Invité
| #388 Boskara | | Type Plante Taille moyenne: 1,1m. Poids moyen: 97 kg. TGV - Tortue à grande verdure.
- Description du pokémon:
Description Physique : La petite tortue a bien grandi. Quatre puissantes pattes, chacune finissant par un gros sabot doré. Sur ces sabots, trois ongles. Son corps est entièrement recouvert d’écailles vertes. Quelques parties de son anatomie sont blindées, protégées par une carapace dorée. Ces parties sont la mâchoire du pokémon, ainsi que tout son dos. Cette carapace blindée peut résister à un Rozan Kô Ryû Ha. Vous l’aurez compris, c’est pas avec ce pokémon que vous ferez de la soupe. Histoire qu’il porte bien son nom, sur sa carapace de ouf, il a deux gros buissons, dans lesquels il cache un peu de tout. Le feuillage étant très dense, certains trafiquants l’utilisent pour faire passer de la drogue.
Comportement en milieu sauvage : Alors autant vous le dire tout de suite, si vous trouvez ce pokémon à l’état sauvage… Bah vous êtes un gros chanceux. Ce pokémon est tellement rare qu’il est quasiment impossible de le trouver dans la nature. Le seul moyen de l’étudier en milieu sauvage, c’est d’aller le voir dans les nombreuses réserves protégées. Il faut deux critères pour trouver un Boskara. Des arbres, et de l’eau. La vie de ce pokémon est simple. Il aime se faire dorer la pilule au soleil, et se baigner. Hakuna matata. Il se nourrit de baies, d’amour et d’eau fraîche.
Comportement une fois domestiqué : Dépendant. Une fois capturé, ce pokémon vous considérera comme sa mère. Il attendra de vous que vous le nourrissiez, laviez, etc… Bref, vous devrez être très attentif et disponible pour lui. Mais, une fois reposé et rassasié, il sera le parfait compagnon des enfants, qui l’utiliseront comme moyen de transport. Lent, certes, mais un moyen de transport tout de même. Il ravira les plus petits, et fera la course avec les plus grands. Evidemment, il perdra. Certains grands cuisiniers l’utilisent comme herbier ambulant, car un peu de tout pousse sur son dos. Thym, ciboulette…
Utilité au combat : Comme tous les pokémon starter, ce pokémon a du potentiel. Une bonne défense, qui fera de lui l’élément intombable de votre équipe. Malheureusement, comme la plupart des pokémon de son type, il n’apprendra presque que des attaques de type plante. Certes, ces attaques ont des effets intéressants (surtout au niveau du soin), mais il suffit de tomber contre un adversaire trop résistant pour annihiler toute l’efficacité de ce pokémon. Heureusement, il changera vite de type…
Évolution De petite tortue mignonne à grosse tortue badass. Pour évoluer, il lui faut une chose : du temps. En effet, ce n’est que quand les pousses de son dos auront bien pris, qu’elles commenceront à muter afin de donner un tronc, puis un arbre. Le bois créera de nouveaux nutriments, qui viendront renforcer la carapace du pokémon. Une fois ces conditions remplies, Boskara aura toutes les cartes en main pour évoluer, et atteindre son stade final.
| #393 Tiplouf | | Type EauTaille moyenne : 40cm. Poids moyen : 5kg. C'est l'histoire d'un pokémon qui entre dans un café, et... Ti plouf ! - Description du pokémon:
Description Physique : Tiplouf est classé entre deux catégories de physionomies de pokémons : les bipèdes et les oiseaux. Il possède donc des caractéristiques propres à chacune de ces classes. Son corps, à l’exception de ses deux pieds, est recouvert d’un fin duvet polaire, totalement imperméable, sur lequel l’eau glisse, lui permettant de prendre de la vitesse dans l’eau. De plus, ce duvet garde parfaitement sa température corporelle à un niveau stable, ce qui fait qu’il peut rester de nombreuses heures dans l’eau gelée sans être engourdi par le froid. Sur terre, il se déplace tout simplement en marchant sur deux petites pattes palmées, qui prennent tout leur intérêt dans l’eau. En effet, combinées aux bras du pokémon, qui font office de nageoires, Tiplouf peut atteindre les 50 km/h dans l’eau. Le contour de la tête de ce pokémon est renforcé d’un duvet plus épais, protégeant sa tête des chocs qui peuvent survenir lorsqu’il nage trop vite, et heurte un glacier, un pokémon, ou le titanic. Enfin, sa seule arme physique est son bec, qui lui sert à picorer ses ennemis, de façon, il faut l’avouer, assez peu efficace.
