à leurs extrémités leur fanion, qui est désormais violet et rose. Il arbore cependant toujours la même spirale qu’auparavant. La division tout au bout est elle aussi maintenue, et elle peut donc leur servir à se saisir d’objet, ou bien simplement de garder à la main leur fourreau si jamais ils devaient en venir à se battre.
Au combat, les dimoclès ne sont pas les plus doués de la famille. Loin d’être des vilains petits canards, vraiment loin, ils leur arrive tout de même d’être parfois un petit peu maladroits, en raison de l’écu qu’ils ont à gérer. Bien évidemment, avec de l’entraînement, leurs deux lames peuvent devenir un atout de choix pour des parades complexes telles que le tranche-nuit qu’ils effectuent avec beaucoup de maestria. Ils sont en fait de la famille l’évolution qui se bat le moins. Eux sont plus sur la défensive. Et quelle défense ! Assurément, il est dur de passer au travers. Les combattants accomplis ne s’y trompe pas, et aucune attaque ordinaire ne franchira leurs lignes. Il faut au moins taper avec les mêmes armes qu’eux, c’est-à-dire le champ spectral pour les atteindre. En outre, ils compensent intelligemment leur déséquilibre entre leur défense et leur capacité offensive par quelques petites astuces de force qui pourront largement renverser un combat en leur faveur, même contre un ennemi talentueux. Leur lenteur pourra être un avantage dans cet assaut. Néanmoins, ils ont la tête dure comme fer, et une attaque au contact comme ils le font au quotidien ne serait pas la meilleure solution à adopter.
Il faut ajouter que les dimoclès sont des pokémons dangereux. Comme chacun des membres de cette famille d’évolution, ils ont une fâcheuse tendance à enrayer l’énergie de leur porteur, peu importe les conséquences qui pourraient s’ensuivre pour ce dernier. Mais les dimoclès vont plus loin que cela. Le fait d’être deux lames a créé entre celles-ci un champ télépathique fort dont elles se servent pour communiquer de l’une à l’autre. C’est cela qui leur permet d’être quasiment en parfaite symbiose à chaque instant. Mais ils s’en servent également pour sonder le cœur des gens, et surtout celui de leurs porteurs ; et se considèrent comme des justiciers, ou quelque chose de cet acabit. S’ils estiment devoir punir quelqu’un, ils le font. Cela a été remarqué car cela arrivait à des personnes de hauts rangs, dans la mesure où les pokémons-épées étaient surtout utilisées, dans l’ancien temps, par les monarques et personnes qui occupaient des hautes fonctions. L’un d’entre eux serait même tombé sur la tête de son porteur ! Outre cela, si les dimoclès paraissent toujours endormis, il ne faut pas s’y fier. Ils sont plutôt en dormance, mais ils sont très conscient de ce qui les entoure. Ils sont un petit peu dans une phase de cocon, comme les insectes entre deux évolutions.
| — # 681 | - EXAGIDE.:
Ce pokémon est un EXAGIDE. Ils sont l’évolution terminale de ces métaux spectraux ayant prit vie. Ils sont de plus grandes épées que les dimoclès. La partie principale de leur corps est bien entendu l’épée qui les caractérise. Celle-ci est composée d’une lame en métal doré sur la gouttière, et blanc ou disons gris métallique sur les bords polis et affûtés. Cela est dû à une chauffe différente sans doute. À la base de la lame se trouve un œil qui fait la jointure avec la garde. Il est violet, avec une pupille à la verticale, un petit peu à la manière des félins. C’est uniquement avec celui-ci qu’ils ont une vue du monde extérieur. La garde est conique, du même métal doré que la gouttière de la lame, même s’il est plus épais et plus massif. De chaque côté de la garde, des bras s’échappent. Ils sont d’un violet presque noir, sauf la spirale au bout des doigts qui semble caractériser la famille de ces pokémons qui est d’un violet plus clair. Ces bras se terminent donc par quatre doigts, qui leur permettent parfois d’attraper ce dont ils ont besoin, ou simplement de se rattraper eux-mêmes pour effectuer tel ou tel mouvement. Dans l’une de leur main, ils tiennent leur bouclier, seconde partie essentielle de ces pokémons. Ils sont rond et bombé, orné de trois spirales et faits de deux métaux différents pour profiter d’une meilleure robustesse.
Au combat, les exagides sont les rois. Ils ont une capacité d’adaptation hors du commun, mais qui contrairement à beaucoup d’autres pokémons, est tournée uniquement dans le but du combat. Ils peuvent à souhait se servir de leur bouclier royal pour parer les coups ou de leur lame sainte pour trancher dans le gras de leurs ennemis. Cela compense très bien leur manque d’endurance que l’on ne décèle finalement que très rarement. Ils sont tout à fait astucieux lorsqu’il s’agit de monter des murs de fer autour d’eux et leur équipe pour ne pas avoir à encaisser trop de coups. Ils ne font quasiment jamais appel à leurs capacités spectrales car ils n’en ont pas forcément besoin, mais il leur arrive tout de même de faire appel à leur ombre portée pour plus de rapidité dans le combat. Leur faiblesse la plus notable est celle au feu, bien que ce ne soit pas la seule.
Il existe deux types de combat pour les exagides. Le combat pokémon dont nous avons déjà parlé, et le combat à l’épée, avec des épéiste. Ces derniers sont très réputés et font l’objet d’événements et de festivals tant c’est devenu rare. Il y a longtemps, ils étaient courants, mais seules les personnes dignes d’eux se manifestaient. Les exagides ont toujours été les épées des rois et les boucliers des dieux, d’après la formule consacrée. Toutes les épées de légende semblent avoir été des exagides. En même temps, il est logique que les meilleurs épéistes aient été les épées elles-mêmes. Cependant, ils n’acceptent pas n’importe qui. Ils ne donnent leurs faveurs qu’aux plus grandes mains. Apparemment, ils sauraient déceler, ou lire ou bien sentir, peu importe le talent qu’ils exercent, l’esprit des personne du fait de leur pendant spectral. Pour autant, il faut toujours faire attention lorsqu’on les prend en main. En premier lieu il faut bien prendre garde à ne pas gêner leur vision, en ne leur cachant pas leur œil. Ils ont toujours une meilleure maîtrise de leur tendance à aspirer l’énergie d’autrui, mais il est toujours bon d’avoir un œil sur sa fatigue. Aujourd’hui, c’est tout un art d’apprendre le maniement de ces lames, qui n’est plus enseigné que dans un petit nombre de lieux. C’est un art délicat, notamment parce que chaque exagide est différent, avec une morphologie différente, plutôt pour la défense, l’attaque ou la parade, à l’image des différents types d’épée existants.
| — # 682 | - FLUVETIN.:
Ce pokémon est un FLUVETIN. Ces oiseaux de conte de fées semblent de prime abord n'être que de petites boules de poils roses. Alors il faut tout d'abord dire que ce ne sont pas des boules de poils, mais des boules de plumes. Car ce sont des oiseaux avant tout, comme en témoignent leur court bec gris et crochu, ainsi que leur petite paire d'ailes. Ces dernières ne leur permettent pas d'effectuer de longs vols, ni sur de très longues distances. Cela est potentiellement dû également à la tendance très duveteuse de leur plumage, qui s'ébouriffe dans tous les sens et fait parfois même de sacrées bouclettes. Ce même plumage dégage une odeur assez typique de ces pokémons. Ils possèdent deux petites pattes plus foncées pour se poser à peu près où ils veulent. Enfin, ils possèdent de part et d'autre de leur bec deux grands yeux de divas, dont les cils sont tellement épais qu'on les croirait maquillés. Ils sont traditionnellement d'une couleur oscillant entre le rouge et l'orange.
Au combat, les fluvetins usent de leur doux parfum afin de créer un champ brumeux sur le terrain, leur permettant de renforcer leur charme et leur pouvoir d'attraction. Cela ne permet pas toujours des effets distinctement visibles, mais c'est peut-être ce qui les sauvera d'un ko. En effet les fluvetins sont des pokémons assez égaux, dans la moyenne, mais pas forcément les plus aptes au combat s'ils ne sont pas correctement entraînés. Ajoutez à cela une certaine lenteur, et vous comprendrez aisément pourquoi il est nécessaire pour eux de préparer le terrain et de jouer de tous leurs atouts. Ils utilisent en outre différents moyens pour tenir la distance et regagner un petit peu d'énergie, qu'il s'agissent de baisers vampirisants ou d'aromathérapie. Cela peut faire d'eux de vrais fléaux, surtout que leur petite taille peut les rendre difficiles à cibler ou à attraper. Ils frappent quasiment toujours par le biais du pouvoir lunaire, mais ne sont pas non plus dotées d'une force à toute épreuve.
