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» Un sens extraordinaire de l'immensité des possibilités

Tori Yamazaki

Tori Yamazaki
Dresseur Alola

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Dim 27 Fév 2022 - 12:57

• Un sens extraordinaire de l'immensité des possibilités •

// Localisation : Paradis Æther

duo ft. Amyra Richards



Il n’avait pas été dans les plans de Tori de se rendre au Paradis Æther ce jour-là ; entre trouver des petits boulots pour financer les voyages qu’il comptait faire à Kantô, Hoenn et Galar pour sa thèse et préparer ces derniers, il avait largement de quoi faire. Néanmoins, lorsque Joffrey l’avait incité à venir « rencontrer » le Zoroark que la Fondation venait de récupérer, sa curiosité avait été piquée. Peu de temps de réflexion avait été nécessaire pour prendre sa décision. À vrai dire, il n’avait pas eu à réfléchir. Joffrey n’avait pas eu à attendre plus de dix secondes pour recevoir une réponse positive de Tori.

Ce fut donc ainsi que le rouquin prit un petit ferry depuis Malié pour se rendre au Paradis Æther. Bien que ce ne fût pas une mince affaire, il parvint à négocier pour ne pas avoir à payer. Comme quoi, avoir des contacts de la Fondation – enfin, un seul – avait ses intérêts.

Le voyage se passa sans encombre, Tori occupant le temps en étudiant les plans de la structure. S’il nota quelque chose durant son trajet, ce fut qu’il y avait eu peu de personnes sur le bateau. Toutefois, une fois qu’ils quittèrent l’embarcadère pour rejoindre le rez-de-chaussée, la même chose ne pouvait plus être dite. Si les quelques d’employés qui géraient la réception semblaient calmes et accueillaient correctement les visiteurs, il suffisait de regarder au-dessus de leurs épaules pour en voir d’autres s’activer dans le fond. Tori pêcha son téléphone de sa poche.



Hey Joffrey. Je suis arrivé, il se passe quoi ?
10:03
Une Scorplane a besoin de prothèses pour ses ailes (en partie arrachées par des braconniers) mais elle donne aux autres du fil à retordre, on m’a dit. Ils n’arrivent pas à l’attraper.
10:04
Tu n’es pas avec eux ?
10:04
Non, je suis au labo avec le Zoroark. La Scorplane est quelque part dans la réserve, si tu veux leur donner un coup de main avant de me rejoindre.
10:04
Seulement si on me laisse prendre le ferry du retour gratuitement après ça
10:05
Je vais m’arranger pour ça.
10:05


Il n’en fallait guère plus pour motiver Tori à faire preuve de son fameux « altruisme ». Il s’approcha de la réception avec son plus beau sourire et s’adressa à la femme qui lui faisait face, jusque-là occupée à dissuader les quelques visiteurs de se rendre dans la réserve à cause d’un imprévu. Il espérait que les employés se connaissaient suffisamment pour qu’il n’eût pas à trop batailler. Un simple : « Monsieur Huet m’a tout raconté. Je peux aider à la contention du Scorplane récalcitrant si vous me laissez passer. » se révéla être suffisant. Elle sembla surprise, mais effectivement, elle le laissa procéder après un court échange et quelques modalités. Bien qu’il n’eût jamais mis les pieds au Paradis Æther, Tori s’y déplaçait avec l’assurance d’une personne qui y travaillait. C’était bien évidemment du bluff, mais personne ne chercha à l’arrêter.

Ce fut sans peine qu’il repéra le groupe d’employés chargés de récupérer la Scorplane ; ils s’étaient tous agglutinés sur un des ponts qui traversaient la réserve, quelques-uns pointaient un arbre en contrebas. Tori remarqua surtout la présence d’une femme qui, comme lui, ne portait pas l’uniforme. Il s’approcha du groupe. « Bonjour, je suis Tori Yamazaki. C’est Huet qui m’envoie. »



(542 mots)



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Amyra Richards

Amyra Richards
Dresseur Kalos

C-GEAR
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Messages : 691

Région : Kalos
Lun 13 Mar 2023 - 20:02
J'entretiens une relation d'amour-haine envers Alola et ses îles paradisiaques.
Le lieu de ma descente aux enfers, mais également celui de ma renaissance.
Accoudée à la rembarde du traversier, je contemple les flots hostiles qui s'étendent à perte de vue et que seule la découpe lointaine de Mele-Mele entache.
Sous ces vagues existent des monstruosités qui hantent encore mes rêves, les transformant en cauchemars surréels ponctués de spasmes et de sueurs froides.
Fort heureusement pour moi, je ne vois pas l'ombre d'un aileron fendre la surface.

