Description Physique :
Un petit bipède bleu avec une grande mâchoire. Voilà à quoi ressemble ce pokémon. Deux petites jambes et deux petits bras montés sur un corps tout en hauteur, surmonté par une grande tête et se terminant par une queue. Comme la plupart de ses congénères eau, Kaiminus a la peau d’un bleu aquatique. Il possède une petite bande beige sur le haut de l’abdomen, allant d’un bras à l’autre. La petite queue du pokémon est ornée de piques rouges, n’ayant d’autres utilités que l’esthétisme, et la possibilité d’avoir l’air plus menaçant pour les ennemis. Cependant, ce pokémon aura, la plupart du temps, l’air enjoué, et il sera difficile d’en avoir peur…

Comportement en milieu sauvage :
Un des principaux atouts de Kaiminus est sa mâchoire, qui, incroyablement puissante, lui permet d’exercer une pression telle qu’il lui est possible de croquer un peu tout et n’importe quoi. Vous pensiez qu’on ne trouvait des blocs de béton avec des marques de dents que dans les dessins animés ? Que nenni, justement, Kaiminus en est capable. Autant vous dire que s’il a des soucis de comportement, ce pokémon peut faire des ravages… Heureusement, il préfère vivre avec ses amis sur les berges de petits fleuves, et faire ses bêtises dans l’eau plutôt qu’en ville.

Comportement une fois domestiqué :
C’est là que tout se complique. Vous avez réussi à capturer un Kaiminus, ou on vous en a donné un au sortir de l’œuf ? Il va donc falloir faire, ou refaire toute son éducation, si vous ne voulez pas qu’il vous bouffe tout ce qui lui passe sous la main. Les premières semaines sont décisives, et c’est durant cette période que la plupart des bébés de cette espèce sont abandonnés, par des dresseurs dépassés et désespérés, ne savant plus quoi faire.
Cependant, si la phase de domestication est passée, le plus dur est fait. Vous vous retrouverez avec un pokémon enjoué, toujours prêt à s’amuser, très obéissant. Malgré ce qu’on sait de la dangerosité de ses dents, il peut très bien être engagé comme compagnon pour jeunes enfants, qui ne risquent rien en sa compagnie.

Utilité au combat :
Malgré son monotype eau, cette facette n’est clairement pas la plus exploitée par ce pokémon. Oui, il peut utiliser diverses attaques comme le classique pistolet à O, mais cela ne sera pas très efficace. Son plus grand atout réside dans la force physique de sa mâchoire. Ainsi, tant qu’il n’a pas évolué, cantonnez-vous à des attaques comme morsure ou mâchouille, si vous voulez de l’efficacité.

Évolution :
L’évolution de Kaiminus en Crocrodil est tout simplement déclenchée par sa croissance. C’est en moyenne après une période de trois à six mois que ce pokémon aura la possibilité d’évoluer, s’il a suivi une alimentation assez riche en protéine.

Description Physique :
On prend les mêmes et on recommence ! En quelque sorte. On se retrouve à nouveau avec un bipède bleu, avec une grande mâchoire. Deux petites jambes et deux petits bras montés sur un corps tout en hauteur, surmonté par une grande tête et se terminant par une queue. Les piques rouges qui surplombaient la queue de Kaiminus ont migré. Un se trouve toujours au bout de l’appendice, mais tout le reste a migré vers la tête, formant une grande crête. Le corps de Crocrodil garde en partie le bleu de sa pré-évolution, mais se retrouve parsemé de taches beiges, ne suivant aucun schéma particulier, chaque individu a sa propre identité que l’on peut distinguer via ces mêmes taches. La mâchoire du pokémon est toujours aussi puissante. La principale différence qui s’y trouve est que si la dent rencontre un obstacle trop dur, et qu’elle casse, elle repoussera en moins d’une semaine. C’est la seule partie du pokémon qui puisse se régénérer aussi vite.


Comportement en milieu sauvage :
Cette espèce, dans la nature, est bien plus rare que les Kaiminus. Cela s’explique de par la nature enjouée et innocente de la pré-évolution, qui préférera rester sous sa forme de base, pour être comme ses copains. En effet, lors de l’évolution, non seulement le physique change, mais le caractère aussi. Le pokémon devient plus strict, plus sérieux, et ne jouera plus avec les petits. Pire, même, il aura tendance à être sévère avec eux, et à les brider dans l’amusement.
Car une fois évoluée, cette espèce développe un comportement presque parental. Fini les jeux, Crocrodil passera le plus clair de son temps à chercher de quoi nourrir sa tribu, et la protéger de tout ce qui peut lui arriver. Sans aucun remords si cela sous-entend stopper net une partie de n’importe quel jeu…

Comportement une fois domestiqué :
Une fois capturé, Crocrodil délaissera totalement son rôle de parent, pour prendre celui d’un partenaire. Remarquant bien que son dresseur sera (dans 99% des cas) totalement indépendant, il se contentera de lui obéir, et de l’assister. On fait ici face à une inversion des rôles, le pokémon est ravi d’avoir trouvé quelqu’un de plus fort que lui, pour le protéger. Il sera donc ravi de combattre aux côtés de son humain. C’est là une des seules activités qu’il est pleinement capable d’accomplir dans la vie de tous les jours.

Utilité au combat :
Avec l’âge, les capacités aquatiques de ce pokémon se sont développées. Maîtrisant maintenant des attaques plus puissantes tel que le vibraqua ou le classique hydrocanon, ce pokémon possède la capacité d’attaquer à distance. Cependant, comme Kaiminus, il sera beaucoup plus à l’aise au corps à corps, préférant jouer de sa mâchoire, ou même des griffes qu’il possède maintenant au bout de ses bras.

Évolution :
La condition d’évolution de Crocrodil n’est pas la même que précédemment, pour Kaiminus. Là, plus de rigolade, il faudra faire combattre votre pokémon. Ce n’est qu’après avoir développé sa musculature, son ossature, et assimilé une certaine expérience du combat qu’il pourra, enfin, évoluer et arriver à son stade final.

Description Physique :
Une boule de poils à la fourrure couleur café, avec un anneau blanc sur le ventre (d’autres diront que c’est un donut). Les quatre pattes de ce pokémon sont incroyablement courtes, et ne lui laissent donc pas une grande liberté de mouvement. Au sommet de sa tête, deux longues et fines oreilles, qu’il garde constamment dressées. Enfin, partant du bas de son dos, une longue queue touffue, striée de rayures plus foncées que le reste de son corps.

Comportement en milieu sauvage :
Pokémon méfiant. On pourrait presque même dire paranoïaque. Que ce soit seul, ou en groupe, s’il n’est pas dans un lieu clos (et encore…), il passera son temps à scruter autour de lui, afin de repérer le moindre signe de danger. Si danger il y a, il appelle à l’aide. Afin d’être plus haut perché et de mieux voir, il peut se percher au bout de sa longue queue, et presque doubler sa taille ! Son cri est incroyablement puissant, et peut s’entendre à presque deux kilomètres, parfait pour alerter sa meute. Ou toute autre espèce susceptible de l’aider. En effet, en cas de trouble, Fouinette n’hésite pas à faire équipe avec n’importe quel pokémon, tant que le combat est à son avantage. Sinon, il fuit, parfois même en abandonnant son allié ! Il enroule sa queue autour de lui, et utilise l’attaque roulade, afin de se déplacer plus vite. Car ses petites jambes ne lui permettent pas de courir, tout au plus, il peut sautiller.

Comportement une fois domestiqué :
Soyons clairs, ce n’est pas parce qu’il est capturé, et donc sous la protection d’un dresseur, que Fouinette deviendra un fier et courageux pokémon. Loin de là ! Maintenant qu’il a quelqu’un pour s’occuper de lui, Fouinette passera ses journées à glandouiller. Il comptera sur vous pour les repas, pour le protéger, le brosser, le laver. Bref, Fouinette est un gros assisté. Il faut faire attention, car une fois habitué au luxe, un Fouinette ne peut plus se débrouiller pour quoique ce soit, et, par exemple, si son dresseur part en voyage, il peut mourir de faim, ne sachant pas se débrouiller pour se servir une gamelle de croquettes.

Utilité au combat :
Zéro. Comme précisé ci-dessus, ce pokémon comptera sur vous pour TOUT. Si vous l’envoyez au combat, il fera tout pour être rappelé. D’expérience, le mien commençait par faire le mort, et, quand il comprenait que ce stratagème ne marcherait pas sur moi, il filait vers ma ceinture pour essayer d’envoyer une autre pokéball. Un vrai lâche.

Évolution
Si toutefois vous arrivez à faire combattre votre pokémon, ou le dressez assez bien (ce qui est incroyablement dur), vous arriverez à le pousser à l’évolution en Fouinar. Une fois ce cap passé, tout ira bien, vous aurez fait le plus dur !

Description Physique :
Une des premières choses que l’on remarque quand on compare Fouinar à sa pré-évolution, Fouinette, c’est le physique qui change du tout au tout. D’une petite boule de poils, on passe à un très long pokémon, et très fin. Ce changement de forme lui a permis d’augmenter sa vitesse de façon incroyable. Là où Fouinette se déplaçait très lentement, Fouinar, avec ses pattes puissantes et une forme propice à l’aérodynamisme, peut maintenant se déplacer très rapidement. De couleur crème et sable, ils sont de notoriété publique des as dans l’art du camouflage. Sauf lorsqu’ils sont en milieu forestier. Ou chromatique, auquel cas cela devient beaucoup plus délicat d’être discret tout court. Sauf en milieu maritime, et seulement dans certaines rares situations. D’extrême extrémité.

Comportement en milieu sauvage :
Pokémon peureux. Au niveau de l’environnement, on remarque que ce pokémon préfère dormir en extérieur. Il se creuse un petit habitat, entre le nid et le terrier. L’entrée est incroyablement étroite, afin qu’il soit le seul (ou presque) à pouvoir y entrer, le protégeant ainsi des prédateurs.
Pour son alimentation, Fouinar mange de façon intelligente. Sa baie préférée est la baie pomroz, qui, en plus d’être très nourrissante, permet de mieux encaisser les attaques combat, la seule vraie faiblesse de Fouinar. Ce pokémon est friand des baies de type « tendre », en général. Bien que de petite taille, les Fouinar sont capables de dégager une grande quantité de chaleur qui pourra ravir les plus frileux d’entre vous par de longues soirées d’hiver sans soleil et dans la neige. Hodor, surtout toi. De ce fait, ils sont très recherchés par les esquimaux et les autres industries du textile de tout type pour les fourrures qu’ils peuvent fournir à l’insu de leur plein gré. Heureusement, il y en a beaucoup, sinon ça ressemblerait à un génocide. Mais le fameux Les 101 Fouinette nous permet de remettre les choses en perspective et de sensibiliser la jeunesse à ce fléau problème de chaque instant. Grâce à ce film, les enfants auront compris que plutôt qu’un manteau en fourrure de Fouinar, il faut porter un pull en peau de cul de Keunotor. C’est plus soyeux, et plus écologique. Sauvez un arbre, mangez un Keunotor.

Comportement une fois domestiqué :
Après, si vous renoncez à en faire un plaid, les fourr… Fouinar seront de très bon compagnons une fois que vous aurez pris le temps de les domestiquer. Ce qui n’est finalement pas très compliqué, étant donné leur manque de volonté flagrant. Ce serait même plutôt l’inverse, ils en sont à réclamer des ordres et des croquettes, selon leur humeur, toujours soumise. Ils seront aussi de parfaits baby-sitters (bien qu’il faille quelqu’un pour surveiller le baby-sitter), en jouant avec les enfants à de nombreux jeux comme le hoola-hoop (cerceau de quarante degrés Celsius et trente kilos, toi-même tu sais) ou au twister. Ils sont de fait très souples, et l’on se demande s’ils possèdent vraiment une ossature digne de ce nom. Quoi que, pour le twister, le peu de longueur de pattes qu’ils ont les empêche d’aligner bras-gauche-jaune et bras-droit-vert.
Si vous voulez en trouver un, sachez qu’ils sont très courants dans la nature. Genre, faut courir vite pour les rattraper, mais si vous êtes Usain Bolt, ça passe assez peasy.

Utilité au combat :
Il faut se l’avouer, il n’est pas le plus adapté au combat. Mais entre les mains d’un dresseur stratège, sa vitesse et son attaque assez élevées peuvent sûrement se transformer en un incroyable atout. Il ne faut pas le confondre avec l’atout à la belotte même s’il ressemble à une belette. (« Une quoi ? » me demanderez-vous alors.) Cependant, ils restent tout de même des pokémon d’une utilité toute relative lorsque vous n’avez pas la foi de les élever à devenir des tueurs sanguinaires, ce qui dans leur cas prendrait un certain nombre d’années. Lors, foutez-les sur les plates-bandes du terrains, un pompon dans chaque patte, et hop, ils pourront peut-être au moins relever le moral des troupes.
Article écrit en collaboration avec Sakae Kurami

Description Physique :
Un oiseau, comme on en trouve un peu partout. Ce pokémon, bien qu’ayant deux pattes, n’en utilise qu’une seule à la fois pour se tenir debout. Quand la patte commence à fatiguer, il en change en une fraction de seconde. Sur chacun de ses pieds, il possède quatre doigts se terminant par une griffe, qu’il plante dans le bois ou dans le sol, pour plus d’adhérence. Son corps est une boule d’environ cinquante centimètres de diamètre. Ce corps est recouvert de minuscules plumes, si petites que beaucoup de personnes croient qu’il s’agit en fait de poils. Ces plumes sont de couleur marron, sauf sur la partie avant-inférieure de son corps, où elles sont beiges. Hoothoot possède une paire d’ailes, chacune placée d’un côté du corps. Elles peuvent sembler petites, et inaptes à porter l’oiseau, mais elles sont la partie la plus puissante de ce pokémon. Il possède aussi, entre ses deux yeux, un bec pointu, qu’il utilise pour picorer des baies, ou se défendre contre les petits prédateurs.
Ses yeux sont pénétrants. Injectés de rouge, comme s’il n’avait pas dormi depuis longtemps. De plus, ces yeux sont surmontés d’une sorte de sourcils, qui rappellent les aiguilles d’une horloge.

Comportement en milieu sauvage :
Comme presque tous les pokémon oiseaux de son genre (à savoir Roucool, Nirondelle, Piafabec et autres Poichigeon), Hoothoot vit en groupe. Ils migrent environ tous les deux mois, non pas pour suivre le climat, mais simplement pour changer d’air. C’est un pokémon nomade, et c’est pour cette raison qu’on en trouve à peu près partout, car les innombrables groupes de Hoothoot ne se coordonnent pas pour les migrations, ils font comme ils l’entendent, volant au gré du vent. Leurs seules règles fixes sont qu’ils migrent tous les soixante jours, et qu’ils ne changent pas de groupe. Le sentiment d’appartenance au groupe est très fort chez eux.
Pour se nourrir, ils visent les arbres à baies ainsi que les pokémon insecte, deux types de nourriture qu’ils arrivent à trouver partout où ils vont. Leur nourriture préférée reste les Chenipan et autres Mimigal, faciles à attraper, et qui sortent en toute saison.

Comportement une fois domestiqué :
Beaucoup se servent de ce pokémon comme d’un réveil. En effet, si ses sourcils rappellent des aiguilles, ce n’est pas pour rien. Ce pokémon ayant une très bonne notion du temps, lors de la création des premières horloges, les horlogers décidèrent de faire ressembler les aiguilles aux sourcils de Hoothoot. Quand je dis qu’il a une bonne notion du temps, je devrais préciser que cette maitrise est parfaite. Le pokémon pousse son hululement tous les jours.  Précisément, toutes les 24 heures. S’il rate l’heure de son coucou car il est dans une pokéball, il poussera sa chansonnette au sortir de la ball, et commencera un nouveau cycle de 24h. Ainsi, de nombreux dresseurs utilisent cette technique une journée à l’avance, et laissent leur pokémon à l’air libre, afin qu’il chante à l’heure voulue, pour les réveiller.

