Invité
| #667 Hélionceau | | Type Feu/Normal Taille moyenne: 60cm. Poids moyen: 13kg. Hakuna Matata.
- Description du pokémon:
Description Physique : Hélionceau se classe dans la catégorie des pokémons quadrupèdes velus. Comme ses nombreux cousins (Malosse, Goupix, Caninos, etc…), il possède tous les attributs de cette classe de pokémons. Quatre petites pattes sans griffe apparente, avec des coussinets au bout pour mieux sentir le sol. Une petite queue touffue, et sur la tête, deux grandes oreilles, qui, dans le cas de ce pokémon, sont toutes rondes, et entourent une crinière orangée. Un peu style keupon. Il faut savoir que c’est dans cette crinière que la chaleur du pokémon se concentre. Plus le Hélionceau est confronté à un danger, plus sa crinière montera en température, afin de donner de l’énergie à tout le corps par un phénomène de calorimétrie. C’est une des illustrations de l’expression « ce qui ne me tue pas me rend plus fort », comme disait Nietzsche.
Comportement en milieu sauvage : On retrouve ce pokémon dans un seul type de biome, la savane. Hors milieux chauds, entre plaines et déserts, vous ne le verrez qu’en zoo, et encore, ce spécimen est rare. On le retrouve en général en meute d’une dizaine d’individus, rarement plus de vingt. Parmi eux, on retrouve un couple dominant, qui est censé être composé de l’individu mâle et de l’individu femelle les plus forts. Ensemble, ces pokémons passeront leurs journées à chasser le petit gibier (le Girafarig étant leur plat favori) et à se prélasser au soleil, allongés sur de gros cailloux. Cependant, il arrive parfois qu’un conflit éclate au sein de la meute. L’individu dissident, selon son sexe, affrontera le ou la chef de la meute. En cas de victoire, le challenger deviendra le nouveau chef. Cependant, en cas d’échec, le pokémon sera exclus, et devra partir seul, afin de créer une nouvelle meute, ou d’en rejoindre une nouvelle. Cela ne dérangera pas outre mesure l’exilé, car ce pokémon supporte très bien la solitude.
Comportement une fois domestiqué : Contrairement à ce que beaucoup de personnes pensent, ce pokémon n’est pas le plus adapté au poste de pokémon de compagnie. En effet, il aura besoin de beaucoup bouger, s’exercer. C’est pourquoi il sera très prisé par les dresseurs et les coordinateurs, qui sauront en tirer tout le potentiel. C’est d’ailleurs avec ce pokémon que Ruven Baldwin, ex-coordinateur et actuel champion de la Ligue Pokémon, a commencé son aventure. Nous citons un extrait d’interview dans lequel il disait : "Les Hélionceau sont beaux, ils sont adorables, tout le monde les aime. Et c'est le bon plan pour draguer les filles." Ce qu’il faut en comprendre c’est que son côté gracieux séduira les coordinateurs, tandis que sa puissance de feu ravira les dresseurs.
Utilité au combat : Et pourtant, sa puissance de feu pourrait être améliorée. Pour le moment, le seul moyen qu’a Hélionceau de libérer son plein potentiel, c’est de se confronter à plus fort que lui. Ce qui est donc très risqué pour lui. Il n’utilisera quasiment à distance que des attaques feu, comme les classiques flammèches et lance-flammes, et se contentera d’utiliser diverses charge et coup d’boule pour le corps à corps. C’est seulement en évoluant qu’il développera des capacités plus puissantes.
Évolution : Et pour faire évoluer ce pokémon, un seul mot : combattre ! Ce pokémon n’a pas d’âge ou de morphologie particulière à atteindre pour évoluer, il suffit qu’il s’en sente prêt. Et pour cela, il suffira de l’entraîner régulièrement, jusqu’à ce qu’il soit assez puissant, et il deviendra un fier Némélios.
| #679 Monorpale | | Type Acier/Spectre Taille moyenne: 80cm. Poids moyen: 2 kg. Ne pas utiliser pour ouvrir des huîtres.
- Description du pokémon:
Description Physique : Une épée sortie de son fourreau. Voilà la première chose à laquelle on pense, lorsqu’on voit ce pokémon. Si on met de côté le fait que ce pokémon ressemble plus à un objet qu’à un être vivant, vous n’y verrez rien de plus qu’une lame. En regardant de plus près, sur la garde de l’épée, on distingue un visage. Un triskèle part du pommeau. Trois cercles placés en triangle. Le plus haut d’entre eux est l’œil unique du Monorpale. Un peu plus bas sur le fourreau, on trouve la bouche du pokémon. Afin de se battre, il se sépare en deux parties. La lame sort du fourreau, qui s’accroche au bout du ruban situé au bout du pommeau. Son corps constitue maintenant son arme, une lame aiguisée de presqu’un mètre de long.
Comportement en milieu sauvage : L’origine de ce pokémon est sujette à de nombreux débats. Certains partent du principe que tout comme un Métang, un Archéomire ou un Magnéti, Monorpale n’est rien de plus qu’un pokémon au corps métallique. Et pourtant, la théorie la plus répandue est beaucoup plus étrange. La plupart des gens s’accorde à dire que ce pokémon nait de la fusion entre une âme défunte, et une épée. Ce qui, je vous l’avouerai, est assez perturbant. N’était pas partisan de la théorie de la dissociation corps/âme, je resterai fidèle à la première théorie, celle du métal vivant. On ne trouve pas vraiment de Monorpale dans la nature. Du moins, pas dans la nature au sens propre. Si vous cherchez ce pokémon, dirigez-vous vers les ruines médiévales les plus proches. Les deux exemples les plus marquant sont à Kalos, près du Palais Chaydeuvre (récemment rénové), et à l’Hôtel Désolation, qui, comme son nom l’indique, est en ruines. Dans les ruines, donc, ce pokémon ne fait pas grand-chose. Il attend. Immobile, prenant la poussière, la patience de ce pokémon est presque infinie. Son but : attirer un humain, qui le prendra pour une relique des temps passés. Et ce, pour mieux le piéger. Une fois la main de l’humain posée sur le pommeau, le Monorpale sortira de son inertie, et d’un coup, enroulera son ruban autour du bras de la pauvre victime, qui, si elle n’arrive pas à se libérer, se fera aspirer sa vie. Une seule solution pour survivre, réussir à se dégager de l’emprise, et surtout, surtout, courir vite.
Comportement une fois domestiqué : Une fois capturé, le comportement du Monorpale change du tout au tout. De pokémon fourbe, il passe à arme loyale. Pour ce pokémon, la capture est considérée comme un acte de soumission. Si le dresseur a réussi à le capturer, c’est qu’il est digne de le mener au combat, afin de remporter richesse et gloire. En gros, si vous avez capturé Monorpale, il obéira à tous vos ordres, peu importe que vous lui demandiez de découper un Magicarpe en sushi, ou bien de couper du beurre (bien que le Monorpale préfère la première option).
Utilité au combat : La puissance à l’état brut. D’un pokémon ressemblant à une arme, on ne peut qu’attendre des performances offensives intéressantes, et c’est justement le cas. Doté d’une attaque ET d’une défense élevée, couplées à un panel diversifié d’attaques, ce pokémon pourra s’adapter à la plupart des situations. Seul bémol, bien que léger, ce pokémon est incroyablement lent. Il faudra donc laisser l’ennemi venir au contact, quitte à le laisser mettre le premier coup.
Évolution Une fois qu’il aura fait couler le sang d’assez d’ennemis, Monorpale pourra se diviser en deux, afin de devenir Dimoclès. Deux lames, pour deux fois plus d’efficacité. Dimoclès, deux lames coupe-tout.
| #700 Nymphali | | Type Fée Taille moyenne : 1m. Poids moyen : 25kg. Pokémon de type "détraqueur sensoriel"
- Description du pokémon:
Description Physique : Comme pour toutes les évolutions d’Evoli, ce pokémon est un quadrupède, à mi-chemin entre le chat et le renard. Pour mettre tout le monde d’accord, nous resterons sur le terme félin. Donc, un pokémon rose. De grandes oreilles, ornées d’une glande ressemblant à un nœud papillon. On retrouve une excroissance identique au niveau du cou. La particularité de ce pokémon réside dans ses rubans. Quatre longs rubans blancs, rayés rose et bleu, partant des nœuds. Le pokémon peut les mouvoir comme il veut, comme deux paires de bras supplémentaires.
Comportement en milieu sauvage : Étant l’évolution d’Evoli, pokémon assez rare, il est presqu’impossible de le trouver à l’état sauvage. Ce pokémon est donc, à l’heure actuelle, exclusivement un pokémon domestique.
Comportement une fois domestiqué : Ce pokémon a une particularité incroyable. Grâce à ses rubans, il peut agir sur quelqu’un. Au niveau mental ET physique. L’effet a l’air de différer selon la personne. Sur tous les sujets de tests jusqu’ici, voici une liste des différents effets observés : joie, apaisement, hilarité, tristesse, peur, regain d’énergie, sommeil. La plupart du temps, l’effet est en fonction de l’état actuel de la personne. Nymphali n’aime pas particulièrement les baies. Il préfère la nourriture pokémon. Si toutefois vous êtes forcés de le nourrir avec des baies, préférez les Kébia ou les Babiri. En plus d’être en forte teneur en fer, elles protégeront le pokémon des attaques auquel il serait faible, en temps normal. Nymphali est très attaché aux gens. Il se lie facilement d’amitié avec les personnes qu’il apprécie, et essaie d’abuser de son pouvoir afin de rendre ces personnes heureuses. Il a constamment besoin d’attention. Si vous êtes un instant distrait par quelque chose, le pokémon se dépêchera d’enrouler ses rubans autour de votre bras, pour vous rappeler sa présence. En somme, un pokémon jaloux.
Utilité au combat : Pour ce qui est de ses aptitudes au combat, il fait partie de la classe très fermée du type fée. Il sera donc très efficace contre les pokémon de type combat, dragon, et surtout, ténèbres. En ayant rencontré quelques-uns, j’ai pu remarquer que Noctali et Nymphali sont toujours en compétition. Mais sur l’aspect combat, l’avantage stratégique revient à Nymphali. Avant tout, Nymphali est résistant. Il est un bon gros malabar, qui sera là pour encaisser les coups à la place des autres pokémon, et les soigner. Un soutien très versatile, bien qu’il puisse aussi être utilisé en tant qu’attaquant, même si ce cas est bien plus rare.
| #701 Brutalibre | | Type Combat/VolTaille moyenne : 80cm. Poids moyen : 22kg. Catch me if you can. - Description du pokémon:
Description Physique : 50% oiseau, 50% humain, 100% combattant. C’est une façon de décrire ce pokémon. Cet oiseau, bien que petit, cache bien des surprises. Étant tout petit, ce pokémon a dû s’adapter pour survivre dans la nature, et ne pas se faire dévorer par les prédateurs. Afin de pouvoir se déplacer en tout milieu, il a développé des jambes et des bras, à l’instar des humains. Les muscles qui s’y trouvent, bien que très fins, sont incroyablement denses, lui permettant d’accomplir des prouesses insoupçonnées, pouvant porter jusqu’à trois fois son poids ! Tout son corps semble taillé pour le combat. Au bout de ses bras, il possède de petites mains dotées de serres, assez pointues pour entamer la carapace de n’importe quel ennemi. Même sa tête est adaptée à la baston. Tout l’avant de son crâne est composé d’un seul et même os, à la pointe acérée, pour mieux picorer son adversaire.
Comportement en milieu sauvage : Les Brutalibré n’ont peur de rien. Ils sont puissants, ils sont intelligents, et ils le savent. C’est entre autre une des raisons qui font que ce pokémon ne s’ennuie jamais. Il a beau être herbivore, et ne se nourrir que de baies, il cherchera en permanence la bagarre. Peu importe qui sera son adversaire, il l’affrontera avec passion, cherchant le beau combat plus que la victoire. Sa petite taille n’est pas un désavantage, loin de là. Il l’utilisera pour faire tourner son adversaire en bourrique… À part ça, le Brutalibré vit une vie solitaire. Toujours à la recherche de plus fort que lui à affronter, on peut retrouver ce pokémon un peu partout, car il n’hésite pas à braver l’inconnu, la météo, et tous les dangers pour explorer le monde.
Comportement une fois domestiqué : Si vous avez réussi à capturer un Brutalibré, ce n’est pas parce que vous êtes le meilleur des dresseurs, c’est ce qu’il faut vous mettre en tête. Si ce pokémon est dans votre pokéball, c’est qu’il vous a jugé digne, et qu’il s’est laissé capturer. Il le sait bien, si un humain cherche à faire de lui son compagnon, c’est qu’il a besoin de son aide pour combattre. Et qui dit combat dit adversaires, avec la possibilité d’affronter des ennemis incroyablement puissants. Le Brutalibré sera donc un pokémon fidèle et protecteur, n’hésitant pas à chercher la baston pour protéger son dresseur. Tout ce qu’il demandera, en échange, ce sera un entraînement intensif, pour, un jour, être l’étoile du ring.
Utilité au combat : Ce pokémon est fait pour le combat. Vous cherchiez un allié ? Vous pourrez difficilement trouver mieux. C’est à croire que tout chez lui est fait pour le combat. Il sait tout faire. Il possède des attaques de nombreux types, lui permettant de pouvoir s’adapter à chaque adversaire qu’il rencontrera. Qu’il faille se la jouer offensif, défensif, il saura quoi faire, et agira en conséquence. Son principal atout, en plus de sa force ? Son agilité. Sa petite taille fait qu’il est particulièrement doué pour combattre les gros pokémons (galeking, steelix, brasegali…), car il pourra esquiver tous les assauts, et contre-attaquer de façon puissante. Bref, un bon choix !
| #714 Sonistrelle | | Type Vol/DragonTaille moyenne: 50cm. Poids moyen: 8kg. Nananananana SONISTRELLEEEE ! - Descripton du pokémon:
Description Physique : À mi-chemin entre Rhinolove et Nosferapti, nous vous présentons ici Sonistrelle. La première chose que l’on voit chez ce pokémon, c’est sa paire d’oreilles, énormes, faisant chacune la taille de la tête du pokémon. Contrastant avec ces énormes ailes, on retrouve une petite paire d’ailes, qui semblent être beaucoup trop faibles pour porter le pokémon. Et pourtant, elles sont composées de fibres très légères mais résistantes, permettant de pousser des grosses masses d’air. Combinées à des muscles articulatoires très puissants, Sonistrelle peut battre des ailes en toutes circonstances, même pris au cœur d’une tempête. Chacune des ailes est munie d’une petite paire de griffes, permettant au pokémon de s’accrocher à un peu n’importe quel support. Les yeux du Sonistrelle, entièrement jaunes, ont beaucoup de mal à voir en extérieur, quand la lumière est trop forte pour eux. Les seuls moments où la vision du pokémon est encore parfaite, c’est au lever et au coucher du soleil, quand la lumière est encore très tamisée. Le reste du temps, il pourra voir, mais aura du mal à appréhender les distances. Enfin, malgré une truffe très développée, il faut savoir que ce pokémon n’a aucun sens de l’odorat. On se demande pourquoi cet organe est si développé.
Comportement en milieu sauvage : Comme nous l’expliquions plus tôt, à cause de sa vue défaillante, le Sonistrelle vit dans des milieux obscurs, principalement les grottes. Ne pouvant pas voir dans le noir complet, comme la plupart des pokémons de type chauve-souris, il se déplace en envoyant des ondes, et en captant les rebonds, comme un sonar. La particularité de ce pokémon vient de ses grandes oreilles. Comme tous les pokémons de sa famille, elles sont très sensibles aux hautes fréquences, et servent donc de sonar. Cependant, elles peuvent elles-mêmes émettre divers types de fréquences, allant jusqu’à des ondes tellement hautes que rien sur Terre ne peut les entendre. Elles suffisent cependant à agir sur les pokémons et les humains, créant une sensation de gêne plus ou moins importante selon la cible. Pour la nourriture, ce pokémon se contente de petits insectes, notamment les Lépidonille et les Chenipotte, qui sont des proies faciles. Sonistrelle sort donc la nuit, profitant de l’inactivité des insectes et de son avantage au niveau de la vision.
Comportement une fois domestiqué : Pourquoi garder ce pokémon en extérieur s’il ne supporte pas la lumière, me demanderez-vous ? Parce que tout peut changer. Vous savez, quand vous êtes d’un coup plongés dans le noir, et qu’il faut attendre que vos yeux s’adaptent à la non-luminosité ambiante pour voir à peu près clairement ? Pour Sonistrelle, c’est pareil, mais sur le long terme. Si votre pokémon est exposé à la lumière, au début à petites doses, ses yeux pourront s’habituer au jour. Une fois qu’il sera habitué à l’extérieur, votre pokémon sera un joyeux compagnon, ne rechignant à rien, aimant jouer, se balader, etc. Sonistrelle est un pokémon simple, toujours prêt à faire tout ce que vous lui demanderez. Ajoutez à ça son excellent sens de l’orientation, couplé à sa capacité à voyager de nuit sans souci, et on comprend pourquoi il était utilisé autrefois comme porteur de messages.
Utilité au combat : Tant qu’il n’a pas évolué, Sonistrelle est plus un pokémon de compagnie qu’un pokémon de combat. Cependant, rien ne vous empêche de commencer à l’entrainer, en prévision de son évolution. Mais ce sera laborieux. La principale arme de Sonistrelle, c’est sa capacité à générer des ondes sonores, pouvant être très désagréables, au point de sonner leur adversaire. Pas de risque pour le dresseur, car le pokémon est capable de choisir la trajectoire des ondes qu’il envoie, afin que le niveau sonore ne soit dérangeant que pour l’adversaire. Autour du point d’impact, il n’y aura qu’une déperdition, qui fera que le temps que les ondes arrivent à vous, vous n’entendrez ni ressentirez quoi que ce soit. Cependant, il faudra ensuite mettre l’ennemi K.O., si les ondes n’ont pas suffi. Et c’est là que ça pêche. A part ses deux griffes minuscules, Sonistrelle ne peut pas frapper. Et ses deux petites griffes, elles ne font pas grand-chose.
Évolution : Pour faire évoluer ce pokémon, pas de recette magique. Seul le temps peut faire le travail. Il faudra attendre que Sonistrelle grandisse, se nourrisse, et à terme, il deviendra un gros Bruyverne, beaucoup plus imposant.
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