Ce sont plutôt des oiseaux sédentaires, qui n'effectuent pas de migrations au court de leurs vies. Cela laisse présager de leur évolution. Ils sont très appréciés en tant qu'oiseau de compagnie par ailleurs, dans les jardins qui se veulent distingués. L'odeur que dégagent ces pokémons est toujours relativement sucrée et capiteuse, toutefois il varie très légèrement d'un individu à l'autre, de telle sorte qu'un pokémon ayant un excellent flair puisse toujours les distinguer les uns des autres. Il semblerait que leur parfum puisse également varier selon leur alimentation ou leur bonne santé. On dit que par le passé, il était de bon ton d'aller et venir avec le fluvetin de son choix plutôt que de se parfumer. Ils ont cependant un caractère souvent taquin, un petit peu espiègle, qui peut parfois déranger. Ils savent se tenir sages et ne rien casser sur leur passage, mais ne manqueront pas une occasion d'être sur le fil si celle-ci se présente. Malgré leur incapacité à voler sur de longues distances, ils ne se déplacent jamais autrement que par les airs. Leurs petites pattes ne leurs permettent en effet pas de marcher avec une réelle aisance. Leurs déplacements, de ce fait, s'apparentent beaucoup à des petits bonds.
| — # 683 | - COCOTINE.:
Ce pokémon est un COCOTINE. Ces grosses fées sont les évolutions des petits fluvetins. Ils sont à présent de très gros oiseaux, mais qui ne volent pas le moins du monde. Ils sont même bipèdes, et leur pattes avant sont devenues des genre de bras. Leurs deux paires de pattes sont dotées d’ongles au bout de leurs trois doigts. Leur corps est entièrement rose et violet. Leur plumage est violet et relativement fin sur l’étendu de leur corps, à la manière d’un duvet. C’est au niveau de leur taille, et tombant jusqu'aux pieds, qu’un énorme surplus de plumes, roses au demeurant, tombe comme une jupe de music-hall très épaisse. Leur plumage est quasiment isotherme, de sorte à ce qu’ils n’aient jamais froid. Le tout est surmonté d’une tête, sans qu’ils aient de cou. Celle-ci est ovale, comme aplatie sur le reste de leur corps. Leur plumage violet s’écarte pour dévoiler une peau grise, avec deux grands yeux rouges entourés de cils gigantesques, qui leur font un regard de biche à toute épreuve. Entre leurs deux yeux, leur bec est de taille moyenne, recourbé vers le bas. Deux oreilles violettes sont dressées sur leur tête, bien qu’elles ressemblent plutôt à des cornes, ce qui rajoute à leur apparence un petit peu fantasque.
Au combat, les cocotines sont des pokémons plutôt amusants à regarder. Leur tendance à faire des manières d’un rien rend souvent leur arrivée sur le terrain un petit peu ridicule. Pour autant, il ne faut pas baisser sa garde pour autant. En quelques secondes, ces pokémons instaurent sur le terrain une brume capiteuse dont eux seuls ont le secret, afin de pouvoir mieux jouer de leur spécificité : leurs différents doux parfums. Ils dissimulent leur lenteur sous ce voile de protection, qui a pour but de les rendre invisible de leur adversaire, et attaquent sans se mettre à découvert. Afin de ne pas s’exposer, ils utilisent un vent féerique pour faire parvenir chacune de leurs fragrances. Ils se battent ainsi à distance, que ce soit par leur parfum, les pouvoirs psykos ou encore par leur voix enjôleuse, bien que tous ne chantent pas faux. Ils sont très endurants et savent sans mal tenir la longueur d’un combat. Leur vibrasoin entre autres choses leur permet une santé relativement assurée tout au long de l’affrontement.
Cette maîtrise des parfums est vraiment l’élément caractéristique de ces pokémons. Ils peuvent dégager de très fortes odeurs, dont la fragrance est à leur choix, ainsi que son intensité. Cela peut donc être soit très agréable, soit l’inverse, entêtant ou très léger. Ils sont impossibles à vivre s’il l’on est mal à l’aise avec les odeurs, ou bien si l’on a un nez trop développé. Ils sont surtout de très bons amis en période de rhume ou de nez bouché ! De plus, il n’est jamais un moment où les cocotines ne sentent absolument rien. D'une part parce qu’ils en sont bien incapables ; d’autre part parce qu’ils aiment bien trop leur particularisme pour s’en priver. Ils aiment être sous les feux de la rampe, et ne se priveraient pas de jouer un petit peu les starlettes. Très ambitieux, ils sont souvent présents dans des publicités et sont de bons témoins du marketing genré : ils illustrent uniquement des produits connotés « girly », rose et à paillette. Ils ne sont sollicités que sur ce seul créneau. Résultat, les petites filles supplient pour en avoir un, et les parents trop au courant des mésaventures odorifères que les cocotines peuvent susciter, ont bien du mal à supporter la situation ! Malheureusement pour leur ambition, ils finissent souvent comme l’ami des vieilles dames… Leur côté maniéré et sirupeux trouvant leur place dans les grandes maisons à divertir. Leur spécialité parfumée leur vaut aussi de donner leur forme aux sachets de lavande que l’on met dans le linge pour qu’il sente bon, ou bien accrochés au rétroviseur des voitures.
| — # 685 | - CUPCANAILLE.:
Ce pokémon est un CUPCANAILLE. En évoluant, les sucroquins sont devenus des fées qui n'ont de féerique que le nom. Et pas l'apparence. Même si c'est pas gentil de parler de l'apparence des gens. Ils ont l'apparence de petits humanoïdes roses rondouillards, qui ne vous arriveront guère plus haut que le genoux. Ils ressemblent à un savant mélange entre une pâtisserie et un bonbon. Leur corps est quasiment plus haut que large. Comme ils sont bipèdes, cela leur donne une démarche improbable, qui ressemble beaucoup à celle d'un culbuto. Ils sont majoritairement roses, avec des teintes blanchâtres. Ils possèdent une collerette rose en collier autour du cou. Sur leur tête, ils ont une espèce de choucroute, comme du glaçage (rose, encore, au sucre, sans doute) qui aurait dû se trouver sur un gâteau d'anniversaire de princesse, mais qui aurait perdu son chemin. Ils ont une boule de glace goût framby sur la tronche. Avec délicatesse, ils laissent souvent dépasser leur langue rose de leur bouche, bien entourée de deux crocs assez étonnant dans cette atmosphère très pas d'pitié pour les croissants.
Au combat, ce sont des pokémons très équilibrés, qui ont une capacité au combat remarquable pour des êtres de cette ampleur. Hélas, ils ont tendance à ne pas aimer se battre, et ne sont pas vraiment des violents dans l'âme. Il faudra donc bien y réfléchir avant des les entraîner et d'en faire des pokémons de combat. La meilleure alternative sans doute pour ces petites fées, c'est d'utiliser leurs talents indépendants du combat, pour les faire devenir des atouts. Leur tendance à câliner peut étonnamment être pratique sur le terrain, pour peu que l'adversaire ne soit pas un steelix ou un quelconque autre pokémon de la même taille, inatteignable pour les cupcanailles. Ils peuvent cependant faire beaucoup d'efforts, mais tout n'est pas forcément possible, il ne faut pas trop leur en demander. Surtout que leur tendance à camaraderie, même en plein milieu d'un combat, ça n'aide pas toujours. Malgré tout, si vous arrivez à leur apprendre comment libérer leur doux parfum au bon moment, cela pourra induire une certaine confusion ou un certain malaise chez l'ennemi. Ils sont ensuite des pokémons qui savent tenir la longueur : leurs voeux, leurs techniques d'aromathériapie et leurs vampibaisers pourront faire durer le combat jusqu'à épuisement de l'adversaire, là où eux pourront regagner leur énergie.
Pacifique, oui, mais aussi avec un odorat très développé. Ces petits pokémons se repèrent dans l'espace grâce à leur nez. Le reste, les yeux, les pieds, tout ça, c'est pour la frime. Ils sont capables de saisir la distance de tel ou tel objet simplement par l'intensité de leur odeur. Ils sont souvent les compagnons des cuistots, parce qu'ils savent très bien doser les différents ingrédients. Ils sont aussi très bon pour la recherche de stupéfiants. Hélas, les militaires avaient tendance à ne pas les prendre très au sérieux, ce qui fait que les brigades de cupcanailles ne sont plus légions à ce jour. Là où les cocotines sont des chefs des parfums, eux sont ceux de l'odorat. En outre, il faut éviter de les laisser trop fréquenter des enfants, surtout les plus friands de sucre. Leur odeur entêtante n'est pas bonne pour eux, surtout qu'il s'agit dans leur cas de mauvais sucre ; ils ont tendance à vouloir faire plaisir, et à pâtisser dès que l'occasion se présente. Il n'est pas improbable qu'ils aient joué dans le diabète d'une part de la population. Il est aussi bon de savoir qu'ils ont une fameuse tendance à être hyperactifs. Eloignez-les donc de votre cuisine si vous voulez faire des crêpes tranquillement, sans quoi ils vous mettront un bazar pas possible. Et ils ne font pas la vaisselle.
| — # 686 | - SEPIATOP.:
Ce pokémon est un SEPIATOP. Contre toute attente, ces petits poulpes bien mystérieux sont dotés de pouvoirs psychiques. Leur corps est composé de deux parties bien distinctes, en haut et en bas. La coiffe, en haut, est constitué d'une sorte de gélatine translucide, à l'intérieure de laquelle on peut discerner la masse rose de leur chair. Celle-ci s'illumine régulièrement de points jaunes, en rythme ou bien de concert. De cette coiffe s'échappent, sur les côtés, deux petits bras, en gélatines eux aussi, mais qui les aident à se dirigerou à se saisir physiquement des objets de leur choix. La partie basse de leur corps correspond à leurs tentacules bleues, grâce auxquelles ils se déplacent tout à fait. Leur petit visage est entre ces deux parties, avec leurs deux grands yeux et leur toute petite bouche. On remarquera qu'ils sont aux couleurs de l'année 2016 de Pantone, à savoir le Rose Qwartz, et Serenity.
