Invité
| #1 Bulbizarre | | Type Plante/PoisonTaille moyenne : 70cm. Poids moyen : 7kg. Prenez-en de la graine. - Description du pokémon:
Description Physique : Bulbizarre, c’est un des endroits où faune et flore se croisent. Si l’union des règnes végétal et animal avait besoin d’un porte-parole, le choix se porterait sans aucun doute sur lui. Rien qu’au niveau de son apparence. C’est un petit quadrupède, possédant beaucoup des caractéristiques des pokémons partageant le même schéma corporel. Quatre pattes possédant chacune un trio de petites griffes, une grande bouche ne contenant que deux canines (qu’il n’utilise quasiment jamais, étant herbivore). Il possède deux oreilles dont la particularité est qu’elles sont fermées. Tout ce qu’entend un Bulbizarre est atténué par une couche de peau, faisant résonner le son avant qu’il n’arrive à ses tympans. Ainsi, ce pokémon vit constamment dans une distorsion sonore, mais cela ne le gêne nullement. Ses yeux lui permettent une très bonne vision de près, au détriment de la vision à distance. Cela s’explique par le fait que ce pokémon vive surtout en forêt, et donc qu’il n’ait que rarement besoin de voir au loin, l’horizon étant souvent obstrué par un buisson ou un arbre. Pour ce qui est de la partie végétale, il faut regarder le dos du pokémon. Si tout le corps de Bulbizarre est intérieurement composé de la même façon que pour presque chaque être humain, avec un cœur, des poumons, etc…, il possède une caractéristique supplémentaire. Un grand bulbe, une grande graine sur son dos, faisant presque la taille du pokémon. Et elle se comporte exactement comme une graine de fleur, ayant besoin d’eau, de soleil et de dioxyde de carbone pour se développer. On pourrait donc penser que comme pour un Parasect, cette plante est un parasite. Or, il n’en est rien. Le pokémon naît avec la graine, et elle est indissociable du corps, car elle possède aussi des caractéristiques animales.
Comportement en milieu sauvage : La graine de Bulbizarre est essentielle à son développement. C’est pourquoi ces troupeaux de pokémons vivent principalement dans la nature. On les retrouve surtout dans les forêts de Kantô, notamment la forêt de Jade, aux alentours d’Argenta. Pour grandir, ce pokémon a besoin d’une symbiose entre ses parties végétale et animale. Pour grandir, en plus de soleil et d’eau, la plante de ce pokémon a besoin d’un apport en fer, apporté par l’afflux de sang du pokémon, qui passe dans la graine. Bulbizarre passe donc le plus clair de son temps à chercher les endroits où le soleil perce la canopée afin de profiter des rayons solaires, pour se faire pousser. Le meilleur endroit pour qu’un Bulbizarre grandisse, c’est une plaine au soleil, loin de la pollution, avec un cours d’eau, et beaucoup d’herbe à manger. Peu violent, ce pokémon n’a aucun souci à vivre en compagnie de ses congénères, et est donc très sociable. Il passe son temps à manger, boire, et dormir. Une vie de pacha, en somme.
Comportement une fois domestiqué : Sorti de son milieu naturel, le Bulbizarre est totalement désorienté. Il vous faudra palier à tout ce qu’il avait dans la forêt, car il ne pourra pas s’en passer. La transition à une alimentation « classique » de pokémon domestiqué ne se fera pas sans mal, et votre pokémon aura beaucoup de mal à manger des croquettes. Veillez à toujours avoir une zone d’herbe non loin, afin de le nourrir… À part ça, il reste un pokémon de la forêt, un pokémon sauvage. Il faudra établir un lien de dominance, afin de montrer à votre Bulbizarre que c’est vous qui commandez, et pas lui. Sinon, il vous rendra la vie impossible. Mais, une fois que ceci sera intégré, vous pourrez compter sur lui, à vie. Quoiqu’il arrive, sans faire d’émules, il sera là. La force tranquille, en somme.
Utilité au combat : N’étant encore qu’un pokémon de premier stade, il est déconseillé de l’utiliser pour des gros combat. Bulbizarre n’a pas encore développé tout son arsenal, et dispose donc de peu d’armes. À part charger, ou attaquer avec ses fouets-lianes, qui sortent de son dos, il ne peut pas faire grand-chose. Comme toujours pour les pokémons non-évolués, attendez de le faire évoluer, afin d’exploiter son plein potentiel.
Évolution : Les Bulbizarre ont deux moyens d’évoluer. Le premier, qui est aussi le plus rare, est un rituel annuel. Tous les ans, les Bulbizarre migrent vers une grande plaine, appelés par un Florizarre dominant. Lors d’une pleine lune, ce dernier chante, et diffuse de puissantes spores, qui, au contact des graines des pré-évolutions, agissent comme un engrais. La plante se développe donc rapidement, et commence à éclore, déclenchant l’évolution. C’est à peu près la même chose, pour la méthode classique d’évolution. Il suffit de prendre soin de son pokémon, comme d’une plante, et à terme, sa fleur s’ouvrira, permettant au pokémon d’évoluer. Cependant, n’utilisez aucun engrais, ou autre produit chimique, cela ne ferait que faire du mal à votre pokémon.
| #2 Herbizarre | | Type Plante/PoisonTaille moyenne : 1m. Poids moyen : 13kg. Dites-le avec des fleurs. - Description du pokémon:
Description Physique : (Pour les informations sur sa préévolution, voir l’article ci-dessus) On prend les mêmes, et on recommence ! Herbizarre est donc la suite logique dans la lignée évolutive de Bulbizarre. Le pokémon a gardé la même morphologie, avec quelques améliorations au niveau de sa croissance. Son corps a évidemment grandi, privilégiant le développement des pattes antérieures. Herbizarre se tient toujours à quatre pattes, mais a maintenant l’avant surélevé. Les pattes postérieures, elles, ont gagné en musculature et en puissance, afin de faciliter la charge. Deux pattes pour la puissance, et deux pour la vélocité, en somme. Toujours herbivore, mais plus axé sur le combat, les canines du pokémon ont poussé, sortant maintenant de la bouche, ostensiblement mises en avant, comme une mise en garde pour d’éventuels prédateurs. Cela peut être assimilé à un « attention mec, je mords ». Afin d’avoir une meilleure perception, les oreilles du pokémon sont maintenant ouvertes, permettant à Herbizarre de découvrir les vrais sons du monde. S’il est, aux premiers abords, perturbé, il s’y fera très vite. Enfin, la partie principale du pokémon, si on peut dire, c’est sa fleur. Sa graine a enfin poussé, et le bulbe a éclos, laissant la fleur se développer à l’air libre. Cependant, elle est encore fermée. Il faudra attendre, tout en entretenant le pokémon, pour qu’elle s’ouvre enfin, et permette l’évolution finale.
Comportement en milieu sauvage : Enhardi par son évolution, le Herbizarre devient baroudeur. Il n’a plus peur de se déplacer, et osera enfin quitter sa prairie. Certes, il lui faudra toujours du soleil en quantité considérable, mais son gros bourgeon fleuri étant rempli de nutriments, il peut passer plusieurs jours sans manger, ou même boire. Cela n’est cependant qu’à faire en cas d’extrême nécessité, car une diète de la sorte peut influer sur le développement de la fleur, et par conséquent, celui du pokémon. Bref, la vie d’un Herbizarre sauvage, c’est l’exploration du monde, pour découvrir la vie avant d’être un bon gros Florizarre.
Comportement une fois domestiqué : Maintenant que vous l’avez fait évoluer, votre pokémon sera encore plus loyal qu’auparavant. Son gain de puissance et de taille lui fait gagner en confiance, et il ne rechignera plus à obéir à vos ordres. Peu importe ce que vous lui demandez, il sait qu’il sera en mesure d’accomplir cette tâche. C’est à ce stade que le pokémon commence à développer un intérêt pour le combat, n’hésitant pas à provoquer tous les pokémons qui passent, que ce soit un Roucool de passage, ou bien le Tauros de la voisine. Herbizarre n’a peur de rien, et ne croit que ce qu’il voit. Très souvent, c’est la période où ce pokémon apprend de ses erreurs…
Utilité au combat : Grâce à l’évolution, notre pokémon est plus puissant sur deux points : Sur le plan physique, la croissance de son corps lui permet d’être plus résistant, sa chair ayant durci, afin de pouvoir encaisser plus facilement des coups. Ses nouvelles pattes lui permettent puissance et vélocité, changeant du tout au tout par rapport à l’étape précédente, durant laquelle Bulbizarre peinait à se déplacer. Enfin, une arme physique supplémentaire : sa bouche. Les canines étant maintenant plus proéminentes, le pokémon peut se battre en mordant son adversaire. Sur le plan des capacités inhérentes au pokémon, tout vient de la fleur. Cette dernière émet diverses poudres, que l’Herbizarre peut projeter à sa guise sur ses adversaires, afin de les endormir, voire les empoisonner. Son arme de prédilection restera le fouet-lianes, bien que maintenant, après une exposition conséquente à la lumière, il peut utiliser un puissant lance-soleil.
Évolution : Le troisième et dernier stade d’évolution, Florizarre, sera plus long à atteindre. En moyenne, il faut deux fois plus de temps pour évoluer en Florizarre qu’il n’en faut pour devenir Herbizarre. Mais il ne faut pas désespérer ni perdre espoir. A force d’entretien, et d’expérience prodiguée par les combats, votre pokémon ne peut que se développer normalement, et, à terme, évoluer.
| #3 Florizarre | | Type Plante/PoisonTaille moyenne : 2m. Poids moyen : 100kg. Votre jardin portatif. - Description du pokémon:
Description Physique : (Pour les informations sur sa préévolution, voir l’article ci-dessus) Petit Herbizarre a bien grandi. Mais genre, beaucoup. Avec l’éclosion de sa fleur, et par conséquent, son évolution, le pokémon a été transformé du tout au tout. Sa taille a quasiment doublé, tandis que son poids a été décuplé. Le pokémon est maintenant beaucoup plus massif, résistant, lourd, bref, le pokémon parfait pour encaisser les coups. Cependant, il est aussi beaucoup plus lent, le poids de sa plante et de son corps pesant sur des pattes restées somme toute assez courtes, ne lui permettant pas une course très rapide. On se retrouve donc avec un gros pokémon, à l’allure d’un batracien, à la peau rugueuse et très épaisse, un peu comme une armure. Cette peau, entre le bleu et le vert, lui permet un camouflage parfait dans les jungles, sa plante étant l’apparat parfait pour parfaire son camouflage, lui donnant une allure de bosquet bien planté. Florizarre n’est, en soi, que la suite logique de sa famille évolutive. Au niveau animal, la plus grosse évolution est la bouche du pokémon, bien plus large qu’avant, et maintenant munie de plusieurs dents pointues. Étant toujours herbivore, ces dents ne sont là qu’à but offensif, pour déchiqueter les potentiels malheureux qui s’attaqueraient au pokémon. Florizarre, ce n’est plus un rigolo, c’est le roi de la jungle, la parfaite symbiose. Sa fleur est maintenant ouverte et totalement développée, ressemblant à un gros palmier sur le dos du pokémon, possédant son propre tronc. Qui dit plus de place, dit plus d’espace de stockage énergétique, et un Florizarre ayant totalement rempli ses réserves en nutriments peut tenir plus d’un mois sans manger !
Comportement en milieu sauvage : Immobile. Contrairement à Herbizarre qui était féru d’exploration, le Florizarre a arrêté de voyager. Ayant évolué, il se trouve maintenant dans une zone qui lui correspond parfaitement, une zone qui a permis son évolution. Et c’est maintenant au tour du pokémon de rendre service à la nature, en devenant le gardien de cet endroit. Reproduisant tout ce qu’il avait connu lorsqu’il n’était rien d’autre qu’un petit Bulbizarre, il va modeler l’écosystème afin de s’y intégrer parfaitement, et pourra, à son tour, accueillir d’autres pokémons, et être leur gardien. Sa vie sera donc seulement celle d’un chef de meute, celle du grand manitou que l’on vient consulter quand on a une question. Et, une fois par an, ce pokémon appellera tous ses congénères, afin de prendre part à une grande cérémonie d’évolution.
Comportement une fois domestiqué : Passif. Si vous avez un Florizarre, vous n’avez que deux options. Soit vous avez un jardin au soleil, dans lequel il pourra passer ses journées à dormir, soit vous le gardez dans sa pokéball. Il ne s’en formalisera pas le moins du monde. La pokéball étant un milieu adapté à la vie du pokémon, il y sera beaucoup mieux que dans un petit enclos minuscule, dans lequel il ne pourra pas bouger. C’est là le défaut du Florizarre. S’il ne combat pas, il ne fera rien, et ne sera pas plus actif qu’une plante d’ornement.
Utilité au combat : Pleinement évolué, ce pokémon révèle toute sa puissance ! Et tout le pouvoir du pokémon, eh bien il vient de sa fleur. C’est grâce à elle, et toute l’énergie qu’elle accumule, Florizarre peut envoyer différentes attaques. Des poudres paralysantes aux jets de poison, en passant par le classique lance-soleil, il dispose d’un éventail d’attaques certes peu varié, mais permettant une puissance de frappe élevée, combinée à une résistance hors norme. En effet, bien qu’étant une plante, sa peau est ignifugée et doublée d’une couche d’isograisse, et il sera donc très résistant au feu, et dans une autre mesure, au gel. Bref, un très bon pokémon pour tout ce qui est du domaine du combat.
| #5 Reptincel | | Type FeuTaille moyenne : 1,1m. Poids moyen : 19kg. Allumer le feu. - Description du pokémon:
Description Physique : Un grand reptile de feu qu’on pourrait totalement imaginer dans Jurassic Park. Nous sommes face à un bipède lézardoïde, que l’on peut imaginer être un chaînon éloigné de l’être humain, qui aurait dérivé lors de l’évolution, avec le temps, vers des caractéristiques propres aux pokémons. On a donc un pokémon à la peau épaisse et rouge brique, possédant trois griffes à chacun de ses quatre membres. La principale caractéristique du pokémon, c’est sa queue, qui se termine par une grosse flamme, quasiment inextinguible. Cependant, si elle venait à s’éteindre, cela aurait des conséquences désastreuses pour le pokémon, pouvant aller jusqu’au décès. Contrairement à Salamèche, Reptincel est totalement taillé pour le combat. Son crâne, en plus d’être très épais en os, pour mettre de puissants coups de crâne, est surmonté d’une corne, qui peut lui assurer un meilleur aérodynamisme, mais surtout une arme supplémentaire. Ses griffes sont acérées, et peuvent déchirer parmi les cuirs les plus résistants. Vous avez une arme de guerre dans votre pokéball. Une des seules choses que ce pokémon doit encore travailler, c’est sa capacité à cracher du feu, encore trop incertaine.
Comportement en milieu sauvage : Ce pokémon, il vaut mieux éviter de le croiser à l’état sauvage. Si le Salamèche sauvage est encore tout choupinou, son évolution, c’est tout le contraire. Reptincel vit pour le combat. Tout ce qu’il croisera, il va le défier, pour tenter de prouver sa supériorité. Que l’ennemi soit faible ou fort, il ne fera aucune distinction, et l’agressera sans sommation. C’est donc une vie de chasseur/prédateur que mène ce pokémon. Il vivra principalement dans des milieux rocheux ou montagneux, et se nourrira uniquement grâce à la chasse. Peu importe sur qui il tombe, sa pauvre victime se retrouvera totalement lacérée, déchiquetée, et dévorée. On peut même noter une certaine once de cruauté chez Reptincel, qui a, lors d’observations, montré un certain sadisme envers ses proies, prenant son temps pour les achever.
Comportement une fois domestiqué : Dresser un Reptincel, c’est un vrai défi. La première chose à faire (et ce n’est pas la plus simple), c’est de lui faire piger que c’est vous le patron, c’est vous qui décidez. Pas lui. Pour réussir à inculquer à ce pokémon une notion d’égalité, voire même d’amitié, il faudra avant tout le mater, lui faire comprendre qu’il n’est plus dans la nature. Une fois cette étape accomplie, tout sera un peu plus simple. Cependant, vous n’arriverez sûrement pas à lui enlever son instinct de chasseur. Si possible, laissez le chasser pour se nourrir, afin qu’il conserve ses capacités de prédateur, qui lui seront bien utiles en combat. Le défaut de ce pokémon, c’est qu’une fois qu’il vous aura juré fidélité, il ne jurera que par vous. Par-là, il faut comprendre qu’il voudra tout faire pour avoir votre approbation, et qu’il n’hésitera pas à se dresser devant quiconque sera trop proche de vous, ennemi, ou petit-ami. Oui, Reptincel est très jaloux et possessif.
Utilité au combat : C’est ici que le pokémon trouve toute son utilité. Des griffes qui lacèrent, une mâchoire qui attrape, un crâne qui défonce tout sur son passage… Couplez ces caractéristiques physiques au fait qu’il puisse cracher un gros jet de flammes, et vous avez un pokémon entièrement taillé pour la baston. Ou pour faire griller des marshmallows.
Évolution : Comment rendre ce pokémon plus fort ? En le rendant plus grand, en lui ajoutant des ailes, et en décuplant sa puissance de feu. Vous obtenez ainsi un Dracaufeu, et par conséquent, un pokémon encore plus pratique et puissant.
| #6 Dracaufeu | | Type Feu/VolTaille moyenne : 1,7m. Poids moyen : 90kg. Le roi du barbecue. - Description du pokémon:
Description Physique : Notre petit lézard a bien grandi, étant maintenant totalement adapté au combat en toute situation, ou presque. Ayant presque doublé de taille, on remarque que notre pokémon a surtout développé une caractéristique : des ailes. Fines mais puissantes, afin de pouvoir faire de puissants mouvements, atteignant une vitesse de presque quarante kilomètres heures, avec une pointe à cent-dix kilomètres heures en piqué. Le pokémon a donc évolué pour être paré au combat. Les ailes, pour esquiver et attaque d’angles insoupçonnés, mais pas que. Tout a été grossi, musclé. Ses jambes font maintenant la taille d’un salamèche, ses griffes sont perçantes. Sa queue a quadruplé de volume, étant maintenant composée d’une grosse couche de muscles, afin d’asséner des coups d’une violence extrême. Pour couronner le tout, la flamme au bout de l’appendice brûle de mille feux, telle Jeanne d’Arc. A part cette croissance sauvage et le développement des ailes, rien de particulier à noter. Ah, si. Malgré son nom et son apparence, Dracaufeu n’est PAS un dragon. Sérieusement, les mecs, faut arrêter.
Comportement en milieu sauvage : De nos jours, dur dur de trouver ce pokémon dans la nature. Les quelques spécimens que vous pourrez trouver sont planqués dans des endroits inaccessibles. Dans des monts volcaniques en activité, principalement. Pas la peine de les chercher en haut d’une grande tour pour aller sauver une belle princesse, l’épouser, avoir plein d’enfants et vivre heureux. Non non non, ça, c’est seulement dans les légendes. A la limite, il y aurait bien la Tour Dragospire d’Unys, mais il y a plus de risques que vous tombiez sur un Drakkarmin. Bref. Un Dracaufeu ne reste jamais longtemps sauvage. Dès qu’un spécimen est repéré, les dresseurs se jettent vers le lieu où il réside afin de le capturer. Tel est le destin des pokémons rares, être traqués, chassés. Et si ce ne sont pas les dresseurs, ce sont les autochtones qui se plaignent. En effet, pour se nourrir, le lézard n’hésite pas à faire des raids en rase-motte dans les champs environnants, piquant pour attraper un Ecremeuh, avant de l’emmener dans son antre pour le dévorer. Un prédateur, oui, mais un prédateur flemmard et malin. Pourquoi chasser dans la forêt, quand on peut se servir dans un troupeau élevé sans conscience du danger ? Voilà à quoi se résume la vie d’un Dracaufeu : chasser, manger, dormir, et essayer de cramer les quelques humains qui viendraient le déranger.
