Le retour du gang des canards (8)

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Et je peux maintenant vous raconter l'histoire de l'arrivée de Donald, le Coiffeton, un Pokémon qui avait apporté avec lui une particularité des plus remarquables lors de son arrivée à la pension. Alors que la vie quotidienne battait son plein pour les autres résidents de la pension, Donald avait choisi une approche tout à fait singulière pour se faire remarquer. Alors que je l'avais récupéré depuis mon voyage à Paldea, en passant par un Centre de la région, il avait fait une entrée remarquée, presque théâtrale, dans la cour extérieure de la pension en émettant des cris de canards puissants et étrangement authentiques, au point qu'on aurait pu aisément croire qu'une troupe de Canarticho farceurs avait envahi les lieux. Ses imitations étaient d'une telle précision qu'il passait aisément de cacardements hilarants à des grognements dignes d'un Canarticho chevronné. Ce qui était d'autant plus surprenant c'est qu'il avait l'air dans le même temps plutôt agacé voire énervé par la situation.

Ce comportement pour le moins étrange, mais indéniablement divertissant, n'avait pas tardé à capter l'attention et la curiosité de la plupart des résidents et des employés de la pension. Les regards intrigués se tournaient vers ce petit Coiffeton audacieux, qui continuait imperturbablement à produire ces sons étrangement réalistes. La cour extérieure s'était transformée en un amphithéâtre improvisé où Donald, avec son énergie débordante et son talent vocal hors du commun, était devenu la vedette involontaire et visiblement bien embêté par tout cela, même si le fait d'avoir de l'audience semblait le calmer.

Il était fascinant de voir comment Donald pouvait, avec une aisance déconcertante, passer d'imitations des Canarticho mâles à celles des femelles. Ses cris, si caractéristiques de ces Pokémon emblématiques, étaient reproduits avec une précision étonnante, ajoutant une touche comique et captivante à la paisible atmosphère de la pension. Bien que certains aient été perplexes face à ce spectacle inattendu, la plupart des résidents étaient conquis par le charme singulier de Donald. Les éclats de rire résonnaient dans la cour, et l'atmosphère était imprégnée d'une légèreté et d'une joie contagieuse. Donald, avec sa petite taille et sa voix puissante, avait réussi à créer un véritable spectacle vivant, suscitant l'admiration et l'amusement de tous les spectateurs chanceux.

Herbert avait été l'un des premiers à être attiré par le tumulte inhabituel. Son visage arborait un sourire curieux, mêlé à une lueur d'amusement et d'appréciation pour la créativité inattendue de Donald. Il s'était approché du Coiffeton avec une bienveillance évidente, curieux de découvrir l'origine de ce nouveau phénomène dans sa pension et dans le même temps soucieux de le calmer.

Entraînement : Lanturn S niv. 72 (4/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 33 (1/3) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 46 (2/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Tag-Tag

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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Le retour du gang des canards (9)

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Alors Herbert avait été plein d'éloge envers le Coiffeton, il lui avait dit qu'il lui trouvait un talent vocal exceptionnel, ses paroles avaient résonné dans la cour de la pension comme une véritable reconnaissance de son don unique. C'était à ce moment-là que le Coiffeton avait un peu changé d'attitude. Il semblait s'être adouci et n'était plus vraiment énervé. Au contraire, heureux comme tout et fier, il s'était mis à continuer ses cris étonnants pour se faire bien voir. On pouvait voir un sourire radieux illuminant son visage emplumé, il avait complètement changé d'attitude. C'était un moment de victoire pour Donald, une validation de son talent unique.

Au fur et à mesure que la nouvelle de ses performances se répandait dans la pension, Donald devenait rapidement une attraction incontournable. Les résidents se rassemblaient pour assister à ses spectacles impromptus, créant ainsi une atmosphère de célébration et d'unité. La cour de la pension était devenue le lieu où chacun pouvait s'évader du quotidien et se laisser emporter par les imitations hilarantes du petit Coiffeton. Donald avait rapidement compris que ses talents vocaux ne se limitaient pas à divertir, mais qu'ils pouvaient également jouer un rôle essentiel dans le renforcement du tissu social de la pension. Ses cris de Canarticho étaient devenus le point de ralliement, il sonnait ainsi l'heure du repas, celui du temps d'entraînement et de la récréation et même Sergent s'était joint à lui pour l'accompagner. Ainsi, à un moment Donald avait même semblé retrouver sa voix de Coiffeton, comme si le fait d'être bien accueilli lui avait permis de retrouver son naturel.

En tant qu'observateur privilégié de la pension, Herbert avait assisté avec une satisfaction profonde à la métamorphose de Donald. Ce Coiffeton, autrefois remarquable par sa voix singulière, avait évolué pour devenir bien plus qu'une simple attraction. Herbert avait vu en Donald bien plus qu'un Pokémon au talent vocal exceptionnel et il l'avait accueilli avec beaucoup de bienveillance. Il avait vu un artisan de liens, un créateur d'ambiance, et surtout, un rappel quotidien que la magie réside dans la célébration de la diversité, puisqu'il se montrait comme un Pokémon différent, qu'il fallait accepter tel qu'il était, tout cela semblait vraiment rassurer notre nouvel arrivant et je suis sûr qu'il saura vraiment montrer qui il est au fur et à mesure de sa vie à la pension.


Entraînement : Lanturn S niv. 73 (2/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 34 (1/3) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 47 (1/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Tag-Tag

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Le retour du gang des canards (10)

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La scène était devenue un rendez-vous incontournable à la pension. Chaque soir, le Gang des Canards, sous la direction du Sergent et accompagné du talent exceptionnel de Donald, offrait des spectacles qui transcendaient les simples numéros pour devenir une véritable célébration de la diversité. Les routines développées par le gang étaient bien plus qu'une série de cris de Canarticho impressionnants. Elles étaient une symphonie de voix uniques, mêlant la voix puissante du Sergent, les imitations réalistes de Donald et les cris originaux des Canarticho. Les soirées à la pension étaient devenues des moments assez fantasques, où les rires et les applaudissements résonnaient à l'unisson avec la variété des voix qui s'élevaient. Il y avait finalement de nombreux artistes pour faire des propositions de spectacles. Ces performances, bien qu'amusantes, étaient profondément significatives : les résidents, de différentes espèces et personnalités, s'étaient rassemblés pour former une communauté unie qui me tenait vraiment à coeur. Et dans tout cela, Shogun, le majestueux Canarticho originaire de la région de Galar, s'était intégré naturellement au Gang des Canards. Son aura imposante et son engagement envers la protection de la pension lui avaient valu le respect de tous. Lorsqu'il s'ajouta aux performances du gang, apportant une dimension martiale avec ses mouvements gracieux et puissants, tout le monde se trouva à la fois surpris et heureux qu'il se sente assez à l'aise pour participer. Shogun, en plus d'être le gardien vigilant de la pension, était devenu une figure respectée et admirée au sein du gang.
Il fallait dire que sa présence rassurante avait contribué à renforcer le sentiment de sécurité à la pension, faisant de l'établissement un lieu où la diversité était non seulement célébrée artistiquement, mais aussi protégée et respectée. Les résidents avaient trouvé en Shogun un protecteur dévoué.

Ces soirées magiques étaient un reflet de l'esprit du Gang des Canards, qui accueillait finalement des personnalités de tout bord, sans oublier leurs autres compagnons. Il y avait des performances pour tout le monde, ils pensaient vraiment à toujours faire en sorte que chacun soit bien accueilli à la pension. Je sais maintenant que je peux compter sur eux, même s'ils ne sont pas toujours très sérieux. Ils font vivre la pension à leur manière et montrent vraiment comment elle est tous les jours : vivante et joyeuse.

Voilà donc ce que je pouvais vous dire sur leur petit groupe et le résumé des différentes arrivées. Qui sait, nous aurons peut-être bientôt un nouveau Pokémon à vous présenter ? En tout cas, vous pouvez consulter les différentes photos qui illustrent ces histoires dans le coin galerie du blog.


Entraînement : Lanturn S niv. 74 (2/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 36 (0/3) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 48 (2/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Chlorobule

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Une petite histoire

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La journée touchait à sa fin lorsque je franchis les portes du Centre Pokémon, épuisé après une série de tâches quotidiennes. Je venais pour un rendez-vous assez habituel, puisque nous avons une relation assez forte : je recueillais régulièrement des Pokémon qu'ils avaient retrouvé et dont ils s'occupaient et ils voyaient mes compagnons pour des soins plus ou moins courants. Il m'arrivait également de prendre des conseils chez eux et de les fournir en nourriture Pokémon puisque nous commandions chez le même fournisseur. Ce jour-là, je devais simplement faire un point avec eux et je comptais bien faire vite, car cela sonnait la fin de ma journée de travail.

Alors que je sortais du bureau, après avoir fini mon rendez-vous et c'était alors que j'avais remarqué la présence d'un Pokémon resté dans le coin du Centre. Il était peut-être là depuis le début, mais j'étais tellement dans mes pensées en arrivant que je ne l'avais peut-être pas remarqué.
Un Brindibou solitaire était assis là, regardant tristement le sol avec des yeux mélancoliques. Mon cœur se serra à la vue de la détresse de cette petite créature. Je m'agenouillai à ses côtés, cherchant à comprendre ce qui n'allait pas. Le Brindibou leva timidement la tête, ses grands yeux rencontrant les miens. Il y avait une tristesse profonde dans leur regard, comme si cette petite créature portait le poids du monde sur ses épaules. Je sentis immédiatement que ce Pokémon avait besoin d'aide.
Me relevant, je m'adressai aux infirmières Pokémon derrière le comptoir. J'appris que le Brindibou avait été abandonné par son dresseur plus tôt dans la journée, et personne n'était venu le réclamer depuis. Une décision s'imposa à moi. Je ne pouvais pas laisser cette petite créature seule et triste. Demandant à l'infirmière Pokémon de préparer les papiers d'adoption, je décidai que ce Brindibou ne serait plus abandonné. C'était le début d'une nouvelle histoire pour nous deux. Comme les infirmières me connaissaient, je devais avoir une certaine facilité à ce niveau-là. Elles m'annoncèrent que c'était déjà la troisième fois cette semaine qu'elles se retrouvaient avec un Pokémon abandonné dans la pension, avec une pointe de tristesse dans le regard. Je ne pouvais pas forcément sauver tout le monde et elles m'indiquèrent de toute façon qu'il y avait déjà eu des personnes pour les recueillir. C'était quand même assez terrible. Évidemment, je leur indiquai que si la personne l'ayant laissé voulait revoir son Pokémon, je pourrais l'accueillir à la pension, même si elles avaient un doute sur ce que cela allait donner.


Entraînement : Lanturn S niv. 75 (2/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 37 (2/3) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 49 (3/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Malosse

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Une petite histoire (2)

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La petite Brindibou semblait hésitante au début, mais elle avait probablement senti la chaleur et la gentillesse dans mes gestes. Je m'appliquais vraiment à lui faire comprendre que j'étais là pour l'aider. Alors que nous remplissions les formulaires d'adoption, l'infirmière m'annonça que la Brindibou tenait dans son bec un petit mot à son arrivée, sur lequel était noté « Boubou ». Elles avaient trouvé ce qui semblait être son nom dans son bec... Cela m'ennuyait vraiment et j'avais alors compris pourquoi elles m'avaient dit qu'elles ne pensaient pas que la personne qui l'avait laissée là allait revenir. J'essayais de masquer ma colère et mon inquiétude pour ne pas faire peur à la Brindibou. D'un autre côté, une partie de moi se dit toujours que c'est toujours mieux de laisser un Pokémon dans un Centre plutôt que dans la nature ou encore pire : dans la ville. Ce qui me semblait fou, c'était que la rareté, le potentiel ou la puissance du Pokémon n'y faisait rien : ils pouvaient tous se faire abandonner... C'était quand même triste de voir cela, mais heureusement, j'avais toujours la possibilité d'aider ces Pokémon délaissés, alors j'étais toujours rassuré de pouvoir y faire quelque chose. Une fois les formalités terminées, je vais que la Brindibou s'était rapprochée de moi, je me baissais pour prendre Boubou dans mes bras. Je pouvais sentir la douceur de ses plumes et le battement léger de son cœur. À ce moment-là, je me disais qu'il y avait encore tout à faire, j'allais devoir lui présenter la pension, les autres compagnons, lui faire comprendre que je n'étais pas tout seul, qu'elle allait recevoir tout l'amour qu'elle méritait à nos côtés et qu'elle avait plein de choses à découvrir parmi nous.
J'étais impatient de lui faire découvrir son nouveau monde, mais il y avait toujours la crainte que cela soit trop compliqué pour elle. Il fallait dire aussi que cela pouvait être un peu dur d'arriver dans un monde aussi vif et chargé. Heureusement, le fait d'avoir des endroits multiples dans la pension pour convenir à tout le monde me permettait d'imaginer son installation de la meilleure des façons. Je voulais penser à son confort avant tout. J'indiquais aux infirmières que je leur donnerai rapidement des nouvelles, elles me connaissaient bien et j'avais déjà ma galerie au Centre, alors elles allaient simplement recevoir des photos en plus.


Entraînement : Lanturn S niv. 76 (1/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 39 (0/3) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 50 (0/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Goupix-A

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Une petite histoire (3)

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Lorsque Boubou fit son entrée à la pension, je me disais qu'il ne valait mieux pas la jeter au milieu de nos compagnons qui étaient les plus actifs et les moins discrets. J'avais une toute autre idée. Avec le nouvel aménagement de la pension, nous avions une toute nouvelle salle de repos qui était devenue un véritable sanctuaire de calme. Théodore, le Teddiursa et Derdre, la Vivaldaim, aux personnalités douces et attentionnées, accueillaient les nouveaux arrivants avec une douceur inégalable. Assis sur des coussins moelleux, entourés d'une lueur chaleureuse, ils partageaient des histoires simples et écoutaient attentivement celles des autres. Je ne les entendais jamais hausser la voix et c'était sûrement ce qu'il fallait à la Brindibou qui semblait très timide.

Alors que j'entrais avec Boubou dans les bras, mes deux compagnons captèrent immédiatement la présence timide de la jeune Brindibou. Leur propre sensibilité les poussa à reconnaître l'importance de l'accueillir chaleureusement, conscients que chaque nouvel arrivant portait son lot d'émotions et d'appréhensions. Je leur étais vraiment reconnaissant de tout de suite la comprendre et la prendre en charge, comme s'il s'agissait de quelqu'un qu'ils connaissaient depuis toujours.

Les premiers jours de Boubou à la pension furent marqués par des échanges silencieux, une danse délicate d'acceptation et de compréhension, c'était assez émouvant de les voir et dans le même temps, je ne pouvais pas m'empêcher de penser qu'elle pouvait être tout de même mal à l'aise. Je faisais donc en sorte de passer également du temps avec eux, pour lui montrer que, de mon côté, je n'allais pas l'abandonner. Théodore et Derdre se positionnaient doucement près de Boubou, émettant des ondes apaisantes pour lui signifier qu'elle était entourée d'amis bienveillants. Les jardins de la pension devinrent le lieu privilégié de leurs premières interactions, offrant à Boubou un espace naturel où elle pouvait se familiariser progressivement avec son nouvel environnement. Au départ, je n'osais pas la laisser sortir, mais au bout de quelques jours, il sembla intéressant de faire la visite de la pension avec ses deux gardiens.

Lors de ces promenades tranquilles, Théodore et Derdre ne forçaient pas la conversation. Ils se contentaient de partager la quiétude de l'instant, permettant à Boubou de s'ouvrir à son propre rythme. Les arbres majestueux, les parfums floraux et les bruits apaisants de la nature faisaient partie de cette introduction douce à la pension. Théodore, avec son allure rassurante, et Derdre, avec sa grâce naturelle, étaient comme des guides bienveillants qui montraient à Boubou que la pension était un endroit où elle pouvait se sentir chez elle.


Entraînement : Lanturn S niv. 77 (1/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 40 (2/4) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 51 (1/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Galopa-G

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Une petite histoire (4)

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Un jour ensoleillé, Théodore et Derdre décidèrent de faire visiter la pension à Boubou, je les suivais pour m'assurer que tout allait bien se passer, car j'étais tout de même inquiet pour la santé de la Brindibou. Depuis son arrivée, elle semblait toujours aussi faible et recluse sur elle-même alors qu'elle était tout de même bien entourée... Elle avait peut-être subi d'autres choses avant l'abandon, mais ça, je ne le saurais sûrement jamais. Les deux Pokémon étaient quand même bien décidés et l'invitèrent à les suivre pour découvrir chaque recoin de cet endroit que je trouvais magique. Cela faisait maintenant assez longtemps qu'elle était là, c'était important de rencontrer les différents résidents et de s'imprégner de l'atmosphère chaleureuse qui régnait. Ils débutèrent la visite par le petit potager qui se situait dans le jardin de la pension. Théodore montra avec enthousiasme les diverses plantes et fleurs qui ornaient le paysage. Boubou le regardait attentivement, ses grands yeux brillant d'intérêt.