Au combat, les sepiatops sont pleins, vraiment pleins de bonne volonté ! C'est déjà un très grand et très bon point, contrairement à certaines brutes qui y vont sans envie. Hélas pour eux, ils sont assez faiblards, et doivent user d'un certain nombre de tours de passe-passe pour ne pas se faire éjecter trop vite. Bienheureusement pour eux, leurs clignotements ont un pouvoir hypnotisant qui leur laisse tout le temps nécessaire d'enserrer leurs ennemis dans une sacrée constriction grâce à leurs tentacules. À partir de là, ils peuvent se permettre tous les renversements qu'ils souhaitent, et dont ils sont friands. En effet, ils n'ont plus qu'à faire pulser des vagues psychiques afin de totalement mettre leur adversaire hors d'état de nuire.
Les ronds jaunes qui s'allument parfois sur leur coiffe ont un drôle de pouvoir. Les fixer pendant quelques secondes rend légèrement confus, et plus longtemps peut carrément vous mettre dans le mal. Elles font perdre toute volonté et toute vitalité. Les sépiatops s'en servent le plus souvent contre des prédateurs bien plus gros qu'eux, ou bien pour protéger ceux qui leurs sont chers. Ils sont en effet des pokémons extrêmement affectueux, qui s'accrochent très vite et sont franchement collants. Mais dans leur grande sensibilité, il vaut mieux éviter de les renvoyez dans leur pénates trop brutalement. Comme ils lévitent sans mal, ils peuvent aller directement se coller sous le nez d'autrui, pour le forcer à regarder dans leur coiffe. Ce sont des pokémons joyeux et enthousiastes, toujours prompt à se casser une bonne dalle. Ils sont peut-être même trop enthousiastes, toujours à léviter dans tous les sens et à l'endroit comme à l'envers : même plus besoin de leurs clignotement pour avoir mal au cœur !
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| | | | Sakae Kurami
C-GEAR Inscrit le : 23/08/2013 Messages : 14282
Région : Hoenn, Kalos.
| — # 690 | - VENALGUE.:
Ce pokémon est un VENALGUE. Ils sont parmi les rares pokémons aquatiques à disposer de venin. Ce sont de petits êtes à l'allure décharnée à première vue, mais qui sont juste filiformes lorsqu'on les observe de plus près. Leur long corps est principalement marron de la tête à la queue. Seul le dessous de leur visage et leur ventre sont violets, et quelques nageoires qui sont d'un bleu translucide. Au bout de leur queue, ils ont trois nageoires caudales qui leur permettent de se mouvoir et de se diriger. Sur leurs flancs, ils ont deux petites nageoires latérales, presque rondes, qui leurs permettent surtout de se stabiliser dans leur nage, car ils se meuvent en position verticale. Dans leur dos, leur structure osseuse remonte pour leur créer une corne, que l'on retrouve aussi à l'arrière de leur tête. Ils y ont aussi une excroissance verticale, qui se termine par un élément du même bleu que leurs nageoires. Leur tête est la partie la plus épaisse de leur corps, sur laquelle on trouve deux grands yeux ronds à la sclère presque rouge. Ils ont en guise de bouche une trompe, à la manière des hypotrempes, dont ils sont un petit peu une version zombie.
Au combat, les venalgues ne se démarquent pas particulièrement d'une manière ou d'une autre, mais restent tout de même assez corrects, et avec un bon entraînement peuvent devenir des combattants intéressants. Leur capacité à se camoufler dans toutes sortes d'environnement leur permet de feinter leur ennemi avec quasiment toujours beaucoup de succès. Si cela ne devait pas suffire, ils s'entoureraient à la manière des hypotrempes d'un brouillard juste assez épais pour leur offrir l'avantage de la surprise. Ils attaquent principalement avec leur queue empoisonnée, qui est terriblement toxique et acide : gare donc à ne pas en recevoir dans les yeux, car la vue de la cible pourrait être endommagée de façon permanente. Ils leur arrive aussi d'agir par vibrations aquatiques pour faire perdre leurs repères à leurs adversaires, mais cela reste marginal par rapport à leur utilisation du poison.
Il est bien important de faire attention à leur corne, mais également à ce qu'ils peuvent sécréter du bout de leur trompe. Il y a des chances que cela soit toxique. Ce sont donc des pokémons à appréhender avec précautions, car certains sont en plus trop jeunes pour pouvoir maîtriser ce phénomène. Il vaut donc mieux ne pas les mettre dans les même points d'eau que d'autres pokémons aquatiques, qui pourraient vite faire de drôles de tronches. Ils sont carnivores, et mangent aussi bien des petits poissons que des crustacés, qu'ils mangent pas encore tout à fait mort. Pour les attraper, ils se dissimulent dans des algues qui les camouflent et attendent le bon moment pour les asperger de leur poison. Ils essayent cependant d'être toujours discrets et de ne pas se faire remarquer, pour pouvoir ne pas se fatiguer en vue de leur évolution. Ils n'ont d'ailleurs pas toujours un caractère facile, et au contraire plutôt irascible. Heureusement, en leur prodiguant de bons soins, ils se sentent moins menacés par rapport à leur perspective d'évolution, et ils peuvent en venir à s'adoucir avec le temps.
| — # 691 | - KRAVARECH.:
Ce pokémon est un KRAVAERCH. Comme les venalgues, les kravarechs sont des dragons et venimeux. Beaucoup plus grands qu'eux et d'une envergure de près de deux mètres, ils en ont quand même la même forme générale. Leur corps forme une grande bande qui ondule et se courbes avec l'eau. Ils ont un ventre écailleux mauve, et le reste de leur corps est marron. Sur leur tête, ils ont un florilège de couleurs pourpres et vertes qui imitent un bosquet d'algues pour mieux ne pas se faire voir. Ils ont deux grands bras filiformes, et tout le long de leur corps il y a des excroissances qui ondulent également au gré des courants ; tant et si bien qu'il est difficile chez ces pokémons de distinguer ce qui relève du membre et ce qui relève de l'appendice.
Au combat, les kravarechs sont des pokémons lents, mais d'une incroyable intelligence. Grâce à leur corps filiforme et sinueux, ils parviennent à éviter un très grand nombre de projectiles. C'est leur adaptabilité à un très grand nombre de situations qui leur permet en réalité de vraiment tirer leur épingle du jeu. Ils préfèrent rester à distance et créer de grands ouragans ou bien des chocs dragoniques, sous-marins ou sur terre. Mais lorsqu'ils doivent monter au contact, ils le font à grands coups de draco-queues et sans hésiter de poser des points de poisons sur la peau de leurs ennemis. Avec cela, ils sont globalement très résistants ; il ne faut pas hésiter à taper dans ce qui fait mal pour les sortir du terrain, comme nous l'ont régulièrement prouvé des combats de la ligue pokémon.
Les kravarechs sont assez facilement identifiables comme les simularbres des eaux. Ils restent souvent immobiles dans des bosquets aquatiques à guetter un moment propice pour eux. Des modèles de patience, vraiment. C'est également ainsi qu'ils aiment chasser : en restant tapis en attendant la proie qui viendra à leur portée. Ils chassent de la même manière qu'ils gardent leur territoire : avec un venin très corrosif. En effet, ce sont bizarrement des pokémons très territoriaux, qui ne supportent que peu d'intrusions sur leur terrain. Même les embarcations humaines à la surface ou les pokémons pélagiques peuvent rapidement s'attirer leur courroux. Apparemment, leur poison est assez puissant pour dissoudre la coque de bateaux lourdement carapacés. Cela a créé plusieurs marées noires il y a une vingtaine d'années, avant que l'Homme ne se rende compte de ce qui avait créé de telles catastrophes et ne change ses itinéraires de transports. On retrouve souvent les kravarechs autour de sinistraux, car leurs environnements de vie sont assez similaires.
| — # 692 | - FLINGOUSTE.:
Ce pokémon est un FLINGOUSTE. Ces gros pokémons sont de sacrés crustacés. Leur corps est très impressionnant, tout en bleu éclatant et en lignes noires ! Celui-ci est conique, très épais au niveau de la tête, et allant en rétrécissant vers la queue. Ils sont recouverts de plusieurs écailles bleues, qui se chevauchent, afin de mieux les protéger des coups. Au bout de leur queue, ils possèdent deux petites nagoires caudales, qui leur permettent de se mouvoir lorsqu'ils sont dans l'eau. Ils possèdent six pattes, divisées en trois de chaque côté de leur corps. Les deux à l'avant de leur corps, bien entendu, sont leurs pinces. Mais elles ne sont pas égales ! L'une d'entre elles est à taille normale en comparaison de la taille du pokémon, tandis que l'autre est hypertrophiée, et fait l'équivalent de la moitié de leur corps ! Sur leur crâne, deux antennes leurs permettent de se repérer dans tous les espaces, qu'ils soient sous ou hors de l'eau. Leurs yeux sont jaunes au niveau de la sclère, et ils ont trois barbillons au bout de leur bouche, comme des bébés tentacules.