Utilité au combat :
Au combat, ce pokémon est faible. S’il ne s’attaque qu’aux petits insectes, c’est qu’il ne peut pas vraiment faire mieux ! Son bec et ses serres ne sont pas encore assez développés pour frapper de façon efficace, et ses ailes trop petites pour envoyer des tornades ou des jets de sable, comme le ferait par exemple un Roucool. Conclusion, soit vous le faites combattre des pokémon très faibles (comme ceux qu’il a l’habitude de chasser pour se nourrir), soit vous l’accompagnez avec un pokémon plus fort, qui pourra le protéger. Une fois évolué, le pokémon sera plus apte à se défendre.

Évolution
Du petit oiseau naîtra un fier et grand hibou. Très rapidement, Hoothoot évoluera en Noarfang, grandissant, gagnant en puissance et en intelligence.

Description Physique :
De larges ailes d’un turquoise sombre. Un corps d’un violet montrant bien son affiliation au type poison. La quintessence du pokémon chauve-souris, en quelque sorte. Bref, qu’est-ce que ce pokémon a de plus que sa préévolution, Nosferalto ? Pas mal de choses. Déjà, le pokémon a pris de l’envergure. Sa paire d’ailes principale est plus petite qu’avant, mais beaucoup plus efficace. La membrane de l’aile est beaucoup plus résistante, lui permettant de battre plus vite des ailes, et de produire plus facilement de puissantes bourrasques. L’articulation reliant cette paire d’ailes au corps est aussi plus flexible, lui permettant de faire pivoter ces ailes à quatre-vingt-dix degrés, lui octroyant en quelque sorte la capacité de vol stationnaire.
Toujours dans l’optique d’amélioration de ses capacités, ses oreilles sont maintenant plus fines, capable d’entendre quasiment n’importe quelle fréquence, qu’elle soit incroyablement haute ou basse. Ses deux crocs ont laissé place à une mâchoire totalement développée. Maintenant, Nostenfer ne se contente plus de planter ses crocs dans ses ennemis pour les vider de leur sang. Il les dévore. Littéralement.
Ses pattes sont devenues plus petites, mais possèdent maintenant trois griffes assez longues et flexibles. Il ne s’en sert cependant pas pour le combat, mais plutôt comme point d’accroche. Il dort à l’envers, accroché aux lampadaires, branches… Bref, ce qu’il trouve.
Enfin, le pokémon a développé une deuxième paire d’ailes, sur la partie inférieure de son corps. Ces dernières peuvent battre beaucoup plus vite que les grandes. En gros, elles servent de turbo. La deuxième utilité de cette paire d’ailes, c’est tout simplement de frapper les ennemis.

Comportement en milieu sauvage :
Résultant d’une évolution peu commune, dont on ne sait pas encore tout, ce pokémon n’est pas trouvable dans la nature. Pour évoluer, Nostenfer a besoin d’un humain, avec qui se lier. Pour le trouver à l’état sauvage, il faudrait donc que le pokémon ait été relâché. Jusqu’ici, les quelques cas de Nostenfer dans la nature sont des pokémons dont le dresseur est décédé. Conclusion, pour avoir ce pokémon, concentrez-vous plutôt sur l’entrainement d’un Nosferalto.

Comportement une fois domestiqué :
Là où Nosferalto avait besoin d’être apprivoisé, Nostenfer s’est bien calmé. Il n’est toujours pas adapté à être le compagnon de jeu des plus petits, mais est sur la bonne voie. Contrairement à ses pré-évolutions, il n’a aucun problème avec le fait de rester hors de sa pokéball – même en plein jour – et volètera sans rechigner autour de vous, lorsque vous vous baladerez.

Utilité au combat :
Quand, dans la description de Nosferalto, nous disions qu’il était très doué pour le combat, nous ne mentions pas. Et Nostenfer est bien plus puissant que ça. Avec ses toutes nouvelles ailes, le pokémon se déplace maintenant sans aucun bruit, et peut donc prendre n’importe quelle proie par surprise tant qu’il n’est pas repéré. Une fois proche de son ennemi, il aura le choix entre plusieurs types de frappe. Doit-il utiliser ses griffes ? Sa mâchoire ? Ses ailes ? L’arsenal du pokémon est bien fourni, autant en attaque qu’en défense.
Ce pokémon est certes dur à obtenir, mais il en vaut la peine.

Description Physique :
A première vue, il n’y a aucun pokémon devant vous. Et pourtant, si vous y regardez de plus près, ces gros bourgeons verts ont l’air étrange. Eh oui. Ce ne sont pas des bourgeons, mais des doigts ! Trois grosses bouboules vertes sur chaque main, qu’il utilise pour agripper les dresseurs insouciants qui passeraient par là. Tout chez lui n’est là que pour copier. Même son nom. La preuve, le nom [Simularbre] a donné le verbe simuler, et le substantif arbre. C’est dire. Il ne vit que pour ça, copier, copier, copier. Ainsi, bien qu’il ne soit composé presque que de roche, il aura la forme et la couleur d’un arbre. Il lui arrivera même de se greffer des bourgeons sur la tête afin d’être plus réaliste. Afin de se camoufler totalement, il plantera ses pieds dans la terre, et ne fera plus rien. Ainsi, il est camouflé.

