AFFRONTEMENT DE HAUT NIVEAU | Fuu est enfin aux portes de la ligue pokémon pour son premier combat après un mois d'entrainement à la suite de l'obtention de son huitième badge.

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Un mois. Un mois s'était passé depuis la fin de la quête des badges de Fuu. Aussitôt son affrontement terminé face à Urup, le champion d'arène d'Auffrac-les-Congères, le jeune homme s'étant enregistré à la ligue pokémon afin de pouvoir affronter ses champions. Ses pokémons et lui avaient-ils le niveau pour espérer devenir les meilleurs ? Loin de là, ils avaient encore beaucoup de chemins à parcourir. Cependant, il s'agissait d'une étape primordiale pour qu'il puisse évaluer son niveau avant de voyager à travers d'autres régions. Bien sûr, il y avait une autre quête en cours qui n'était pas terminée, celle des huit clés. Avec Adélaïde, ils les avaient trouvées, mais les portes du Royaume des Fées resteraient pour le moment fermées en attendant que la jeune femme ne trouve son entrée. De plus, le binôme avait conclu que tant qu'ils n'avaient pas vu un quelconque danger arriver de la part du frère de la jeune femme, ils n'avaient pas besoin de se presser pour chercher à accéder au Royaume des Fées.

Après son enregistrement à la ligue pokémon, Fuu avait obtenu une date pour son premier match, lui offrant ainsi un mois de préparation avant de devoir se rendre à Johto, sa région natale. Si le garçon avait été tenté de rentrer à Sania entre temps, il avait décidé de plutôt rester à Kalos afin de pouvoir s'entrainer. Il savait que s'il retrouvait ses parents et les autres habitants de son village, il aurait eu affaire à bien trop de tentations. Cela avait laissé le temps à Adélaïde de poursuivre ses recherches. Pendant un mois donc, le binôme était resté à Auffrac-les-Congères et finalement, le jour J était arrivé et ils avaient pris un vol pour Johto.

Le QG de la ligue pokémon se trouvait à Ebenelle, une partie de la région que Fuu n'avait encore jamais visité. Il faut dire que même s'il en était originaire, Johto restait un mystère pour le dresseur. Il avait seulement eu l'opportunité, par le passé, de visiter Rosalia, proche de son village natal et bien évidemment Doublonville pour s'être rendu à son aéroport.

« Félicitations pour votre enregistrement Monsieur Tadokoro. Merci de prendre vos quartiers au centre pokémon adjacent au QG. Une chambre vous y a été réservée. » Les yeux du garçon brillèrent face aux informations de son interlocutrice. L'hôtesse d'accueil lui indiqua sur une carte où se trouvait le centre pokémon et avec Adélaïde ils s'y rendirent. Vingt-quatre heures le séparait de son premier combat et depuis son arrivée, Fuu avait vu de nombreux panneaux numériques annonçant son combat avec son nom écrit en grand.

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DEMANDE DE MODÉRATION : Première Ligue pour Fuu – Combat n°1 en 2vs2

Équipe Pokémon:

AFFRONTEMENT DE HAUT NIVEAU | Fuu est enfin aux portes de la ligue pokémon pour son premier combat après un mois d'entrainement à la suite de l'obtention de son huitième badge.

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Fuu lâcha un fort bâillement à la table du petit déjeuner. Il était seul avec sa Roussil, Houka, assise face à lui. Il s'était échappé de sa chambre discrètement, laissant Adélaïde dormir, tandis que le reste de ses pokémons se reposait dans leur pokéball respective. Le jeune homme s'était servi une tasse de thé en attendant une heure plus convenable pour le petit déjeuner, mais cela faisait bien longtemps que la tasse ne fumait plus bien qu'elle soit toujours quasi pleine. Le garçon contemplait un carnet de notes qu'il avait ouvert un mois plus tôt lorsqu'il avait commencé à réfléchir à ses combats pour la ligue. Il se frotta les cheveux de frustration et soupira avant de s'affaler sur la table. Houka tendit la patte pour lui tapoter la tête.