Comportement une fois domestiqué : Tout comme Reptincel, Dracaufeu change du tout au tout en étant capturé. Si vous avez réussi à le capturer, surtout dans cette forme, il vous respectera, se disant que vous êtes super puissant. A partir de là, il vous obéira à peu près normalement. Vous pourrez donc l’utiliser comme combattant, afin de préserver sa nature de gros bourrin, ou bien tout simplement vous en servir comme monture. Il y a même un service de poste qui a été monté, n’utilisant que des Dracaufeu comme messagers. Pourquoi pas. Ce service a fait faillite après qu’en une journée, plus de deux cent kilos de courrier aient brûlé…
Utilité au combat : Plus que postier, ce pokémon est un bon combattant. Griffes, crocs, queue, flammes, gros jets de flammes, que demander de plus ? On a ici une version améliorée de Reptincel, tous ses attributs étant beaucoup plus dangereux qu’avant. Ajoutons à ça l’ajout de la capacité de voler, ce qui lui permet d’equiver plus facilement, ou bien d’attraper son adversaire et de le jeter d’une hauteur assez effrayante… Et nous avons un monstre. En plus, votre adversaire ne saura pas quelles attaques utiliser parce qu’il sera persuadé que votre pokémon est de type dragon alors que non.
Évolution : Oui, oui. Dracaufeu peut évoluer. On a pas trop compris comment, parce que plusieurs types d’évolutions secondes ont été remarqués. Après, je vous donne l’info, mais faudrait qu’on ait un peu plus de preuves, parce que les gens ne l’ont pas vraiment filmé. Certains disent que leur dracaufeu avait un gros pic sur la tête, d’autres disent qu’il est devenu noir ave des grosses moustaches enflammées… A vous de voir ce que vous voulez croire, mais selon moi, il y a pas mal de fake dans l’histoire.
| #13 Aspicot | | Type Insecte/PoisonTaille moyenne: 30cm. Poids moyen: 3,2kg. Pokémon de type "dessous de semelle". Gecko- Description du pokémon:
Description Physique : Un grand ver ressemblant à un collier de perles. C’est une description que l’on pourrait faire du pokémon. Contrairement à la plupart des insectes, Aspicot n’a pas un, mais huit abdomens, reliés par une fine colonne vertébrale, pouvant être tournée dans toutes les directions. Ainsi, le pokémon peut sans souci s’étendre de tout son long, ou se mettre en boule. Sous chacun des sept abdomens secondaires, une paire de petites pattes, permettant à Aspicot d’être extrêmement mobile. La plupart des organes du pokémon sont situés dans son abdomen principal, qui lui fait office de tête. Sur cette tête, trois éléments bien distincts. Premièrement, un gros nez en truffe, de couleur rose. Malgré la taille de son organe olfactif, l’odorat du pokémon n’est pas très développé, et il ne lui sert au final qu’à amortir les coups, par exemple quand il se déplace de nuit et qu’il se cogne contre un arbre. Ensuite, ses yeux. Ici, rien d’exceptionnel. L’Aspicot à une vue moyenne, il ne verra pas vraiment bien au-delà des quinze mètres. Il peut se dresser sur sa queue ou contre un arbre afin de s’élever, pour pouvoir, peut-être, un peu mieux voir. Troisièmement, son dard. C’est une des parties les plus importantes de son corps. S’il se fait couper le dard, ou que ce dernier est trop endommagé, le pokémon ne se remettra pas de ses blessures, et mourra dans l’heure. Mais surtout, ce dard est son seul et unique moyen de défense. Tout comme le dard secondaire situé au bout de sa queue, il est incroyablement venimeux.
Comportement en milieu sauvage : L’Aspicot vit sa vie. Du moins, il essaie. Ce pokémon étant tout en bas de la chaîne alimentaire, il vit au jour le jour, sachant que le moindre raid de Piafabec, ou tout oiseau lui sera fatal. Les Aspicots vivent principalement en milieu forestier, faisant leur nid dans les arbres ou les fourrés. Tout endroit touffu, à l’abri des oiseaux, est susceptible de cacher des Aspicots. Pour ce qui est de l’alimentation, il se nourrit de feuilles. Peu importes lesquelles, tant qu’elles sont assez concentrées en chlorophylle. Il préfère vivre en groupe. Car si un oiseau attaque, pendant qu’un se fait becqueter, les autres peuvent essayer de fuir…
Comportement une fois domestiqué : Aspicot aime être capturé par un dresseur. Tout simplement parce qu’une fois domestiqué, l’humain lui apportera la protection nécessaire à son développement, et de la nourriture. Domestiqué, ce pokémon peut être utilisé pour la création d’antidotes. Son venin a beau être puissant, bien utilisé, il peut faire des merveilles. Ainsi, ce venin est utilisé dans la composition de nombreux remèdes pokémon, comme l’antidote, ou le total soin.
Utilité au combat : Presqu’aucune. Au combat, un pokémon n’ayant pas atteint son stade final d’évolution sera forcément désavantagé. Toutefois, on retrouve souvent ce pokémon utilisé par les jeunes garçons, en général scouts. Passant leurs journées dans les forêts, ils capturent le plus d’insectes possible, et se battent entre eux. Conclusion, à moins que son adversaire soit à peu près au même niveau que lui, et ait une faiblesse de type, Aspicot n’est pas le meilleur pokémon, privilégiez un pokémon évolué.
Evolution : Ce pokémon étant de type insecte, il partage une caractéristique commune de ce type, il évolue vite, et bien. La famille Aspicot est composée de trois stades d’évolution. Aspicot, le stade de base. Une fois qu’il a emmagasiné assez d’énergie évolutive, il se transforme en Coconfort. De cette phase, il patiente, jusqu’à ce que son organisme ait fini de se développer. A ce moment, un Dardargnan sortira du cocon.
| #14 Coconfort | | Type Insecte/PoisonTaille moyenne: 60cm. Poids moyen: 10kg. C'est le plus fort des cocons. - Description du pokémon:
Description Physique : Coconfort, le pokémon… Cocon. Comme l’indique son nom, c’est la forme que prend l’Aspicot, après sa première évolution. On passe de la forme de chenille à une forme ovale et allongée. La première chose que l’on remarque est qu’en évoluant, le pokémon perd ses pattes. Il lui est donc presqu’impossible de se déplacer. Il faut savoir qu’en fait, Coconfort dispose de toutes nouvelles pattes, minuscules, sous son corps. Afin de se déplacer avec plus d’aisance, ces excroissances font un mouvement circulaire, un peu comme si ce pokémon se déplaçait sur chenilles. En évoluant, il devient plus grand et large, mais surtout, la fine peau du ver devient une cuirasse incroyablement dure. Très peu de choses arrivent à la percer.
Comportement en milieu sauvage : Une fois évolué, Coconfort se déplace lentement, très lentement, pour s’accrocher dans un arbre. Une fois cette lourde tâche accomplie (le pokémon peut parfois mettre une journée entière pour parcourir quelques mètres), Coconfort attend. Son heure viendra. Dans son armure, il n’a pas besoin de se nourrir. Il absorbe des nutriments directement à partir des éléments constituant son cocon
Comportement une fois domestiqué : Une fois domestiqué, Coconfort attend. Être élevé par un dresseur ne le rendra pas plus puissant. La principale différence est que dans sa pokéball, il a beaucoup moins de chances de se faire attaquer par un pokémon oiseau. Coconfort attend. Son heure viendra. Patientez, bientôt, vous aurez un bon pokémon. Pourquoi ne pas utiliser le SPV du Phione DEX afin de le faire évoluer plus vite ? Au niveau alimentaire, pas de surprise, le Coconfort se nourrit de baies Cobaba. En en ayant une quantité suffisante dans leur système, ils peuvent résister de façon plus efficace aux attaques des prédateurs aériens. Mais ce n’est pas pour autant qu’ils arriveront à gagner un combat, du moins, pas avant d’avoir évolué.
Utilité au combat : Avec une vitesse pareille, me direz-vous, impossible de se battre ! Eh bien sachez que vous avez raison. En évoluant, l’Aspicot sacrifie ses capacités d’attaque et de vitesse, afin d’augmenter sa constitution. Le pokémon obtient aussi l’attaque Armure, qui lui permet de se protéger sans avoir besoin de bouger. Pour gagner un combat avec un Coconfort, la meilleure solution reste… D’avoir un autre pokémon. Car même s’il deviendra un fier et puissant pokémon, il n’est pour le moment capable que de s’accrocher à un arbre, et de se cacher sous les feuilles. Son heure viendra. Pour avoir plus d’informations, j’ai passé un coup de fil à mon consultant stratégique, le Sergent Stegan Leggs. Voici sa réponse, quand je lui ai demandé de me parler de l’utilité stratégique de Coconfort : "Coconfort... A moins de lui scotcher un bâton de TNT sur le dos et de vous en servir comme grenade, je vois pas trop quelle utilité il pourrait avoir. Sérieusement. On parle d'un COCON. Même en tant qu'aspicot, il avait au moins le potentiel d'une fléchette empoisonnée. Mais là... Un presse-papier? Votre chef d'escouade serait foutu de vous dire qu'il n'est pas règlementaire."
Evolution : Pour évoluer en Coconfort, Aspicot utilise son attaque sécretion, parfois pendant plusieurs minutes consécutives, afin de se confectionner un cocon autour de lui, pour se protéger. Puis, une fois ce cocon créé, le pokémon entre en stase, et peut évoluer. Après quelques jours d’incubation, le pokémon atteint sa forme finale, Dardargnan.
| #15 Dardargnan | | Type Insecte/ PoisonTaille moyenne : 1m. Poids moyen : 30kg. Le quatrième mousquetaire. - Description du pokémon:
Description Physique : Dardargnan, le pokémon guépoison. Enfin sorti de son cocon, ce pokémon a bien changé. Pour commencer, il retrouve des membres. Une paire de pattes inférieures, qu’il n’utilise pas souvent, et qui lui sert plus à se stabiliser qu’autre chose. A peu près sur le même axe, un peu plus courtes, une autre paire de pattes, semblable à des bras, qui se terminent par des puissants dards. Longs d’une trentaine de centimètres, ils servent plus à percer qu’à empoisonner. En effet, le poison injecté par ces armes n’est pas létal, mais sert à paralyser. Une fois touchée, la cible n’a plus la possibilité de se déplacer. Le pokémon a la possibilité de décomposer ses dards en des centaines de petits morceaux, et de les éjecter, afin de réaliser l’attaque Dard-Nuée. Contrairement à Aspicot, qui meut si son dard est endommagé, celui de Dardargnan se reconstitue de lui-même, et très rapidement. Ceci n’est valable que pour les deux principaux. Au bout de son abdomen, on trouve un troisième dard, plus puissant. Celui-ci ne se détache pas, et sert plutôt à porter le coup fatal. Son poison est un dérivé plus concentré de celui qu’utilisait Aspicot. Cela va sans dire, ce poison est létal. Deux paires d’ailes. Voilà le principal atout qu’a gagné Dardargnan. Finie, la phase d’immobilisation, le pokémon est maintenant libre de se déplacer, à toute vitesse. Ses ailes battent en mouvement décalé, ce qui permet de gagner en vitesse. C’est ce phénomène qui produit le gros bourdonnement quand il vole. Le pokémon a une vue perçante, et ses yeux sont recouverts d’une membrane transparente, permettant de se protéger du vent, lors des vols à grande vitesse. Enfin, il se voit doté d’une paire d’antennes, qui servent de récepteurs sensoriels. Grâce à ces organes, il peut capter les vibrations qui l’entourent, pour mieux cerner son environnement.
Comportement en milieu sauvage : Ce pokémon est incroyablement agressif. Il a un instinct de meute, et vit pour défendre son territoire, et ses compatriotes. Bien souvent, là où vous trouverez des Dardargnan, il y aura beaucoup d’Aspicot et de Coconfort, placés sous leur protection. Un faux pas, et vous vous retrouverez poursuivi par une horde d’insectes volants, prêts à tout pour vous chasser. Ils n’hésitent pas à tuer les prédateurs, mais pour une raison inconnue, sont plus cléments avec les humains, leur injectant seulement un poison paralysant, afin de leur faire comprendre qu’il ne faut pas revenir. Ce sont généralement les Dardargnan qui partent en chasse de nourriture pour les plus jeunes de la communauté, soit parce qu’ils ne savent pas se défendre (Aspicot), soit parce qu’ils ne peuvent pas se déplacer (Coconfort).
Comportement une fois domestiqué : Domestiqué, Dardargnan garde son tempérament agressif. Mais ce n’est pas pour autant qu’il n’écoutera pas son dresseur. Tout comme il protégeait ses petits dans la nature, le pokémon considère maintenant le dresseur comme son protégé. Il sera donc incroyablement obéissant, n’hésitant pas à se mettre en danger pour faire plaisir à son dresseur. Ce pokémon à de nombreuses utilités. Certains l’utilisent dans les métiers de la construction, tirant l’avantage des deux dards infiniment pointus, comme outil de percement. D’autres l’utilisent comme coursier, afin de transporter des petits paquets sur de courtes distances. Bref, bien que principalement taillé pour le combat, Dardargnan a su s’adapter à la vie avec les humains.
Utilité au combat : Avec ses trois dards empoisonnés, et sa grande vitesse, sur le papier, Dardargnan est une bête de combat. Mais dans la réalité, c’est assez différent. Les pokémon de type insecte, à part quelques exceptions, ont du mal à tenir le combat. La principale faiblesse de ce pokémon réside dans sa défense, largement inférieure à la moyenne. Rajoutons à ça des faiblesses à des types plus que courant, comme le feu, et on obtient un pokémon qui n’est pas adapté à la plupart des situations. Mais tout n’est pas noir. Ayant accès à des attaques de différents types, et très prisées, telles que Pics Toxik, ou Poursuite, pour ne citer qu’elles, le pokémon pourrait tirer son épingle du jeu. Son attaque est correcte, et bien utilisé, le pokémon pourrait réserver des surprises… .
| #16 Roucool | | Type Normal/VolTaille moyenne: 30cm. Poids moyen: 2kg. Never gonna give you up. Rick Astley - Description du pokémon:
Description Physique : Un petit oiseau. Voilà la description qui colle le mieux au pokémon. Rien de bien particulier. Un volatile classique, au plumage alliant la couleur du sable à celle de la terre. Deux serres, chacune dotée de trois griffes, qui intimident plus qu’elles ne font de dégâts. Enfin, un bec pointu, assez résistant, mais pas assez puissant pour faire mal.
Comportement en milieu sauvage : Afin de compenser sa non-puissance, pour vivre de façon plus sûre, le Roucool vit en meute. Il est très commun, et on le retrouve un peu partout, même hors de Kanto. Il est donc courant de voir des groupes de Roucool dans le ciel, en migration. En temps normal, ce pokémon vit surtout en forêt, ou dans tout autre endroit à la végétation dense, et ce, pour deux raisons. Premièrement, Roucool est phobique de l’orage. Un simple coup de tonnerre peut mettre ce pokémon dans un état de peur incontrôlable. S’il est à l’abri, sous un feuillage dense, le son et l’éclat lumineux seront réduits, laissant le pokémon penser qu’il est dans un endroit sûr. La seconde raison est qu’en forêt, on trouve de nombreux pokémon insectes, tels qu’Aspicot, Chenipotte, Lépidonille… Le Roucool sauvage se nourissant presqu’uniquement d’insectes, c’est donc tout naturellement qu’il cherche à vivre avec son garde-manger à portée de bec.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon étant assez faible (car, rappelons-le, il n’est que le premier stade d’une chaîne tri-évolutive), il est très souvent le compagnon de jeu des plus jeunes, ou des dresseurs en herbe. Roucool s’adapte très vite à la vie en compagnie des humains. D’un esprit de groupe très fort, il passe à une totale dépendance envers son dresseur. Une fois domestiqué, un Roucool ne saurait retourner à la vie sauvage. S’adaptant parfaitement à la vie urbaine, à force de manger de la nourriture donnée par son dresseur, l’oiseau perd son instinct naturel pour chasser. Avec les humains, ce pokémon a, en général, deux rôles. Premièrement, il est le pokémon le plus utilisé pour les transferts de courrier. Etant très intelligent, et ayant une parfaite mémoire des gens et des lieux, ce pokémon volera droit vers le destinataire de son courrier, le délivrant en un temps record. La seconde utilisation de ce pokémon est celle faite par les dresseurs, afin de combattre.
Utilité au combat : On va pas se voiler la face, Roucool, c’est pas le meilleur choix pour combattre. En général, ce pokémon n’est utilisé que par les jeunes dresseurs, qui n’ont que des pokémon faibles. Il a deux attaques, qu’il utilisera presqu’à chaque fois : le jet de sable, s’il combat au sol. Pour cela, il bat des ailes très fort en direction de son ennemi, afin de lui envoyer du sable dans les yeux pour l’aveugler. S’il se bat dans les airs, il emploiera à peu près la même technique, mais le résultat sera l’attaque tornade. L’air brassé viendra s’écraser sur l’ennemi, afin de le repousser. Malheureusement, étant de type vol, Roucool possède plusieurs faiblesses à des types d’attaque très communs, tels que glace et électrik. Seul réconfort de ce type, une immunité aux attaques sol.
Evolution : Le point positif, avec Roucool, c’est qu’il évolue vite, et bien ! En effet, après quelques combats menés, votre Roucool pourra évoluer en Roucoups. Ce ne sera que le deuxième maillon de la chaîne évolutive, mais il sera déjà un peu plus utile en combat !
| #17 Roucoups | | Type Normal/VolTaille moyenne : 1,1m. Poids moyen : 30kg. Ne le prenez pas pour un pigeon. - Description du pokémon:
Description Physique : En évoluant, Roucoups est devenu bien plus majestueux. Sa taille a presque quadruplé. Son corps garde les deux couleurs dominantes du Roucool, le blanc presque sablé, et le marron clair. Ses serres et don bec ont gagné en dureté, et sont maintenant plus piquant/tranchantes. Le pokémon possède maintenant une crête rosée sur la tête, ainsi qu’une queue aux plumes bicolore, rouges et jaunes. En bordure de ses yeux, deux marques noires. Sur un Roucoups, les couleurs sont bien distinctes. La partie intérieure des ailes et du corps est blanche, tandis que l’autre côté est marron.
Comportement en milieu sauvage : Une fois évolué, le Roucoups commencera à voler de ses propres ailes. Etant plus imposant, le pokémon saura faire fuir les prédateurs sans avoir besoin de sa tribu. Il commencera donc à vivre en solitaire, pendant la moitié de l’année. A ces moments, vous pourrez le trouver à peu près partout. Forêts, villes, littoraux… Tant qu’il y a des pokémon insectes, ou poissons dans le coin. Mais une fois les mois d’hiver approchant, il sera beaucoup plus compliqué de trouver le volatile. Il migre, en général, vers le mois d’octobre, vers d’autres régions, principalement Kalos et Hoenn, où le climat hivernal est plus doux. Le Roucoups sauvage reviendra à Kanto avec le redoux, vers le mois de mars.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon est très docile. Prenant confiance en lui, une fois en compagnie d’un dresseur, il commence à devenir autonome, n’ayant plus besoin de son dresseur en permanence pour se nourrir. Toutefois, il restera tout à fait loyal envers son dresseur, n’hésitant pas à voler jusqu’au bout du monde si on lui demande. Avec les humains, ce pokémon a, en général, deux rôles. Premièrement, il est le pokémon le plus utilisé pour les transferts de courrier. Etant très intelligent, et ayant une parfaite mémoire des gens et des lieux, ce pokémon volera droit vers le destinataire de son courrier, le délivrant en un temps record. Plus grand que Roucool, Roucoups sera surtout utilisé pour délivrer les paquets. La seconde utilisation de ce pokémon est celle faite par les dresseurs, afin de combattre.
Utilité au combat : Contrairement à sa pré-évolution, Roucoups est taillé pour le combat. Il utilisera toujours les mêmes techniques qu’auparavant, mais de façon beaucoup plus efficace. Avec ses ailes plus puissantes, il peut maintenant envoyer des attaques beaucoup plus efficaces, comme Cru-Aile, ou même Cyclone. Etant assez courant, de nombreux dresseurs utilisent ce pokémon. Pour ne citer que lui, le champion d’arène de Mauville, Johto, Albert, utilise un Roucoups.
Evolution : Une fois bien entrainé, Roucoups pourra atteindre son stade final d’évolution, Roucarnage. Pour le faire évoluer, aucune condition particulière. Au bout d’un certain âge, et après avoir été suffisamment entraîné, Roucoups évoluera.