Comportement en milieu sauvage :
Il attend. Ce pokémon cherchera à occuper des bois proches de la ville. Le paradis pour un Simularbre ? Un jardin botanique. En effet, son passe-temps favori est de se faire prendre pour ce qu’il n’est pas. A savoir, un arbre. Et donc, il ira se planter à la suite d’une rangée d’arbre, et attendra qu’un jardinier vienne l’arroser, ou qu’un enfant veuille lui grimper dessus. Et, une fois l’humain à sa portée, il commencera à pousser des cris (qu’en humain, on pourrait assimiler à un BOUH !), puis partira en courant, fier de sa blague. Il n’aura plus qu’à retrouver un autre endroit où se planter.
Etant presque uniquement composé de roche, Simularbre n’a pas besoin de se nourrir. Quelques nutriments qu’il absorbera ci et là lui suffiront à tenir immobile pendant plusieurs jour si besoin. En effet, une fois en position immobile, il se met en quelque sorte en veille, et n’a donc pas besoin d’énergie pour tenir. Le moindre contact avec lui le réveillera pleinement.

Comportement une fois domestiqué :
Si vous voulez rendre votre Simularbre heureux, il vous faudra un jardin. On pourrait presque inventer ce proverbe : Simularbre en pot… Pas de pot. Vraiment, si vous vivez en appartement, c’est triste à dire, mais gardez-le dans sa pokéball, et sortez-le dès que possible. Là où le pokémon est au top de son potentiel, c’est quand il est auxiliaire paysagiste. Si vous voulez que votre jardin soit super pimp, il vous faut un Simularbre. Il saura parfaitement accorder tout ce que vous voulez, afin de recréer un écosystème pertinent, réaliste, et viable. De base, il cherchera à créer un lieu où il pourra parfaitement se dissimuler.
Mais à part tout l’intérêt de décorateur d’extérieur, ce pokémon n’aura que peu d’intérêt. Comme son passe-temps favori est d’attendre, n’espérez pas en faire un compagnon de jeu, ou un fidèle poto. A la limite, un poteau, mais c’est tout.

Utilité au combat :
Vous voyez un Ramoloss ? Bah c’est à peu près pareil. Simularbre sera résistant, mais ne prendra aucune initiative. Il attendra que ça passe. Grand flemmard devant l’éternel, vous aurez beaucoup de mal à le faire obéir. Et tant bien même il vous écouterait… Lent comme il est, vous aurez beaucoup de mal à le faire toucher sa cible. Mais on ne sait jamais, on dit que l’entraînement paye…

Description Physique :
Dur de se dire que ce truc est un pokémon. Certes, seule la partie supérieure fait penser à une plante, mais tout de même. Surplombant son corps, donc, deux grandes feuilles sortent de sa tête, comme une plante encore en train de germer. Le reste du corps (pour ne pas dire TOUT le corps, parce que bon, les plantes, c’est un peu ses cheveux) est une boule rose. Mais pas une boule rose de type pokémon, comme un Rondoudou, non. C’est plutôt un gros radis, ou navet, à qui on aurait collé des yeux, des oreilles, une bouche, des pattes et une queue. Tout simplement.

Comportement en milieu sauvage :
Dans la nature, on le trouve en groupe. Pourquoi ? Parce qu’un Granivol seul ne peut pas survivre, tout simplement. Ce pokémon fait 500 grammes. Et il vole. Pas besoin de vous faire un dessin, au moindre coup de vent, il s’envole vers d’autres cieux, et n’arrivera jamais à se poser. Et pourtant, en groupe, ce pokémon subsiste. Solidaires, soudés comme un gros bloc, ils arrivent à contrer le vent, volant dans la direction de leur choix. Qui reste plus ou moins indéterminée, parce que le pokémon est stupide. Ah bah ça, avec un demi kilo de masse corporelle, ça laisse peu de marge pour développer le cerveau. Bref, le Granivol… vole. Il ne s’arrête pas pour manger, il suffit qu’il passe sous la pluie pour absorber des nutriments. Si jamais il en manque trop, il peut toujours se planter dans le sol, un peu comme une carotte, et y restera quelques jours, le temps de faire le plein. Suite à quoi il repartira vers de nouvelles aventures.

Comportement une fois domestiqué :
C’est ici le comportement des dresseurs que j’aimerais commenter. Premièrement, qui voudrait avoir ce pokémon ? Il ne peut même pas servir de plante en pot, car il se déterre tout seul dès qu’il est plein d’énergie. En plus, au moindre coup de vent, vous le perdez. Pourquoi ? Le second point est assez étrange. Au fil de mes interviews, j’ai remarqué que beaucoup de dresseurs (pour ne pas dire… presque tous ?) avaient nommé leur Granivol Kocoto. Malgré tous mes efforts, je n’ai pas trouvé de réponse. Les dresseurs eux-mêmes ne semblaient pas savoir pourquoi ils avaient choisi ce nom. Serait-ce un complot ? Une tentative de domination du monde par les Kocoto ? Ou tout simplement, un heureux hasard ?

Utilité au combat :
Nul. Zéro. Creux. Vain. Vide. Superflu. Stérile. Minable. Craignos. Déplorable. Lamentable. Pitoyable. Miteux. Inutile. Ridicule. Navrant. Attristant. Affligeant. Déprimant. Désolant. Pénible. En un mot : Trempette. Cette attaque est, en gros, la seule que fera votre pokémon au combat. Alors oui, bien sûr, il peut en apprendre d’autres. Mais non, il ira toujours utiliser cette attaque inutile. Bref, même avec toute la volonté du monde, ne vous battez pas avec ce pokémon. Pitié. À la limite, mettez-lui une collerette, et jouez au badminton.

Évolution
À force d’être arrosé, de se nourrir de nutriments, de se gorger de soleil, ou de combattre (#lol, grosse marrade.), votre pokémon pourra évoluer. Enfin, oui. Par contre, je vous préviens d’avance. Bien qu’un peu moins con, il restera toujours aussi inutile. Patience, il pourra encore évoluer par la suite. Comment se fait-il que ce pokémon évolue avec de l’amour et de l’eau fraîche ? Parce que c’est un pissenlit. Point final.

Description Physique :
Ce petit pokémon anthropomorphe est recouvert d’une fourrure violette, sauf sur son ventre et son visage, où la fourrure est beige. Il possède deux petits bras, sans main au bout, qui lui servent à frapper. Au bout de deux très courtes pattes postérieures, deux pieds, sur lesquels il se tient. De chaque côté de sa tête, deux grandes oreilles ovales, qui lui permettent de très bien capter les sons environnants. Enfin, la partie de son corps la plus représentative reste sa queue. Très fine, et surplombée d’une grosse main ronde à trois doigts.

Comportement en milieu sauvage :
Le Capumain est un pokémon très sociable, qui vit en horde. Vous les trouverez uniquement en milieu forestier, car il fait son nid dans les arbres, très en hauteur. Il vit dans tous les types d’arbres. Il crée un plancher fait de petit bois, assez solide pour supporter son poids et celui de sa famille. Ainsi, dans les grandes forêts, on trouve des petits villages, peuplés par ces pokémon. Ils se déplacent très rarement sur la terre ferme, utilisant la main au bout de leur queue pour sauter de branche en branche. Un peu comme Tarzan fait avec les lianes, mais en utilisant la queue. Pour se nourrir, pas de souci, l’alimentation de ce pokémon est uniquement composée de fruits, ce qui fait qu’il n’a qu’à tendre le bras dans un arbre pour les attraper. Ainsi, vivant en hauteur, les Capumain évitent toute rencontre avec les prédateurs, comme les Caninos ou les Medhyena.
Certains rares spécimens s’aventurent à vivre plus proche des villes, et vivent en volant de la nourriture dans les poubelles, ou, pour les plus téméraires, directement dans les assiettes sur les terrasses des restaurants.

Comportement une fois domestiqué :
Un parfait compagnon de jeu. Voilà ce qu’est Capumain. Extirpé à sa tribu, il s’habituera très vite au mode de vie urbain, tant qu’on s’occupe de le nourrir, et qu’il a un endroit en hauteur où dormir. Ce pokémon est parfois dressé pour faire de l’aide aux personnes, comme par exemple, porter des charges, les trainant avec leur main. S’il prend confiance en son dresseur, il sera un pokémon très loyal, et ne se posera pas de question pour vous obéir. S’il ne vous obéit pas, appâtez le avec de la nourriture, cela marchera à coup sur.
L’endroit où vous verrez le plus de Capumain restera dans le monde du cirque, où ils peuvent exécuter de nombreux et périlleux numéros de trapézistes.

Utilité au combat :
Son agilité hors pair, couplée à sa petite taille, en font de lui un parfait ennuyeur. Il pourra sans souci utiliser ses quatre pattes pour se mouvoir en toute liberté, passant sous son ennemi, tournant autour, avant de lui assener le coup de grâce d’un puissant coup de poing. Coups dont la puissance pourra être décuplée quand il évoluera…

Évolution
Une fois qu’il aura maitrisé les arcanes du combat, et sera passé maître dans l’art de frapper avec sa queue, Capumain pourra évoluer, gagnant une deuxième main, devenant plus fort, et plus versatile.

Description Physique :
Un Evoli plus long, plus fin, et plus moustachu. En évoluant, la queue du pokémon s’affine, pour devenir plus longue, et en fourche sur son bout. Cette fourche tremble quand un adversaire est sur le point d’attaquer. Comment, me demanderez-vous ? Eh bien tout simplement parce qu’en devenant Mentali, le pokémon a développé des pouvoirs psychiques, qui lui permettent de faire plein de trucs cools, comme prédire les attaques, ou même donner la météo du lendemain. Son corps est entièrement recouvert de fourrure violette, un violet un peu plus clair qu’une tablette de Milka. Les seules variations de couleur sont ses yeux et l’intérieur de ses oreilles qui sont d’un violet plus foncé. Il possède deux moustaches bien fournies, de chaque côté de sa tête, qui lui permettent de se repérer dans l’obscurité afin d’éviter les obstacles. Enfin, il possède un orbe rouge sur son front, qui lui permet d’envoyer ses attaques psychiques.

Comportement en milieu sauvage :
Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Plus précisément, les radiations émises par une pierre soleil.
Le Mentali cherchera avant tout à former un groupe. Qu’il soit constitué uniquement de ses pairs n’est pas une nécessité, il a juste besoin d’une présence. Le Mentali est de nature altruiste, et fera tout pour protéger ses amis. Lors des migrations, il sera toujours celui qui partira en éclaireur, ou qui avertira les pokémon du danger.

Comportement une fois domestiqué :
Domestiqué, ce pokémon n’a pas beaucoup d’utilité. Il vivra comme un banal animal de compagnie, passant ses journées à manger et dormir. Il sera constamment dans les pattes de son dresseur, ou se roulera sur son clavier alors qu’il essaie de travailler. Mais on les pardonne, parce que tout le monde les trouve trop mougnous. A ce propos, le pokémon a eu son heure de gloire sur les internets mondiaux, grâce aux millions de vidéos de ce pokémon qu’on trouve sur la toile. Qu’ils soient en train de jouer du piano, de danser, ou tout simplement d’être mignons, on trouvera Mentali partout. Partout.

Utilité au combat :
Mouais. Il est très doué pour envoyer des attaques psychiques, ça, c’est sûr. Mais son intérêt se limite à ça. Il sera donc utile contre les pokémon où il a l’avantage du type, mais c’est tout. Pouvant anticiper les attaques de son adversaire, il sera très dur à toucher, mais il suffit qu’il se fasse prendre une fois au piège, et c’en sera fini de lui.

Description Physique :
Il n’y a pas grand-chose à dire sur le physique de ce pokémon. Comme toutes les formes évoluées d’Evoli, c’est un quadrupède d’environ un mètre au garrot. Il est noir, ce qui lui a valu d’être stigmatisé. En effet, on lui attribue une réputation de pokémon apportant le malheur. Une grosse queue touffue, tout comme ses deux longues oreilles. Ces deux longs membres sont ornés d’un anneau doré. Il possède cinq autres anneaux d’or. Un sur chaque cuissot, et un autre en plein milieu de son front. La nuit, ces anneaux brillent. Grace à ses yeux rouges, il est nyctalope, et peut donc se mouvoir comme il veut à travers la nuit. Un peu comme Daredevil, mais une meilleure vision.

Comportement en milieu sauvage :
Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Que ce soit par l’utilisation d’une pierre lune, ou par une longue exposition aux rayons lunaires. Bref, c’est pas pratique. Certes, évoluant grâce à la lune, il reste une des evolitions les plus courantes, mais tout de même. Il est toujours plus rare qu’un Keunotor en gros.
Alors déjà, il vit la nuit. Parce qu’il est trop dark. Il vit seul, parce qu’il est trop dark. Il n’accepte pas l’aide des autres hordes de pokémon. Vous devinez pourquoi. Parce qu’il est trop dark. Bref, il est trop dark.

Comportement une fois domestiqué :
Plus que le comportement du pokémon, étudions le comportement du dresseur. La plupart du temps, le dresseur qui possède Noctali aura aussi un Absol, un Zorua, une mèche, mais surtout, leur plus grand bien est un album d’Indochine, dédicacé par tout le groupe. La plupart d’entre eux ont le pull Noctali, afin leur amour de la dark attitude au monde. Monde qu’eux même méprisent, pauvres adolescents incompris par la société.
Mais on trouve d’autres dresseurs qui ont Noctali. Les dresseurs qui ont oublié de rentrer leur Evoli, une fois la nuit tombée. Ou les adeptes du camping.
Souvent, ce pokémon est le seul et maigre lien qui rattache son dresseur à la vie. En effet, le pokémon est souvent le meilleur ami de son dresseur, c’est le seul être vivant qui le comprenne !

Utilité au combat :
Noctali, une fois de plus, est comme son dresseur. L’adolescent qui le possédera sera bien souvent masochiste. Et c’est aussi le cas du pokémon ! En combat, il sera là pour prendre les coups à votre place. Mais il le fera bien ! Entre les abris, les vœux et autres capacités d’entrave, votre adversaire finira par s’arracher les cheveux, et peut-être même déclarer forfait ! Bref, de toutes les évolutions d’Evoli, ce n’est peut-être pas la plus brillante, mais en combat, elle fait son boulot !

Description Physique :
Un grand oiseau de proie tout en métal, voilà ce qu’est Airmure. On pourrait penser qu’il est entièrement fait de fer, mais non. Airmure est un oiseau comme tous les autres, à la différence près qu’une armure de fer s’est développée autour de lui. Mais, au fond de lui-même, ce n’est qu’un gros oiseau, fait de chair et d’os. Ses plumes sont, par contre, bel et bien faites d’acier tranchant. Des archéologues ont retrouvé des outils de toutes sortes confectionnés à partir de plumes d’Airmure. Des scalpels, des épées… Naturellement aiguisées par les vols à plus de 300km/h, les plumes de ce pokémon peuvent trancher à peu près n’importe quoi, dans la limite du raisonnable.
Outre ses ailes de métal aux plumes rouge et argent, le pokémon s’illustre donc par sa grande armure corporelle. Tout l’abdomen, le cou et la tête sont recouverts. Un aileron sur sa tête lui permet un aérodynamisme parfait, pour fendre les airs. La seule partie de son corps à être exposée, c’est sa paire de serres, qui sont donc le point faible du pokémon, dans lequel réside tout son équilibre.

Comportement en milieu sauvage :
Une seule chose intéresse Airmure, le combat. Et pour joindre l’utile à l’agréable, il y a une activité qui lui est toute désignée : la chasse. Ainsi, grand solitaire, Airmure fera son nid dans un endroit regorgeant de gibier, et ne fera rien d’autre de sa journée que dormir et chasser. Chasser, évidemment, pour se nourrir, mais avant tout pour le plaisir. Il n’est pas rare de voir des cadavres de Nidoran ou Fouinette laissés à l’abandon, pour les charognards. Ces pokémons, Airmure les aura chassés pour le plaisir, et n’ayant pas faim, les aura laissés sur place, plutôt que de les emmener pour plus tard. Il saura bien retrouver un autre gibier.

Comportement une fois domestiqué :
Le pokémon aura beaucoup de mal à se faire à la vie avec les humains. Etant le roi de l’indépendance, se faire enfermer dans une pokéball, c’est vraiment pas son truc. Il n’est donc pas rare de voir les Airmure domestiqués développer une forte antipathie envers leur dresseur, qu’ils voient comme un geôlier. Cependant, s’ils se rebelleront dans le comportement, ils n’attaqueront jamais leur dresseur, car un sentiment de loyauté se développe. Si cet humain a réussi à le capturer, c’est qu’il est digne de le contrôler.
Une fois la crise post-capture passée, vous aurez un allié fidèle sur qui compter. Conseil, laissez-le chasser de temps en temps, car si vous le nourrissez vous-même en permanence, il pourrait se vexer, croyant que vous ne le pensez pas assez doué pour aller ramener sa nourriture par lui-même.

Utilité au combat :
Un avion de chasse, voilà ce qu’est ce pokémon. Il possède diverses fonctions bien pratiques. Tout d’abord, il est le pokémon le plus adapté pour miner le terrain, pouvant apprendre des attaques telles que Picots ou Piège de Roc, afin que le pokémon adverse soit blessé dès son arrivée sur le terrain ! Il saura résister aux coups, alliant une défense assez monstrueuse à la capacité Atterrissage, qui lui permettra de se soigner, et repartir comme si de rien n’était.
Sur le plan offensif, sa vitesse lui permet de fondre sans souci sur l’adversaire, et le frapper de ses ailes acérées. Ajoutons des attaques telles que Piqué ou Aeropique, et l’adversaire ne verra rien arriver.
Attention cependant aux attaquants spéciaux, notamment ceux de type feu et électrique, qui sont le plus gros point faible de ce pokémon.

Description Physique :
Elekid, comme son nom l’indique, est un des quelques bébés pokémon. Il ressemble à une boule jaune, possédant des bras, des jambes, et une paire de cornes étranges. Il est recouvert de fourrure, qui se hérisse quand il envoie ou reçoit une attaque électrique. Sur cette fourrure jaune, quelques motifs noirs se retrouvent sur tous les pokémon de cette espèce. Deux rayures sur chaque bras, et un éclair sur le torse. Ses pattes, bien que petites, sont très musclées, et lui permettent donc de courir à une grande vitesse. Ses deux bras sont beaucoup plus larges que ses jambes, et sont juste fixés au torse de façon à ce qu’ils puissent tourner. Enfin, sur sa tête, une paire de cornes rappelant la forme d’une prise électrique, lui permet d’attirer l’électricité jusqu’à lui.

Comportement en milieu sauvage :
Dans la nature, ce pokémon est assez rare. Vous ne pourrez le trouver que dans quelques rares endroits, en général des centrales électriques, ou usines désaffectées, bref, des endroits d’où ils pourront pomper de l’énergie électrique sans risquer d’être interrompus. Les seuls moments durant lesquels ce pokémon sort sont les forts orages. Quand la tempête approche, les Elekid sortent en bande, et se postent sur les lieux les plus susceptibles de recevoir un éclair. Une fois l’éclair reçu, le pokémon retourne à son habitat naturel, dans lequel il pourra partager (ou pas) l’énergie reçue avec ses camarades. Si l’usine, ou tout autre lieu, dans laquelle Elekid vit est en bordure de ville, on pourra trouver le pokémon en train de faire les poubelles, grappillant quelques restes. S’il vit plus dans la nature, il se nourrira de ce qu’il trouve. Baies, légumes, tout ce qui passe et qui est comestible.

Comportement une fois domestiqué :
Ce pokémon s’adapte incroyablement bien à la vie avec un dresseur. En bon bébé, il n’attendait qu’une chose, que quelqu’un le prenne sous son aile. Une fois capturé, il vous faudra donc l’élever patiemment. Si le pokémon comprend que vous êtes aux petits soins pour lui, il vous fera vivre un enfer. Pire qu’un vrai bébé. C’est pourquoi il est conseillé de l’élever avec du bon sens, afin de ne pas en faire une diva capricieuse…
Pour ce qui est de ses utilités, elles sont diverses. En effet, le pokémon est capable de stocker une petite quantité d’électricité, qui peut être bien pratique dans de nombreuses situations. Vous partez en randonnée et vous avez besoin de recharger votre téléphone ? Elekid peut le faire. Vous rentrez chez vous, en vélo, de nuit, et votre dynamo est cassée ? Elekid peut vous éclairer. Seul souci, quand vous gardez ce pokémon en intérieur, il a tendance à essayer de sauter tête la première dans toutes les prises électriques qu’il voit, comme si une force supérieure l’y attirait. Il reste généralement coincé dans trois régions sur six, car les Elekid ne changent pas de tête pour toutes les prises qui existent. Pensez à investir dans des adaptateurs, histoire de vous éviter des histoires embarrassantes.

Utilité au combat :
Vous voulez le faire combattre ? Relisez un peu le début de cette description ! Dans bébé pokémon, vous aviez bien saisi la notion de bébé ? Ce n’est pas une classification, c’est vraiment le principe, Elekid est encore un bébé. Enverriez-vous un bébé se battre contre une escouade de sbires de la Team Rocket ? Je ne pense pas. Eh bien de la même façon, vous n’enverrez pas Elekid au combat. Si toutefois vous y êtes contraints, je ne sais pas trop quoi vous conseiller. A part quelques faibles attaques électriques, ce pokémon n’est pas capable de faire grand-chose. A la limite, si le pokémon en face possède des larges orifices (une grande gueule par exemple, ou autre), en visant bien, Elekid devrait pouvoir s’y insérer, afin de tenter d’électriser son ennemi de l’intérieur. Toutefois, cette technique n’a pas encore été testée. Si vous l’essayez, n’hésitez pas à faire parvenir les résultats via le hashtag #PhioneDEX.

Evolution :
Une fois qu’il aura emmagasiné une quantité suffisante d’électricité, ou qu’il se sera pris un énorme choc électrique, ce pokémon pourra évoluer en Elektek, deuxième maillon de la chaîne tri-évolutive dont fait partie Elekid.