Lorsque nous arrivons au port de la fondation, je sens un espèce de soulagement m'envahir.
Je récupère mes deux mallettes de cuir et descend sur l'un des quais de l'embarcadère, aidée par le capitaine qui se fait un point d'honneur à me partager sa galanterie de vieux loup de mer.
Je le remercie chaudement avant de rejoindre l'un des employés portant le fameux uniforme blanc, qui m'attend sagement un peu plus loin.
Mon comité d'accueil, mon escorte de bienvenue.
Les yeux et les oreilles de celui qui a commandité la toute dernière création de la Metalex Corp.
À côté de lui, coincée dans mon tailleur gris foncé, mes cheveux lissés vers l'arrière et retenus par une broche en or représentant une aile d'artikodin, je passerais presque pour une excentrique.

Le trajet se fait en silence.
Je garde mes précieuses questions pour une personne capable d'y répondre.
Ce n'est pas la pensée la plus aimable, mais elle est courante dans le monde des affaires.
Et aujourd'hui, je ne me déplace pas simplement par courtoisie.

Notre passage dans la zone d'entrée est de courte durée ; j'y valide mon identité ainsi que les raisons de ma venue, puis obtient un passe journalier qui me confère l'accès à divers lieux et étages, dont celui de la réserve.
J'écoute, attentive, aux directives et aux règles de bienséances imposées par la maison.
Rien de tout ce charabia explicatif ne sort de l'ordinaire.
J'acquiesce donc et appose ma signature la plus soignée au bas de la page d'un livret, agréant à respecter le code de conduite et à maintenir le secret professionnel.
Ne rien divulguer à l'extérieur de ces hauts murs blancs, presque sinistres dans leur pureté et leur sobriété.

Un tour d'ascenseur plus tard et me voilà au premier étage.
Je ne fais pas deux pas qu'une voix m'interpelle ; je reconnais celle avec qui j'ai longuement conversé au téléphone ou par le biais de vidéo-conférence au courant des dernières semaines.
Trois inconnus l'encadrent, tous porteurs de la tenue classique des travailleurs plus hauts-gradés de la fondation.
S'en suivent des poignées de main et des accolades, des paroles aimables et des questions banales liées à mon voyage jusqu'à l'archipel.
Je peux sentir les regards s'abaisser de temps à autres vers mes jambes.
La curiosité habituelle.


- Laissez-nous vous montrer votre client.

Mes lèvres frémissent légèrement face à ce terme.
Ce ne sont pourtant pas les pokémons qui déboursent des sommes faramineuses pour obtenir les pièces issues de la technologie dernier cri créées par ma compagnie.
Je résiste à l'envie de commenter et je me contente d'emboîter le pas à mes hôtes.


- Et que fait-il encore dans la réserve ? Que je demande alors que nous traversons un pont, puis un second, avant de nous arrêter au-dessus d'une zone boisée à la végétation dense.

- Disons qu'il nous donne un peu de fil à retordre. Mais pas d'inquiétudes, nous avons fait appel à des renforts pour le sortir de son arbre sans créer de nouveaux traumatismes.

En contre-bas, des feuilles remuent.
Des doigts se pointent en direction des taches violacées qui s'y déplacent, camouflées parmi la végétation ; même si nous ne le voyons pas complètement, nous savons que le scorplane se trouve dans le plus imposant des arbres.
Nous restons là à discuter de la condition de la créature et de son manque de collaboration évident, avant qu'un nouvel arrivant ne se faufile jusqu'à nous.


Tori Yamazaki.

Je me tourne vers le jeune homme et l'observe longuement, alors que les employés l'invitent à s'approcher.
Je note que, comme moi, il est habillé comme un civil - mais nettement plus décontracté.
Était-ce lui, l'aide mystérieuse pour attraper le scorpion ailé ?


- Bien, bien. Je vous présente madame Richards, présidente de la Metalex Corp et chargée du projet pour redonner une meilleure qualité de vie à notre blessé.
- Vous pouvez m'appeler Amyra.

Je tends la main en direction de Tori, avide de voir s'il est de ceux qui serrent avec force et assurance ou de ceux qui sont aussi mous et désarticulés qu'un pantin.
Cette première impression est cruciale et déterminera comment je le traiterais.


- Comment comptez-vous faire pour l'attirer ? Vous êtes dresseur ?

J'attaque direct avec un interrogatoire surprise.
Je n'ai pas envie de perdre mon temps précieux avec un amateur.