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#20 Rattatac | | Type NormalTaille moyenne : 70cm. Poids moyen : 18kg Après Mars Attack… Rat Attack. - Description du pokémon:
Description Physique : Une grosse bouboule de poils avec des dents. Voilà la façon la plus rapide de décrire ce pokémon. Il possède quatre pattes, deux antérieures, deux postérieures, ces dernières étant plus larges, afin de se déplacer. Chacune d’entre elles possède trois griffes perçantes. Sa longue queue (presque aussi longue que lui !) lui permet de fouetter efficacement ses ennemis. La dernière pièce de son arsenal, sûrement la plus dévastatrice, est sa paire d’incisives. Géantes et tranchantes, ce sont ses armes favorites. Il possède deux grandes oreilles, ainsi qu’une paire de longues moustaches, qui sont ses capteurs sensoriels. S’il se les fait couper, il deviendra impossible de se repérer.
Comportement en milieu sauvage : Les Rattatac sont partout. En montagne, dans les rivières, les forêts. Cette espèce est une des plus diversifiées que vous pourrez trouver. Aussi, il est assez compliqué d’être concis sur sa vie sauvage. La plupart du temps, vous pourrez le trouver en groupe. La vie du Rattatac sauvage est simple. Elle se résume en un mot : survivre. Sa journée consiste donc à chasser les plus petits que soi, tout en évitant les plus gros. Manger sans être mangé. Des rumeurs disent que ces pokémon ont l’habitude de couper les arbres afin de faire des barrages. En réalité, les Rattatac ne font que faire leurs dents sur l’écorce des arbres, laissant de profondes entailles sur les troncs. Les pokémon qui font les barrages, ce sont les Castorno.
Comportement une fois domestiqué : Pendant longtemps, l’homme a essayé de faire de Rattatac un animal de compagnie. Pour cela, on lui coupait les griffes, et on limait ses dents, afin qu’elles ne puissent plus couper. De ce fait, les pokémon ne vivaient plus longtemps, les griffes coupées s’infectant. Depuis, on trouve moins de dresseurs avec ce pokémon, certes, mais le pokémon est toujours lui-même. Agressif, impulsif. Rares sont les dresseurs qui arrivent à le contenir. La plupart du temps, ils ne font que l’envoyer au combat, pour qu’il vide sa rage sur le pokémon ennemi. A part combattre, aucune utilité. Le pokémon est bien trop dur à domestiquer pour être un pokémon de compagnie, ou aider un humain dans son travail…
Utilité au combat : Dans les bonnes conditions, Rattatac saura tirer son épingle du jeu. Assez rapide, il pourra infliger d’incroyables dégâts à tous les pokémon, résistants ou pas. Il possède deux attaques qui lui sont propres : Croc de mort et Croc fatal. Alors que la première infligera de gros dégâts aux ennemis les plus faibles, la seconde saura trouver le point faible des adversaires plus résistants. Un Rattatac bien élevé saura allier esquive et attaque, mais si vous ne prenez pas la peine de le dresser, il n’en fera qu’à sa tête, et essaiera la plupart du temps d’arracher la tête de son adversaire à tout prix. Concentré sur son objectif, il ne fera plus attention à rien, et se prendra tous les coups de plein fouet…
| #23 Abo | | Type PoisonTaille moyenne: 2m. Poids moyen: 7kgComment fait Abo pour traverser la route ? Il prend le passage python. - Description du pokémon:
Description Physique : Abo est un long reptile bicolore. La partie sur laquelle il rampe est jaune, tout comme ses yeux, l’anneau qu’il a sur le cou, et le bout de sa queue, qui ressemble à un enfilement de grosses perles. Tout le reste du corps est violet. Les écailles de ce pokémon sont très petites et solidaires, fixées sur une membrane solide, lui octroyant une protection quasi intégrale. En effet, la partie basse du corps est moins résistante. Il possède une grande bouche, qu’il peut écarter afin de gober des proies de la taille d’un Mushana ! Bien qu’encore peu développés, ses crocs sont enduits d’un poison pas encore mortel, mais qui pourra tout de même paralyser sa proie sans aucun souci.
Comportement en milieu sauvage : Solitaire et dangereux. Vous trouverez ce pokémon dans les forêts, bosquets, et tous les autres milieux à la végétation dense. La raison principale ? Pour la discrétion pardi ! Plus les herbes sont hautes, moins il a de chances de se faire repérer. Il passe sa vie à chasser deux types de proies bien distincts. Premièrement, les œufs. Abo, de par sa longueur, est un excellent grimpeur. Il peut facilement, en s’enroulant autour d’un arbre, monter en spirale jusqu’aux branches les plus hautes, où il trouvera des œufs de pokémon oiseau, sans défense. Il n’aura qu’à les gober, laissant une surprise aux parents, la coquille vide… L’autre type de proie, c’est un peu tous les pokémon qui passent, et qui se mangent. Rattata, Zigzaton, il serait même capable d’engloutir un Lineon. Enfin, s’il est assez gros, et le Lineon petit. Mais quand même, c’est ouf.
Comportement une fois domestiqué : Pour savoir comment se passait la journée d’un Abo domestique, j’ai interrogé une abonnée du dex, la coordinatrice Vanee Vigen. Voilà quelques extraits de ce qu’elle m’a dit : « Euh, chaipa. Comme un serpent quoi. Ça dort beaucoup. Ça mange beaucoup. Mais pas souvent. C’est bien pour chasser les rattata, ou les ratentifs du coup. Enfin, tout ce qui passe est mangeable hein. Et pas trop gros. Genre les rondoudous, les pikachus, les nidorans… » Bref, une fois domestiqué, ce pokémon est plus passif qu’à l’état sauvage. Tout ça, parce qu’il sait que même s’il ne chasse pas, son dresseur ira le nourrir. Bref, l’Abo domestique a la belle vie. On en trouve certains dans les laboratoires pharmaceutiques, dont on extrait le venin, pour créer des antidotes.
Utilité au combat : Tant qu’il n’a pas évolué, Abo ne sera pas très puissant. Ses crocs ne sont pas assez longs pour transpercer efficacement l’adversaire, et le poison n’est qu’immobilisant. Sa technique de combat sera donc de tenter de paralyser l’adversaire, avant de s’enrouler autour de lui, le ligotant afin de l’empêcher de respirer, ou de briser ses os.
Évolution Une fois qu’il aura réussi à manger assez de nourriture pour grandir encore et encore, et qu’il aura maîtrisé la technique ancestrale de la constriction, Abo pourra évoluer. Il n’aura qu’à muer pour déclencher l’évolution, devenant plus grand plus beau, plus puissant. La mue d’évolution d’un Abo reste un objet qui peut se vendre très cher, donc n’oubliez pas, si votre pokémon évolue, récupérez la !
| #24 Arbok | | Type PoisonTaille moyenne: 3.5m. Poids moyen: 65kgDans un grand bol de strychnine, délayez de la morphine... - Description du pokémon:
Description Physique : Arbok, c’est le Abo qui a mal tourné. Un gros vilain serpent violet. Comme Abo, me direz-vous. Bah, ouais, mais en plus gros. Et, en vieillissant, il a développé des excroissances assez larges juste sous sa tête. Certains parleraient d’ailes, d’autres parlent d’oreilles… En fait c’est tout simplement une grosse colerette. Cette dernière, d’ailleurs, est recouverte de divers motifs colorés, principalement jaunes et rouges : une arme de dissuasion, d’intimidation. Oui, la nature s’est dit « wesh, et si on décidait qu’Arbok serait flippant ? » et lui a donné ce barbouillis de couleurs, digne d’un Picassaut. Sur chaque côté de la colerette (histoire de la rendre utile, en plus d’être esthétique), le pokémon possède une glande qui permet de sécréter d’incroyables quantités de poison. Un peu comme les dilophosaures dans Jurassic Park. Il ne faut pas s’y fier, les jets de poison ne sont pas la chose la plus dangereuse chez ce bestiau. Non, il est clair que ce qui fait le plus mal, c’est sa paire de longs crocs, acérés, pouvant déchirer n’importe quel type de peau, jusqu’au cuir le plus résistant. Avec un peu de puissance, il peut même réussir à entailler les écailles d’un Milobellus… C’est dire ! Comportement en milieu sauvage : C’est le genre de pokémon qu’il vaut mieux éviter de croiser. Déjà, parce qu’il fait au moins deux, voire trois fois votre taille (si c’en est un gros gros). Mais surtout, à cause de son instinct de chasseur. Arbok, c’est un prédateur, faut pas l’embêter. S’il voit quelque chose qui bouge, il examinera sa proie, et s’il la considère comme vulnérable, il fondra sur elle, la lacérant de part en part avec ses crocs, afin d’en faire son dîner. Bref, vous voulez pas vous retrouver seul, nez à nez avec ce genre de pokémon. Il faudra donc éviter les grottes, particulièrement celles dans des milieux humides, propices à l’éclosion des œufs d’Arbok. Si vous approchez de ce pokémon lorsqu’il est en train de veiller sur sa couvée… Vous allez passer un sale moment.
Comportement une fois domestiqué : Vous me direz : avec tout ce que j’ai lu ci-dessus, pourquoi est-ce que j’aurais envie d’adopter un Arbok ? Eh bah c’est une très bonne question. Il y a plusieurs types d’utilisateurs d’Arbok : - Les personnes travaillant dans le domaine pharmaceutique. En effet, comme pour Abo, le poison de ce pokémon est utilisé dans de nombreux antidotes et vaccins. Les Arbok pouvant cracher une quantité de poison beaucoup plus grande que les Abo, c’est un avantage non négligeable pour la productivité. Les serpents utilisés dans ce cas sont souvent issus d’élevages, et donc, un peu moins agressifs, et plus prompts à se laisser pomper le poison. - Les malotrus. Les malfrats. Les vils fifrelins. Les sbires. Plus communément, ceux qu’on appelle les fils de p…. Les fils de femmes de petite vertu, dirons-nous. Eux, ils se servent de ce pokémon pour faire le mal, la plupart du temps comme outil d’intimidation. Dans les cas les plus extrêmes, ils s’en servent pour assassiner. Ces Arboks sont le fruit d’une destruction psychologiques, et ne sont plus que les ombres d’eux-mêmes, conditionnés à obéir aux ordres. - Les amateurs de serpents. Passons. - Les dresseurs pokémon. Eux, ils ont fait le choix de choisir ce pokémon. C’est eux qui auront le plus de mal à vivre en cohabitation avec le pokémon, car ils iront généralement le chercher à l’état sauvage. De là, il faudra l’entraîner, et développer un lien de confiance avec lui. Le plus simple, dans ce cas, c’est de le capturer en tant qu’Abo. Histoire qu’il s’habitue à vous.
Utilité au combat : Un monstre de puissance. Détaillons-le petit à petit : - Sa queue lui permettra d’utiliser diverses capacités, allant de la constriction pour broyer les os de vos adversaires, à la queue de fer, pour mettre des grosses tatanes contondantes. - Sa collerette, comme dit plus tôt, permet d’asperger les ennemis de poison ou d’acide. Pas besoin de vous faire un dessin… De plus, les arabesques colorées (ou peintures contemporaines, c’est vous qui voyez) permettront de paralyser les ennemis de peur. - Enfin, les crocs permettront d’utiliser toute une palette d’attaques élémentaires, allant de la simple morsure, aux crocs feu/glace/éclair, en passant par les classiques crocs venin. Bref, vous allez faire des p’tits trous, des p’tits trous. Et mettre vos ennemis dans un gros trou.
Évolution : Ne croyez pas ce que raconte le film Arbok Attack, ce pokémon n’évolue pas en serpent géant de 28 mètres de long.
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| | | | Invité
| #25 Pikachu | | Type ElectrikTaille moyenne : 40cm. Poids moyen : 6kgLa mascotte. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce pokémon est le plus iconique de la famille des rongeurs électriques. Entre divers Emolga, Pachirisu ou autres Posipi, le physique de ces pokémons ne change pas plus que ça. Nous sommes donc face à un rongeur d’une quarantaine de centimètres (sans compter les oreilles). Le corps du Pikachu est recouvert d’un fin pelage jaune vif. Il possède quatre petites pattes (deux antérieures, deux postérieures), et bien qu’il puisse marcher de façon bipède, il se déplacera bien plus vite à quatre pattes. Sa longue queue en zigzag sert de paratonnerre. Il peut soit la lever au ciel pour attirer les attaques électriques, soit la planter dans le sol afin de s’immuniser contre les effets de la foudre. Au niveau des joues, il possède deux poches rouges, la zone par laquelle il décharge toute son électricité. Il n’est pas rare d’y voir des étincelles, car le pokémon est, en lui-même, assez instable et est incapable de ne pas produire d’électricité. Enfin, sur le dessus de sa tête, il possède deux longues oreilles qui se terminent par un bout noir. Ces organes lui permettent, s’il se concentre, d’entendre des fréquences très élevées, et de savoir ce qui se passe assez loin.
Comportement en milieu sauvage : Dans la nature, le Pikachu vit en meute, préférant la compagnie de ses semblables à celle des autres. Par semblable, j’entends tout membre de l’espèce des rongeurs électriques. On les retrouvera plus souvent dans les plaines ou les forêts, où ils pourront sans aucun souci se nourrir de baies diverses et variées. Leur corps étant rempli d’électricité, ces pokémons sont en général à l’abri des prédateurs, qui préfèrent éviter d’avaler une pile électrique, et se faire griller l’estomac de l’intérieur…
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon n’a pas vraiment de tempérament particulier, tout dépend vraiment du dressage que vous en faites. On retrouve le Pikachu dans un peu tous les rôles. Que ce soit pour les coordinateurs, pour les dresseurs, comme groupe électrogène de secours (principalement dans les centres pokémon), comme défibrillateur, etc, il s’adapte à tous les milieux et toutes les situations. Vous en retrouverez aussi souvent dans les garderies, car ils sont évidemment de très bons partenaires de jeu pour les jeunes enfants. Cependant, les Pikachu ayant ce rôle sont triés sur le volet, car il faut qu’ils aient une parfaite maîtrise de leur électricité, afin d’assurer la sécurité des enfants encadrés…
Utilité au combat : Il possède toutes les caractéristiques de l’éclair. Vif et brûlant. Sa principale source de dégâts vient évidemment de ses attaques électriques, qui sont malheureusement aussi sa seule possibilité d’attaquer. Contre des ennemis insensibles à la foudre, ce sera donc assez compliqué. Heureusement, le pokémon est très agile, et il pourra tenter d’esquiver tous les coups qui lui seront assénés, emmenant l’ennemi à la fatigue, et le battre de cette façon.
Évolution : Pikachu fait partie des pokémons que l’on pourrait qualifier d’ « instables ». Leur métabolisme, suite à l’évolution de Pichu, n’est pas encore stabilisé, et il suffit d’approcher une pierre foudre de ce pokémon pour que la radioactivité du minéral relance le processus, permettant au pokémon de devenir Raichu. On peut donc se poser la question suivante : Pikachu est-il en quelque sorte un bug, une erreur d’évolution entre Pichu et Raichu ?
| #26 Raichu | | Type ElectrikTaille moyenne : 80cm. Poids moyen : 30kgVous aurez un coup de foudre pour lui. - Description du pokémon:
Description Physique : Un gros rongeur électrique. Sur certains points, il rappelle l’espèce humaine. Deux pattes postérieures sur lesquelles il se tient, deux pattes antérieures qui lui servent, autant que possible, de bras. Deux yeux, un nez, une bouche, des oreilles. Tout pourrait faire penser à un humain, si on enlève la fourrure ocre, les coussinets sous les pattes, la longue queue finissant en éclair, des oreilles pointues qu’on croirait presque sorties d’un MMORPG fantastique, et surtout, ce qui le différencie le plus de vous et moi… C’est qu’il est capable de balancer des éclairs de fou.
Comportement en milieu sauvage : Premièrement, vous le trouverez toujours au sol. Et ce pour deux raisons. La première, c’est tout simplement que ce pokémon ne vole pas (oui, je sais. Vous allez me parler du Pikachu qui volait, attaché à des ballons. Alors déjà, c’est un Pikachu, donc pas un Raichu. Et de deux, c’est un mythe.). La seconde raison, plus terre à terre, c’est qu’il est forcé de laisser sa queue à terre, pour éviter toute électrocution, pour ne pas être terrassé, ce qui serait terrible. On ne trouve pas souvent ce pokémon dans la nature, pour la simple et bonne raison que pour évoluer, Pikachu a besoin d’être exposé aux radiations d’une pierre foudre, minéral qui ne court pas les rues. Mais, si vous le trouvez, ce sera toujours à la campagne, dans des lieux isolés, où il pourra décharger le trop-plein d’énergie accumulé. Pour trouver sa tanière, facile. Il suffira de chercher des parcelles de terre totalement carbonisées. Le pokémon ne sera alors pas loin !
Comportement une fois domestiqué : Lampe de poche, batterie de secours, fournisseur d’énergie… On trouve plein d’usages à ce pokémon. Bien plus puissant, et pas plus gros qu’un Pikachu, Raichu est un des pokémon de type électrique à avoir le meilleur potentiel pour délivrer de l’énergie, juste derrière ses compatriotes kantoïtes, Voltorbe et Electrode. Ainsi, on le retrouvera de temps à autres dans les grandes centrales, mais le plus souvent, il servira de groupe électrogène de secours dans les hôpitaux, centres pokémon, supermarchés… Ce qui nécessite de l’énergie. Vous pouvez donc, concrètement, le trouver partout. Certains l’utilisent comme animal de compagnie, ce qui peut être risqué, si le pokémon n’a nulle part où se décharger. Si vous voulez en domestiquer un pour qu’il devienne votre BFF, faites attention.
Utilité au combat : Bzzzt ! Vous entendez ce son ? C’est le son du Rapasdepic carbonisé ! Eh oui, Raichu excelle dans la lutte à l’aide de son type, le combat électrique. Ainsi, il sera votre parfait allié contre tous les pokémon eau ou vol que vous pourrez rencontrer. Le seul souci, c’est qu’il n’apprendra presque que des attaques de son type, et se retrouvera vite limité contre des adversaires résistants. Afin de s’en sortir, il devra jouer de son agilité, qu’il aura réussi à développer grâce à l’attaque hâte. Avec un peu de chance, il arrivera à embobiner l’adversaire, pour lui porter le coup fatal.
| #27 Sabelette | | Type SolTaille moyenne : 60cm. Poids moyen : 12kg. On est quatre, on se fait une partie de sabelette ? - Description du pokémon:
Description Physique : Un petit animal couleur sable. Son corps est presque intégralement recouvert de solides écailles, parfaitement ajustées pour ne pas laisser d’interstice, afin d’assurer une protection optimale. La seule partie de son corps qui n’est pas protégée, c’est son ventre, recouvert d’une peau beaucoup plus claire, très élastique. Sur chacune de ses quatre pattes, il possède des griffes pointues, qui servent à lacérer ses ennemis. Ses écailles ont été testées par de nombreux chercheurs, et sont classifiées comme certaines des écailles les plus solides au monde. Afin de réduire sa seule faiblesse, on trouve souvent ce pokémon en boule, protégeant son abdomen. Il arrive à accumuler l’eau dans son corps, afin de faire ses réserves. Un poète scientifique a un jour dit : Quand la nuit déploie ses ailes de fraîcheur, son épiderme se couvre de rosée.
Comportement en milieu sauvage : Peureux et craintif, ce pokémon ira s’isoler dans les endroits où il aura le moins de chances de croiser d’autres formes de vie, c’est-à-dire les grottes et les déserts. Là-bas, il ne croisera personne pour le déranger, et pourra se concentrer sur ce qu’il sait faire le mieux : lézarder au soleil, se faire bronzer la carapace. Il ne bougera que pour chasser des petits insectes, qu’il approche en roulant à toute vitesse vers eux. Si possible, il les écrabouille, afin de pouvoir les manger sans qu’ils partent en courant. Pour ce qui est de la vie en groupe, ça dépend des individus. Vous pourrez parfaitement trouver des hordes de Sabelette, comme les trouver solitaires, se débrouillant seuls, sans demander leur reste à personne.
Comportement une fois domestiqué : Ah, on se souvient tous de ce passage d’Alice au pays des merveilles, durant lequel la Reine de cœur triche, en jouant au criquet non pas avec une balle, mais avec un Sabelette, qui courait droit dans les anneaux pour la faire gagner ! Eh bien ce temps n’est pas révolu. On trouve encore des sombres salles de jeu, où on peut jouer au bowling avec un Sabelette, pour dégommer des Tompignon. Ce n’est bien sûr pas très légal, mais c’est la principale raison pour laquelle on retient ce pokémon. Si vous le gardez comme pokémon domestique, il dormira. Étonnamment, ce pokémon a un très bon feeling avec les enfants, et fera un parfait compagnon de jeu.