Comportement en milieu sauvage : Soyons clairs sur une chose, si vous voulez un Tiplouf, vous ne le trouverez pas dans la nature. Ces pokémons vivent dans les grandes zones froides au nord, sur les banquises où ils vivent en harmonie avec les Polarhume. D’un naturel très joueur, les Tiplouf passent leurs journées à jouer ensemble, faisant des courses de vitesse, ou bien faisant de la luge à même leur corps. S’il y a une chose que ce pokémon aime, c’est aller vite. Cette dextérité leur sert entre autre à survivre. Car en effet, dans le grand nord, il est assez rare de trouver de la nourriture, en dehors des quelques poissons. La principale alimentation du Tiplouf, c’est le filet de Remoraid ou de Demanta, les rares espèces que l’on peut trouver dans des eaux aussi froides… Bref, si vous cherchez ce pokémon, il est bien plus simple d’être un jeune dresseur, car il fait partie des classiques que les professeurs pokémons importent afin que les dresseurs aient un fidèle compagnon.
Comportement une fois domestiqué : Si on ne devait choisir que deux adjectifs pour ce pokémon, ils seraient très simples à trouver : fier et fidèle. Son caractère fait qu’il a naturellement un esprit de compétition très fort ancré en lui, et il fera tout pour écraser autant ses adversaires que ses partenaires. Vous possédez un Tiplouf dans votre équipe ? Vous ne serez donc pas surpris en voyant qu’il cherche constamment à être mis en avant, et à montrer à ses collègues qu’il est meilleur qu’eux. Pour ça, il n’hésitera pas à vous désobéir, n’en faire qu’à sa tête. C’est pour ça qu’il faudra être ferme et clair avec lui, et affirmer votre supériorité. Si vous ne faites pas ça, il se peut que votre pokémon devienne de plus en plus capricieux, au point de ne plus du tout vous écouter. Cependant, le sens de l’honneur est fort chez ce pokémon, et si vous êtes en danger, il fera tout son possible pour sauver son dresseur.
Utilité au combat : Tant qu’il est encore un Tiplouf, il n’est pas vraiment fait pour la baston. Certes, son avantage en vitesse fera qu’il sera bon pour esquiver les coups, notamment s’il a l’occasion de combattre en milieu aquatique, mais derrière, il aura beaucoup de mal à envoyer son adversaire au tapis, ne disposant pas d’un grand panel d’attaques. Il pourra envoyer des bubulles à la figure de votre adversaire, mais bon…
Évolution : Heureusement, à force d’entraînement, Tiplouf évoluera. Il sacrifiera une partie de sa vitesse, mais deviendra plus fort et plus résistant, afin de devenir un vrai combattant, et non plus un bébé.
| #394 Prinplouf | | Type EauTaille moyenne : 80cm. Poids moyen : 23kg. Sa pokéball est confortable, c'est un bon appart. - Description du pokémon:
Description Physique : Même après son évolution, Prinplouf reste bloqué entre la catégorie des bipèdes et celle des oiseaux. Son corps s’est allongé, et il se déplace en marchant sur ses deux pattes, qui ressemblent plus à des serres griffues que des pieds de bipèdes. Seul son corps a gardé la même teinte de bleu clair que celle des plumes de Tiplouf, le reste de son plumage (la tête, la queue et les ailes) ayant une teinte bien plus sombre. Le bec du pokémon s’est allongé, et deux crêtes osseuses se trouvent maintenant sur sa tête, servant un peu de protection, de casque. Mais le détail le plus remarquable de cette évolution concerne les membres antérieurs du pokémon. Là où Tiplouf n’avait que deux petits bras, son évolution possède maintenant deux longues ailes. Il est intéressant de noter que les plumes des ailes (et seulement celles des ailes) comportent des atomes de divers métaux dans leur composition, ce qui explique leur résistance, et leur potentiel tranchant. Un Prinplouf dans la nature peut sans souci découper des blocs de glace avec ses ailes, sans les abîmer. Il ne serait pas bête de comparer ces plumes à celles d’un airmure, à un stade d’évolution moins avancé. Il se pourrait donc qu’il y ait un lien entre ces deux espèces.