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Tori Yamazaki

Tori Yamazaki
Dresseur Alola

C-GEAR
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Messages : 1672

Région : Alola
Lun 24 Avr 2023 - 19:56


Tori sentit les poils de sa nuque se hérisser sous le regard insistant de la femme, alors qu’un des employés haut-gradés qui la flanquaient s’assura de faire les présentations. Amyra Richards, présidente de la Metalex Corp. Une personne importante, de toute évidence, et qui appartenait à un monde totalement différent du sien, si ses vêtements chics étaient d’une quelconque indication. Ils contrastaient avec le style décontracté qu’il portait lui-même, un jean bleu ciel et simple T-shirt noir imprimé d’un motif tropical et stylisé de Mentali et de Noctali. Le fossé entre leur statut mit Tori immédiatement sur ses gardes. Il se sentait scruté, examiné d’une manière pernicieusement familière lui rappelant son adolescence. Sa main tressaillit, rémanence d’une tentative avortée de vérification de la compression exercée sur son torse par son binder. À la place, il serra un peu trop fermement la main qui lui était tendue dans sa nervosité. Il espérait que la surface de la sienne n’était pas trop moite. « Enchanté, Amyra. » Il ne l’était pas vraiment, bien que la promesse qu’elle pût aider la Scorplane l’intriguait. Malgré un désir de faire bonne impression, une curiosité dans sa périphérie le conduisit à briser brièvement le contact visuel pour y jeter un coup d’œil : les jambes de la présidente, des prothèses. Il n’eut cependant pas le temps de s’y attarder plus amplement.

À peine se lâchèrent-ils la main que la femme l’interrogea sur la raison de sa présence, et sur la façon dont il comptait procéder. En vérité, il n’en avait strictement aucune idée ; il n’était venu qu’à la suggestion de Joffrey, sur un coup de tête, sans aucune préparation. Pas que cela l’eût arrêté par le passé ; il saurait s’adapter. « Je suis bien dresseur, légalement parlant, » mais en termes d’expérience ? Il n’avait pas grand-chose à offrir. Il avait réalisé les démarches administratives peu de temps après son installation à Alola, alors que son chemin avait croisé celui d’un Flamiaou abandonné. La loi dictait que seuls les détenteurs d’une carte dresseur, ou d’une carte coordinateur, pouvaient prendre à leur charge un Pokémon dit « partenaire » ou « starter », là où un certain nombre d’autres espèces pouvaient être détenues comme Pokémon de compagnie. De ce qu’il avait compris, il s’agissait davantage d’une question de traçabilité que de sécurité des personnes ; il n’était pas question de laisser ces espèces domestiques proliférer de façon incontrôlée dans la nature. La réglementation et les amendes n’avaient malheureusement eu qu’un effet limité. À en croire Joffrey, une proportion non-négligeable des abandons illégaux et incessants qui rongeaient la société avait conduit au développement de petites populations de starters féraux, populations devenues semi-endémiques dans toutes les régions. Un véritable fléau qui posait un risque génétique aux Pokémon sauvages.

Tori se pencha, pensif, sur la rambarde du pont, les yeux posés sur l’arbre qui abritait la Scorplane. Son cuir foncé lui permettait de se fondre avec aise dans la végétation ; seule la connaissance qu’elle s’y trouvait permettait de l’y déceler. « Étant donné que la faire descendre de force risque simplement de la stresser davantage, j’imagine que l’on devrait essayer de la faire prendre cette initiative seule, avec des personnes prêtes à l’intercepter en bas. » Une supposition éclairée ; il ne pouvait imaginer d’autres raisons pour justifier l’inaction des employés initialement chargés de la récupérer. Les acquiescements qui suivirent son intervention le confirmèrent. Tori se tourna pour faire de nouveau face à Amyra, une idée se formant déjà dans son esprit. Rien ne pouvait garantir que cela allait fonctionner, mais il n’y avait pas de raison d’abandonner avant d’avoir essayé. « Les Scorplane sont de type Sol, la plupart ont donc l’eau en horreur. Peut-être que si l’on venait à l’asperger depuis une position élevée, notre récalcitrante aurait envie de se mettre à l’abri au sol. La végétation abondante qui l’entourait risquait cependant de la protéger de la pluie artificielle. En revanche, il faudrait probablement tailler un peu l’arbre avant de pouvoir tenter ça, si c’est possible. » On le lui confirma. Tori passa alors son sac à dos devant et en sortit une Poké Ball, qu’il montra à ses interlocuteurs. J’ai une Mustébouée qui peut se charger de l’arroser avec Tourniquet. » Tori n’avait pas pour habitude de prendre Éthanol avec lui. Il la laissait généralement au studio lorsqu’il ne s’absentait pas longtemps, mais finalement, il avait bien fait de suivre son intuition ce jour-là. « Je peux bien lui demander d’utiliser Sonicboom pour débroussailler, mais ce n’est pas ce qu’il y a de plus précis. Je ne voudrais pas blesser la Scorplane davantage. Est-ce que l’un d’entre vous possède un Pokémon qui puisse faire l’affaire ? » S’ils n’avaient pas d’autres choix, Tori ne doutait pas qu’Éthanol saurait être prudente, mais il préférait ne pas trop parier là-dessus.




(809 mots)



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Amyra Richards

Amyra Richards
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Dim 4 Juin 2023 - 14:55
Je fronce imperceptiblement des sourcils en sentant la pression sur ma main s'accentuer, la poigne frôlant la limite de l'inconfort ; j'espère que ce jeune homme ne compte pas me broyer volontairement les doigts ni essayer de dominer cet échange, car il risque de se retrouver face à une adversaire coriace qui n'en démord pas aussi facilement.
Je dénote cependant une légère moiteur, liée soit à la nervosité de participer à un projet de cette envergure, soit au climat tempéré maintenu en permanence dans la réserve et qui, parfois, provoque quelques sueurs passagères.


- C'est ce que j'espérais.

Je réplique d'un ton neutre, sans cesser de le dévisager de mon regard acéré.
Je ne sais pas si la remarque sur la légalité de son rang était nécessaire, mais j'apprécie son honnêteté.
Il est vrai que certains dresseurs choisissent de se tremper les pieds dans les eaux troubles des activités illicites ou de s'acoquiner avec des organisations et des associations à la réputation peu flatteuse.
Des nids à problèmes.
Et avec les raids policiers désormais plus fréquents dans les présumées bases ou aux lieux de rendez-vous...

Je lâche un soupir discret.
Tori n'a pas l'âge de finir derrière les barreaux, et à voir comment notre entretient débute, je doute fortement qu'il y survivrait plus d'une semaine.
Je lui souhaite donc silencieusement de rester sur cette voie légale, loin des ennuis, avant de me plonger dans le vif du sujet en sa compagnie.
Je le laisse volontiers prendre les rênes de la conversation, car il détient sûrement des informations cruciales quant à la nature de notre patient.

Comme de fait, j'apprends qu'il s'agit d'une femelle, un détail non-négligeable ; selon la taille du spécimen, il me faudra effectuer des ajustements de dernière minute à la prothèse.
L'alléger et l'affiner.
Les mâles sont d'ordinaire plus costauds et robustes, capables de supporter un poids un tantinet plus lourd.
Leur constitution naturelle portée sur la défense de leur partenaire ou des membres d'une même famille - ou bande.
J'attends de voir la scorplane avant de consentir à approuver ces modifications, car sait-on jamais.
La nature réserve parfois des surprises et je n'exclue pas que cette créature ait pu bénéficier d'avantages dont ses consoeurs sont généralement privées.


- Soyez prudent, Tori. Une bête acculée et stressée est une bête dangereuse. Si vous l'asperger et qu'elle considère ceci comme une attaque, n'y a-t-il pas un risque qu'elle cherche à vous rendre la pareille ?

Je le considère du regard avant de me tourner vers mes paires scientifiques.
Le plan en lui-même me convient, mais j'éprouve quelques réticences à le mettre en marche.
La sécurité de tous, incluant celle du scorpion ailé, demeure une priorité.
Lorsque le jeune homme si quelqu'un possède un allié pouvant taillader les branches des arbres, ma main glisse instinctivement à ma taille, où se trouvent trois balls colorées.
Je sélectionne celle du centre sans la moindre hésitation et la lui tend.


- Mon scalproie peut vous aider. Il est précis et agile, et s'il voie que j'en donne l'accord, il suivra fidèlement vos directives. Vous saurez mieux que moi quelles branches couper.

Ma vision du dressage est peut-être atypique et différente de la sienne.
Mes pokémons m'accompagnent dans mon quotidien depuis près de deux décennies, alors de les prêter pour rendre service à autrui me paraît être parfaitement normal.
Surtout qu'il n'y a là aucune mauvaise intention.

Je me penche ensuite et déplace mes mallettes, de sorte qu'elles ne risquent ni de tomber en contrebas ni d'être endommagées par de possibles représailles, avant de me redresser et de prendre appui contre la rembarde.
Je tiens à assister à cette mission de récupération en demeurant aux premières loges.
Derrière moi, je sens la masse de curieux se former.
Je ne suis pas la seule qui observera le travail méticuleux de ce Tori Yamazaki.



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