Utilité au combat : La principale force de Sabelette, c’est sa défense. Et aussi sa patience. Le pokémon sait très bien qu’il est incapable de battre n’importe quel pokémon en fonçant, et se concentrera donc sur une approche passive du combat. Ce qui n’est pas forcément un mal, sauf si vous êtes pressés. Une fois qu’il aura réussi à maximiser sa défense, il pourra passer à l’attaque, moins effrayé à l’idée de se faire frapper. Certes, ce n’est pas avec ses petites griffes qu’il infligera de gros dégâts, mais à force d’enchaîner les coups, sans que son adversaire arrive à le frapper, il finira vainqueur. La meilleure défense, c’est la défense. Tout simplement. Sinon, ça s’appellerait pas la défense.
Évolution On prend le même et on recommence ! Une fois qu’il aura acquis suffisamment d’expérience au combat griffu, et qu’il saura maitriser sa défense comme un dieu, Sabelette aura toutes les qualités requises pour évoluer en Sablaireau. Ce qui ne constituera pas de réel changement sur le pokémon, à part sa puissance. Plus fort, plus beau, plus tranchant. Comme quoi, l’évolution, c’est cool.
| #29 Nidoran ♀ | | Type PoisonTaille moyenne : 40cm. Poids moyen : 7kg. Ceci n'est pas un lapin. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce pokémon sera toujours femelle (d’où son nom). C’est là un des seuls pokémon dont le sexe influe autant sur la morphologie et le comportement du pokémon. Nidoran F est un rongeur, à la peau bleu clair, parsemée de tâches plus sombres. Elle possède une paire de moustaches, qui sont incroyablement sensibles, qui lui permettent de se repérer plus facilement dans son terrier, quand il fait sombre. Sa grande et unique dent est très coupante. Son corps est surplombé de piquants, qui dégagent du poison paralysant, afin de mieux se défendre. Enfin, ses deux grandes oreilles, dont l’intérieur est vert lui permettent une grande acuité sonore, pouvant entendre un grand nombre de fréquences, du très grave au très aigu.
Comportement en milieu sauvage : Dans la nature, les Nidoran vivent en groupes, femelles comme mâles. On trouvera ces pokémon dans à peu près tous les milieux naturels. En effet, les Nidoran s’adaptent assez facilement à n’importe quel climat, tant qu’ils peuvent y creuser un terrier. Là, un système organisé se met en place. Les mâles s’occupent de ramener de la nourriture, en général, des baies, tandis que les femelles, plus peureuses envers l’extérieur, s’occupent des petits. D’un naturel plutôt méfiant, les Nidoran préfèrent éviter le contact avec les autres espèces, fuyant dès qu’un danger se présente.
Comportement une fois domestiqué : La Nidoran femelle n’est pas le pokémon le plus simple à domestiquer. Déjà très craintive dans la nature, le fait de s’être fait capturer, et d’être séparée des siens n’aide pas à la mettre en confiance. Afin de faire partir cette peur, le dresseur devra être en permanence au contact de son pokémon, le rassurant dès que quelque chose d’inconnu pour lui se présente. N’ayant plus son homologue mâle pour apporter le repas, Nidoran F attendra que son dresseur remplisse ce rôle, espérant des repas complets et à heure fixe. Heureusement, elle s’adaptera à n’importe quel type de nourriture, que vous lui donniez des baies, ou de la nourriture spécialement faite pour les pokémon.
Utilité au combat : Moindre. Comme nous le disions plus tôt, Nidoran F est très craintive. Elle cherchera donc à fuir le combat à tout prix. Si toutefois elle est forcée de se battre, elle utilisera un de ses seuls atouts : son poison. Comme tous les piquants de son corps sont enduits de poison, elle cherchera à rester en position défensive, afin que l’ennemi l’attaque sur ce point particulier du corps. Une fois l’ennemi sous l’effet du poison, elle pourra contre attaquer, en général en chargeant l’ennemi de toutes ses forces.
Evolution : Une fois l’âge enfant passé, Nidoran F pourra évoluer en Nidorina, gagnant en potentiel.
| #30 Nidorina | | Type PoisonTaille moyenne: 50cm. Poids moyen: 9kg. Qui s'y frotte s'y pique. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce gros rongeur ressemble en tout point à sa pré-évolution, Nidoran. En tout point le même, si ce n’est la taille. Sa peau tirera sur une nuance de vert, un peu plus pâle que le bleu qu’il arborait autrefois. Ses pattes se sont développées. De quatre pattes identiques, on passe à deux parties bien distinctes, postérieures et antérieures. Ces dernières sont devenues plus fines, et articulées, pour lui permettre soit de saisir des petits objets (baies, nourriture diverses, ses œufs…), ou défendre sa progéniture. Ces nouvelles pattes sont livrées avec plus de griffes, plus longues, plus tranchantes. Les pattes arrière, elles, sont devenues plus larges et musclées, permettant au pokémon de prendre un appui puissant, et même, si besoin, de marcher uniquement sur ces deux pattes, comme par exemple pour porter quelque chose, ou bien se battre en avançant. Ces griffes sont donc le côté offensif du pokémon. Pour ce qui est de l’aspect défensif, il suffit de regarder le dos du pokémon. Plusieurs pics lui servent d’armure. Très résistants, mais surtout, recouverts de pores suintant du poison paralysant dès que le pokémon se sent en danger. Pour ce qui est de la tête du pokémon, la seule différence notable est que le pokémon a perdu ses moustaches, pouvant se repérer sans elles.
Comportement en milieu sauvage : Comme dit plus haut dans l’article du Nidoran, cette famille de pokémon vit en grandes meutes, partout où le climat leur est favorable. Et dans ces troupes, chacun a un rôle bien précis. Celui des Nidorina est de contribuer à l’accroissement du groupe, en étant la reproductrice et celle qui s’occupera des bébés, tandis que les mâles chasseront et protégeront le terrier. En cas d’attaque de prédateur, les Nidorina sont le dernier rempart qui protège leurs petits. Et l’énergie du désespoir couplée à l’amour maternel, dans ces cas, fait des ravages. Il n’est pas rare de retrouver des groupes d’Abo ou autres Seviper totalement déchiquetés par les griffes d’une meute de Nidorina en colère. Dès que le terrier est attaqué, toute la meute décampe, afin de recreuser un nouveau terrier quelques kilomètres plus loin.
Comportement une fois domestiqué : Privée de ses petits, la Nidorina peut se comporter de deux façons différentes. Premièrement, elle peut être très agressive, et tentera de prendre la fuite dès que possible, afin de retourner dans la nature pour retrouver les siens. L’autre cas de figure est qu’elle peut très bien s’adapter à la vie domestique. Elle vous considérera comme le mâle du troupeau, qui nourrira toute la famille, et s’occupera de vos pokémon comme si elle était leur mère. Nidorina ne fait pas de distinction entre les espèces, si elle voit un pokémon plus petit qu’elle, qu’elle peut chouchouter, elle n’hésitera pas une seconde et ira lui faire des papouilles.
Utilité au combat : Tout comme Nidoran, elle restera en posture défensive. Afin de venir à bout de ses adversaires, il faut absolument qu’elle arrive à les empoisonner. Pour cela, elle les laisse approcher, et se retourne au dernier moment, pour les laisser s’empaler sur les pics empoisonnés. À partir de ce moment, la Nidorina ne fera qu’esquiver, jusqu’à ce que le poison fasse effet, et une fois l’ennemi paralysé, elle le lacérera avec ses griffes. Conclusion, les combats avec elle sont encore très poussifs et lents.
Évolution : En l’exposant à certains types de roches stellaires, et particulièrement les pierres lunaires, le code génétique de Nidorina réagira et évoluera en conséquence, afin de libérer le potentiel total du pokémon. Cette pierre étant très rare, les quelques individus de l’espèce arrivant à évoluer seront considérés par leur troupe comme des demi-dieux.
| #32 Nidoran ♂ | | Type PoisonTaille moyenne : 50cm. Poids moyen : 9kg. Lui, il en a une plus grosse. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce pokémon sera toujours mâle (d’où son nom). C’est là un des seuls pokémon dont le sexe influe autant sur la morphologie et le comportement du pokémon. Nidoran M est un rongeur, à la peau violette, parsemée de tâches plus sombres. Sa grande et unique dent est très coupante. Son dos est surplombé de piquants, qui dégagent du poison très concentré, afin de mieux se défendre. Sur son front, une corne empoisonnée lui permet d’augmenter l’efficacité de ses charges. Toujours dans le potentiel offensif, ses pattes sont chacune munies de deux griffes. Enfin, ses deux grandes oreilles, dont l’intérieur est vert, lui permettent une grande acuité sonore, pouvant entendre un grand nombre de fréquences, du très grave au très aigu.
Comportement en milieu sauvage : Dans la nature, les Nidoran vivent en groupes, femelles comme mâles. On trouvera ces pokémon dans à peu près tous les milieux naturels. En effet, les Nidoran s’adaptent assez facilement à n’importe quel climat, tant qu’ils peuvent y creuser un terrier. Là, un système organisé se met en place. Les mâles s’occupent de ramener de la nourriture, en général, des baies, tandis que les femelles, plus peureuses envers l’extérieur, s’occupent des petits. D’un naturel plutôt méfiant, les Nidoran préfèrent éviter le contact avec les autres espèces, fuyant dès qu’un danger se présente.
Comportement une fois domestiqué : Le Nidoran mâle est plus facile à domestiquer que son homologue femelle. N’ayant plus besoin de subvenir aux besoins de son groupe, il peut vivre beaucoup plus librement, sans les contraintes liées à la vie en tribu. Ainsi, il développera un goût prononcé pour l’exploration et l’aventure, sachant qu’il est soutenu par son dresseur, qui sera là en cas de pépin. N’ayant plus besoin de s’occuper de ramener à manger pour toute sa famille, Nidoran FM attendra que son dresseur le nourrisse, espérant des repas complets et à heure fixe. Heureusement, il s’adaptera à n’importe quel type de nourriture, que vous lui donniez des baies, ou de la nourriture spécialement faite pour les pokémon.
Utilité au combat : Moindre. Etant au début de sa chaîne d’évolution, le pokémon reste un peu faible. Pourtant, il a quelques atouts pour lui. Premièrement, une vitesse assez élevée pour un pokémon de ce rang, qui lui permettra de charger rapidement, pour frapper l’ennemi de plein fouet avec sa corne, et empoisonner l’ennemi. Une fois cette action réussie, le poison était très concentré, Nidoran ne devrait pas avoir trop de mal à finir le combat.
Evolution : Une fois l’âge enfant passé, Nidoran M pourra évoluer en Nidorino, gagnant en potentiel.
| #37 Goupix | | Type FeuTaille moyenne : 60cm. Poids moyen : 10kg. Queue je t'aime, queue je t'aime queue je t'aime ! - Description du pokémon:
Description Physique : Goupix est un petit quadrupède à pelage roux, que l’on peut classer dans la grande famille des pokémons félidés, avec entre autre Caninos, Skitty, Leopardus… La partie inférieure de l’abdomen est recouverte d’un pelage beige, contrastant avec le reste de son corps, sur lequel le pelage est un petit peu plus foncé. Goupix possède quatre petites pattes sans griffes, mais dotées de coussinets très sensibles, lui permettant de ressentir la moindre vibration dans le sol. Sur sa tête, entre deux grandes oreilles pointues, il possède une petite houppette, composée de poils du même type que sur sa queue. A la naissance, le petit Goupix n’a qu’une queue, blanche, comme le dessous de son ventre. Au fil des mois, la queue va roussir, jusqu’à atteindre la même teinte flamboyante que sa houppette, et elle se divisera, jusqu’à ne plus être une grosse queue touffue, mais six queues bien distinctes ! Comme la plupart des pokémons feu, c’est un pokémon au sang très chaud, cette chaleur se diffuse jusque dans sa queue, qui est toute chaude au toucher.
Comportement en milieu sauvage : On retrouve les Goupix principalement dans les milieux chauds et tempérés. Cela peut se comprendre de par la chaleur interne du pokémon, qui tourne en moyenne autour des 80°C. Ainsi, s’il vit trop longtemps en milieu trop froid, la différence de température entre l’intérieur et l’extérieur se traduira par des maladies de peaux, souvent incurables, qui commencent par faire perdre tous ses poils au pokémon, les symptômes pouvant aller jusqu’au décès. Mais ne vous inquiétez pas, un petit séjour au ski n’aura aucune incidence sur la santé de votre compagnon ! En cas de doute, n’hésitez pas à demander plus d’informations dans un centre pokémon. Ce petit pokémon vit donc principalement dans les forêts, et les grandes plaines, avec une préférence pour ces dernières. En effet, la température interne du quadrupède est si élevée qu’il doit régulièrement cracher des flammes afin de réguler. C’est pour cela que dans les forêts où vivent des Goupix, on retrouve souvent une zone calcinée. C’est ici que les pokémons viennent décharger leur trop plein de flammes, se concentrant sur un endroit de la forêt déjà mort pour ne pas propager d’incendie impossible à éteindre. Au niveau alimentaire, il se nourrit presque exclusivement de petit gibier, comme de Sabelettes ou Sapereaux, qu’il réussit à attraper par ruse, souvent en sortant en trombe de son terrier lorsque sa proie passe devant, sans savoir qu’elle est attendue par le prédateur.
Comportement une fois domestiqué : C’est là l’archétype du pokémon de compagnie. Il s’apprivoise très rapidement, et, une fois qu’il a compris qu’il n’aura pas besoin de chasser pour se nourrir, car vous vous occupez de cela, il passera ses journées à faire le pacha, dormant au soleil. Son tempérament joueur en fait d’ailleurs un parfait compagnon de jeu pour les enfants. Si possible, ayez un jardin, qu’il ne crache pas du feu partout.
Utilité au combat : Le combat est une très bonne méthode pour que le Goupix extériorise ses flammes ! Sur le point offensif, il ne faut pas se faire d’illusion, il ne saura faire QUE ça. Cependant, avec l’agilité propre aux félins, il se peut qu’il arrive à esquiver les coups, et qu’il réplique avec des petites bouboules de feu. C’est déjà ça de pris ! Tant que l’adversaire ne résiste pas au feu, ça ira.
Évolution : L’instabilité interne continuelle de Goupix ne peut être résolue que d’une manière : en utilisant une pierre feu. Le félin entrera en résonnance avec le minéral, ce qui règlera son problème de flamme interne et le fera évoluer en Feunard, qui est en gros le même pokémon, mais en plus grand.
| #41 Nosferapti | | Type Poison/VolTaille moyenne: 80cm. Poids moyen: 8kgAllez criiiie ! Nosferapti ! - Description du pokémon:
Description Physique : Vous voyez vie fait la tête d’un Rattata ? Bah enlevez-lui ses yeux, sa queue, ses pattes (ouais, en gros, ne gardez que le corps, ajoutez-y deux ailes, et vous avez un Nosferapti. Sur le papier, c’est simple. Son corps est dépourvu de pattes, car il ne se déplace qu’en volant. Il ne possède pas non plus d’yeux, car, ne vivant que dans des milieux sombres voire totalement noirs, il n’en a pas l’utilité. En outre, il possède une gueule qui lui sert principalement à émettre des ultrasons, qu’il utilise comme sonar pour se repérer dans les grottes dans lesquelles il vit. Afin de capter ces ondes, il a une paire de grandes oreilles, très sensibles, pouvant capter toutes sortes de fréquences. La plus grande partie du pokémon, ce sont ses ailes. D’environ trente centimètres d’envergure chacune, elles lui permettent de se déplacer à toute vitesse dans les cavernes. Pour ce qui est de la couleur, il reste dans l’idée du camouflage nocturne. L’extérieur de son corps est bleu, tandis que les parties intérieures (ailes et oreilles) sont plus violacées. Enfin, sur le bas de son corps, il possède deux petites queues, qu’il utilise pour s’accrocher à tous types de surfaces.
Comportement en milieu sauvage : Prenons un exemple lamba. Un petit coordinateur, que nous appellerons Chaperon Rouge, qui habite à Azuria veut apporter une galette et du beurre à sa grand-mère qui vit à Lavanville. Elle aura donc deux options pour faire la route : 1) Contourner la tristement célèbre route 9 (oui, celle appelée The Ledge) et la Grotte sombre, et donc mettre approximativement six jours de marche. 2) Passer par la grotte, et ne mettre qu’une demi-journée. Notre petit chaperon rouge choisira donc l’option de facilité en passant par la grotte. Elle découvrira donc les joies du Nosferapti, petit pokémon peuplant les grottes. Et quand je dis peupler, je ne déconne pas. Il y en a PARTOUT. Que vous ayez de la lumière ou pas, dans tous les cas, vous serez attaqué en boucle par ces pokémons. Nosferapti ne dort pas. Nosferapti est toujours là, autour de vous. Mais sinon, il passe sa vie à dormir à l’envers, où à glander dans sa grotte, à chercher un insecte perdu à grailler.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon n’est pas fait pour être domestiqué. Il ne supporte pas la lumière du jour. Oui, même s’il n’a pas d’yeux, il a la peau sensible ! Un soleil un peu trop fort suffit à lui infliger des brûlures qui peuvent aller jusqu’à l’empêcher de voler. Le seul endroit où l’on trouve ce pokémon (et encore), c’est dans les laboratoires de physiques où l’on a besoin de faire des calculs sur des ondes. Un endroit sombre, et frais, rappelant un peu la grotte à laquelle vous avez arraché ce pokémon. Bref, c’est pas le pokémon le plus utile au monde.
Utilité au combat : Tout dépend du terrain. En extérieur, n’y pensez même pas. En intérieur, il se peut que le pokémon fasse quelque chose. Si l’adversaire n’est pas trop résistant, il peut succomber aux ultrasons de votre Nosferapti, et, sur un malentendu, être déstabilisé. A partir de là, vous pourrez utiliser des (faibles) morsures ou coups d’ailes pour tenter de vaincre votre adversaire.
Évolution Paradoxalement avec tout ce que j’ai dit plus tôt, la meilleure façon d’emmener votre pokémon vers l’évolution est de le faire vivre en extérieur. Forcé de supporter les rayons du soleil, il sera obligé de développer une vision diurne, ainsi qu’une peau plus résistante aux rayons UV. Cela vous donnera un Nosferalto.
| #42 Nosferalto | | Type Poison/VolTaille moyenne: 1,6m. Poids moyen: 55kgVampire sucks. - Description du pokémon:
Description Physique : Bon, ici, on va pas se leurrer… Pas de gros changement, Nosferalto est la suite logique de Nosferapti. On reste sur la même forme, un gros corps, et deux grandes ailes. Avec, évidemment, quelques différences… Ce pokémon a su s’adapter à son environnement. Ainsi, il a développé des yeux, et réduit la taille de ses oreilles, se déplaçant maintenant à la vue, et non avec les ondes. Afin d’attaquer des proies plus grosses (car oui, en dehors des cavernes, les insectes se développent plus !), il a maintenant une gueule plus grande, et des crocs plus pointus, pouvant percer l’armure/peau d’à peu près n’importe qui. Bien qu’il ne s’en serve pas vraiment pour marcher (bien qu’il puisse), les deux filaments qui ne lui servaient qu’à s’accrocher pour dormir sont maintenant devenus des pattes, lui offrant plus de possibilités. Mais sinon, ça reste la même chose. Grand corps bleu, grandes ailes bleues à la membrane violette.
Comportement en milieu sauvage : Nosferalto est un prédateur. Il passe sa vie à chasser, ne se nourrissant que de sang. Humain ou pokémon, il ne fait aucune distinction. Évidemment, sa vision nocturne étant beaucoup plus développée que sa vision diurne, il décidera de chasser la nuit. S’il vit dans la nature même, il passera sa journée à dormir, en général caché dans les feuillages d’un arbre. Autant que possible, il essaiera d’éviter la lumière. La nuit, il partira en chasse de toute nourriture qu’il pourra trouver. Il dévorera toutes les proies sans défense qu’il pourra trouver, mais aura tout de même une préférence pour les pokémons insecte, particulièrement les Coconfort et Chrysacier, qui, bien que très durs à croquer, ne peuvent pas partir en courant lorsque le prédateur arrive. Il ne lui restera plus qu’à planter ses crocs pointus dans la carapace de l’insecte, et y déverser son venin, afin de dissoudre la protection.
Comportement une fois domestiqué : Si vous domestiquez un Nosferalto, ne vous attendez pas à ce qu’il devienne votre meilleur ami du jour au lendemain. Il est l’exemple même du pokémon qui n’est pas fait pour être domestiqué. Pour gagner son respect et son affection, deux choses à faire : le nourrir, et le faire combattre, afin de préserver ses instincts de chasseur. À part ça, le laisser dans sa pokéball le reste du temps ne le gênera pas, car il peut y rester dans l’obscurité. Pensez tout de même à le garder un peu dehors, qu’il s’habitue à la lumière du jour, afin de ne pas être aveuglé lorsque le premier dresseur venu vous défiera…
Utilité au combat : Le combat, c’est là que le pokémon peut montrer son plein potentiel. On distingue deux types de Nosferalto. Si vous l’avez capturé à l’état sauvage, il a normalement déjà toutes les cartes en main pour savoir se battre. En outre, si vous l’avez depuis qu’il est un petit Nosferapti… L’état de chasseur n’est peut-être pas très développé. Mais pas de souci ! Ce pokémon est incroyablement réceptif à l’entrainement, et apprend très vite. Tout ce que vous avez besoin de lui fournir, c’est une proie et des encouragements. À partir de là, apprenez à connaître les capacités de votre allié, sachez le diriger, et il deviendra bien plus puissant.
Évolution Vous pensiez que Nosferalto était la crème des pokémons vampires ? Eh non ! Il existe un stade plus évolué, que vous ne pourrez par contre pas trouver dans la nature. Nosferalto fait partie de ces quelques pokémons qui ne peuvent évoluer que grâce au lien qu’ils tissent avec leurs dresseurs. Plusieurs études cherchent encore le facteur déterminant cette évolution. Certaines parlent de la nourriture, d’autres parlent d’amour… Les deux seules choses qui sont sûres, c’est qu’on ne trouve pas ce pokémon dans la nature, et que tous les Nosferalto ne peuvent pas faire cette évolution. Le reste est encore un mystère…
| #47 Parasect | | Type Plante/InsecteTaille moyenne : 1m. Poids moyen : 30kg. Y a deux types de pokémon insecte. Les Rasect, et les Parasect. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce pokémon est composé de deux parties bien distinctes. La partie inférieure de son corps est ce qui reste de Paras, sa préévolution. Un petit corps tout en longueur, possédant deux paires de petites pattes, de chaque côté. Au bout de son corps, sans protection, deux yeux globuleux et vides. Enfin, à l’avant du corps, il possède une paire de grosses pinces, à la fois pointues et très puissantes. La deuxième partie composant ce pokémon est la plus importante. Quand la première partie du pokémon ne sert que d’outil, toutes les décisions sont prises dans cette seconde partie. Sa préévolution, Paras, laisse pousser des champignons sur son dos. Avec le temps, un seul gros champignon subsistera, et prendra le contrôle de son hôte. Ainsi, surplombant le corps du pokémon, on retrouve un immense champignon, qui sert à diffuser différents types de spores.
Comportement en milieu sauvage : Les Parasect vivent en groupe, en milieu forestier. Leur stratégie est simple. Ils se déplacent en essaim, se concentrant sur un arbre. Une fois l’arbre choisi, ils le recouvrent intégralement et l’attaquent, se nourrissant des feuilles, nutriments, tout ce qui passe sera dévoré par la horde de pokémon. Une fois l’arbre mort, totalement vidé de toutes ses ressources, les pokémon passeront au suivant. Certains individus quittent les hordes afin de vivre en solitaire. Dans ces cas, ils s’installent dans des grottes très humides, afin d’accroitre le développement du champignon.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon est surtout utilisé en laboratoires. En effet, son champignon est doté de nombreuses propriétés. Ainsi, il est à base de plusieurs remèdes pour pokémon, tels que le total soin ou la guérison. Mais ce n’est pas tout, car de nos jours, ce champignon est dérivé en produits divers. Que ce soient des médicaments ou des cosmétiques, on découvre de plus en plus d’utilités à ce végétal. Il faut noter que l’avantage notable de ce pokémon est qu’il suffit de l’élever dans un milieu sombre et humide pour que son champignon pousse à une vitesse folle. Ainsi, la cueillette des champignons, en laboratoire, se fait tous les jours, si le pokémon est placé dans un enclos adapté.
Utilité au combat : Il faut à tout prix éviter le feu. Ce pokémon est victime d’une incroyable faiblesse au feu. Je ne le répéterai jamais assez, si vous tombez contre un adversaire maitrisant une attaque de ce type, changez de pokémon. Si on met de côté cet aspect, Parasect est un pokémon assez intéressant. La première chose qui attire le regard est sa capacité à apprendre l’attaque Spore. Cette attaque, que seuls quatre pokémon peuvent apprendre, permet d’endormir son ennemi à coup sûr. Malheureusement, le pokémon est incroyablement lent, et se fera sûrement battre avant d’avoir pu envoyer ses graines. Pourtant, avec une bonne anticipation, sorti au bon moment, Parasect peut vous permettre de prendre l’avantage. Une fois l’adversaire endormi, il suffira de frapper avec ses immenses pinces, qui ne manqueront pas de percer les défenses ennemies.
Évolution Un autre pokémon ressemble à Parasect. Il s’agit de Crabaraque, découvert dans la région d’Unys. Y a-t-il un lien entre ces deux pokémon ?
| #55 Akwakwak | | Type EauTaille moyenne : 1,7m. Poids moyen : 76kg. La double ambrée. - Description du pokémon:
Description Physique : S’il y a bien un pokémon qu’on aurait imaginé être créé pour la nage, c’est Akwakwak. Ce pokémon partage de nombreuses caractéristiques physiques avec l’être humain. Deux jambes puissantes, un abdomen assez long, deux bras. Ses mains et pattes sont palmées, afin d’assurer plus de puissance pour pousser l’eau lors de la nage. Chacun de ses doigts est terminé par une longue griffe, utilisée principalement pour se défendre ou pour chasser. Il possède une longue queue, qui lui sert de gouvernail, son seul moyen de modifier sa trajectoire lors d’une nage à haute vitesse. Tout son corps est fait pour être aérodynamique. Vous savez, les fameux maillots de bain spéciaux qui ont été interdits en compétition de 100mètres nage ? Ils étaient composés à 100% de peau d’Akwakwak. Cette peau est d’un bleu foncé, afin que le pokémon puisse rester quelque peu camouflé lorsqu’il chasse en eaux profondes, passant sous les autres pokémons pour les attraper. Enfin, sur son front, entre ses deux yeux, il possède une gemme rouge s’apparentant à un rubis, qui s’illumine lorsqu’elle emmagasine assez d’énergie, quand le pokémon est à pleine vitesse.
Comportement en milieu sauvage : On retrouve ce pokémon dans tous les types de milieux aquatiques, autant dans l’eau salée que douce, chaude que froide… Il s’adapte à tout. Il est omnivore, et se nourrit aussi bien d’algues que de petits pokémons poissons. Il passe ses journées à nager, toujours plus loin, toujours plus vite. Ce pokémon est hautement compétitif, et il arrive souvent que lorsque deux membres de cette espèce se rencontrent, ils se défient. Non pas en combat, mais en course aquatique. Très respectueux de l’esprit sportif, ils accepteront la défaite sans aucune honte, le tout dans l’esprit de Coubertin. Voilà à quoi se résume la vie d’un Akwakwak, qu’il vive seul ou en bande : manger, nager, dormir, nager. Devenir le meilleur
Comportement une fois domestiqué : Justement parce qu’ils sont toujours à la recherche d’adversaires, les Akwakwak adorent faire équipe avec des êtres humains. Autant en tant qu’ami, partenaire de nage, ou même en tant que coach, les pokémons étant tellement exigeants avec eux-mêmes qu’ils sont parfaits pour tirer le meilleur des nageurs. C’est principalement dans ce domaine que l’on retrouvera ce pokémon.
Utilité au combat : Contrairement à sa pré-évolution, Akwakwak possède un bon arsenal pour le combat. On ne le cache pas, pour en tirer tout son potentiel, il faudra un combat aquatique. Cependant, sur terre, il se déplace tout de même assez rapidement, et est capable d’utiliser diverses attaques physiques, que ce soit la tranche en utilisant ses griffes, ou bien le psykoud’boul, quand il charge l’ennemi à pleine vitesse, utilisant ses capacités psychiques. A distance, il possède tout l’arsenal classique des pokémons eau, que ce soit l’hydrocanon, le vibraqua… Bref, il reste un meilleur combattant à distance qu’au corps à corps.
| #58 Caninos | | Type FeuTaille moyenne: 70cm. Poids moyen: 19kg. Celui qui a inspiré Tigrou, le pote de Winnie. - Description du pokémon:
Description Physique : Caninos est un quadrupède à poils semi-longs. Son pelage est en majeure partie orange, avec quelques rayures noires vers les pattes. Chacune des pattes est équipée de deux griffes, qui ne sont pas du tout tranchantes, elles sont plus là pour intimider qu’autre chose. Autour du cou, de sa queue, et sur sa tête, le pokémon possède une crinière vachement touffue, qui s’hérisse quand il est stressé, ou qu’il sent un danger. Sur sa p’tite tête toute mougnoute, à la truffe mouillée, on retrouve une grande gueule, prête à déchiqueter n’importe quel ennemi qui viendrait se mettre en travers de sa route. Ou un gros jambon. Caninos aime le jambon. Comportement en milieu sauvage : On trouve de moins en moins ce pokémon à l’état sauvage. En effet, sa domestication quasi-totale en est arrivée au point que l’on l’appelle le meilleur ami de l’homme. Du coup, quand un Caninos (qu’il soit réellement sauvage ou pas) se balade dans la ville, ou dans ses alentours, le service des pokémons abandonnés fonce le capturer dans un genre de grande épuisette (oui, comme dans les dessins animés !), et l’emmène au chenil, où il attendra dans une cage, qu’un humain vienne l’adopter. A part ça, ceux qu’on trouve dans la nature sont assez agressifs. Après tout, ce sont des félins, ils sont là pour manger de la viande. Donc, ils repèrent une proie : en général, soit de la petite volaille type Canarticho, soit du plus gros gibier, comme du Cerfrousse. Ils vivent surtout dans les grandes steppes, où ils peuvent courir toute la journée, comme sur la musique de la pub de royal canin. Oui, le Caninos est un fier pokémon, jouissant de sa liberté. Comportement une fois domestiqué : Donc, comme je le disais, il est le meilleur ami de l’homme. Peu importe l’âge, tout le monde est fan de Caninos. Pour les plus petits, c’est le compagnon de jeu classique. Il aime les câlins, aller chercher la balle… Bref, le canidé parfait pour faire le baby sitter et réduire un peu le travail de surveillance des parents. Quand les enfants grandissent, le pokémon devient plus un ami, avec qui ils peuvent partir en balade, découvrir les plaisirs de la randonnée… Ou des combats de pokémons. Ou de la coordination. Eh oui, Caninos est un pokémon versatile, pouvant être gracieux et/ou féroce, bref, il s’adapte à toutes les situations. Utilité au combat : Selon vous. C’est un p’tit truc qui court partout, qui mord, et qui crache du feu. C’est super cool ! Si l’adversaire est une petite fille (ou juste quelqu’un d’influençable), il trouvera votre pokémon TROP MIGNON. C’est à ce moment-là qu’il faudra frapper, brûler, mordre (rayez la/les mention(s) inutile(s)). Oui, en combat, le principal avantage du pokémon est sa vitesse. En revanche, un des gros points négatifs (qu’il partage avec la plupart des pokémons feu) est qu’il n’a pas accès à beaucoup de différents types d’attaques. En gros, sortez-le quand vous êtes sûrs d’avoir l’avantage, car il ne sera pas assez fort pour retourner n’importe quelle situation… Évolution Pour que votre petit Caninos devienne un fier Arcanin, c’est pas compliqué. Il n’y a que deux critères. Premièrement, il faut que le pokémon soit assez âgé, un bébé ne pourra évidemment pas évoluer… Le second (et le plus important) critère est l’utilisation d’une pierre feu. Si votre pokémon est physiquement et mentalement prêt à évoluer (comprenez par là qu’il doit être suffisamment âgé, et avoir un minimum d’expérience), les radiations de la pierre déclencheront le processus.
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| | | | Invité
| #63 Abra | | Type PsyTaille moyenne : 90cm. Poids moyen : 20kg. Le dormeur du val. - Description du pokémon:
Description Physique : Abra, c’est un des pokémons que l’on imagine parfaitement être un chaînon entre l’humain et le pokémon. Une tête avec nez, oreilles, yeux. Des épaules, des bras, des jambes… Des caractéristiques humaines, en gros ! Cependant, Abra se distingue de l’humain sur plusieurs points. Sa peau couleur jaune ocre. Ses pieds et mains qui ne possèdent que trois doigts chacun. Une longue queue dont il se sert pour garder son équilibre en toute circonstance.
Comportement en milieu sauvage : Il n’y a pas grand-chose de passionnant à dire sur ce pokémon. Il est certes doté de puissants pouvoirs psychiques, mais cela a un coût. En effet, sa réserve d’énergie est assez maigre, ce qui fait que pour compenser le fait qu’il puise dans ses réserves, le pokémon dort beaucoup. Et par beaucoup, je veux dire entre 15 et 20 heures par jour. Il est facile de le réveiller, par exemple pour un combat, mais il ne faut pas s’attendre à une efficacité immédiate. Et, soyez-en sûr, il se rendormira dès le combat terminé. Même endormi, il n’est pas complètement éteint. Considérez-le comme en veille. Si le corps est bien inactif, l’esprit reste aux aguets, prêt à détecter la moindre source d’agression. Si quelqu’un s’approche de l’Abra, ce dernier s’enfuira en se téléportant à distance raisonnable, peu importe où, tant qu’il est loin de toute forme de vie. Et tout ça, sans même se réveiller…
Comportement une fois domestiqué : Domestiqué, le pokémon ne change pas tant que cela. Le seul point qui changera sera sa relation au monde extérieur. A force de s’habituer à son dresseur, il ne disparaîtra pas n’importe où, si son humain se trouve dans les parages. Certes, au début, il faudra peut-être lui courir un peu après, mais très rapidement, quand il comprendra que vous le nourrissez et le protégez, il vous fera confiance. Une fois apprivoisé, que faire de ce pokémon ? Eh bien… Pas grand-chose, car il dormira toujours autant. La seule chose à faire restera de le laisser grandir, se développer, afin qu’il évolue.
Utilité au combat : Si vous êtes assez courageux pour essayer de faire se battre un Abra, avant tout, bravo. Notamment parce que ce pokémon ne possède, de base, aucune capacité offensive. Il vous faudra donc dépenser quelques pokédollars afin de lui apprendre une attaque psychique, comme Choc Psy, ou le puissant Psyko. Le mieux reste tout de même d’attendre que le pokémon évolue.
Évolution : Enfin, lorsqu’il sera assez vieux (en général, entre un et trois mois de vie, selon son environnement), le pokémon pourra prendre sur lui et évoluer, devenant moins peureux, plus puissant, et surtout… Moins endormi.
| #65 Alakazam | | Type PsyTaille moyenne : 1.5m. Poids moyen : 48kg. Il n'y va pas avec le dos de la cuillère. - Description du pokémon:
Description Physique : Vous avez vu Mars Attacks ? Vous pensez pas que le film aurait été vachement plus convaincant si on avait mis des Alakazams au lieu de vieux costumes cheap ? Oui ? Moi aussi. Et à raison ! Alakazam, on dirait un avant-goût de ce que sera l’espèce humaine, dans les millénaires à venir. Car oui, si on s’y penche, au niveau morphologique, ce pokémon est totalement humanoïde. Deux bras, deux jambes, deux mains, deux pieds, deux oreilles, un visage humain, etc… Il a même des moustaches ! Certes, elles ne sont pas composées de poils, et ne poussent pas, mais tout de même. Le corps de ce pokémon est recouvert d’une peau jaune ocre, qui s’apparenterait presque à du cuir au niveau du toucher. Résistante, solide, mais surtout, très froide. C’est là une caractéristique de l’espèce, avoir le sang froid (dans les alentours des 12°C). Le torse ainsi que les articulations sont, eux, recouverts d’une excroissance osseuse, qui ressemble trop à une armure et à des protections pour que ce soit un hasard. Certains théoriciens du complot affirment qu’Alakazam viendrait du futur, et ne serait autre qu’un de nos lointains descendants, ayant évolué pour ne faire plus qu’un avec le pokémon. Cela n’explique pas vraiment pourquoi le pokémon est, de base, un Abra, mais bon. Alakazam possède toujours, et j’insiste bien sur l’adverbe, deux cuillères. Bien qu’il puisse les poser, ou les faire léviter, ou autre, il faut les considérer comme une partie du corps du pokémon. On peut les imaginer comme des antennes externes, permettant d’amplifier les ondes psychiques émises par le cerveau du pokémon. Son cerveau est d’ailleurs une machine incroyable. Tel l’univers, il est en constante extension, grossissant sans arrêt. Plus il vieillit, plus son cerveau grossit, plus il devient intelligent. A terme, sa tête devient trop lourde, et afin de pouvoir marcher, ou même se lever sans se briser la nuque, le pokémon utilise en permanence ses pouvoirs psychiques pour tenir sa tête relevée.
Comportement une fois domestiqué : Nous ne nous attarderons pas sur l’hypothèse des Alakazams sauvages, tant ils sont rares. Domestiqués, on trouve deux types différents d’Alakazam : les combattants (que nous verrons plus bas), et les savants. Les savants sont ceux qu’on retrouve dans la plupart des laboratoires. Ils sont utilisés comme machines de traitement, et non pas comme chercheurs. Les humains s’occupent de la recherche, et les Alakazams compilent les données, stockent les informations, trient les occurrences, redonnant tout de suite les informations qu’on pourrait leur demander. Ils sont aussi capables de faire presque instantanément n’importe quel calcul, même si ce dernier pourrait prendre une journée à un superordinateur. En gros, Alakazam est le super supersupersupersupersupersupersupersuperordinateur.
Utilité au combat : Le deuxième type d’Alakazam, le combattant, est redoutable. Le dresseur utilises ses pouvoirs télékinésiques non pas pour réfléchir, mais pour frapper. En effet, par la pensée, le pokémon peut déplacer ou soulever presque n’importe quoi, le faisant de suite s’écraser au sol. De plus, ses capacités de prescience peuvent s’avérer être un atout immense, permettant de prévoir la suite du combat, afin de le tourner à son avantage… Faisant résonner des ondes psi avec ses cuillères, il pourra rendre fou presque n’importe quel adversaire, que ce soit en implantant des visions dans sa tête, ou tout simplement en lui brouillant l’esprit…
| #94 Ectoplasma | | Type Spectre/PoisonTaille moyenne: 1,5m. Poids moyen: 41kgSon anniversaire est le 31 octobre. Pensez-y. - Description du pokémon:
Description Physique : Étant composé de gaz, on ne peut pas vraiment dire qu’Ectoplasma ait une forme définie… Mais, dans 90% des cas, le pokémon adoptera la même forme, celle d’un esprit bouboule au regard farceur. Il prendra une forme presque humaine, copiant des bras, des jambes, des oreilles, allant même jusqu’à se faire un petit épi sur la tête. La différence avec l’être humain, c’est la queue qu’il trimballe au niveau de son arrière-train. Son regard a beau être presque toujours méchant, il sourit. Un sourire plein de dents, presque malsain, qui n’est pas sans rappeler le chat du cheshire. Carroll se serait-il inspiré du spectre ? Certaines rumeurs parlent de sa ressemblance avec Mélodelfe, disant que le pokémon est l’esprit d’un Mélodelfe décédé. C’est faux. Bien qu’on ne sache pas pourquoi Ectoplasma privilégie cette forme, il est prouvé qu’il peut en changer à sa guise, et n’a, pour ainsi dire, aucune forme de base.
Comportement en milieu sauvage : Sauvage n’est pas vraiment le terme le plus adapté pour Ectoplasma. Le pokémon vivra toujours là où on peut trouver des êtres humains. La principale raison est le fait qu’il se nourrisse des rêves des gens chez qui il s’infiltre pendant la nuit. Vous vous rappelez avoir commencé un rêve magnifique, puis, plus rien ? À n’en pas douter, c’est l’œuvre d’un Ectoplasma. Quand il n’est pas en train de cibler les gens endormis, il aime faire des farces aux passants. Déformer les ombres, ou tout simplement surgir d’une poubelle, tout est bon pour faire crier les gens. Si vous pensez être suivi par un pokémon de cette espèce, posez-vous une question. La température a-t-elle baissé ? Si oui, fuyez. Ce pokémon a la particularité d’absorber la chaleur, et c’est bien une des seules façon de le démasquer.
Comportement une fois domestiqué : Si vous arrivez à soumettre ce pokémon, il ne changera qu’une chose : il n’essaiera plus de vous tuer. Ce qui est déjà une grande amélioration ! Par contre, n’espérez pas le rendre sérieux. Au contraire, ayant un humain à disposition en permanence, il vous jouera des tours, encore et encore. Il a ses lubies, et vous ne pourrez rien y faire. Par exemple, le mien ne se montre que les mercredis. Pourquoi ? Aucune idée, surement pour me faire tourner en bourrique… La seule utilité réelle de ce pokémon sera pour combattre, ou bien pour halloween.
Utilité au combat : Un pokémon puissant, disposant d’une palette d’attaques diversifiées ! Déjà, faisant peur, il permettra de prendre l’ascendant psychologique sur votre adversaire. Ajoutez à cela ses possibilités d’endormir, rendre confus, et sa puissante force de frappe, et vous obtenez un monstre. Il sera, de plus, assez résistant à la plupart des types, ne craignant que ses confrères de l’ombre...
| #105 Ossatueur | | Type SolTaille moyenne: 1m. Poids moyen: 45kg. Y a comme un os. - Description du pokémon:
Description Physique : S’il y a bien des pokémons qui changent du tout au tout lors de leur évolution, nous sommes ici face au schéma inverse. Ossatueur est, pourrait-on dire, la suite logique d’Osselait : même forme de corps, et mêmes accessoires. On retrouvera donc un pokémon bipède, à physionomie quelque peu humanoïde. Deux jambes, deux pieds, deux bras, une tête… La différence notoire avec l’humain reste la présence de la queue, formidable outil de stabilisation. Ce pokémon possède une peau brune, assez foncée, qui s’éclaircit sur toute la zone du ventre, où elle est plus vulnérable et fine. Ses mains et ses pieds possèdent chacun une griffe, lui permettant de se défendre contre les agresseurs. Cependant, ce n’est pas là son arme principale. Il possède toujours avec lui un gros os, qu’il trimballe depuis sa naissance. Peu importe à quelle espèce il appartenait, cet os, l’Ossatueur le connaît par cœur, connaissant sa masse, sa façon de fendre les airs quand il est lancé, comment frapper avec… C’est là sa marque de fabrique, chacun de ces pokémons possède une arme à la fois similaire mais très différente. Enfin, tout comme depuis qu’il est tout petit, il porte un crâne sur sa tête (n’étant pas forcément celui de sa mère, arrêtons de croire cette légende urbaine), masquant entièrement son visage. A la différence d’Osselait, ce masque a été retaillé, avec des bords plus fins et durs, afin de donner un air plus agressif.
Comportement en milieu sauvage : Un bon barbare familial. Ce pokémon est très porté sur la notion de famille, faisant tout pour que son clan (tous membres compris, pas seulement les bébés) puisse vivre en harmonie et se développer de façon correcte. De façon étendue, ce pokémon peut très bien prendre une autre espèce sous son aile, et il n’est pas rare de voir des petites familles d’Ossatueurs vivre avec un Sabelette, ou même un Darumarond. En contraste à tout l’amour qu’il porte à sa famille, on peut noter la haine que cette espèce porte à ses ennemis. S’il faut défendre la famille, Ossatueur n’hésitera pas une seconde à partir au combat, et s’acharnera de façon hyper violente et inutile sur son ennemi (ou le cadavre de son ennemi…), laissant les restes des envahisseurs sur l’entrée du territoire, afin de décourager les potentiels prédateurs…
Comportement une fois domestiqué : Une fois capturé par un humain, Ossatueur tentera d’appliquer le même schéma que dans la nature. Il considérera les autres pokémons de son dresseur comme ses protégés, et fera tout pour empêcher qu’ils ne soient blessés. Il sera donc très dur de faire combattre les autres pokémons si Ossatueur est dans les parages, car il fera tout pour stopper le combat. Etant un battant, il sera ravi que vous lui proposiez le plus de défis possibles, afin qu’il devienne de plus en plus fort, une fois de plus, pour protéger les siens.
Utilité au combat : La principale technique de ce pokémon (qui est d’ailleurs le seul à l’utiliser), est l’Osmerang. Un gros lancer de son os, en une courbe parfaite, qui cognera l’ennemi, avant de revenir à son lanceur. Cependant, un bon Ossatueur aura plus d’un tour dans son sac, et saura tirer parti de tout son potentiel, utilisant des attaques comme tranche, ou même, pour les plus expérimentés, des techniques plus variées telles que Poing-glace, Poing-feu, ou même Colère !
| #113 Leveinard | | Type NormalTaille moyenne: 1,1m. Poids moyen: 35kg. A toujours son casse-croûte dans la poche. - Description du pokémon:
Description Physique : Une grosse bouboule rose. C’est la première chose à laquelle vous allez penser en voyant ce pokémon. Si, on y a tous pensé, dites pas le contraire. Et c’est à peu près la seule chose à retenir de ce pokémon. Une forme ovoïdale pour un pokémon trimballant un œuf. De cette boule rose, on remarque quelques excroissances qui dépassent. Premièrement, deux pieds. Oui, des pieds, sans jambes, ce qui fait que le pokémon ne peut marcher que très lentement. Il possède aussi deux bras minuscules, tellement qu’il peut à peine attraper son œuf, ou porter quoi que ce soit… À l’arrière du corps sa queue ne lui sert qu’à prendre appui. Il peut ainsi adopter une position que j’appelle assis-debout. Enfin, sur les côtés supérieurs de la tête, on trouvera six excroissances, qui font à la fois office d’oreilles, de cheveux, et mettent des baffes quand le pokémon tourne sur lui-même. Enfin, ce qui fait la spécificité de ce pokémon est qu’il possède une poche ventrale dans laquelle se trouve un œuf. Il suffit de le ramasser, et un nouveau prendra sa place dans les quelques heures qui suivront. Oui, voilà ce qu’est ce pokémon. Une géante boite à œufs.
Comportement en milieu sauvage : Ce pokémon est comme une petite fille dans un parc d’attraction. Il transpire la bonne humeur. Vous le trouverez dans tous les milieux naturels verdoyants. Le Leveinard n’est qu’amour, il vivra ainsi avec quiconque l’accepte, peu importe l’espèce. Et, en général, tout le monde l’accepte, humains comme pokémon. La principale raison, c’est qu’il produit de la bouffe à volonté. Vous voyez le pain elfique dans le seigneur des anneaux ? Bah là, son œuf, c’est quasiment la même chose. C’est blindé de nutriments, au point qu’un œuf par jour vous permet de tenir sans souci, tout en restant en bonne santé ! Leveinard vivra donc sans autre but que de faire plaisir aux autres. Il finira donc très souvent exploité par les autres, se retrouvant à pondre, pondre, pondre, sans rien obtenir en retour. Mais ce n’est pas grave. Tant qu’il voit les gens se régaler avec ses œufs, il est heureux. Tant qu’on lui en laisse un pour qu’il se nourrisse lui aussi.
Comportement une fois domestiqué : On a déjà tous vu un Leveinard. Au centre pokémon. Mais c’est là quelque chose que je n’ai jamais compris. Certes, ce lieu est le plus adapté pour le pokémon, vu qu’il ne vit que pour aider, prendre soin des autres, et tout. Mais avec des bras d’à peine 15 centimètres, comment peut-il se rendre utile ? C’est une question que je me suis toujours posée. Mais le pire, c’est qu’ils sont SUPER utiles. Ils savent tout faire. Peu importe ce que les infirmières demandent, les pokémon s’exécutent, sans rechigner, et font tout parfaitement. Et pourtant, ils ne sont pas infaillibles. La preuve, dans certaines régions, à commencer par Kalos, ils commencent à être remplacés par des Grodoudou. Pourquoi ? Aucune idée.
Utilité au combat : Ce pokémon aura plus d’effet sur le dresseur adverse que sur ses pokémon. Il a une constitution exceptionnelle. Il a beau prendre des coups, vous ne le verrez pas fléchir. Et il enchaînera les capacités de soin, plutôt que d’attaquer. En gros, vous tapez dessus, pour rien. Combattre un Leveinard, c’est le supplice des Danaïdes, en version moderne. (Si vous ne connaissez pas, je vous invite à aller googler le nom, en attendant qu’on ouvre une section mythologie !) Mais, il ne faut pas s’y fier. Il prend des dégâts, même s’il ne le montre pas. Premièrement, c’est sale, mais pour le battre, il faut éclater son œuf. Ça lui enlèvera quelque peu ses capacités de régénération. Ensuite, frappez sans arrêt. À un moment, il fléchira. Promis.
Évolution Vous pensiez que ce pokémon était la forme ultime de rositude ? Eh bien non. Il existe une évolution, encore plus altruiste, plus rose, et plus… Vous m’avez compris. Comment faire évoluer votre Leveinard ? Envoyez-le en mission humanitaire. À enchaîner les bonnes actions, il arrivera à un stade où il lui faudra plus de pouvoir pour contenter plus de gens… Et paf, il évoluera. Tout simplement.
| #115 Kangourex | | Type NormalTaille moyenne: 2,2m. Poids moyen: 80kg. Fait combattre son gamin. - Description du pokémon:
Description Physique : Pokémon anthropomorphe. Un mastodonte sur pattes. Grand, puissant, protecteur. La Kangourex est majestueuse, aimante, et féroce. Deux puissantes pattes postérieures lui permettent de se tenir debout, et d’avoir un appui solide. Ses deux pattes antérieures sont semblables à des bras humains, possédant trois griffes au bout. Ces bras lui permettent d’asséner de puissants uppercuts, afin de mettre des grosses tatanes dans la figure de son adversaire. Dans le même genre, il possède une grosse queue, qui permet de mettre des bonnes tartes. Son crâne est renforcé grâce à une grosse plaque osseuse, ce qui lui permet de mettre des bons coups de boule, une fois de plus, pour maraver l’adversaire. Ses oreilles sont un peu chelou, mais on le pardonne. Selon la coordinatrice Vanee Vigen, la célèbre marque de chips Pringles aurait utilisé cette forme pour créer leur produit. Enfin, la partie que tout le monde attend… La poche ventrale ! C’est une poche. C’est ce qui lui permet de ranger un peu tout ce qu’elle veut. Quand elle sort en ville, la poche lui permet de ranger sa monnaie, son cellulaire, son larfeuille, un pack de douze, un oreiller, des vêtements de rechange, mais surtout, son gamin. Car oui, la Kangourex est presque toujours accompagnée de son enfant. L’avantage d’une telle poche ? Les économies pardi ! Pas besoin d’acheter une poussette !
Comportement en milieu sauvage : Les Kangourex vivent en tribu. Telles les amazones, elles sont un fier peuple, vivant entre femelles, n’ayant pas besoin de présence masculine. Si jamais quelqu’un s’approche de leur territoire, il se fait juste littéralement défoncer, jusqu’à ce qu’il parte en courant. La Kangourex est un tantinet paranoïaque, et met tout en œuvre pour protéger la progéniture. Si une vraie menace se présente, les mères font un genre de gros tas avec tous les gamins, avant de les encercler pour les protéger. Cette technique ne marche évidemment pas sur les prédateurs aériens. Vous aurez sûrement noté que tous les individus de cette espèce sont des femelles. Dans ce cas, me direz-vous, comment font elles pour se reproduire ? Une à deux fois par an, elles partent en raid, afin de combattre des espèces faibles, mais possédant des individus de sexe masculin, afin d’assurer la descendance. Bien que ses partenaires les plus adaptés soient des Tyranocif, Excelangue, ou autres Rhinoféros, ils sont plus durs à mettre à terre ! C’est pour cette raison qu’elles visent les espèces opposant moins de résistance, comme les Gobou, les Wattouat, Germignon, ou même Blizzi. Croyez-moi, c’est pas beau à voir.
Comportement une fois domestiqué : Deux cas. Premièrement, si la Kangourex a encore son bébé, elle passera ses journées à s’en occuper. Peu importe ce que vous lui direz, elle ne vous aidera pas à faire la vaisselle, le ménage, ou autre. Déjà, parce que vous n’imaginez pas le carnage que ferait un Kangourex avec un aspirateur, mais surtout, parce qu’elle n’a pas que ça à faire. Paradoxalement, c’est dans cette phase qu’elle sera la plus adaptée au combat, déchaînant sa rage pour défendre le bébé. Si jamais elle n’a plus son bébé, la vie de célibataire commence ! Comprenez y qu’elle ne vous aidera pas plus, et qu’elle tentera de se reproduire avec tout ce qui passe (dans la limite du raisonnable, car bon, avec un Staross, c’est pas ce qu’il y a de plus passionnant.) Pour le combat, oubliez tout de suite cette idée. Elle cherchera à charmer l’ennemi, plutôt que de lui mettre les paloches dans la goule.
Utilité au combat : Boum. Pan. Tchak. En gros, ce pokémon TAPE. Mais ce n’est pas tout. Son instinct maternel lui a permis, au fil des générations, d’évoluer, afin d’être plus résistante. Et c’est gagné. Vous êtes en possession d’un tank de fou, capable de mettre des uppercuts de l’infini, des coups de pieds si puissants qu’ils feraient baver un catcheur mexicain, et même des coups de queue qui enverraient votre adversaire vers d’autres cieux. Kangourex est adaptée au combat, et y excelle !
| #123 Insécateur | | Type Insecte/VolTaille moyenne: 1,5m. Poids moyen : 56kg. Insécateur averti en vaut deux. - Description du pokémon:
Description Physique Insécateur, le pokémon insectolame. Quand on voit ce pokémon, on distingue trois caractéristiques : Sa couleur, vert clair ; une paire de lames acérées ; et une paire d’ailes. La couleur de ce pokémon lui sert de camouflage. Ainsi, il peut sans souci se déplacer tranquillement jusqu’à sa proie, en réduisant les risques de se faire repérer. Insécateur est donc un prédateur incroyablement dangereux. Une paire de lames acérées. Voilà l’arme de ce pokémon. Deux faux, surpuissantes. Combinées aux puissants muscles des bras du pokémon, presque rien ne leur résiste. Arbres, rochers, même parfois pokémon… Là où insécateur passe, les objets sont souvent tranchés en deux. Voire réduits en bouillie. Enfin, on note une paire d’ailes. Et pourtant, le pokémon ne vole pas. Il peut s’en servir pour lancer quelques attaques de type vol, comme cru-aile, mais ne peut pas décoller. La membrane des ailes est incroyablement fine et fragile, et n’est donc pas adaptée à supporter le poids du pokémon en vol.
Comportement en milieu sauvage Dans la nature, un seul mot peut entièrement décrire Insécateur. Prédateur. Son camouflage naturel, couplé à sa vitesse, sa puissance, et le tranchant de ses lames font de lui une des espèces les plus dangereuses à l’état sauvage. De tempérament très fier, il préfère vivre seul. Quand deux Insécateurs se rencontrent, le duel est inévitable. Le perdant du duel, s’il survit (ces combats étant d’une violence extrême), repartira chez lui, humilié. Insécateur est un pokémon vivant dans la nature, principalement dans des zones où se trouvent de grands bosquets, des hautes herbes, ou plus rarement, dans des forêts, afin de tirer avantage de son camouflage. La préférence du pokémon va aux bosquets touffus, dans lesquels il peut tailler la végétation à sa guise, pour s’y créer un nid à l’abri des regards, et de la pluie. Au niveau de l’alimentation, Insécateur mange de tout. De la viande, des insectes, des baies, bref, tout ce qui lui passe sous la patte.
Comportement une fois domestiqué Loyal et bourrin. C’est ainsi qu’un amoureux des Insécateur m’a décrit ce pokémon. Ayant été capturé, le comportement du pokémon ne change pas beaucoup. Il reste toujours en soif de combat, et surtout, de victoire. Il reste aussi fier, et ce n’est donc pas la peine de compter sur lui pour vous aider dans quoi que ce soit. Se battre oui, aider à porter les courses, non. De toute façon, il aurait découpé les sacs, plus qu’autre chose. Pour votre sécurité, si vous capturez un Insécateur, à moins d’être incroyablement doué pour le dressage, ne le sortez de sa pokéball que pour combattre.
Utilité au combat Insécateur est-il un bon pokémon en combat ? Sans hésitation, la réponse est oui. Des statistiques de base élevées (l’attaque et la vitesse dépassant les 100 !) et des attaques puissantes et variées font de lui un pokémon puissant. Rajoutez à ça qu’il est capable d’assimiler presqu’une trentaine de capsules techniques, et vous pouvez en faire un monstre de combat. Vous vous battez contre Insécateur ? Pas de panique, car la faiblesse du pokémon réside dans sa table de résistances. En effet, le pokémon est faible aux attaques de type Electrik, Feu, Glace (qui sont trois des types les plus utilisés !), mais aussi Vol, et une double faiblesse à la roche. Vous êtes donc parés à affronter ce pokémon.
Evolution S’il se retrouvé exposé aux radiations dégagées par une pierre plante, Insécateur a la possibilité d’évoluer en Cizayox. C’est une évolution radicale, car le pokémon changera en tous points. La réaction pierre évolutive/insécateur est incroyablement étrange. La chitine du pokémon se solidifie, devenant métallique. La couleur change. Les lames, par je ne sais quel mystère, deviennent des grosses pinces. Bien que la théorie ne soit pas prouvée, la raison la plus probable reste que la pierre plante contient un taux de minéraux incroyablement élevé, qui favoriseraient la réaction évolutive. Afin d’avoir un avis extérieur, j’ai pris contact avec le Sergent Stegan Leggs, amoureux obsessionnel des Insécateur. Je lui ai demandé son avis sur l’évolution de son pokémon favori. "Évolution? Vous vous foutez de moi? Passer d'un tel bijou de guerre, à la chitine solide, aux lames affutées et aux réflexes inégalés, à cet espèce de pantin balourd et rouge fluo qui n'est bon qu'à servir de casse-noix? Nan. Déjà que je peine à appeler ça une "évolution", ne venez pas me parler de transformer un Insécateur en cette horreur de Cizayox."
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| | | | Invité
| #128 Tauros | | Type NormalTaille moyenne : 1,4m. Poids moyen : 88kg. A perdu une corne face à Pégase. - Description du pokémon:
Description Physique : Tauros est un bovin ongulé issu de l’espèce des Bos taurus. Ce mammifère ruminant possède quatre puissantes pattes, munies d’une enveloppe cornée, le sabot. Au niveau du postérieur, il possède trois queues, possédant une touffe de poils gris-bleutés qu’il utilise pour fouetter l’air. Autour de son cou, il possède une épaisse fourrure, servant à le protéger du froid. Sur sa tête, deux puissantes cornes, servant à empaler les ennemis. Enfin, trois excroissances de corne forment des bosses sur son front, afin de protéger la tête lors des violentes charges qu’il mène.
Comportement en milieu sauvage : On trouve surtout les Tauros dans les steppes. Il vit en troupeau organisé. Tous obéissent à un chef, qui est désigné par des combats entre eux. Le dernier debout devenant le chef du groupe, décidant ainsi des migrations. Ce pokémon étant incroyablement sanguin, les combats entre eux sont monnaie courante, tout comme les changements de chef de troupeau. Ces duels ne durent en général pas plus d’une minute. Ils se composent d’une charge dévastatrice, et, si les deux pokémon sont encore debout, s’en suit une bataille de cornes. Ces troupeaux ne sont en général pas la cible des dresseurs voulant capturer le pokémon. À la moindre sensation de danger, le troupeau entier charge l’ennemi. Imaginez donc le pauvre dresseur voulant capturer un Tauros, qui se ferait écraser par tout le troupeau. Bien que de moins en moins nombreux, on recense toujours des cas d’accidents de ce genre… Depuis, les autorités ont pris des mesures, et les dresseurs voulant absolument un Tauros sont invités à aller les capturer dans les parcs safaris. Ces accidents ont d’ailleurs inspiré une scène dans le film d’animation Le Roi Lion, où Mufasa, un Némélios, est écrasé sous les yeux de son fils Simba par une horde de Tauros en folie.
Comportement une fois domestiqué : On voit beaucoup de Tauros domestiques, qui ont tous des rôles bien définis. Le premier est le Tauros fermier. Il sert comme auxiliaire dans les champs. Il tire les charrues, aide à labourer les champs… On le retrouve aussi dans des exploitations bien plus larges, où le Tauros est élevé pour sa viande. En effet, avec la viande d’Ecremeuh et de Doduo, la viande de Tauros est parmi les plus consommées. Il suffit de voir la démocratisation du McTauros, un burger comportant trois steaks de ce pokémon. Quelques rares dresseurs réussissent à parfaitement éduquer un Tauros, en faisant une bête de combat.
Utilité au combat : Ce pokémon possède une attaque et une vitesse hors du commun. Son seul défaut, s’il en est un, est qu’une fois sa charge lancée, il ne peut foncer que tout droit. Impossible de changer sa trajectoire sans s’arrêter, il fonce tête baissée. Ce détail mis de côté, on comprend que ce pokémon est un monstre. Il possède une capacité d’adaptation incroyable. Il est capable d’apprendre une palette d’attaques extrêmement large, allant des attaques électriques aux jets de flammes. Ce pokémon est versatile à souhait, et certains grands dresseurs reposent leur stratégie sur eux. C’est notamment le cas de Gaeriel Miya, une dresseuse Kantoite, vainqueur de la ligue pokémon, qui a accepté de me parler un peu de Tauros, son pokémon préféré ! "Tauros ? C'est l'un de mes pokémons préféré ! Je craque totalement sur eux depuis que j'ai capturé mon Rig et il ne m'a plus quitté ! Ils peuvent sembler un peu bêbête, voire beaucoup, mais au fond ils ont un grand coeur et ils vous adorent ! En plus ils peuvent apprendre une grande panoplie d'attaques et ils ont une puissance de frappe dévastatrice, il suffit de voir mon premier passage à la ligue ! Par contre ils demandent un peu d'expérience en dressage, ils ont un fort caractère et ils ont parfois un peu de mal avec tout ça... Mais bon, ça vaut le coup, ce sont de vrais bourrins !"
Évolution Pas d’évolution pour ce pokémon. Certains diront heureusement. Un Tauros évolué. Vous imaginez le monstre ? Dans la région d’Unys, on recense un pokémon semblable à Tauros, nommé Frison. Cependant, ils ne semblent pas avoir de lien direct, bien que les utilisations faites de ce pokémon soient les mêmes.
| #129 Magicarpe | | Type EauTaille moyenne : 90cm. Poids moyen : 10kg. Meilleur en sushi qu'en combat. Et ses sushis sont dégueus. - Description du pokémon:
Description Physique : Petit, orange, et écailleux. Magicarpe est, pense-t-on, un reliquat de la chaine d’évolution à travers les âges. On peut penser que tous les gros pokémons de type poisson (Barbicha, Mamambo, Bargantua, etc…) sont des descendants génétiques de ce pokémon. Presque tous ses descendants ont gardé une ou plusieurs caractéristiques de ce pokémon. C’est à lui qu’on doit ce que, de nos jours, on appelle communément un poisson. Une peau composée d’écailles orange (vous pensiez que c’était un hasard, qu’une couleur s’appelle le Magicarpe ?), des crêtes en haut et en bas de son corps, une paire de nageoires latérales, et une queue-nageoire, servant de propulseur dans le courant. Une autre de ses caractéristiques qui a moins été conservée par ses descendants est la paire de moustaches, qui n’ont aucune autre utilité que l’esthétique.
Comportement en milieu sauvage : Dans la nature, on peut trouver des Magicarpe partout. Vraiment partout. On les retrouve dans tous les points d’eau, quelle que soit la région, la température de l’eau, sa pureté, etc… Mais pourquoi ? Eh bien il y a plusieurs facteurs à cela : Avant tout, on remarque qu’il peut survivre dans n’importe quel milieu aquatique. Que l’eau soit salée, douce, ou même totalement polluée, aucun souci, le pokémon vivra et se développera parfaitement. Sa méthode de reproduction est diablement efficace. Là où la plupart des espèces pondent leurs œufs un par un, ce poisson peut en pondre des dizaines à la fois, repeuplant le littoral à vitesse grand V. Enfin, et c’est là une théorie très controversée, l’utilisation de Trempette pourrait leur sauver la vie. En effet, regardons un peu ce que fait cette attaque. Elle lui permet de… Rebondir. Et, en temps de sécheresse, que faire lorsque l’étang est asséché ? Le pokémon, se retrouvant à terre, rebondit jusqu’à un autre point d’eau, qu’il pourra repeupler en un rien de temps. Cependant, comme nous le disions, cette théorie n’est qu’une hypothèse qui, bien que partagée par un grand nombre de personnes, n’a pas encore fait ses preuves.
Le Magicarpe passe donc sa vie à faire des ronds dans l’eau, se laissant porter par le courant. Les plus courageux d’entre eux pourront remonter les cascades à coup de Trempettes, et même traverser des montagnes. Quand on dit que ce pokémon, bien qu’inutile, est surprenant, nous le pensons.
Comportement une fois domestiqué : Vous êtes dresseur et vous avez décidé de faire l’acquisition d’un Magicarpe ? Quelle idée. Peut-être l’avez-vous acheté à un homme louche qui vous promettait que l’œuf qu’il vendait contenait un pokémon rare et surpuissant ? Vous vous êtes bien fait enfler. Ce pokémon ne servira pas à grand-chose, vous pouvez toujours le nourrir pour qu’il grandisse, le faire combattre (ou plutôt, regarder vos autres pokémons combattre) pour qu’il évolue, mais c’est pas gagné…
Non, les seuls Magicarpe que l’on trouve domestiqués, ce sont ceux élevés en bassin, qui ne servent qu’à l’industrie alimentaire. Œufs de Magicarpe, pavés de Magicarpe, c’est le poisson du pauvre. Pour tous ceux qui ne peuvent pas se payer des tranches de Lumineon fumé, c’est le plan de secours. Vous savez, les mauvais restaurants Johtoiens qui vous promettent des sushis de Poissoroy, ces mêmes sushis qui vous foutent un mal de bide pas possible ? Bah c’est du Magicarpe. Parce que cru, c’est horrible, et presque toxique.
Utilité au combat : … Non.
Évolution : Leviator, ça vous dit quelque chose ? Parce que c’est son évolution et c’est vachement bizarre. A force d’efforts, votre petit poisson pourra devenir un majestueux dragon de mer, infiniment plus puissant que sa pré-évolution...
| #131 Lokhlass | | Type Eau/GlaceTaille moyenne : 2,5m. Poids moyen : 220kg. Surfez sur la vague ! - Description du pokémon:
Description Physique : Un grand machin bleu avec une carapace. Voilà ce que vous vous direz, la première fois que vous verrez ce pokémon. Un grand corps bleu, possédant six nageoires, qui lui permettent de nager à grande vitesse, et de changer de direction sans aucun souci. Sur sa tête, il possède une courte corne droite, ainsi que deux autres, beaucoup plus longues, mais enroulées sur elles-mêmes. C’est de ces spirales que part le conduit auditif du pokémon. Sur son dos, il possède une grosse carapace, surmontée d’excroissances, permettant à ses petits de s’accrocher.
Comportement en milieu sauvage : Lokhlass est rare. Très rare. En effet, depuis des siècles, l’homme chasse ce pokémon. Autrefois, il était considéré comme une proie ultime, la consécration du chasseur. Sa corne en spirale était l’insigne des chefs des tribus marines. De nos jours, c’est surtout pour sa carapace qu’il est chassé. D’une part, sa structure ultra résistante intéresse les chercheurs, et son éclat est recherché par les braconniers, qui s’en servent ensuite pour faire des bijoux. À cause de cette chasse intensive, les Lohklass ont migré, loin vers le nord. Dans les fjords, entre les glaciers, personne (ou presque) ne vient les poursuivre. C’est à force de séjourner dans ces eaux glaciales que le pokémon a développé sa résistance à la glace.
Comportement une fois domestiqué : Loyal. Affectueux. Et moyen de transport. C’est comme ça que Lokhlass est le plus utilisé. Comme attraction pour faire faire des tours sur l’eau aux enfants, ou pour aller en haute mer. Sa carapace est adaptée pour porter jusqu’à quatre personnes (cinq en se serrant), ou des poids. Bref, le parfait pokémon transporteur. Il est aussi utilisé lors des messes funéraires des marins. Les hommes de la mer sont envoyés au fond des abysses, portés par le chant des pokémon.
Utilité au combat : Un gros malabar. Il pourra encaisser de nombreux coups, sans sourciller ! Son double-type lui octroie une bonne résistance, ce qui vous permettra de le placer dans presque toutes les situations. Ajoutez à ça le panel d’attaques eau et glace, qui peuvent avoir de nombreux effets (allant de la brûlure au gel), et des chants redoutables, qui pourront endormir l’ennemi… Ou le tuer.
Et pour conclure, un petit message de Willi Toyotomi ! "Bien évidemment que j’aime les Lokhlass, qui ne les aime pas ? Tout chez eux est parfait : ils représentent à eux seuls la majesté à l’état pur. Leurs chants sont d’une beauté à vous couper le souffle, leur posture et digne d’une reine. Et en plus de ça ils sont polyvalents : très utiles en combat, ils peuvent immobiliser rapidement n’importe quel ennemi grâce à leur maitrise de la glace, avec leurs panels d’attaques impressionnants et leur beauté, ils peuvent se révéler très intéressants pour les coordinateurs. Et bien évidemment, le must du must, leur coque vous permet de naviguer paisiblement sur leur dos, sans vous jeter à l’eau. En plus, ils adorent ça ! N’est-ce pas merveilleux ?"
| #132 Métamorph | | Type VariableTaille moyenne: Variable. Poids moyen: Variable. Décalecatan décalecatan. Ohé ohé ! - Description du pokémon:
Métamorph. Cette énigme pour les chercheurs, cette aubaine pour les éleveurs. Qu’est-ce qu’un Métamorph ? C’est un pokémon rare et extrêmement couteux, ayant la capacité de se transformer en n’importe quoi. Et par transformation, j’entends bel et bien une transformation physique. Rien à voir ici avec des illusions produites par un Zoroark ou un Hypnomade. En effet, Métamorph est capable de modifier sa structure moléculaire à sa guise. Comment ? C’est là une question qui divise les scientifiques. De nombreuses expériences, études, thèses ont été consacrées à ce pokémon, afin de comprendre ce qui faisait qu’il est capable de devenir ce qu’il veut. L’hypothèse la plus en vogue pour le moment est celle dite de la « gomme moléculaire », lancé par le docteur Augustin Rilng, de l’université de Volucité. Il pose l’hypothèse que parmi ses capacités, Métamorph a la possibilité de décrypter le code génétique de chaque être vivant sur cette planète, et de réécrire son propre code, cassant et recréant les chaînes d’ADN afin de se transformer. Le seul obstacle à cette hypothèse reste le fait que Rilng s’accroche au terme « code génétique », se cantonnant donc aux êtres humains, alors qu’il a été prouvé à de nombreuses occasions que ce pokémon est aussi capable de prendre l’apparence d’objets. Il est cependant possible de penser que ce n’est qu’un problème de terminologie, et que le Dr. Rilng veut plutôt parler de structure moléculaire. D’accord, il peut se transformer ? Et alors ? C’est bien beau tout ça, mais à quoi ça sert ? Je vais ici vous présenter les deux applications qui sont pensées pour ce pokémon : la première n’est encore que théorique et a besoin de travail pour être développée, tandis que la seconde est très courante, et bien implantée dans les mœurs de notre époque. L’application théorique, donc. Si les chercheurs, notamment en médecine, sont si actifs sur l’étude de Métamorph, c’est qu’ils y voient un avenir radieux. En effet, s’ils étaient capables, eux aussi, de modifier la structure de n’importe quel organe, tous les soucis du monde pourraient être réglés. Un organe abîmé, un os cassé, une personne amputée… Avec la réécriture génétique, tout pourrait être soigné. Il faut cependant remettre les choses à leur place, et se rappeler que si jamais cette avancée technologique est possible, nous en sommes encore très loin. De plus, le temps que la technique soit découverte, stabilisée, testée sur des pokémons puis sur des humains… De l’eau aura coulé sous les ponts. Passons maintenant à l’application pratique qu’a ce pokémon. Il faut savoir qu’il est, de nos jours, quasiment impossible de trouver des Métamorph sauvages. De plus, la clé pour leur reproduction est un mystère, uniquement détenu par les éleveurs du salon de l’élevage à Floraville, Sinnoh. C’est donc le seul endroit où vous pourrez être surs de trouver ce pokémon. Cependant, il vous faudra débourser une fortune pour l’obtenir, et surtout, être en possession d’une licence officielle d’éleveur. Car la principale utilité de ce pokémon, c’est la reproduction. Pouvant se transformer en n’importe quel pokémon, de n’importe quel sexe, Métamorph est le parfait partenaire pour se lancer dans l’élevage. C’est grâce à lui que, de nos jours, on trouve de plus en plus de pokémons communément appelés « fossiles ». Ces raretés, qui ont été ramenées à la vie à partir de fossiles (d’où leur nom) ont pu être reproduites grâce aux capacités de Métamorph. Et c’est là un grand avantage du pokémon : il permet de sauver des espèces en voie d’extinction. Même si la plupart du temps, ils ne sont utilisés que comme reproducteurs de pokémons rares, afin que les éleveurs s’enrichissent…
On a entendu parler de dresseurs utilisant Métamorph en combat. C’est là un autre mystère, qui étonne les chercheurs. Oui, ce pokémon peut être utile si vous êtes face à un adversaire surpuissant, car il vous permettra de vous retrouver avec un matchup symétrique. Cependant, utiliser Métamorph en duel demandera de grandes connaissances, car il vous faudra non seulement connaître le type de l’ennemi, mais aussi ce dont il est capable. Il serait stupide de vous retrouver avec un pokémon sans savoir quelles capacités il peut effectuer…
Bref, Métamorph est (et restera sûrement) la coqueluche de l’élevage, et même s’il représente une possibilité de futur pour la médecine, il vaut mieux ne pas trop s’accrocher à ce genre de rêves.
| #133 Evoli | | Type NormalTaille moyenne: 30cm. Poids moyen: 6,5kg. Ève lève toi ? Non. Ève, au lit. - Description du pokémon:
Description Physique : Evoli est une petite boule de poils, que la plupart des dresseurs perdent leur sérieux quand ils en voient un. Ce petit quadrupède ressemble à un félin, avec une queue touffue. Son pelage est brun, et son cou est orné d’une touffe de fourrure, couleur crème. Ses oreilles sont assez longues.
Comportement en milieu sauvage : Ce pokémon est très rare, et ne se trouve donc pas vraiment à l’état sauvage. De temps en temps, on peut les trouver en meutes, en général dans les plaines. Ils vivent en groupe, et évitent tout contact avec l’homme.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon est très joueur. Ayant vu plusieurs évolutions de ce pokémon, il semblerait qu’évoli représente la période enfantine du pokémon, et que ce dernier devient plus sérieux en évoluant. Un peu comme si l’évolution était un rite de passage à l’âge adulte. De plus en plus, on remarque un phénomène mondial : les possesseurs de ce pokémon le filment presqu’en continu, afin de poster des vidéos de leur petit pokémon sur le net. On appelle ces vidéos les lolevee. Ce pokémon fera un parfait compagnon de jeu pour tous les âges, il est très affectueux. C’est un des pokémon les plus adaptés à la vie en appartement, s’amusant d’un rien.
Utilité au combat : Mettons les choses au point tout de suite, Evoli n’est pas taillé pour le combat. Une fois qu’il aura évolué, oui, il pourra se battre. Mais pour l’instant, le cantonner à un usage domestique reste la meilleure solution, afin de lui éviter une déculottée sévère.
Evolution : Huit évolutions ont été découvertes. Pour les sept premières, le pokémon réagit à la présence d’une pierre évolutive. C’est donc une évolution par mutation par exposition à un facteur externe. Une pierre lune donnera un Noctali. Une pierre foudre donnera un Voltali. Une pierre feu fera évoluer le pokémon en Pyroli. La pierre soleil (plus rare) permettra d’obtenir un Mentali. La pierre eau (courante) transformera le pokémon en Aquali. Une pierre plante donnera un Phyllali, et une pierre glace, un Givrali. Une huitième évolution a été découverte : nymphali, de type fée. Contrairement à ses cousins, ce pokémon n’est pas obtenu par une mutation génétique, mais plutôt en fonction de son lien avec son dresseur. L’évolution sera déclenchée, en général, par une forte émotion.
| #134 Aquali | | Type EauTaille moyenne: 1m. Poids moyen: 29kg. Plouf. Plouf. La vie parfois fait plouf. - Description du pokémon:
Description Physique : Un Evoli, mais en plus grand, plus écailleux, plus siréneux, plus bleu. Déjà, il a une collerette. Un peu comme quand un Ponchiot a des puces, et qu’on lui en met une pour l’empêcher de se gratter. En plus d’offrir un superbe bonus esthétique au pokémon, elle permet, une fois qu’il se retrouve immergé, de capter les ondes sonores, pour pouvoir se mouvoir à sa guise. En gros, c’est un genre de radar. Dans le même style que cette collerette, il possède deux oreilles en accordéon, qu’il peut faire battre comme des nageoires. Au sommet de sa tête, une troisième nageoire qui ressemble beaucoup à ses oreilles lui permet de fendre les flots grâce à sa forme qui lui permet de filer à toute vitesse. Du dos de sa collerette jusqu’à sa queue, il possède une petite nageoire qu’il peut hérisser afin d’effrayer d’éventuels prédateurs. Sa queue, banale, possède deux nageoires, qui servent à prendre de la vitesse.
Comportement en milieu sauvage : Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Pas de pierre eau, pas d’Aquali. Et pourtant, on en trouve. Et ils sont, en quelque sorte, les rois des mers. Il faut savoir que la structure moléculaire du pokémon est très proche de l’eau. Et, tout comme l’eau, il peut changer d’état comme il le souhaite. Ainsi, il peut, à sa guise, passer à l’état liquide, devenant une flaque insaisissable, pour se recomposer une fois en lieu sûr. Plus que le fait d’être intouchable, ce qui apporte sa supériorité est que dans l’eau, il peut donc devenir totalement invisible. Etant un pokémon à la fois rare et puissant, l’Aquali vivra avec des larbins. N’importe quel pokémon vivant dans l’océan fera l’affaire. Ces pokémon feront tout pour lui, le traitant en roi. Ils iront par exemple lui chercher à manger. Et pourtant, dès que sa tribu sera en danger, c’est lui qui ira combattre l’ennemi. Certain de sa supériorité en milieu aquatique, il foncera à l’assaut sans même prendre la peine de se demander qui est son ennemi.
Comportement une fois domestiqué : La plupart des Aquali que vous verrez avec des dresseurs sont d’anciens Evoli domestiques. Comme ils ne vivent pas uniquement dans l’eau, ils ne maîtriseront pas aussi bien leur décomposition que leurs frères sauvages. La plupart d’entre eux suivent un entrainement intensif, et sont utilisés comme sauveteurs en haute mer pour les plus expérimentés, ou comme surveillants de piscine pour les plus jeunes. Sa capacité de restructuration moléculaire peut être exploitée par les coordinateurs. Un des plus connus est Herbert Lizanelli, qui est spécialisé dans les spectacles aquatiques. On a aussi vu une exploitation en film d’horreur, Chérie j’ai mangé mon Aquali ! dans lequel un père de famille boit son Aquali par inadvertance. Le pokémon se recompose dans son estomac et… L’horreur commence.
Utilité au combat : Une bombe. Une bombe à eau même. Des capacités défensives incroyables, couplées à un talent d’esquive pas possible. Souvent, quand votre adversaire vous verra avec un Aquali, il commencera à paniquer. Pouvant se régénérer à sa guise, il n’y a qu’un moyen de le vaincre, le mettre au tapis en une attaque. Ce qui, il faut l’avouer, n’est pas la chose la plus simple au monde. Vraiment, si vous cherchez un pokémon eau pour compléter votre équipe, n’hésitez pas, trouvez un Aquali, et allez rouler sur la ligue !
| #135 Voltali | | Type ElectrikTaille moyenne : 80cm. Poids moyen : 24kg. Pokémon pouvant être de type AA ou LR6. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce quadrupède est parfaitement reconnaissable, et possède toutes les caractéristiques de sa famille évolutive. Premièrement, il possède une paire de longues oreilles dressées. Celles du Voltali permettent d’entendre une palette de sons allant du très aigu au très grave. Il possède aussi une queue, qui aura beaucoup rétréci durant la phase d’évolution. Elle se retrouve donc enfouie sous les poils à l’arrière de son corps. Autour de son cou, il aura une collerette de poils blancs et hérissés. Le pokémon pourra faire durcir ces poils comme il le voudra, pour les propulser vers ses ennemis. Le reste du corps sera recouvert de fourrure jaune, plus ou moins longue. Celle-ci se chargera de façon continue en électricité statique. Comparez-le en quelque sorte à un moteur de voiture. Plus il vivra, plus il se chargera. C’est la raison pour laquelle le pokémon adore courir. Ce n’est pas seulement un moyen de se défouler, mais plutôt une façon de se recharger. Plus le pelage sera chargé, plus il sera dense, et crépitera.
Comportement en milieu sauvage : Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Enfin, en général. La plupart du temps, l’évolution sera déclenchée par un contact avec une pierre foudre, qui rentrera en conflit avec le code génétique de l’Evoli. Pour résoudre ce conflit, le pokémon n’aura qu’à lancer la phase d’évolution. D’autres personnes ont pourtant réussi à lancer cette évolution de façon bien plus trash et cruelle, en… Bah, en électrocutant le pokémon de façon violente et répétée. Vraiment, faites pas ça. C’est pas sympa. Et donc, dans la nature, il est dur de trouver des Voltali. Les rares que vous pourrez trouver seront des Evoli frappés par le tonnerre. Ces derniers développeront un fort instinct de protection. Ils tenteront de rassembler le plus d’Evoli possible pour former une horde, et il fera tout pour les protéger du tonnerre, attirant tous les éclairs vers lui par temps orageux.
Comportement une fois domestiqué : On trouve ce pokémon un peu partout là où on a besoin d’électricité. Là où les électriciens préfèrent Raichu, les garagistes adorent Voltali. Quand votre voiture a un problème de batterie, il suffira en général de poser le pokémon sous le capot, de le laisser quelques minutes, et le tour sera joué ! On le retrouve surtout dans les fameuses courses éclair, organisées une fois par semestre à Sinnoh. Dans ces luttes sans merci, dix Voltali font la course tout en tentant de se griller le pelage. Tout est bon pour gagner, parait-il. Ce pokémon était autrefois utilisé comme coursier, de par sa vitesse et son sens de l’orientation, mais il a très vite été supplanté par les pokémon oiseaux, qui peuvent voler, et donc, faire tout le travail de façon bien plus efficace.
Utilité au combat : Un super pokémon. Déjà, comme dit plus tôt, il est très rapide, et capable d’envoyer des décharges incroyablement puissantes. Mais ce n’est pas tout ! Etant très acharné, à force d’entraînement, il sera capable d’apprendre des capacités de plusieurs types, que vous n’aurez jamais soupçonné. Du genre roche, ou insecte. C’est bien là la force du Voltali, l’adaptation. Mettez-lui une baffe, il revient avec une pelleteuse pour vous rouler dessus. C’est bien évidemment une image. Mais l’idée est là. Voltali, ça pique.
| #136 Pyroli | | Type FeuTaille moyenne: 90cm. Poids moyen: 26kg. J'avais une blague, mais elle était trop mauvaise. - Description du pokémon:
Description Physique : L’évolution la plus hot d’Evoli. Sur le plan physique, il ressemble à un gros Evoli qui aurait pris un coup de soleil et aurait investi dans un manteau en fourrure d’Arcanin. Sa fourrure devient rousse pour le corps, jaune/dorée pour le col et la houpette. Le pokémon garde cependant les grands yeux improbablement vides de sa pré-évolution, qui ont tendance à hypnotiser les plus faibles et faire pleurer les autres. Trois fois plus grand qu’un Evoli, son triple décimètre en plus ne lui servira pas à grand-chose d’autre qu’à pouvoir se frotter contre votre pantalon, de la cuisse à la cheville, histoire d’y laisser son poil qui a tendance à tomber deux fois plus en été à cause de la mue. Vous pouvez toujours le récupérer afin d’en faire des pulls, ou bien vous en servir comme combustible pour la cheminée.
Comportement en milieu sauvage : Tout comme Evoli, il est rare de trouver ce pokémon à l’état sauvage. Déjà, parce que sa préévolution est très rare (bien que depuis peu, les gouvernements tentent de réintroduire cette espèce dans la nature). Mais surtout, il a besoin de radiations pour évoluer. Il devrait être possible de le faire évoluer en l’exposant à de très fortes températures (vu qu’on peut avoir un Voltali en électrocutant Evoli), mais le pokémon mourra avant d’évoluer. Du coup, on en trouve pas vraiment. Les seuls qu’on pourra voir auront été relâchés par leurs dresseurs. Ce qui est pas malin, vu la rareté du truc.
Comportement une fois domestiqué : Très bonne aide de camp, peut éventuellement démarrer les barbecues ou bien les incendies de forêt et ainsi faire chier les scouts en patrouille et la faune alentours. Sert aussi d’allume-gaz ou de lampe-torche. On peut aussi les utiliser en forge puisque leur souffle chauffe à la température parfaite pour cuire l’argile ou faire fondre les métaux et ainsi alimenter les fours de forge. En fait, il est un peu comme tous les pokémon feu. Mais en version deluxe. C’est-à-dire que là où les pauvres utiliseront un chamallot pour faire chauffer leur sauna, les riches auront leur Pyroli. Dans les petits kebabs des rues d’Illumis, la viande est grillée par des braisillons. Les chefs des restaurants 4 étoiles, eux, auront un four à Pyroli.
Utilité au combat : Attendrir l’adversaire avec sa bouille mignonne puis CRAMER TA GUEULE. La base. Sinon vous pouvez à la limite compter sur sa capacité à chauffer plus fort qu’un four à poterie pour littéralement faire fondre les pokémon adverses en apprenant quelques techniques d’immobilisation à votre Pyroli. Si celui-ci arrive à maintenir son adversaire immobile assez longtemps, et comme son corps chauffe à plus de 900 degrés en moins de trente secondes grâce à une glande située près de ses poumons, vous pouvez considérer le combat comme étant gagné par forfait par combustion spontanée de l’adversaire et éventuellement vous allonger dans un transat avec du pop-corn pour regarder le spectacle. Pensez à vous munir de brochettes et de chamallows si l’adversaire était un Simularbre, ça fait un très bon charbon pour les barbecues.
| #137 Porygon | | Type NormalTaille moyenne: 80cm. Poids moyen: 37kg. Court-circuit court sur pattes. - Description du pokémon:
Ce pokémon est une énigme. Rien qu’au niveau de son statut, les scientifiques n’arrivent pas à tomber d’accord. Porygon est-il un pokémon, un logiciel, un hybride ? Pour discuter de cela, il faut mettre de côté tous ses standards de biologie, et s’ouvrir à de nouvelles possibilités. Ce « pokémon » serait donc composé de… code informatique. Cette entité aurait été créée par la Sylphe SARL, comme l’indique des études ayant été menées sur le pokémon. Branché à un ordinateur, le pokémon a pu révéler son code-source, qui contient un message de la Sylphe, à propos de la gestion des droits numériques. Officiellement, à la base, toute copie de ce pokémon aurait été interdite, et répréhensible par la loi. Cependant, personne n’a trouvé comment copier numériquement ce pokémon. De plus, des associations de défense des droits des pokémons ont milité pendant des mois afin d’abroger cette propriété, arguant qu’un pokémon ne devait pas appartenir à quiconque. Il pouvait être capturé, dressé, mais dans son essence même, le pokémon ne pouvait pas avoir un propriétaire dès sa naissance.
Le seul moyen ayant été trouvé pour répliquer ce pokémon est l’utilisation d’un Métamorph. Inconsciemment, dans sa nature même, ce pokémon a réussi à analyser et comprendre parfaitement le système du Porygon, et de ce fait, a pu s’adapter afin de reproduire un bébé Porygon, ne sortant pas cette fois d’une imprimante 3D mais bel et bien d’un œuf.
Le statut numérique du pokémon lui permet, en combat, de s’adapter à toutes les situations. C’est d’ailleurs pour cela qu’une de ses capacités principales est l’adaptation, lui permettant de changer de type, de changer sa structure, afin de justement s’adapter à toute situation de combat, et à tout adversaire pouvant se retrouver en face de lui. Cette capacité a créé beaucoup de débats et de projets. Des informaticiens ont tenté pendant des années de développer un programme, qui pourrait être appris aux pokémons, comme par CT, pour que n’importe quel pokémon puisse utiliser l’adaptation. Etant un phénomène créé par milieu virtuel, cela était techniquement possible. Cependant, rien n’a abouti et les recherches sont tombées dans l’oubli.
Depuis quelques années, une résurgence des recherches sur les pokémons virtuels se produit, notamment grâce à la propagation des upgrades de porygon, sobrement intitulée porygon2. Nous verrons les améliorations de ce pokémon dans l’entrée consacrée à ce dernier.
Enfin, vous aurez peut-être remarqué que votre Porygon était capable de manger. Cependant, cela ne lui est d’aucune utilité. Il peut se nourrir autant qu’il veut, il n’absorbera aucun nutriment. Cela laisse une nouvelle question en suspens, mais où part tout ce qu’il mange ? La réponse la plus plausible serait que tout ce qui entre dans Porygon soit désintégré…
| #147 Minidraco | | Type DragonTaille moyenne: 1,8m. Poids moyen: 3kg. Une écharpe draconique. - Description du pokémon:
Description Physique : Ce pokémon ressemble à un long serpent de mer, en bien plus gros. Toute sa peau est bleue, afin de servir de camouflage lorsqu’il nage en eaux peu profondes, afin d’échapper aux prédateurs et aux pêcheurs. Seul le dessous du corps est blanc, mais la composition de la peau ne change pas. Minidraco possède une grosse truffe, très molle, n’ayant pas d’usage particulier, car l’odorat de ce pokémon est très peu développé. Entre ses deux grands yeux, on peut trouver une perle, qui n’a pour le moment aucune utilité, mais qui se développera pour trouver son rôle une fois que le pokémon aura évolué. Enfin, il a deux grandes oreilles, pouvant être assimilée par la forme à des ailes, qui lui permettent d’entendre à des centaines de mètres, et de recevoir les ondes, lorsqu’il est sous l’eau.
Comportement en milieu sauvage : On sait peu de choses sur le comportement des Minidracos sauvages, car ils se font extrêmement discrets, au point qu’ils ont, à l’époque, été nommés « pokémon mirage ». La seule preuve que les pêcheurs avaient de l’existence de ce pokémon, c’était les mues qu’ils retrouvaient sur les rivages, trop grandes pour être celles de pokémons aquatiques connus, comme par exemple les Rosabyss. Avec le temps, la population de Minidraco a drastiquement augmenté, et ce pokémon a été popularisé un peu partout, faisant son nid en toute région. Ce pokémon se nourrit uniquement de végétaux, principalement ceux qu’il peut trouver au fond des lacs/mers/océans, et raffole des petites algues. Minidraco peut passer plusieurs jours sans manger, et est d’un caractère très peureux. Ainsi, s’il voit que son garde-manger végétal est occupé par d’autres pokémons, potentiellement prédateurs, il n’hésitera pas à se tapir au fond de l’eau, caché sous le sable, à attendre que son envahisseur bouge, pour aller manger.
Comportement une fois domestiqué : Une fois domestiqué, le pokémon reprendra le caractère qui est le sien : celui d’un nouveau-né, qui ne voudra pas se séparer de son parent, ou, à défaut, de son dresseur. Il est donc courant de retrouver Minidraco enroulé autour du cou de son dresseur, ou posé sur ses épaules, comme une écharpe. N’ayant pas besoin de se déplacer pour chercher de la nourriture, Minidraco vivra une vie de pacha, passant ses journées à manger et dormir, en attendant de grandir et pouvoir évoluer.
Utilité au combat : Il vaut mieux éviter de faire combattre ce pokémon. Même s’il maîtrise des capacités telles que Draco-Rage, cette dernière ne fonctionnera que contre les adversaires faibles. Ne possédant pas une grande puissance ou couverture de types, il faut mieux attendre que votre pokémon évolue avant de le faire combattre. Autre possibilité, investir en capsules techniques, afin d’augmenter le potentiel de puissance de votre dragon !
Évolution : Minidraco est en constante croissance, c’est pourquoi tous les deux mois environ, il mue, laissant sa peau afin de ne plus être trop serré. En atteignant une certaine taille, il déclenchera son évolution, laissant place à Draco, un pokémon qui lui ressemble beaucoup, mais avec beaucoup de différences.
| #148 Draco | | Type DragonTaille moyenne: 4m. Poids moyen: 17kg. La grâce aquatique. - Description du pokémon:
Description Physique : Que dire ? Un Minidraco en plus long ? Un Minidraco qui aurait piqué son chapeau à Astérix ? Dur dur. Ce pokémon est donc long, presque quatre mètres, pour une largeur de 30 centimètres au plus large de son corps. Pour se déplacer, il rampe. Il nage. Il n’a pas grand-chose pour se défendre. Au bout de sa queue, on retrouve deux orbes massifs, composés d’ivoire, faites pour frapper, avec un balancement de queue. Sur sa tête, il possède une petite corne, lui servant pour les attaques frontales.
Comportement en milieu sauvage : Draco vit dans la mer. Ce pokémon vit en troupeaux, un peu comme des bancs de poissons. Il aime principalement l’eau salée, qui entretient sa peau. En effet, si elle n’est pas exposée à un taux de chlorure de sodium assez élevé, le pokémon va commencer à muer, afin de se refaire une nouvelle peau, toute lisse toute neuve. C’est pour cela qu’on retrouve parfois des mues de Draco le long des plages, là où l’eau manque de sel. Au niveau de l’alimentation, Draco n’est pas compliqué. Algues, petits poissons, il mangera tout ce qu’il trouvera dans l’océan. Ne dépensant pas beaucoup d’énergie pour nager, préférant se laisser porter par les courants marins, il n’a pas besoin de manger énormément. Ce qui est intéressant avec les Draco, c’est leur rite de reproduction. A des dates données et lieux donnés, les troupeaux se rassemblent, et commencent un rite de séduction, où chaque pokémon danse, saute, exécute des arabesques dans l’eau, afin de séduire une possible partenaire. Une fois les couples formés et les Draco fécondées, les couples partent chacun de leur côté, afin de fonder de nouveaux troupeaux.
Comportement une fois domestiqué : La plupart des personnes que l’on voit avec ce pokémon sont les marins. La raison, c’est que Draco est très sensible aux changements météorologiques. Il peut même, grâce à l’énergie contenue dans l’orbe de son cou, faire varier la météo. Evidemment, un Draco seul ne va pas faire passer le temps de la tempête au grand soleil, mais il peut influencer. Notamment, le sens du vent. Si le bateau du marin part dans une direction non-voulue, le pokémon n’a qu’à se concentrer, et il arrivera à réorienter le vent, dans le sens voulu pour amener son dresseur à bon port. On retrouve aussi les Draco chez les coordinateurs, car ce pokémon est réputé pour faire montre d’une grâce sublime. Les mouvements serpentins ont tendance à capter facilement le regard d’un spectateur. Cette technique est notamment utilisée par le maître coordinateur Li Wei Chi, réputé pour faire ses spectacles à l’aide d’un Draco à la peau dorée, une variation chromatique.
Utilité au combat : Bien que pleins de potentiel, les Draco ne sont pas des combattants. Ils préféreront miser sur la défense, restant passifs, tentant de dévier les attaques avec des coups de queue. Pourtant, un dresseur émérite arrivera à faire de son pokémon une machine de guerre. Débordant d’énergie, ce pokémon peut apprendre des attaques surpuissantes, avec une couverture de types très large. Laser-glace, lance-flammes, tonnerre, ultralaser… Ajoutons à ça que sa forme serpentine peut lui permettre d’avoir des mouvements imprévisibles et de se mouvoir afin d’esquiver à sa guise, et on voit que ce pokémon a du potentiel. Le souci d’un Draco combattant, c’est qu’une fois qu’il aura évolué, il devra tout réapprendre. Tout.
Évolution : Oui, oui. Dracolosse est bien l’évolution de Draco. On assiste à un réel phénomène de mue, d’évolution, au point qu’on pourrait croire qu’il manque un chaînon. Une fois évolué, votre pokémon sera de couleur différente, de morphologie différente, tout aura changé.
| #149 Dracolosse | | Type Dragon / VolTaille moyenne: 2m. Poids moyen: 210kg. Le colosse des cieux. - Description du pokémon:
Description Physique : L’évolution de Draco est fulgurante, on ne reconnait pas du tout le pokémon. Tout chez lui a changé. Sa forme, sa taille, sa couleur, tout a changé. Vous faites maintenant face à un stéréotype de dragon bipède. Un long corps renforcé au niveau de l’abdomen, comme la partie blanche du corps de sa pré-évolution. Le reste de sa peau est d’un orange vif, contrastant incroyablement avec le bleu qu’arborait Draco. Le long de son corps, Dracolosse possède deux pattes postérieures, se finissant toutes deux par un trio de griffes, qui lui permettent de se déplacer au sol, en marchant. Un peu plus haut, sur le même schéma, on retrouve deux pattes antérieures, servant de bras, se terminant par des petites mains, chacune montée de trois griffes. Tout comme chez Draco, on retrouve la corne pointue sur la tête, ainsi que les deux excroissances, autrefois étant des ailettes, qui sont maintenant devenue comme des antennes. Enfin, le détail le plus choquant de cette évolution est l’arrivée d’une paire d’ailes, d’un vert profond, permettant au pokémon de se mouvoir dans les airs avec aisance.
Comportement en milieu sauvage : Alors que les Dracos sont très communautaires, les Dracolosses, étant assez peu à évoluer, vivent une vie solitaire, en général dans les grandes étendues aquatiques. Se promenant en suivant les courants du vent, le dragon se nourrit de ce qu’il trouve. Que ce soit des fruits qu’il récolte quand il croise une île, ou des petits pokémons qu’il chasse, Dracolosse saura toujours comment se nourrir. D’un tempérament curieux, ce pokémon passera donc sa vie à se laisser porter par le vent, afin de découvrir de nouveaux lieux, îles, paysages… Plus il aura découvert d’endroit, plus il sera heureux. Cela lui permet aussi d’aider les naufragés. On ne compte plus le nombre de légendes parlant d’équipage perdu dans la brume, ou échoué sur une île, qu’un Dracolosse aura aidé à survivre.
Comportement une fois domestiqué : Un Dracolosse bien dressé peut être considéré comme votre meilleur ami. Première chose à savoir, il détestera être enfermé dans une pokéball. Votre dragon a besoin de soleil et de rester à l’air libre ! Etant extrêmement doués avec la cartographie et l’orientation, ces pokémons sont souvent utilisés comme postiers, pour les dépêches rapides, car une fois que son objectif est bien assimilé, Dracolosse peut voler à une vitesse incroyable. C’est là le principal métier de ce pokémon, quand il n’est pas entraîné pour ses capacités au combat.
Utilité au combat : Ce pokémon est un monstre d’efficacité. Pour peu que vous soyez patient, et que vous acceptiez de mettre un peu d’investissement dans des capsules techniques, vous aurez un pokémon quasi-imbattable. Il sera capable d’utiliser les fameux poings élémentaires, capables de percer les défenses de presque n’importe quel pokémon. Ajoutez à ça ses capacités de type dragon, et vous aurez donc un pokémon capable d’apprendre au moins une capacité de chaque type, qui est à la fois puissant et résistant. Que demander de plus ?
Évolution : Contrairement à d’autres grands dragons (Altaria, Drattak, Carchacrok, Dracaufeu…), il semblerait que Dracolosse ne soit pas capable de performer l’évolution seconde.
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