Au combat, ce sont des pokémons extrêmement bien équilibrés entre leurs capacités de défense et d'attaque. Une fois un entraînement correct réaliser, ils deviennent capables d'un plein potentiel et deviennent de véritables fléaux pour leurs ennemis. Ils ont une très grande force dans la poigne, ce qui les aide, une fois qu'ils ont attrapé leur ennemi, à le maintenir dans leur pince. Une fois cela fait, ils peuvent faire vibrer l'eau autant qu'ils le souhaitent, ce qui a tendance à assommer leurs ennemis. Bien entendu, si cela ne devait pas suffire, ils peuvent tout à fait se servir de leur pince comme d'une masse, afin de donner de grands coups pas très subtils sur tout le terrain.
Les flingoustes, comme beaucoup de crabes, voient leurs pinces repousser si l'une d'entre elle se brise et tombe. Cependant, la spécificité des flingoustes, qui se trouve d'ores et déjà dans l'hypertrophie de l'une de leur pince, se retrouve encore dans ce phénomène. En effet, si c'est leur grosse pince qui venait à tomber, afin qu'ils ne soient pas handicapés le temps qu'elle repousse, c'est leur petite pince qui va grossir et grossir, jusqu'à être tout autant hypertrophiée que l'autre. Pendant ce temps, la pince tombée repoussera, à la taille d'une petite. C'est pour cela que les flingoustes n'ont pas tous leur grosse pince du même côté. Ils sont en outre connus pour les détonations qu'ils sont capables de produire avec leur pince. Pour protéger la plage et le rocher sous lequel ils vivent, ils n'hésitent pas à claquer leur pince sur celui-ci pour effrayer, du grand bruit qui s'ensuivrait, tout étranger potentiel. Dans l'eau, ils éjectent à très forte pression des bulles de gaz, qui si elles touchent un autre individu, peuvent l'assommer et l'amocher très très salement. À la surface, leurs projections d'eau sont également à très forte pression, et mieux vaut ne pas être sur leur chemin. Ce sont des pokémons avec un caractère très affirmé, qui n'hésitent pas à rentrer dans le vif du sujet lorsque quelque chose ne leur plait pas. Même si le sujet est en réalité un quelqu'un.
| — # 693 | - GAMBLAST.:
Ce pokémon est un GAMBLAST. En évoluant, les flingoustes deviennent gamblasts. Ils donnent plus ou moins envie de dire : on prend le même en plus gros, et on recommence. Mais ce qui est gros chez eux, c'est surtout leur pince, qui est bien plus importante relativement à leur corps que celle des flingoustes. Celle-ci fait presque le triple de leur taille, ce qui n'est pas rien de le dire lorsque l'on sait que le corps seul des gamblasts est déjà un petit peu plus gros que celui de leurs cadets. On retrouve sur ce corps les mêmes plaques d'écailles bleues claires qu'auparavant, mais plus encore zébrées de noir. Ces plaques sont pour certaines à présent un petit peu bosselées, ce qui donne l'impression qu'ils sont hérissés de piquants. Leur pince droite en revanche a pris des airs d'hormones de croissance et une couleur bleu nuit très distinctive. Celle-ci est renforcée de trois épaisseurs de carapaces que l'on peut voir s'emboîter à l'arrière de celle-ci, et est reliée à leur corps par un unique cartilage presque fusionné à leur squelette, bien caché sous des écailles. Leur pince s'ouvre presque comme un bec recourbé, avec des pointes qui ont la même utilité que la dentition d'une tortue. Cette écaille leur sert à broyer autant qu'à attaquer, et elle est donc à prendre très au sérieux.
Au combat, il ne faut pas se mentir, les gamblasts se servent surtout du méga-blaster qui leur sert de main, et déjà ça fait beaucoup. Tous les pokémons ne peuvent pas se vanter d'avoir une arme de destruction massive comme partie de leur corps — et je n'accepterai aucune blague salace. Les aqua-jets qu'ils projettent sont les plus puissants qui existent, à l'exception unique de quelques oratorias très puissants. Ils sont réellement bien plus à l'aise en attaquant à distance, là où ils peuvent balancer de véritables boulets de canon qui créent des chocs draconiens sur leur passage. Ils aiment également attaquer à coup d'anti-air afin d'expulser tout l'air des poumons de leur adversaire, ce qui a l'avantage de leur laisser une bonne poignée de secondes avant que celui-ci ne reprennent ses esprits. Au plus haut de leur concentration, ils projettent aussi des sphère d'aura, plus puissantes encore que tous leurs projectiles. Ces pokémons sont dévastateurs, et mon conseil principal est de leur opposer des pokémons bien carapacés et solides sur leurs appuis, capables de résister à leurs attaques.
Non parce que, dans les livres des records, on en a vu passer des gamblasts ! Un jour, un très vieux et donc très gros gamblast a transpercé un pétrolier avec l'une de ses décharges ! Autant dire qu'il ne faut pas se mettre en travers à moins de vouloir se briser quelque chose. Je juge pas moi, on a tous besoin d'un congé maladie plausible, une fois de temps en temps... Leur capacité à propulser de l'air ou de l'eau est ce qui permet également au gamblasts de se déplacer. En vrai ils pourraient sans doute se déplacer normalement s'ils n'ont pas oublié comment faire. Mais il faut ajouter que c'est plus classe et aussi bien plus rapide de se déplacer grâce à leur propulsion. Le seul souci, niveau style, c'est qu'ils sont donc obligés de se déplacer à reculons. Mais c'est un mal pour un bien, je suppose ! Ce sont des pokémons assez solitaires, notamment car leur caractère ne s'est pas beaucoup amélioré en évoluant, et qu'ils ne supportent pas grand monde. Ils sont également parfois colérique, donc il vaut mieux être bien en phase avec eux, ou avoir une technique miracle pour contenir leurs colères. Ce ne sont pas les pokémons les plus simples à dresser, en somme !
| — # 694 | - GALVARAN.:
Ce pokémon est un GALVARAN. Ces reptiles électriques sont quadrupèdes, mais peuvent également se tenir sur leurs deux pattes arrière durant quelques secondes lorsqu’ils le souhaitent. Ils sont dotés de petites pattes fines, courtes, à trois doigts. Leur corps est jaune pâle (nuance tarte au citron) avec seulement du noire aux extrémités : pattes, queue, et crâne. La majorité de la surface de leur peau est écailleuse. Ils ont une queue large qui leur permet de garder l’équilibre en toute situation. Leur tête est toute ronde, parée de deux grands yeux qui sont dans quasiment trous les cas bleus. Ils ont toujours une espèce d’air ahuri, car ils sont des pokémons naturellement souriants. De part et d’autre de leur tête tombent deux longues oreilles, du genre tombantes comme les mastouffes, mais en moins pire. Leur bout est jaune, en inversion avec le reste de leurs extrémités. Ces oreilles sont mobiles, et ils peuvent les faire bouger un petit peu n’importe comme, vue leur souplesse. Ils peuvent les élargir, car il s’agit de peau détendue.
Au combat, les galvarans ne manquent pas d’intelligence et de ruses. Ils sont rapides, mais peu robustes. De ce fait, ils préfèrent balancer leurs éclairs de loin, et rester à distance. Leur petite taille leur permet parfois de se faufiler entre les pattes d’adversaire qui fonceraient sur eux, et alors ils en profitent bien souvent pour les paralyser au passage. Il leur arrive de faire preuve d’une rapidité sidérante, qu’ils ne peuvent mettre à profit que durant quelques secondes, grâce à des offensives telles que les coupe-vents. S’ils se sentent à la fois suffisamment confiants mais qu’ils sont dans une mauvaise posture, ils utilisent également une charge parabolique, qui leur permet de se régénérer grâce aux potentiels électriques de leurs ennemis. Le plus simple est de les attaquer directement par le sol, par des attaques terrestres, dont leur rapidité ne pourra les prévenir.