Comportement en milieu sauvage : Ayant grandi, le Prinplouf a décidé de quitter ses pairs. S’il n’aimait déjà pas perdre alors qu’il n’était qu’un Tiplouf, ce caractère solitaire et narcissique s’est accru avec l’évolution. Ce pokémon passera donc la plupart de son temps à… ne rien faire. A part la pêche pour se nourrir, ce pokémon n’a pas d’activité. Cependant, persuadé d’être le plus grand, le plus beau et le plus fort de son espèce, s’il croise un autre être vivant qui ne soit pas un poisson – donc, qui n’est pas de la nourriture – il le défiera en duel singulier, afin de prouver à l’autre (mais surtout à lui-même) qu’il est vraiment trop fort.
Comportement une fois domestiqué : Pour faire simple et rapide : j’espère que vous avez ce pokémon depuis un moment, de préférence avant son évolution. Je disais dans l’article précédent que ce pokémon était très dur à apprivoiser lorsqu’il est un Tiplouf, et que la situation s’améliore avec le temps. Si vous capturez directement le Prinplouf, c’est quasiment impossible de réussir à le dompter. Il se peut qu’il n’en fasse qu’à sa tête, et qu’il ne vous écoute pas. Ou plutôt qu’il vous écoute, pour faire exactement le contraire de ce que vous lui demandez. Cependant, si vous aviez réussi à apprivoiser le pokémon, son sentiment de fidélité s’en retrouvera renforcé. Il saura qu’il est maintenant plus grand et plus fort – ce qui flattera son ego – et sera persuadé que c’est grâce à vous (ce qui n’est pas vraiment faux). Il sera donc très heureux, et restera un très bon compagnon, tant pour la vie de tous les jours que pour le combat.
Utilité au combat : Ayant beaucoup grandi, le pokémon a perdu une partie de son potentiel d’esquive. Cependant, et ce n’est pas pour lui déplaire, il a beaucoup gagné en puissance pure. Sa capacité à envoyer des jets d’eau à haute pression est accrue, remplaçant les petites bulles du Tiplouf. De plus, les ailes de ce pokémon deviennent une vraie arme, capable à la fois de parer et de porter des coups.
Évolution : Afin d’évoluer, il n’y a pas des tonnes de façons de faire. Prinplouf doit combattre. Ce n’est qu’une fois qu’il aura acquis une grande puissance, et qu’il aura conscience de sa force mais surtout de ses faiblesses, qu’il pourra évoluer, devenant plus puissant, et comblant les failles de sa défense.
| #424 Capidextre | | Type Normal Taille moyenne: 120cm. Poids moyen: 20kg. Capumain, c'est bien. Capidextre, c'est... mieux (je paie 10pk$ pour une rime efficace)
- Description du pokémon:
Description Physique : Bon, vous avez déjà vu un capumain ? Bah capidextre, c’est quasiment pareil, il est recouvert d’une fourrure violette, sauf sur son ventre, ses mains et son visage, où la fourrure est beige. Il possède deux petits bras, sans main au bout, qui lui servent en général à tenir de petits objets. Au bout de deux très courtes pattes postérieures, deux pieds, sur lesquels il se tient. De chaque côté de sa tête, deux grandes oreilles ovales, qui lui permettent de très bien capter les sons environnants. Enfin, la partie de son corps la plus représentative reste sa double queue. Très fines, chacune d’entre elles est surplombée d’une grosse main ronde à trois doigts, ressemblant un peu à des pis d’ecremeuh.