« Tu sais, tu ne devrais pas te prendre la tête. » lança alors Adélaïde d'une voix douce, arrivant dans la salle de restaurant avant qu'elle ne se mette à bâiller à son tour. Il n'était qu'à peine sept heures du matin et le combat de Fuu n'aurait pas lieu avant quatorze heures. « Comment t'es tu débrouillé dans tes arènes jusqu'ici ? Est-ce que tu as essayé de tout prévoir en avance ? » demanda-t-elle. Fuu jeta un regard à ses notes puis releva la tête vers Adélaïde et répondit d'un signe négatif de la tête. « J'ai juste fait confiance à mes pokémons et je me suis adapté en fonction de mon adversaire. » expliqua-t-il. Elle esquissa un sourire. « Exactement. Alors continues comme ça. » Elle posa une main sur l'épaule de son ami et ajouta : « Mais pour cela il te faut un estomac bien rempli ou ton cerveau n'arrivera pas à fonctionner. » L'idée d'un bon petit déjeuner dessina un sourire sur le visage du garçon qui se leva du banc aussitôt. « Tu as raison ! Je vais m'en occuper. On va manger un petit déjeuner de champion ! » lança-t-il avec excitation. Adélaïde avait eu raison. Étudier n'avait jamais été le point fort de Fuu non plus, il faisait confiance à son instinct dans ces moments là et ça lui avait toujours servi. Les combats n'avaient jamais été aisés, mais tant que ses pokémons et lui faisaient de leur mieux, ils savaient qu'ils passeraient un bon moment.

(Je choisis le numéro 6 !)

C'est avec une certaine inquiétude que je scrolle sur la page Instagram de ma petite sœur. Depuis qu'elle est petite, Pia a toujours voulu m'imiter. De plus en plus au fur et à mesure que je devenais célèbre, jusqu'à faire de moi sa star numéro 1 après ma prise de poste en tant que Championne à la Ligue. Bien sûr, j'en suis flattée, le problème c'est que ses imitations ne sont pas réfléchies et que, de mon point de vue, elle risque de se mettre en danger. C'est ce que je vois à travers ses photos, en tout cas. Par exemple, elle ne pense pas assez au décor. J'ai beau lui rabâcher, elle laisse beaucoup trop d'indices être visibles sur ces clichés. Dans une de ses publications récentes, elle pose dans une nouvelle robe devant le parc de la résidence où je paye à ma famille un grand appartement. Bien sûr, j'ai tout fait pour que l'adresse ne soit connue de personne, afin qu'ils ne se fassent pas embêter sous prétexte qu'ils soient mes proches. Seulement, dans la photo de Pia, il y a en fond des bâtiments plutôt reconnaissables de Volucité. A partir de ça, nul doute que des personnes assez acharnées pourraient deviner l'adresse de la résidence. Bien sûr, cela ne leur indiquerait pas dans quel appartement vit ma famille, mais c'est déjà trop.
J'ai déjà essayé de parler de tout ça à Pia, mais je n'ai pas l'impression qu'elle m'ait écouté. En tout cas, elle n'a pas tout compris. Quand j'ai réitéré, j'ai cru comprendre que je commençais à l'agacer alors je n'ai pas encore insisté. Peut-être que je devrais, même si elle est en train de bien commencer sa crise d'adolescence et risque fort de s'énerver. La vérité c'est que je ne sais pas quoi faire. C'est rare, maintenant, surtout en ce qui concerne ma famille. Mes relations sont également en train de devenir tendues avec Benett. Il n'en dit rien, mais je le sens. Que se passe-t-il dans ma fratrie ? Qu'ais-je fait de mal ? Que puis-je faire pour arranger les choses ?

Je suis affalée dans mon canapé, sur le dos, en train de fixer les photos Inta de ma petite sœur quand on toque à la porte de mon appartement. C'est Tomiko qui se permet d'entrer car j'ai laissé la porte déverrouillée exprès pour elle. Je savais qu'elle allait venir puisque j'ai été sélectionner pour assurer l'affrontement de demain. Un combat de niveau Ligue 1, contre un challenger nommé Fuu Tadokoro. J'ai déjà regardé ses derniers matchs d'arène, son équipe est atypique mais il a l'air de bien s'en sortir. C'est rare de voir un dresseur se présenter à la Ligue avec dans son équipe un pokémon qui n'est pas à son stade final d'évolution. Je ne l'ai encore jamais vécu, en tout cas.
Mon agente se plante à côté du canapé, songeuse.