Électriques oui, mais pas seulement. Les galvarans sont un petit peu les pokémons « énergies renouvelables » de la biosphère. Ils prennent des bains de soleil à la manière des pokémons plantes, qui utilisent la lumière à des fins de photosynthèse. S’ils ne photosynthétisent rien, l’énergie solaire permet cependant aux galvarans de recharger leur propre énergie ! Tant qu’il fait beau soleil, un galvaran peut quasiment se passer de manger. Et cela restaure bien entendu leur charge électrique. Ces pokémons ne sont pas encore proposés dans les centrales, car il en faudrait un bien trop grand nombre pour que l’on puisse alimenter une ville (du fait de leur faible taille) et les conditions de présences des pokémons dans les industries humaines sont encore très strictes. La réglementation sur les énergies renouvelables l’étant également, ils ne sont pas prêts de s’y retrouver. Ils sont sans cela étonnamment carnivores, et chassent des pokémons plus petits qu’eux. Malgré leur air toujours joyeux, ils ne se laissent pas approcher facilement et peuvent être farouches au premier contact. Ce n’est pas tant de la crainte que de la vie entre soi, et où les intrus sont mal vus. Lorsqu’ils ont peur ou bien qu’ils cherchent à apeurer un tiers, ils détendent leurs oreilles en grand, et elles forment presque une collerette tout autour de leur tête. Ces mêmes oreilles produisent alors des décharges d’électricité qui crépitent tout autour d’eux, comme un dernier signal pour l’intrus qu’il vaudrait mieux pour lui de décarrer.
| — # 695 | - IGUOLTA.:
Ce pokémon est un IGUOLTA. En évoluant, les iguoltas gardent bien normalement leurs capacités électriques. Néanmoins, la différence entre eux et leurs cadets est saisissante, quoi que restant toujours dans les liens de parenté. Tout d'abord, les iguoltas se tiennent à présent debout, sur leurs deux pattes arrières. Leur queue est bien plus longue qu'auparavant, et se termine par deux bandes, une orange et une noire. Ce même noir se retrouve sur leur tête, mais aussi sur leurs quatre pattes. Ces pattes sont toutes terminées par trois doigts. Le reste de leur corps est du même jaune que celui que portaient les galvarans. Des bandeaux oranges ornent également leur cuisses, dans des motifs triangulaires qui s'emboîtent les uns dans les autres. Autour de leur cou, ils ont ce qui ressemble à un collier orange, qui se trouve à la limite entre le jaune de leur ventre et le noir de leur tête. Il ne s'agit pas tant d'un collier, mais de la forme au repos de leur collerette, qui s'ouvre en cercle tout autour de leur tête. Ils ont deux grands yeux bleus, et une grande bouche qui s'ouvre sur une toute petite dentition. Seule leur mâchoire inférieure offre une tache de jaune au milieu de leur tête noire.
Au combat, les iguoltas tirent leur force du soleil, il est donc bon d'éviter de les envoyer sur le terrain lors d'un jour pluvieux, ou bien en pleine nuit. Ils ne seront pas de gros incapables, mais ne seront pas au top de leur forme. De manière passive, des ondes étranges semblent émaner de leur peau sèche, ce qui n'est que la manifestation de leur trop-plein permanent d'électricité. Ils agissent en tout point comme des chargeurs, d'où cette impression. Ce sont des pokémons extrêmement rapides, qui sont plutôt offensifs mais tout en restant au maximum hors de portée de leur ennemi. Ainsi, ils foncent d'une attaque vive vers l'ennemi, avant de battre en retraite tout aussi rapidement. Les voir en action est une expérience en soi, tant leurs mouvements paraissent tout à la fois fluide et à la limite du distinguable. S'ils ne parviennent pas à aller toucher l'ennemi, si par exemple il devait les battre au poteau de la rapidité, les iguoltas ne se démontent pas. Ils invoquent une foudre fatale qui électrise sur place tous leurs opposants, et peuvent ensuite récupérer cette énergie électrique en se posant en parabocharge en bout de terrain.
Si les iguoltas sont si rapides en combat, c'est qu'ils peuvent utiliser s'ils le souhaitent toute l'électricité qu'ils stockent pour stimuler les muscles de leur choix. Cela leur permet de décupler leurs performances, et de parcourir d'extrêmement grandes distances en une poignées de secondes. Ils ne peuvent pas cependant le faire un trop grand nombre de fois d'affilée, au risque d'abîmer leur musculature. C'est quelque chose de très shônen que de les voir augmenter leur vitesse plusieurs fois d'affilée sur le terrain, comme on ne sait pas où sera leur limite si on ne les connait pas très bien. Et de fait, leurs limites peuvent être grandes. Un iguolta seul peut en effet stocker assez d'électricité pour alimenter un gratte-ciel, lorsqu'ils sont au maximum de leurs capacités de stockage. Ils libèrent ensuite toute cette énergie en ouvrant leur collerette, qui est aussi leur port de sortie électrique. Dans la nature, ils ne déploient leur collerette quasiment que pour se rendre plus gros, et ainsi apeurer les prédateurs les plus naïfs.
| — # 696 | - PTYRANIDUR.:
Ce pokémon est un PTYRANIDUR. Les ptyranidurs sont d'adorables petits dragons de pierre. Mais ce sont surtout de trop mignons dinosaures ! Hauts d'un bon mètre, ils présentent de belles nuances marrons, riches et pleines. Leur peau est épaisse et écailleuse, difficile à abimer. Ce sont des bipèdes, mais ils se déplacent toujours de manière à positionner leur corps à l'horizontale ; sans quoi leurs articulations ne pourraient supporter leur poids. Ils ont un corps relativement déséquilibré, avec une tête, très volumineuse et notamment une mâchoire très carrée et très proéminente, à la dentition impressionnante. À la manière des baggiguane, un petit peu, il arrive aux plus jeunes que leur tête les fasse tomber en avant par manque de maîtrise de leur équilibre. Ils ont cependant une queue relativement lourde qui leur permet de contrebalancer ce poids. Leur cou est de même très musculeux, afin de pouvoir soutenir leur tête. Sur ce même cou, ils arborent une ravissante petite collerette blanche ; mais aussi des crêtes oranges sur la tête et sur la queue. Leurs quatre pattes sont griffues, mais leurs pattes postérieures sont bien plus puissantes que les pattes antérieures. Ces dernières sont bien plus petites, presque atrophiées, de manière à ce qu'ils ne peuvent pas toujours faire ce qu'ils veulent. La guitare, c'est dur pour eux. Au combat, les bébés dinosaures ont beaucoup de faiblesses par devers eux. De l' acier aux féeries, ils peuvent ployer sous pas mal de coûts. Par contre, ils sont particulièrement ignifugés. Ce qui est assuré, c'est cependant qu'ils ne dérogent jamais à leur méthode de combat, qui semble être la seule qu'ils connaissent. Ils se battent surtout au contact, un petit peu comme des catcheurs : ils se fracassent contre leurs ennemis en tentant de les écraser sous leur poids et les faire ployer sous leur puissance physique. Ils utilisent de plus leur mâchoire pour mâchouiller leurs ennemis afin de les immobiliser. Cette technique d'immobilisation se complète par des pièges de rocs savamment disséminés par leurs soins sur les terrains. Ils sont cependant mauvais en duo car ils ne peuvent immobiliser qu'un seul individu, et ils deviennent terriblement exposés et vulnérables à d'autres attaqus une fois ceci fait. Ils attaquent plus rarement de leur queue ou de leurs griffes. Il ne faut d'ailleurs pas penser qu'ils sont cloués au sol ! Leurs pattes puissantes leur permettront de faire de grands bonds pour vous attraper, même en plein vol ! Les ptyranidurs sont, de manière relativement évidentes, des dinosaures. Qui ne devraient donc plus être en vie. Cependant, comme c'est le cas des kabuto ou des amonistars, des fossiles de ces petits mignons ont été découverts il y a un siècle ou deux. Quelques tissus mous ayant été retrouvés fossilisés eux aussi, les avancées de la science et les études spécifiques qui ont été réalisées à leur sujet ont permis d'en ramener certains à la vie, et donc de reconstituer pour une part l'espèce. Il existe de grandes réserves de ces pokémons ainsi que de leurs aînés, et ils commencent à être remis en liberté, de manière surveillée, dans la nature. Surtout dans des milieux difficilement accessibles et où, sans que la loi du plus fort règne forcément, ils ne soient pas les prédateurs qui viendraient tuer le reste de l'écosystème. Ce sont en effet de grands carnassiers, souvent considérés comme capricieux voire violents. On leur attribue un côté tyrannique. J'ai personnellement l'impression qu'ils ne sont pas méchants en équipe, mais ils aiment que l'on soit gentil, et mignon avec eux. Tout particulièrement attentionné, de fait. De toute manière, leur condition de pokémons fossilisés et redécouverts leur donne un statut tout particulier qui implique qu'on leur porte une attention spécifique. Il faudrait juste qu'ils s'en rendent compte. Mais ce sont finalement des enfants qui réclament de la gentillesse, avec vachement plus de dents que les autres. Le ptyranidur de Sae : sait complètement jouer les gros durs. C'est comme ça que je l'ai rencontré, jouant son super rôle de gros méchant. Mais en fait, il réclame surtout des papouilles. Tout le temps. Cela en deviendrait presque difficile de toujours le papouiller et pas les autres.
| — # 698 | - AMAGARA.:
Ce pokémon est un AMAGARA. Ces pokémons, au rang des fossiles, sont des êtres de roche et de glace. Autant dire que les moraines sont leurs amis. Malgré leur apparence dinosauresque, ils ne mesurent que rarement plus d'un mètre trente, par comparaison aux grands méganiums qui ont plus ou moins la même silhouette. Leur corps n'est cependant pas garni de fleurs, et n'est même pas vert. Ils ont la peau presque intégralement bleu pâle, exception faite de le ventre, qui hésite lui entre le gris et le blanc. Foncé, le blanc, on va dire. Ce sont des quadrupèdes, dont chaque pied est doté d'un unique ongle. Ils possèdent également une queue assez courte par rapport à leur morphologie, qui sert le même but d'assurer leur équilibre. Enfin, sur leur tête, au bout de leur long cou, leur signe distinctif : deux grands voiles irisés aux couleurs d'un lever de soleil, qui prennent leur naissance chacun au-dessus d'une de leur paupière. Enfin, un cristal bleu orne chacun de leur flanc.