Puis vint le moment de découvrir les lieux de détente, comme la salle de repos où ils avaient tissé tant de liens d'amitié. Derdre montra à Boubou que la salle de repos était un endroit spécial, un havre de paix où chacun pouvait se retrouver, partager des moments agréables et se sentir véritablement chez soi. Bon, j'extrapolais sûrement, mais je voyais Derdre poser le bout de sa truffe sur les différents objets et Théodore montrait le parc pour les nouveaux nés en parlant à la petite Brindibou. Boubou semblait apprécier l'idée, son regard timide s'illuminant peu à peu. Elle voyait que le coin où elle était restée n'était rien par rapport à ce que la pension mettait à disposition de ses habitants.

La visite se poursuivit dans les différentes aires d'activités, où les résidents s'adonnaient à leurs passions respectives. Théodore et Derdre montrèrent à Boubou la salle d'entraînement, où certains Pokémon se préparaient pour des compétitions, et la salle que j'appelais "la salle des talents" où les petits nouveaux pouvaient utiliser leurs pouvoirs spéciaux. Boubou découvrait un nouveau monde et elle semblait cette fois émerveillée, Derdre essaya même de lui faire utiliser ses propres pouvoirs, mais c'était encore trop tôt : elle était toujours un peu perturbée par tout cela et je pouvais le comprendre. Cela faisait quand même beaucoup de choses à voir et à découvrir.

Entraînement : Lanturn S niv. 78 (2/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 42 (0/4) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 52 (3/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Tag-Tag

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#1 '[RANG] Entrainement' :


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#2 '[ELV] Reproduction' :


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#3 '[ELV] Capa repro' :

Une petite histoire (5)

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Théodore et Derdre comprenaient aussi que Boubou pouvait se sentir intimidée par la présence des autres Pokémon, alors ils décidèrent d'aller vers un endroit plus calme, en sortant à nouveau pour aller dans le jardin. Ils avaient l'air de vouloir la rassurer et je leur en étais vraiment reconnaissant. Il fallait dire que nous étions habitués à recueillir des Pokémon qui avaient subi des violences ou qui pouvaient simplement être mal à l'aise. On savait bien que chacun pouvait avoir son propre rythme d'adaptation, il fallait simplement que ces nouveaux compagnons puissent prendre conscience que leur nouvelle famille, à la pension, était là pour la soutenir. Ils semblaient l'encourager à prendre son temps et à s'ouvrir progressivement aux autres résidents.

Au fur et à mesure de la visite, Boubou commença à se détendre. Les paroles rassurantes de Théodore et Derdre eurent un effet apaisant sur elle. Elle commença même à esquisser quelques sourires, du bout du bec, c'était probablement parce que le lien entre eux se renforçait. Les résidents qu'ils rencontraient saluaient chaleureusement Boubou, lui offrant des encouragements et des sourires bienveillants. J'étais fier de pouvoir présenter la petite Brindibou à tous nos compagnons. Ils étaient vraiment parfaits et se montraient vraiment accueillants.

La journée se conclut par un pique-nique dans les jardins, quitte à se présenter et faire en sorte que Boubou pusse s'adapter aux lieux, autant . Théodore, Derdre et Boubou partagèrent des baies délicieuses et des histoires joyeuses. Les rayons du soleil baignaient la scène d'une lumière douce, créant une atmosphère sereine. Boubou se sentait de plus en plus à l'aise, entourée de nouveaux amis qui comprenaient sa timidité.

Théodore et Derdre avaient réussi à créer un espace où Boubou pouvait s'épanouir. Ils lui montrèrent que la pension était bien plus qu'un simple lieu de séjour ; c'était un foyer, une famille accueillante. Boubou, à travers cette journée, avait découvert des facettes de la pension qui transcendaient ses craintes initiales. Les jours suivants furent empreints de doux moments partagés. Théodore, Derdre et Boubou se retrouvaient souvent dans la salle de repos, discutant, riant et tissant des liens encore plus forts. La jeune Brindibou commençait à participer activement aux activités de la pension, découvrant ses propres passions et talents. C'était un nouveau départ pour Boubou trouva un nouveau départ. Sa timidité initiale s'estompa, laissant place à une confiance grandissante. La pension devint son chez-soi, un endroit où elle pouvait être elle-même sans crainte ni réserve.



Entraînement : Lanturn S niv. 79 (2/5) (jusqu'au niv. 85) ; Marcacrin niv. 43 (1/4) (jusqu'au niv. 50) ; Scalpion niv. 54 (0/4) (jusqu'au niv. 60).

Tentative de repro : Roublenard