- J'imagine que si je te trouve comme ça, c'est que tu as déjà préparé le combat de demain ?, je hausse les épaules. La vérité, c'est que j'ai fait le travail à moitié. Je n'arrive pas à me mettre dedans, à cause de mes frères et sœurs. Qu'est-ce qu'il se passe ?
- Je me rends compte que ça va pas être si facile de protéger ma famille des connards dégénérés qui se trouvent parmi les fans et les haters. Ils se rendent pas compte... Pourtant je leur ai donné des exemples ! Faits réels et tout !
- Hmm..., elle s'accroupit pour être à ma hauteur. Tomiko et moi sommes plus proches ces derniers temps, je crois qu'elle essaye de se placer comme une grande sœur, puisque je ne la laisse pas se positionner en figure d'autorité d'agente comme elle le souhaitais au départ. Malheureusement, les gens ont tendance à penser que ça n'arrive qu'aux autres. Cependant, je pense aussi que tu fais de ton mieux pour eux. Tu n'es pas la seule à devoir prendre des responsabilités.
- Ca reste à cause de moi...

Nous discutons du sujet pendant quelques minutes, la position de mon agente me mettant mal à l'aise. Je n'ai jamais aimé que l'on me pointe que ce n'est pas à moi de m'occuper de toute ma famille, parents compris, et d'être responsable à leur place. C'est le rôle dans lequel ils m'ont toujours placée, celui dans lequel j'assure. Sans ça, je ne saurais pas ce qu'est ma place. Je finis donc par couper court :

- Bon, on bosse sinon ? Je t'attendais pour ça, moi !

Je me redresse d'un coup, jette mon téléphone à l'autre bout du canapé et m'en vais vers le bureau que j'ai installé dans une pièce adjacente à la principale. Tomiko pousse un soupir, mais elle consent à me suivre et nous nous mettons, pendant quelques heures, à travailler sur ma stratégie pour le combat du lendemain. Je pourrais le faire toute seule, mais ça m'aide à me changer les idées de la laisser participer.

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En coulisse, on me prépare. J'ai vite pris l'habitude, et maintenant c'est un moment de plaisir. J'adore me voir si belle dans le miroir sans avoir besoin d'avoir recours à des effets de lumière et autres petites tricheries que j'utilise parfois pour mes publications sur les réseaux. Aujourd'hui, mon combat est en collaboration avec une marque de vêtements qui cherche à promouvoir sa dernière collection. Je porte donc une de leur robes, noire, qui s'arrête au-dessus de genou. L'astuce, pour pouvoir porter ça en combat, c'est que le haut de la jupe est assez serré pour que même une attaque tornade ne permette pas de la faire s'envoler. Elle n'a pas de manches. Au départ, il est prévu qu'elle soit seulement accessoirisée par quelques bijoux, mais j'exige de couvrir ma jambe brûlée. Jamais je ne l'exposerai en combat. L'équipe de stylistes décide donc d'y ajouter une touche de modernité en m'habillant d'une jambe de collant sur la jambe à dissimuler, et un gant qui couvre de la main à l'épaule le bras qui y est opposé. Ca me plaît beaucoup !
Ils remontent mes cheveux en une queue de cheval qu'ils s'appliquent à faire onduler – je m'étonne toujours de ce qu'ils sont capables de faire avec ma tignasse. Pour finir, j'enfile les bottines noires aux semelles dorées, rappel à mes cheveux, et me voilà prête à me diriger vers l'arène.
Touche finale, lorsque je suis devant les portes, je laisse sortir Plancha de sa pokéball pour qu'elle m'accompagne lors de mon entrée sur le terrain.

Comme à chaque fois, la foule acclame challengeur et championne lors de notre entrée dans le stade. Devant nous s'étale mon terrain habituel : de la terre sèche et de grandes roches aux formes diverses. Le public anticipe peut-être déjà ses futures transformation, il n'est pas rare que le sol se change en boue et que les roches s'effondrent au cours du combat. Ce sont des caractéristiques que j'ai voulu, pour donner plus de peps et d'animation aux affrontements. C'est sûrement un calvaire pour les techniciens, mais on ne m'a encore fait aucune remarque.
Je m'avance sur le terrain pour aller rencontrer le challenger et lui serrer la main. Je n'y avais pas pensé avant, les talons aiguilles de mes bottines rendent un peu difficile le déplacement sur la terre craquelée. Heureusement, Plancha est avec moi et je peux faire mine de la caresser alors qu'elle me sert d'appui en cas de besoin. Je finis par rejoindre Fuu Tadokoro pour lui serrer la main.

- Hello Monsieur Tadokoro !, je lui adresse mon grand sourire habituel. Il a l'air dans la tranche d'âge jeune pour un challenger, ça me rappelle un peu moi. Bienvenue à la Ligue. Moi c'est Kalinka, je serai votre premier adversaire lors de ce challenge. Et elle c'est Plancha Ma scolocendre gonfle ses flammes faciales pour faire la belle. Je ris. J'espère que vous n'êtes pas trop stressé !