Au combat, ils s'arrangent assez souvent pour créer un climat neigeux à l'aide de leurs vents glacés et d'une couche de brume, voire de grêle afin d'être dans leur élément ; surtout s'ils ne sont pas à l'aise avec le fait de combattre ou avec l'adversaire qui leur est opposé. Typiquement, les rexilius, qui sont leurs prédateurs naturels, sont du genre à les mettre dans un état de nerf assez critique, qui rend tout combat très difficile. C'est également pour cette raison qu'ils préfèrent rester le plus possible à distance et en restant sur ce qu'ils connaissent le mieux : la glace et les rochers, pour être en confiance. Ils n'hésitent ainsi pas à déclencher de véritables glissements de terrains pour créer des jets de pierres ou des avalanches carrément. Les plus forts d'entre eux et ceux qui maîtrisent le mieux leurs antiques pouvoirs peuvent aller jusqu'à créer des ondes boréales que l'on attend d'habitude chez des pokémons plus puissants.
Ce sont des pokémons très calmes, qui le plus souvent vivent dans des régions dénuées de pokémons hostiles et agressifs. Les comportements violents les angoissent beaucoup, chose à garder à l'esprit lorsque l'on prend sous son aile l'un de ces pokémons. Ils ont besoins d'environnements stables et sans mauvaises surprises. Voire sans surprises du tout, si cela s'avère possible. Ce sont en effets des pokémons très sensibles, qu'il est assez facile de déchiffrer pour la simple et bonne raison que leurs voiles changent de couleur en fonction de leur humeur : vert lorsqu'ils sont heureux, bleu lorsqu'ils sont triste, rouge lorsqu'ils sont énervés, etc. Ils ont bien entendu besoin d'un environnement à la température plutôt basse, bien qu'ils puissent supporter un climat tempéré. Leurs cristaux leur permettent de diminuer leur température, ainsi que de l'air directement autour d'eux. Ils préfèrent également vivre nuitamment, car cela leur évite de rencontrer trop d'individus et d'avoir beaucoup de choses à gérer d'un seul coup.
| — # 699 | - DRAGMARA.:
Ce pokémon est un DRAGMARA. En évoluant, les dragmaras ne perdent rien de leurs capacités glaciaires, non moins que leur composante rocheuse. Par contre, ils gagnent en taille. Ils gagnent beaucoup en taille. Le haut de leur tête atteint facilement les trois mètres, sans que cela n'est rien d'exceptionnel. Leur corps n'est pas sans rappeler celui d'un méganium, que l'on aurait étiré afin qu'il soit plus fin. Tout comme eux, ils sont quadrupèdes, avec trois ongles au bout de chaque patte. Leur corps est légèrement rond, d'une rondeur accueillante. Ils ont une queue plus longue cependant, qui se recourbe sur elle-même à son bout. Leur cou est également plus long, bien entendu, si jamais ils veulent atteindre la taille qui est la leur. Ils n'ont pas de collerette, cependant ils ont deux grands voiles autour de la tête et qui descend le long de leur colonne vertébrale. D'aucun sauront reconnaître les voiles légers des amagaras, qui ont à présent bien poussé. Leurs couleurs sont un tout petit peu moins chaudes : jaune à la base, et qui tire vers le bleu à leurs exertémités. Ils sont très larges, et volent derrière eux avec paresse. Tout leur corps est bleu, bien que leur ventre soit plus clair. Ils ont le front presque blanc cependant, avec une pierre précieuse ressemblant à de la glace entre leurs deux grands yeux, bleus également. Ces petites pierres se retrouvent tout le long de leur cou, puis sur leur flanc, et enfin terminent leur course sur leur queue.
Au combat, les dragmaras sont de véritables forces de la nature : ils sont à la fois endurants et puissants sur tous les fronts. Ils le sont tout de même un petit peu plus lorsqu'ils restent hors de portée de leur ennemi, à distance, à projeter des lasers de glace directement à la face de leur ennemi. Si l'acier et les combattants les plus aguerris sauront sans nul doute les maîtriser, et pour cela il faut s'en méfier, peu d'autres pokémons auront cette chance : encore et encore, ils lèvent des blizzards tout en se protégeant eux derrière des murs de lumière difficiles à entamer. Leur technique de la lyophilisation n'est pas à prendre à la légère, car elle peut geler plus d'un ennemi. En dernier recours, ils balanceront des ultralasers, mais cela les fatigue tant et si bien qu'ils seront alors laissés sans défenses. Si jamais ces grands pokémons devaient en venir là et que votre pokémon tenait le coup, ce serait le moment parfait pour les frapper !
Les dragmaras sont cependant des pokémons plutôt sur le versants pacifiques, qui n'aiment pas plus que cela se battre s'ils n'y voient pas de raison. Ils ne rechigneront pas, mais n'auront pas le même enthousiasme que d'autres pokémons à leur place. Ils sont d'un naturel très calme et reposé, et préfèrent errer autour des lacs gelés, ou bien dans les jardins de grandes propriétés que vraiment s'entraîner à la dure. Il leur faut cependant, si vous les domestiquez, de grands espaces pour qu'ils puissent y vivre pleinement, sans se sentir piéger et dépérir. Il est bon de laisser à leur disposition un espace très froids, afin qu'ils ne s'épuisent pas dans des températures modérées. Néanmoins, ils peuvent tenir plus longtemps que les petits amagaras. Leurs cristaux, plus nombreux, sont utilisés pour geler tout ce qu'ils veulent, en ce qu'ils refroidissent l'eau contenue dans l'air. Ainsi, ils peuvent faire baisser significativement la température autour d'eux. Simplement, il ne s'agit pas d'une capacité illimitée, et comme tout le monde ils finissent par fatiguer.
| — # 700 | - NYMPHALI.:
Ce pokémon est un NYMPHALI. Pour certains évoli, l'évolution les mène sur les chemins de la féerie. Toujours quadrupèdes bien entendu, ils ont toujours les grandes oreilles caractéristiques de la famille des évolis. Leur corps est cette fois-ci dans les tons blancs, avec une forte influence du rose, et quelques touches de bleu. Leur fourrure mi-longue est toute duveteuse. Leur corps est plus affiné que celui des évolis, à la manière des noctalis ou des givralis. Seuls le bas de leurs pattes, leurs oreilles et leur queue ne sont pas blancs, de ce blanc qui tire vers le rose, mais d'un rose bien plus franc. Ils ont des genres de rubans qui flottent en permanence autour d'eux, comme mus par des courants d'air imperceptibles. Ils sont blancs, avec une terminaison rose, puis bleue. Ils se nouent en nœuds sur leur tête, et sur leur cou. Ce sont en fait des terminaisons sensorielles, à la manière de gros nerfs. Au-dessus de leur petit museau, deux grands yeux d'un bleu azur profond semble sonder les individus qui les considèrent.
Au combat, les nymphalis préfèrent de loin combattre... de loin. De fait, ils ne sont pas particulièrement prompts au combat, et lorsqu'ils y vont, ils y posent leurs conditions. Les voir se battre au contact est très très rare, et il faut vraiment avoir bien entraîné le pokémon à cela pour qu'il n'y rechigne pas. Cependant, lorsqu'ils en sont capables, ils peuvent faire des vampibaiser absolument redoutables, durant lesquels ils drainent l'énergie de leur adversaire. Le reste du temps, ils imposent leur rythme au combat. Et comme l'on peut s'en douter, il ne s'agit pas d'un rythme nerveux, mais plutôt d'un rythme lent, alangui. Cela peut totalement déstabiliser un bon nombre d'ennemis qui voient le combat comme quelque chose de puissant et rapide. Les plus colériques d'entre eux pourront peut-être même perdre leur moyen, et faire des erreurs face à leurs champs brumeux qui rendront tout cotonneux le terrain. Ils combattent donc le plus souvent de loin, grâce à leur voix enjôleuse et leurs vents féeriques qui sapent les défenses de leurs adversaires. En outre, leur rapport au pouvoir de la lune leur permet de regagner leur énergie lorsque celle-ci est visible dans le ciel. De quoi tourner chèvre.
S'ils n'aiment pas combattre, c'est qu'ils sont des pokémons très pacifiques, autour desquels règne bien souvent une aura de paix et de calme. Ce sont des pokémons paisibles et surtout insouciants, qui parfois ne se rendent pas bien compte des réalités de la vie. En tout cas, de la réalité de la vie des autres, et qui donc peuvent involontairement ne rien faire pour aider. Certains mythes les affilient à la nature, envers laquelle ils seraient bienfaisants. Ils sont très souvent liés à l'élément aérien, en explication de leurs rubans qui flottent au gré d'un vent imperceptible. Ils étaient dans certaines régions les anges gardiens des jeunes filles. Il arrivait apparemment qu'on en procure aux jeunes filles en âge de se marier, afin de les protéger. Aujourd'hui, cette tradition s'est perdue, mais l'on retrouve parfois des rubans et des nœuds similaires aux leurs sur les robes de mariées. Leurs rubans sont d'ailleurs des très bons signes de l'affection qu'un nymphali peut porter à un autre individu. En effet, s'ils quêtent les câlineries tout le temps, toute la journée, et qu'ils se laissent volontiers papouiller par n'importe qui, cela ne veut pas forcément dire qu'ils aiment tout le monde. C'est lorsqu'ils utilisent leurs rubans pour créer un contact que cela prouve une affection d'une force toute particulière. En effet, ce contact signifie pour eux ressentir l'émotion des gens, par vague. Ils sont malgré eux capables d'une empathie très prononcée. Ils peuvent même légèrement influencer les émotions et l'humeur des gens, notamment si celle-ci est trop belliqueuse.
| — # 704 | - MUCUSCULE.:
Ce pokémon est un MUCUSCULE. Oui. Oui, je sais. Non vraiment, je sais. Mais si. Si, les mucuscules sont bien des dragons. Vraiment, non, ce n'est pas la peine d'essayer de négocier. Je sais. Ils sont petits, ils sont ronds, ils sont violets, et surtout ils sont tous mous. Mais vraiment, arrêtez de vous plaindre. Ce sont des dragons. Des dragons constitués en très grande majorité, pour leur partie externe, d'une substance similaire au mucus qui est assez poisseuse. Celle-ci est plus épaisse sur le bas de leur corps, pour des raisons évidentes de non-adhérence au sol. Ces deux parties sont séparées de manière assez nette au centre de leur corps, qui est orné d'une ribambelle de points verts. Ils ont deux antennes sur le haut du crâne, qui leur sert légèrement à s'orienter, mais qui sont surtout des vestiges de leur évolution. Leur visage est très expressif, car très élastique, et se compose sobrement de leurs yeux et d'une grande bouche. Mais comme je vous le disais, l'élasticité fait tout, et compense pour le manque de plus de traits. Tout leur corps est enveloppé d'une fine membrane translucide, qui garde le tout bien accroché ensemble ; un petit peu comme autour du jaune d'un œuf sur le plat.
Au combat, les mucuscules sont très largement considérés comme étant les plus faibles des dragons. Et pour cause, ils le sont effectivement. Certes, ils ne sont pas complètements sans défense ou faiblards comme des pokémons peu taillés pour le combat peuvent l'être ; mais ils ne tiendraient pas bien longtemps dans un combat régulier, au contraire de griknots ou de ptyranidurs. De ce fait, ils préfèrent rester en règle générale à bonne distance des adversaires, du fait de leur faible vitesse et de pouvoir éviter ce qu'ils peuvent. Ils s'arment de patience et trouvent des abris de fortune le temps de trouver le bon angle d'attaque. Il n'est pas rare, non plus, qu'ils déclenchent des averses afin de gagner en potentiel glissade et donc rapidité. Leurs initiatives offensives sont surtout à base d'eau croupie, et s'ils ont beaucoup d'entraînement derrière eux ou beaucoup de talent, de dracosouffles.
Ces pokémons vivent naturellement dans des endroits à la fois humides et sombres, comme des marais ou des grottes. En effet, leur corps peut facilement se dessécher s'ils ne sont pas proprement hydratés, dans la mesure où ils sont composés d'eau dans une encore plus grande proportion que le corps humain. Si votre mucuscule est malade, la première chose à faire, c'est de de les arroser, comme les premières plantes venues. Ça ne soignera jamais d'une maladie grave, mais cela pourra écarter les rhumes et autres angines. Ils peuvent très bien vivre en intérieur. Il faut juste savoir qu'ils ont tendance à être poisseux une fois la journée finie et que la fatigue se fait ressentir. Heureusement, cela se nettoie bien car, encore une fois, ils sont principalement aqueux. Ce sont des herbivores, et ils se nourrissent principalement de feuilles. Rien de trop compliqué de ce côté-là. Plus compliqué, mais pas non plus excessif, c'est leur caractère un petit peu volatile. Ils sont par nature très amicaux, mordillent facilement le bout de vos jeans pour vous montrer qu'ils vous aiment ; mais ils peuvent également être craintifs, boudeur, susceptibles. Rien qu'un petit peu d'attention et de gentillesses ne puisse soulager, heureusement !
| — # 707 | - TROUSSELIN.:
Ce pokémon est un TROUSSELIN. Ces petits pokémons de métal font partie du panthéon féerique. Ils sont de fait des trousseaux de clefs. Ils sont composés d'un anneau circulaire principal qui mesure une vingtaine de centimètres de haut, lourd pourtant, de plus de trois kilos (c'est lourd l'acier !). Cet anneau dépend, au centre, de leur visage en forme de serrure. Comme si cela pouvait être un genre de camouflage. Mais je ne suis pas sûre que les trousselins cherchent réellement à se cacher à côté des serrures, en fait. Ce visage est orné d'une fausse clef sur la tête. Mais bien entendu, sur cet anneau sont disposées de vraies clefs. Elles peuvent très anciennes, et rouillées, comme des clefs flambantes neuves à quatre points. Ils ont la particularité de léviter, ce qui est préférable pour eux vu que sinon ils devraient se traîner par terre, comme ils n'ont pas de pattes.
Au combat, les trousselins n'en ont rien à faire des dragons, mais en même temps, qui voudrait ouvrir un dragon ? (Ouesh, hello muplo, ouvre ta serrure, sésame, tout ça !) Le poison, non plus, ne les affecte pas le moins du monde, dans la mesure où ils n'ont pas de système vénérien. Ils sont cependant extrêmement sensible au feu, qui est capable de faire fondre leurs précieuses clefs. Cela peut être une technique de choix pour leur faire fuir toute forme de combat : menacer leurs clefs. Ils ne sont pas tout à fait endurants, mais sont des combattants tout à fait corrects, robustes. Ils ont l'avantage pour eux de la lévitation, qui au contraire du vol, ne leur coûte pas le moindre effort. Ils sont surtout embêtant une fois sur le terrain car ils peuvent vous verrouiller et vous entraver bon nombre de mouvements, ainsi que vous empêcher de soigner, par anti-soin, vos amis. Leurs sons stridents peuvent aussi être très agaçants, et vous déconcentrer de manière significative.
Petits et avec des clefs, les trousselins sont un petit peu des passes partout. Chaque individu possède des clefs qui lui sont propres, uniques. Aucun trousselin ne ressemble à un autre trousselin. Ils ont en moyenne entre trois et cinq clefs sur eux, mais cela peut varier de manière impressionnante, entre autres avec l'âge et le déroulement de leur vie, selon si celle-ci leur aura fait vivre des expériences bien particulière. Ce sont un petit peu les récolteurs des clefs perdues. Néanmoins, ce sont des pokémons très difficiles, et ils ne récolteront pas tout ce qui passe, loin s'en faut. Au contraire, ils choisissent très soigneusement. Ce sont en outre des pokémons très soigneux de leurs affaires, ils ne perdent quasiment jamais rien. On les retrouve de se fait auprès de personnes qui possèdent des choses qui leurs sont extrêmement chères : les trousselins possèdent cette sensibilité. Ils se trouvent donc souvent avec les gens fortunés, mais bien plus encore avec les enfants et leurs trésors qui valent tout l'or du monde à leurs yeux. Ils sont cependant rarement dans les banques, car ils ont tendance à facilement se déconcentrer et à voleter de-ci, de-là, ce qui est tout sauf bon pour la sécurité. Ce sont donc des trousseaux de clefs que vous ne perdrez jamais. Sauf s'ils fuguent. Mais peu de risque à cela : ce sont des pokémons à la personnalité assez effacée, très douce.
| — # 709 | - DESSELIANDE.:
Ce pokémon est un DESSELIANDE. Ces très grands arbres, sont, étonnamment, également des spectres. C'est moins surprenant si l'on sait qu'ils sont l'évolution des petits brocélômes, qui ont tout des petits fantômes. Leur taille est variable, peut aller du petit arbre d'un mètre cinquante, à beaucoup plus grand s'ils ont de la bouteille. Ils sont composés d'un tronc qui est monté sur des pattes qui sont en nombre variable, car elles correspondent à leurs racines une fois qu'ils s'élèvent de leur terre. Quelques touffes de feuilles se retrouvent sur leur corps, épars. Souvent, ils sont sur leurs têtes et leurs bras. Leurs bras, eux, sont ce que l'on attend comme branches d'arbres. Le plus souvent, ils en ont deux, mais il arrive que certains en aient plus, s'ils arrivent à le gérer. On retrouve leur visage entre les craquements de leur écorce : comme beaucoup de spectres, leur œil unique est une flamme rouge qui brille dans l'obscurité du tronc.