Comportement en milieu sauvage : Ce pokémon vit en général en milieu forestier. Se nourrissant principalement d’insectes, il fait en général le moins possible pour chasser, attendant que la nourriture lui tombe tout cuit dans le bec. Cependant, cela n’arrive que très rarement… Il essaiera donc de voler les humains s’aventurant dans sa forêt, lui tombant dessus de la canopée, afin de s’emparer de ses effets personnels, qui contiendront peut-être à manger. Quand il ne tente pas de manger, il passe son temps à jouer avec ses copains, s’amusant à sauter de branche en branche, utilisant de sa nouvelle queue pour expérimenter de nouvelles acrobaties…
Comportement une fois domestiqué : Tout comme sa pré-évolution, si Capidextre se laisse capturer, c’est principalement parce qu’il sait que dresseur rime avec nourriture à volonté, câlins, jeux, et nourriture à volonté. Dit comme ça, ça sonne comme une situation alléchante. Et c’est le cas. Sérieusement, se laisser entretenir et nourrir à vie, que demander de plus ? Contrairement à beaucoup d’autres espèces (pour ne pas dire toutes ?), le Capidextre le plus heureux est celui que l’on peut retrouver en zoo. En effet, il retrouve (bien qu’artificiellement recréé) son habitat naturel, à savoir le milieu forestier, mais agrémenté de divers jouets, balançoires, mais surtout, de public (qui jette souvent des cacahuètes malgré la p’tite pancarte qui demande de ne pas nourrir les animaux), le pied ! Car il faut savoir que si Capidextre aime faire le singe, sautant dans tous les sens, il adore avoir des gens pour le regarder. Plus il aura de public, plus il prendra de risques, tentant des sauts périlleux. C’est pourquoi on retrouve souvent ce pokémon au cirque, dans des numéros de trapézistes.
Utilité au combat : Que ce soit pour faire le clown ou pour se battre, Capidextre se débrouille ! Sa dextérité (tu crois que le mot vient d’où ? De Capidextre bien sûr, selon le dictionnaire historique d’Alain Rey) n’est plus à prouver, que ce soit sur la terre ou dans les airs, un pokémon aura beaucoup de mal à porter un coup au petit singe. Il esquivera en continu, jusqu’à trouver une faille dans la défense adverse, et fondra sur son ennemi, lui mettant de grosses patates dans la face jusqu’à ce qu’il soit K.O. Son coup spécial ? Faire la toupie, tournant sur lui-même, mettant des coups de queue dans tous les sens. Le tourbilol du Capidextre. (Aussi appelé « Attaque Torgnoles à deux mains ».)
Évolution : A tous les coups, d’ici 200 ans, on aura une nouvelle forme d’évolution de ce pokémon, avec une troisième queue. Wait and see.
| #448 Lucario | | Type Combat/Acier Taille moyenne: 1,2m. Poids moyen: 55kg. La quintessence du combattant.
- Description du pokémon:
Description Physique : Qui a dit que Bob Marley était mort ? En tout cas, s’il devait se réincarner en pokémon, ce serait sûrement en Lucario. Ce pokémon a tout de l’humain, ou presque. Toute sa forme rappelle celle d’un être humain : deux bras, deux jambes, un corps en long… Cependant, quelques différences sont notables. Pour commencer, le pokémon est recouvert d’un pelage fin, bleu, noir et beige. Sous ces poils se cache une peau incroyablement résistante, mêlant tissu organique et acier. Contrairement à la plupart des pokémons possédant des griffes, les siennes ne sont pas au bout de ses doigts, mais carrément sur le dos de ses mains. Sur la tête, on peut retrouver deux oreilles dressées, qui permettent d’entendre les sons à une grande distance. Enfin, derrière sa tête, Lucario possède des espèces de grosses dreadlocks, qui ne présentent aucun intérêt particulier, autre que le style.
Comportement en milieu sauvage : Il est assez rare de rencontrer ce pokémon à l’état sauvage, tout simplement car ce pokémon est, de base, très rare. Avec le temps, la plupart des membres de cette espèce ont été capturés, et leur descendance était donc directement dressée et élevée par l’être humain. Cependant, quelques résistants subsistent, et le moins qu’on puisse dire, c’est que ce pokémon sait s’adapter. N’ayant pas de besoins particuliers, que ce soit au niveau du climat, ou de l’alimentation, le Lucario peut vivre vraiment n’importe où ! Ce qui le caractérise le plus reste sa capacité à sentir les auras, sentant donc les prédateurs et potentiels dangers à l’avance. Mais qu’est-ce que l’aura ? La définition est assez vague. Beaucoup la définissent comme une présence unique et propre à chaque être vivant, que les Lucario arrivent à distinguer. Ainsi, passant par l’aura, le pokémon peut (souvent en devant forcer) avoir accès aux pensées de l’être propriétaire de cette aura. Plus souvent, c’est le pokémon qui communiquera par télépathie, plus qu’il ne lira les pensées. On retrouve le Lucario dans la nature sous tous les schémas. Seul, en couple, en meute… Tout dépend de s’ils s’entendent bien lorsque deux d’entre eux se rencontrent, et s’ils veulent s’unir pour être plus forts.
Comportement une fois domestiqué : S’il vient d’un milieu naturel, le Lucario aura beaucoup de mal à se soumettre à l’autorité d’un être humain, et au fait d’être dans une pokéball, de pouvoir être appelé à la guise de son dresseur… Bref, pour qu’il se développe correctement à vos côtés, il faudra faire preuve de respect, montrer à votre Lucario qu’il n’est pas un objet ou un animal de compagnie, mais bien un compagnon, au bon sens du terme. Si, cependant, il est issu d’un élevage, il aura été habitué à la présence de l’humain (et d’autres pokémons) dès sa naissance, il sera donc beaucoup plus enclin à vivre en communauté. Pour une raison inconnue, ce pokémon est très souvent décrit comme le starter phare des coordinateurs – avec Tarsal, bien évidemment – alors que ce n’est pas du tout là qu’il excelle le plus. Il peut certes être très intéressant en concours, particulièrement grâce à sa maîtrise des auras, mais son domaine de prédilection reste le combat. Cela nous est prouvé par le champion de la ligue Ruven Baldwin, dont un des pokémons principaux est un Lucario chromatique. Lors d’un de ses derniers matches (contre Mikhail Tsekov), c’est clairement grâce à ce pokémon que la différence a été faite…
Utilité au combat : Pour la preuve de la puissance du pokémon, je ne peux que vous rediriger vers le replay du match Baldwin/Tsekov, ou même vers la description détaillée de ma consœur Yulia L. Rohan, gérante du Skilldex. Lucario est un des pokémons les plus adaptés au rôle de combattant mixte. Pouvant jouer aussi bien sur le plan physique que spécial, de par des attaques d’un peu tous les types, et tous types de boosts, Lucario saura comment percer n’importe quelle défense, et ainsi, pulvériser ses adversaires…
Évolution : Selon divers tests menés sur le pokémon, il semblerait que Lucario fasse partie des rares candidats à l’évolution seconde, lorsqu’il entre en contact avec un certain type de roche. Plus d’informations une fois que cela sera confirmé.
| #451 Rapion | | Type Poison/Insecte Taille moyenne: 80cm. Poids moyen: 12 kg. Il fait des p'tits trous, des p'tits trous...
- Description du pokémon:
Description Physique : Vous voyez un accordéon ? Bien, vous avez déjà un aperçu du pokémon. En effet, la partie la plus représentative de ce pokémon est sa queue en accordéon, qui se termine par une boule surmontée de deux crocs. Cette queue est reliée à l’abdomen du pokémon, de forme ovale, d’où partent ses quatre petites pattes. À l’autre bout du corps, une grosse tête (presque aussi grosse que le corps !) blindée d’accessoires. Pour commencer, autour de sa bouche, il possède deux mandibules. Un tout petit peu plus haut, deux disques bleus sur lesquels sont situés les petits yeux du pokémon. Puis, de chaque côté du crâne, deux excroissances sphériques, chacune surmontée d’un croc, tout comme au bout de la queue. Le corps de Rapion est composé de deux couleurs, un bleu violacé clair, et un plus foncé. Cette distinction est liée à l’utilité de la zone. Les parties les plus foncées sont celles qui serviront à générer le poison, tandis que les plus claires contiennent un liquide qui, mélangé au poison, atténuera son effet. Bref, le poison concentré peut sans problème tuer un rattata, mais, bien dosé et dilué, il fera office de poison paralysant. Bref, un pokémon multitâche. Pour ce qui est de l’intelligence du pokémon, il faut savoir que Rapion possède deux cerveaux distincts. Il n’est pourtant pas une entité bicéphale qui se tape dessus, comme un doduo. Les deux cerveaux travaillent en série, un peu comme si on ajoutait un second processeur à un ordinateur. Le pokémon ne sera pas plus intelligent, mais réfléchira beaucoup plus vite !
Comportement en milieu sauvage : Le Rapion sauvage s’adaptera très bien à la plupart des climats. Qu’il fasse chaud ou froid, il pourra se débrouiller pour se faire un terrier, et survivre comme il peut. Pourtant, il préfère (de loin) les milieux désertiques ou marécageux. Le désert, parce qu’il peut s’enfouir dans le sable, et surveiller la proie qui arrive au loin. De là, il lui suffira tout simplement de se jeter sur la pauvre victime, qu’il bloquera avec sa queue, lui injectant son poison jusqu’à ce que la cible arrête de bouger. Il n’aura plus qu’à traîner la proie jusqu’à son antre, pour la dévorer. Dans les marais, c’est la même chose. Le pokémon se cache en bordure de l’eau, et émergera pour aller piquer sa cible.
Comportement une fois domestiqué : Même si vous êtes maintenant là pour le nourrir, Rapion ne perdra pas pour autant ses instincts de chasseur. Le pokémon sera très difficile à adapter à la vie citadine. Il est encore très courant de voir les Rapions de jeunes dresseurs sauter sur de pauvres petits Dedenne ou autre pokémon qui ont l’air tout faibles. Certains dresseurs vont jusqu’à tenir leur Rapion en laisse. C’est dire. Afin d’obtenir plus d’informations sur les Rapion domestiqués, j’ai téléphoné à une de nos abonnées, Noah Grant. Par chance, elle était à ce moment en train de se balader avec son pokémon. Son commentaire était assez singulier. Je la cite : « Mais arrêtez le ! Il va tout bouffer ! » En gros, nourrissez le, souvent, et beaucoup. Et tapez-lui sur les doigts quand il essaie de manger les pokémon de votre petite sœur.
Utilité au combat : Même non évolué, Rapion est un pokémon cool. Il est flexible, rapide, et a des armes partout. Quand même, six dards ou mandibules pouvant paralyser ou empoisonner l’ennemi, c’est classe non ? Pour vous battre, si possible, préférez un terrain escarpé. Le pokémon pourra prendre de la hauteur, afin de bondir sur son adversaire. De là, il le coincera avec sa queue, avant de lui injecter son poison. L’ennemi sera paralysé, et vous n’aurez plus qu’à attendre que le poison mette l’ennemi K .O.
Évolution Une fois qu’il aura assez mangé, poutré d’ennemis, et développé sa capacité à créer du poison, il sera prêt. En général, c’est après un petit moment sans combat, quand il aura stocké un trop plein de poison qu’il pourra évoluer. Et, croyez-moi, le jeu en vaut la chandelle. Vous aurez un pokémon méga badass. Et je vous connais, c’est ce que vous voulez.
| #470 Phyllali | | Type Plante Taille moyenne: 1m. Poids moyen: 26 kg. Eve, au lit. Si ! File au lit !
- Description du pokémon:
Description Physique : On remarque tout de suite que ce pokémon est une évolution d’Evoli. Même si en évoluant, le pokémon a triplé de taille et a perdu sa fourrure, on reconnait la posture du quadrupède. Il aura gardé les mêmes oreilles, qui se sont vues ornées de verdure. Un peu tout son corps en fait. Grâce aux radiations émises par la pierre plante, sa fourrure a été transmutée en verdure. C’est de là qu’il tire son énergie. La photosynthèse. Un peu comme un gros panneau solaire, il accumule l’énergie, afin de pouvoir tenir le coup. Si on comparait le pokémon à une batterie, on pourrait dire qu’il a une autonomie d’une semaine. Ce délai passé, sans soleil, il commence à avoir du mal à tenir. Au fil des années, il aura de plus en plus de bourgeons qui pousseront sur son corps, signe de son âge avancé. Cela lui permettra de stocker de plus en plus d’énergie. Eh oui, contrairement aux humains, le Phyllali devient plus endurant en vieillissant.
Comportement en milieu sauvage : Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Que ce soit par l’utilisation d’une pierre plante, ou par exposition à un certain type de pierre, une roche pleine de mousse, qui aura le même effet que la pierre évolutive, mais plus lentement. Il faudra donc qu’un Evoli vive assez longtemps près de ce rocher pour évoluer. Autant dire que les chances sont minces, bien que cela se soit déjà vu. Du coup, les seuls Phyllali que vous trouverez dans la nature seront surveillés, et en réserve naturelle. Là-bas, ils vivent en société, sans aucun plan de hiérarchie. Tous égaux, ils ne font rien de leur journée, à part glander au soleil. Vivant en réserve, ils sont nourris, et n’ont donc aucun souci à se faire.
Comportement une fois domestiqué : Vous trouverez souvent ce pokémon en clinique. La raison est simple. Grâce à la photosynthèse permanente, ils dégagent de l’oxygène en continu. L’air pur étant parfait pour favoriser la condition des patients traités pour diverses maladies, ce pokémon leur est souvent attribué comme auxiliaire de vie, le temps qu’ils se remettent. C’est un pokémon doux et obéissant, qui obéira toujours aux ordres. Certains l’utilisent aussi pour jardiner. Eh oui, il saura parfaitement s’occuper de vos tomates pendant que vous partirez en vacances !
Utilité au combat : Phyllali, malheureusement, n’échappe pas à la terrible malédiction des pokémon plante. Il se retrouve affublé de nombreuses faiblesses, et ne possède presque que des attaques de son type. En gros, ce n’est pas le pokémon le plus versatile. Et pourtant, il pourra tirer son épingle du jeu en terrain ensoleillé. Dans ces conditions, le pokémon verra sa vitesse accrue, peut-être assez pour prendre l’ascendant sur son adversaire.
| #471 Givrali | | Type Glace Taille moyenne: 80cm. Poids moyen: 26 kg. Vous avez sept Givrali. Un meurt. Qu’avez-vous ? Ci-gît Vrali.
- Description du pokémon:
Description Physique : L’evolition bleue, épisode 2. Après Aquali, voici donc le cousin de glace. Et pourtant, ils ont peu en commun. La peau de ce pokémon est bleu pâle, avec quelques parties renforcées par de la fourrure plus foncée. Sa peau est incroyablement résistante au froid, couplée à une fine couche de graisse très concentrée, l’immunisant totalement aux intempéries de son milieu naturel. Le bas de ses pattes est renforcé, afin de pouvoir marcher dans la neige sans aucun souci. Ses coussinets sont renforcés, afin d’assurer une adhérence parfaite quand il marche sur la glace. Il possède deux longues antennes qui peuvent lui faire cache-œil, afin de le protéger en cas de tempête. Toutes ces parties de fourrure sombre peuvent être hérissées, afin de lui octroyer une carapace puissante.
Comportement en milieu sauvage : Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Que ce soit par l’utilisation d’une pierre glace, ou par exposition à un certain type de pierre, un rocher couvert de givre, qui aura le même effet que la pierre évolutive, mais plus lentement. Il faudra donc qu’un Evoli vive assez longtemps près de ce rocher pour évoluer. Autant dire que les chances sont minces. Mais rien n’est impossible. Contrairement à la plupart des formes d’Evoli, le Givrali sauvage préfère vivre seul. La principale raison est que dans les steppes glacées, bah il est plus simple de vivre seul. Surtout pour se nourrir. La nourriture était compliquée à trouver, le Givrali ne vit que pour sa pomme, sans se soucier des autres, et ira même jusqu’à piller les réserves de nourriture des autres pokémon sauvage qu’il trouvera. S’il doit sacrifier d’autres personnes pour vivre, cela ne lui posera aucun souci. La survie avant tout.
Comportement une fois domestiqué : Comme la plupart des pokémon de type glace, Givrali est surtout utilisé dans l’industrie alimentaire et de la restauration. Il est donc retrouvé dans de grandes usines ou il permet d’assurer une température propice à la conservation des aliments, avec ses partenaires Cadoizo et Blizzi. Il est aussi un pokémon que les barmen adorent. Il peut, grâce à ses extensions capillaires, porter les consommations des clients tout en les rafraichissant. Un gain de temps et d’énergie énorme ! Sinon, une fois domestiqué, il n’essaiera pas de voler la bouffe des autres. Vous le nourrissez, donc il n’aura pas besoin de piller tout ce qui passe. Il compte sur vous. Ne le décevez pas.
Utilité au combat : S’il fait trop chaud, vous pouvez toujours envoyer ce pokémon pour vous rafraichir… Mais sinon… Bah, c’est un peu comme son poto Phyllali. Il fait partie du type glace, donc n’aura que des attaque de type glace, et en plus, pas fameuses. Vraiment, ce pokémon peut avoir plein d’utilités, mais le combat… Très peu pour lui.
| #485 Heatran | | Type Feu/AcierTaille moyenne: 2m. Poids moyen: Très lourd. Il a failli nous rôtir, mais vous en faites pas, on va bien ! - Description du pokémon:
Avant tout, je tiens à préciser que cet article sera volontairement différent de ceux que vous pourrez trouver dans ce pokédex. Pas de description complète, pas de conseils pour cuisiner ce pokémon. Ce que vous lirez ici n’engage que la responsabilité du PhioneDEX, et tout est uniquement basé sur des observations. Il y a quelques semaines, un groupe de scientifiques dont je faisais partie, avec mon associé Jules Gérard, a été appelé afin de résoudre un mystère dans les grands marais de Verchamps. En effet, le climat avait changé du tout au tout, du jour au lendemain. Là où tout n’était que tourbe humide, il n’y avait plus qu’un désert de terre séchée, et une chaleur insoutenable. Et quand nous avons découvert le responsable de ce changement climatique, nous avons été bien surpris.
Nous avons donc eu l’occasion de rencontrer un pokémon de légende : Heatran. Ce pokémon étant composé de lave et de métal en fusion, nous n’avons évidemment pas pu nous approcher autant que nous l’aurions souhaité. Au niveau de son apparence, il ressemble à un gros blob quadrupède d’environ deux mètres de haut ayant une tête composée d’acier (qui étonnamment semblait ne pas fondre… quel est ce métal ?). Les légendes disent que ce pokémon vit en général dans des grottes volcaniques. Cependant, aucun milieu naturel de ce type n’était proche du marais, et malgré nos discussions, il nous a été impossible de définir comment le pokémon avait fait pour arriver ici. S’il s’était déplacé normalement, son passage aurait été remarqué.
L’hypothèse la plus probable était que le pokémon soit passé par le sous-sol. Nous l’avons en effet retrouvé dans un grand cratère brûlé, et il semble peu probable que ce trou ait été creusé par la chute du pokémon, de très haut. Cependant, malgré des relevés géologiques, il nous a été impossible de repérer un quelconque tunnel partant de ce trou. Le mystère reste donc entier.
Nous rassurons cependant les lecteurs, le danger est écarté. Avec l’aide des rangers de Sinnoh, nous avons pu trouver un moyen d’évacuer le pokémon sans danger, jusqu’à un lieu tenu secret, pour éviter que quiconque puisse tenter de s’approcher de lui, pour des raisons évidentes de sécurité.
Si nous en avons l’occasion, nous retournerons étudier ce pokémon, mais cela reste un fait très peu probable, parce que mine de rien, on tient à la vie. Si vous avez des questions complémentaires sur ce qui nous est arrivé dans les marais, n’hésitez pas à nous envoyer un mail, on se fera un plaisir de vous raconter tout ça !
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