Les présentations faîtes, Plancha et moi rejoignons notre côté du terrain. Une fois installée, je me sers de l'oreillette pour parler directement au challenger, lui montrant ainsi le fonctionnement concret de cet outil.

- Quelque chose me dit qu'on va bien s'amuser ! J'ai vraiment hâte de découvrir votre équipe.

Maintenant, il ne nous reste plus qu'à attendre le signal de l'arbitre pour commencer. J'ai hâte de me lancer totalement dans le combat, et oublier tout le reste !

EQUIPE:

AFFRONTEMENT DE HAUT NIVEAU | Fuu est enfin aux portes de la ligue pokémon pour son premier combat après un mois d'entrainement à la suite de l'obtention de son huitième badge.

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Les exclamations du public étaient audibles depuis les coulisses du stade de la ligue où Fuu se trouvait à présent, le coeur battant à cent à l'heure. Adélaïde et lui s'étaient séparés car la jeune femme devait à présent trouver sa place dans les tribunes. Houka était la seule aux côtés de son dresseur et la Roussil apparaissait aussi inquiète que lui. Lorsque Fuu s'en rendit compte, il prit une profonde inspiration. « Je suis désolé Houka, je ne devrais pas laisser mes nerfs t'affecter. Faisons de notre mieux d'accord ? » dit-il au pokémon feu. La renarde acquiesça d'un signe de tête. Il existait exactement sept champions à la ligue pokémon et Fuu allait devoir l'emporter contre deux d'entre eux s'il voulait rejoindre la liste des vainqueurs de la première ligue. Si, dans le futur, il souhaitait les réaffronter, il avait l'opportunité de le faire à trois autres reprises à condition de réunir à chaque fois huit badges d'une région en sachant que les champions d'arènes seraient moins cléments à son égard.

Le garçon n'avait pas encore pensé au futur cela dit. Il se rendait à peine compte du chemin qu'il avait parcouru et qui les avait menés, ses pokémons et lui, jusqu'ici. « Monsieur Tadokoro c'est à vous. » annonça la voix d'un employé de la ligue au garçon. « D'ACCORD ! » lança-t-il un peu trop fort, les nerfs cherchant par tous les moyens à prendre possession de son corps. Il prit une nouvelle profonde inspiration. Gagner ou perdre, cela n'avait que peu d'importance pour Fuu. Il était arrivé ici dans le but de se challenger, mais aussi de le faire en s'amusant. S'ils échouaient, ils n'auraient qu'à retenter leur chance une autre fois.

Les spectateurs acclamèrent l'arrivée de Fuu dans le stade. Dans un premier temps le jeune homme tenta de chercher du regard sa camarade, mais la foule importante de personnes dans les tribunes rendit cette tâche impossible. Il posa ensuite les yeux sur le terrain face à lui. Il avait entendu dire que le terrain changeait en fonction des champions affrontés et celui-ci était fait de terre et d'imposants rochers. Son précédent combat contre Urup à l'arène d'Auffrac-les-Congères lui avait permis d'apprendre à s'adapter au terrain choisi par ses adversaires et il espérait pouvoir tirer avantage de ce nouveau terrain qu'on lui imposait.

Enfin, son adversaire entra face à lui sous des acclamations bien plus fortes encore, signes de la popularité de la championne Kalinka Hollowell. Fuu l'observa s'avancer sur le terrain et c'est seulement lorsqu'on lui donna une petite tape dans le dos, un autre employé de la ligue, qu'il remarqua qu'il devait faire de même. Il se pressa sur le terrain en terre, suivie par sa Roussil, tandis qu'aux côtés de la championne de type insecte et sol, se tenait un imposant pokémon dont la moustache croisée flamboyait. Dans un autre contexte Fuu aurait déjà utilisé son pokédex pour identifier la créature, mais il essayait déjà de réduire l'écart entre la championne et lui pour rapidement arriver à sa hauteur après son retard.