Au combat, ce sont des pokémons équilibrés, qui ont pas mal d'atouts dans leur manche. Ils maîtrisent encore mieux le maléfice sylvain que les petits brôcelomes. Ce sont avant tout des pokémons qui préfèrent attaquer, car ils peuvent se reposer sur la défense très correcte que leur offre leur peau d'écorce. En outre, ils préfèrent attendre que leurs ennemis viennent même au corps-à-corps, car ils ne sont pas très rapides, et c'est plus aisé pour eux de lacérer les ennemis de leurs griffes ombres s'ils sont près. Il faut également faire très attention à chacune de leurs branches, car dès qu'ils en ont l'occasion, ils encorneboisent leurs ennemis contre leurs épines sans la moindre pitié. Le plus simple, c'est encore de sortir vos meilleurs lances-flammes si jamais vous en avez un face à vous.
Les desséliandes sont des pokémons particuliers. Ils vivent souvent dans de vieux bois et forêts. Leur système nerveux est très spécial. Les terminaisons nerveuses qui se trouvent dans leurs racines peuvent se connecter aux réseaux racinaires des autres arbres ; et par la simple force de leur volonté, ils peuvent contrôler les autres arbres qui les entourent. Ils s'élèvent alors comme des protecteurs de leur forêt. Ils ne se gênent pas pour contrôler les autres arbres, afin d'emprisonner (temporairement, j'espère) les personnes qui viennent abîmer leurs bois. Autant dire que les légendes urbaines vont bon train quant à ces pokémons. Cependant, ils restent très amicaux envers ceux qui se perdent seulement dans la forêt, et même envers les pokémons sylvains qui vivent dans leurs écorces, comme des petits pachirisus par exemple. Tout en étant gentils, ils ont aussi naturellement tendance à être autoritaires. Ils préfèrent en général des dresseurs dociles, qui ne s'affirment pas de manière frontale, afin d'être en contrôle. Un desséliande ayant un dresseur affirmé créera sans doute des situations de confrontations qu'il faudra gérer.
| — # 714 | - SONISTRELLE.:
Ce pokémon est un SONISTRELLE. Les sonistrelles sont de petits dragons volants. Tous petits, tous mimis, ils sont les cousins violets et poilus des nosferaptis. Ils possèdent un petit corps sur lequel se pose une très grosse tête. Celle-ci est dotée d'un petit museau et de deux grands yeux jaunes qui semblent toujours vous épier. Mais surtout, sur leur tête, deux très très grandes oreilles surmontées de piques, qui ressemblent plus à des hauts-parleurs qu'à des oreilles. Avec leurs différents pavillons, cela leur laisse une très bonne ouïe, mais aussi une très bonne récupération des ultrasons. Leurs bras sont pourvus de membranes à la fois fine et robuste. Leurs ailes sont ainsi attachées sur leur abdomen. Deux petites pattes postérieures leur assurent une bonne prise en pinçant deux genres de longs doigts raides.
Au combat, bien qu'ils soient des dragons, ils restent faibles face à leur congénères ou face aux fées, mais ce qui les tue tout à fait sont les très basses températures, la glace. Ils sont rapides mais restent encore un petit peu faibles pour des dragons : ce sont des petits, et ils sont souvent un petit peu maladroits. Mieux vaut ne pas trop les forcer d'abord, et les laisser faire ce qu'ils font instinctivement : s'envoler, et attaquer de loin. En effet, un coup physique et ils s'envolent très rapidement dans le décor. Ils choisissent alors d'attaquer avec des ultrasons qui sèment la confusion chez l'ennemi pour ensuite pouvoir se rapprocher pour mieux frapper. Comme ils se battent tout de même de loin, ils frappent surtout grâce à des manipulations des masse d'air : tranch'air, cru-aile, lame d'air, etc. Ils ne se rapprochent vraiment au corps à corps que lorsqu'ils manquent d'énergie et qu'ils tentent de vampiriser celle de leur ennemi.
Les sonistrelles ont pour habitude de vivre dans des grottes sombres et parfois humides, qui les préservent du monde extérieur. Ils ne sortent la plupart du temps que pour chasser. Ces petites chauves-souris se nourrissent principalement de petits insectes qu'ils chassent à proximité des points d'eau : rivières et lacs le plus souvent. Ils se rapprochent de la surface et la longent en rase-motte pour attraper dans leurs pinces leurs proies. Ils ne s'attaquent jamais à des pokémons plus gros qu'eux ou à des humains, sauf s'il devait arriver qu'ils manquent drastiquement de nourriture, auquel cas ils tenteraient de les parasiter. Ce sont des pokémons qui hibernent dès que les températures tombent sous un certain seuil. À l'état sauvage, ils retournent toujours dans la même grotte pour s'y endormir, avec la même colonie, souvent d'une vingtaine d'individus, avec lesquels ils ont hiberné les années précédentes. Cela peut aussi être le début de leur période de gestation. Attention donc, si vous avez capturé un sonistrelle peu avant l'hiver, de bien prendre garde à ne pas le perdre de vue si jamais il venait à partir pour hiberner loin de vous. Il faudra aussi faire attention à leurs ultrasons qui peuvent rendre groggy voire facilement assommer les gens de plus faible constitution. Les sonistrelles sont des pokémons maladroits, notamment car, au contraire de leurs cousins aveugles nosferaptis, ils hésitent encore entre leur ouïe et leur sensibilité aux ultrasons, mais aussi à leur vue : cela leur fait parfois faire des mouvements contradictoire.
| — # 715 | - BRUYVERNE.:
Ce pokémon est un BRUYVERNE. Une fois évolués, ces dragons volants sont d'une envergure qui n'a plus rien de comparable. Ils mesurent en effet plus d'un mètre cinquante, pour presque deux cent livres. De belles bêtes. S'ils sont de la même famille que les nosferaltos et nostenfers, ils n'y ressemblent pourtant pas le moins du monde. Seule la couleur violette sur leur ventre et les extrémités de leurs ailes peut y faire songer. Lorsqu'ils sont sur terre, ils peuvent se tenir debout, car leurs pattes postérieures sont suffisamment développées pour cela. Garnies de trois doigts crochus et griffus, elles s'accrochent dans le sol ou bien sur les branches d'arbre afin de leur offrir une stabilité maximale. Une longue queue osseuse, garnie de deux piques, leur offre aussi une meilleure assise. Elle leur sert également en vol, lorsqu'ils déploient leurs gigantesques ailes. Celles-ci sont noires et violettes sur le dessus, et d'un vert d'eau sur l'intérieur. La membrane de peau qui les remplit est divisée en trois portions, par de légers os. Comme les ptéras, les bruyvernes ont des semblants de mains sur leurs ailes, qui sont garnies des mêmes griffes rouges que leurs pattes arrières. Une crinière blanche orne leur cou et le haut de leur dos, vestige sans doute d'époques plus froides. Enfin, sur leur tête se trouvent deux oreilles qui ont plus la forme d'enceintes, et qui servent en effet de sonar à ces chauves-souris ; comme chez les ramboums, elles émettent des sons. Ils ont de petits yeux jaunes et une dentition fine mais pointue. Ils ont un v rouge en os sur le dessus de leur museau. Au combat, les bruyvernes sont de redoutables chasseurs. Ils ne feront qu'une bouchée de la plupart des adversaires terrestres, pour peu que ceux-ci ne soient pas des monstres énormes, ou bien propices à s'enfouir sous le sol. Ils sont cependant remarquablement faibles aux grands froids. Ils sont dotés d'une très grande rapidité, et leurs vols déclenchent des vents violents sur tout le terrain qui leur permettent de destabiliser leurs adversaires. Ils sont des pokémons polyvalents, qui peuvent très bien alterner entre des attaques à distance, comme des lames d'air avec des attaques directement au contact, comme les dracochocs dont ils aiment tout particulièrement inonder leurs ennemis. Les bruyvernes sont aussi et avant tous des pokémons d'une remarquable intelligence. Ils ont une capacité de discernement très supérieure à la moyenne. Cela se remarque notamment lorsqu'ils chassent. Ce sont des chasseurs nocturnes, à la recherche de viande à se mettre sous la dent. Ils chassent tels des oiseaux de proie, qui tournent de longues fois autour de leurs victimes avant de fondre sur elles par surprise pour les emporter dans les airs jusque dans leurs tanières. Ils nichent d'ailleurs souvent dans des cavernes. Faites bien attention à ne pas rentrer dans des cavernes à flanc de falaise de manière nonchalante ! Vérifiez bien auparavant qu'il n'y a ni de bruyverne, ni de nid. Car, croyez-moi sur parole, j'en ai vu des sacrément violents, et je pense que personne n'a envie de subir un tel sort. Ils sont agressifs par nature, mais apparemment, il est possible de les apprivoiser et de les introduire dans une équipe. Ils sont apparemment utilisés dans les équipes d' infiltration pour leur vols silencieux et leur capacité à délivrer des ultrasons suffisamment fort pour briser la roche, mais toujours inaudible pour l'homme. Ils sont aussi, étrangement, de bon fouisseurs qui fouillent rapidement leurs alentours.
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