Les muscles de Fuu se détendirent face au grand sourire de son adversaire. Il esquissa un grand sourire à son tour. « Bonjour Madame ! » s'exclama-t-il en retour. Pourtant elle n'était pas bien plus âgée que lui, mais elle l'avait appelé monsieur et c'était venu automatiquement. « Merci et euh... Je m'appelle Fuu et c'est Houka. » dit-il en présentant sa Roussil. La renarde jaugeait du regard le Scolocendre dont les flammes gonflèrent de manière impressionnante. « Un peu stressé je vous l'avoue quand même. Et euh si je vous appelle Kalinka vous pouvez m'appeler Fuu. Monsieur Tadokoro c'est plutôt mon père. Enfin le village l'appelle surtout par son prénom, mais peut-être les étrangers l'appellent Monsieur Tadokoro... enfin c'est vous qui voyez ! » tenta-t-il d'expliquer le stress reprenant légèrement le dessus sur lui. Fuu n'avait jamais été du genre à se laisser prendre par le stress, mais à situation exceptionnelle, comportement inhabituel. Il prit une profonde inspiration et tenta de faire le vide dans son esprit alors qu'ils furent invités à occuper chacun le côté du terrain qui leur était destiné. Puis, soudainement, les derniers mots de Kalinka résonnèrent alors dans l'oreillette qui lui avait été installée avant son entrée sur le terrain. « Oui, je suis sûr qu'on va bien s'amuser ! » répondit-il aussitôt avec bien plus de confiance. Les mots de la championne semblaient avoir eu un effet magique en lui car le stress avait soudainement disparu pour laisser place à l'excitation, comme un enfant s'apprêtant à grimper dans une attraction. Ses pokémons et lui allaient s'amuser, il en était sûr.

(Pokémons envoyés)

« Mesdames, mesdemoiselles, messieurs, nous sommes aujourd'hui réunis pour assister à un match de Ligue qui s'annonce DANTESQUE ! D'un côté, la joie de vivre incarnée, la positive attitude...Kalinka Hollowell ! »

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Kalinka envoie sur le terrain Rosetta (Tutétékri) ainsi que Spinner (Kaorine) !

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« Et de l'autre côté, non pas des moindres, notre jeune Challenger qui nous vient tout droit de la région de Johto, j'ai nommé...le FUUlgurant...Fuu Tadokoro ! »

Fuu envoie sur le terrain Hannya (Mimiqui) et Mimizu (Charmillon) !

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Les jeux sont faits, rien ne va plus ! Que le meilleur gagne !

• Kaorine lance partage force sur Mimiqui.
• Tutétékri lance partage force sur Charmillon.

EQUIPE:

Kaorine utilise partage force sur Mimiqui.
Il partage équitablement les forces des deux Pokémon !
Nouvelle ATK Kaorine & Mimiqui : 142
Nouvelle ATK S Kaorine & Mimiqui : 125

Tutétékri utilise partage force sur Charmillon S.
Elle partage équitablement les forces des deux Pokémon !
Nouvelle ATK Tutétékri & Charmillon S : 146
Nouvelle ATK S Tutétékri & Charmillon S : 170

Nouvelle ATK : 142
Nouvelle ATK S : 125

Nouvelle ATK : 146
Nouvelle ATK S : 170

Nouvelle ATK : 146
Nouvelle ATK S : 170

• Scolocendre lance fouet de feu sur Charmillon.
• Tutétékri lance ball'ombre sur Mimiqui.

EQUIPE:

HANNYA Mimiqui F | niv. 66 lance Photocopie sur Scolocendre (Copie la dernière capacité lancée et la cible sera Scolocendre) 2 combats restants

Histoire & Statistiques du pokémon:

MOCHI Cupcanaille M | niv. 67 se prend l'attaque de Scolocendre 2 combats restants

Histoire & Statistiques du pokémon:

« Craignant pour son papillon de lumière, le challenger rappelle Charmillon S et le remplace par Cupcanaille S ! Ça donne faim... »

Scolocendre-G utilise fouet de feu sur Cupcanaille S. (72, pas de cc)
(- 54 PV)
PV Cupcanaille S : 90/144
La défense de Cupcanaille S baisse !
Nouvelle DEF Cupcanaille S : 99

Tutétékri utilise ball'ombre sur Mimiqui. (75, pas de cc, 33, pas d'effet)
(- 87 PV) C'est super efficace !
PV Mimiqui : 29/116

Nouvelle ATK : 142
Nouvelle ATK S : 125

Nouvelle DEF : 99

Nouvelle ATK : 146
Nouvelle ATK S : 170

Nouvelle DEF : 93

HANNYA Mimiqui F | niv. 66 lance Martobois sur Tutétékri (Puiss.120, type plante, le lanceur perd 1/3 des dégâts infligés à la cible) 2 combats restants

Histoire & Statistiques du pokémon:

MOCHI Cupcanaille M | niv. 67 lance Surf (Puiss.90, type eau, touche toutes les cibles) 2 combats restants

Histoire & Statistiques du pokémon: