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» Publication - Mythes et légendes

Worick Brown

Worick Brown
Scientifique Kantô

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Ven 2 Fév - 19:14
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Les différents articles qui vont suivre ont été réalisés par Arya Kanazawa et Worick Brown. Ceux-ci traitent de divers mythes et légendes autour du Pokémonde. Ceux-ci ont été réalisés après de nombreuses recherches en lien direct avec le folklore local des différentes régions, il est donc bon de rappeler qu'en fonction des croyances de chacun, certaines informations sont à prendre avec des pincettes.

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Worick Brown

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Ven 2 Fév - 19:15

La légende de Noël



Noel. Cette belle période de fête offrant le sourire à petits et grands. Pour ce troisième numéro du W.A.Mag qui sort finalement quelques jours avant cette fameuse fête, et si nous faisons le point ? Vous n’êtes évidemment pas sans savoir que noël se fête dans toutes les régions entre le 24 ET le 25 décembre, cependant connaissez vous son origine, ainsi que celle de son symbole : le fameux père noël. Et si nous commencions par l'origine de Noel ? Au départ, cette fête n'avait rien à voir avec le patriarche au nom éponyme. Les premières civilisations fêtaient ce jour à l’occasion du solstice d’hiver à l’époque. Il était ainsi coutume d’inviter sa famille et ses proches, afin de réaliser une grande fête ou chacun pourrait échanger présents et bons moments. Cependant, suite aux évènements de l’an 0, la population humaine étant devenue trop faible, les hommes cessèrent de fêter le solstice d’hiver des années durant, ayant hélas bien d’autres préoccupations. Cependant, un homme, ou plutôt un géant, prit la décision de mettre fin à cette monotonie, souhaitant voir à nouveau la joie que procuraient aux peuples les fêtes de fin d’années. Faisant parties des derniers géants à avoir survécu, G. Nau’elh sortit donc de sa cachette afin d’offrir un sourire, un compliment, ou un service à toutes les personnes qu’il croiserait sur son chemin, et ce le soir du 24 décembre, date précise à laquelle avait prit fin la grande purge d’Arceus quelques années auparavant. Le géant fit un effort considérable, tentant au mieux de satisfaire son prochain la nuit durant jusqu'au petit matin du 25 Décembre.

Et s’il sortit de cette épreuve lessivé, G. Nau’elh n’avait pas vu autant de sourire en une soirée depuis bien longtemps. A partir de ce jour, le géant fit le serment qu’il mettrait tout en œuvre pour recommencer l’année d’après, et celle d’encore après, ce afin de donner un sens à sa très longue existence. Sans surprise, il prit sa tâche très au sérieux, sculptant toute l’année des petites figurines et épées de bois à offrir aux enfants Unysiens au mois de décembre. Adulé des petits et des grands pour son altruisme à toute épreuve, les populations locales commencèrent à donner un nom à G. Nau’elh : Le père Nau’elh. Lorsque l’Homme eut accès à la navigation, permettant aux régions de commercer entre elles, Le père Nau’elh profita de l’occasion : Il fit le tour de toutes les régions connues à ce jour, afin de découvrir le vaste monde. Il n’eut pas besoin de beaucoup de temps pour comprendre que les enfants de Kanto, de Johto, et d’autres régions méritaient eux aussi d’accéder à nouveaux aux fêtes de fin d’année. Cependant, le géant comprit aussi qu’il ne pourrait jamais offrir à tous, pas seul. Le père Nau’elh, qui prit finalement le nom de père Noel avec le temps, entreprit donc un long voyage à travers le monde afin de trouver des compagnons prêts à l’épauler dans sa tâche.

Si les Hommes ne furent pas au rendez vous, le géant finit par trouver l’aide dont il avait besoin auprès des Pokémons. Il fit ainsi connaissance de biens des Pokémons, et bon nombre d’entre eux finiront par le rejoindre : Lippoutous, Mamochons, Polagriffes et Blizzarois. Fier de sa nouvelle troupe, le père Noël partit s’installer dans les plus hautes montagnes de Frimapic à Sinnoh, afin de trouver un havre de paix où il pourrait s’affairer avec ses Pokémons tout au long de l’année. Là bas, il bâtira sa propre pension afin de fournir des œufs de Pokémons aux jeunes dresseurs, et mettra sur pied des ateliers divers et variés de productions de jouets. C’est aussi au sommet de ces montagnes que notre cher géant fera la rencontre de son Pokémon fétiche : Cadoizo. Dire que la personnalité du petit Pokémon collait parfaitement avec celle du père Noel serait peu dire, a tel point que G. Nau’elh décida de se confectionner une tenue en l’image du Pokémon, une tenue qui rappellerait le symbole fort qu’est l’esprit de Noel.

Au fil des années, le fameux géant tout de rouge vêtu continuera de forger sa légende, jusqu’à réussir finalement à offrir de la joie et de la bonne humeur auprès de chaque régions le soir du 24 Décembre. De nos jours, une véritable chaine de production tourne afin de pouvoir faire des heureux tous les ans. Si les Lippoutous sont chargés de la fabrication de jouets par milliers, ce sont des hordes entières de Cadoizo qui viennent les distribuer dans les rues aux quatre coins du monde. Le père noël, lui, s’affaire à construire des Blizzarois mécaniques, qu’il remplit de lots plus fabuleux les uns que les autres, avant de les disposer dans certaines grandes villes pour proposer des animations aux personnes de tous âges. Lorsqu’il se repose dans sa demeure, il arrive que notre cher géant reçoive la visite de preux aventuriers, ayant bravé le froid pour se convaincre de la véracité de sa légende. Il n’hésite pas à les défier par ailleurs, sans doute pour gouter de temps à autres à l’excitation d’un match de Pokémon.


Si vous veniez à vivre ce jour, tenez-vous prêt : D’après des témoignages recueillis parmi plusieurs dresseurs chevronnés dont le célèbre Marc d’ Atalanopolis, il semblerait que l’équipe de notre cher père Noel soit exclusivement constituée de Pokémons de types Glace : Lokhlass, Polagriffe, Blizzaroi, Dragmara, Mammochon et même un Feunard au pelage blanc comme neige capable de cracher de puissants souffles glacés. Rumeurs visant à perpétuer la magie de Noel ou réalité ? Peut être aurez vous la chance de le découvrir par vous-même.

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Worick Brown

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Jeu 15 Aoû - 17:26

Les mystères d'Allania




L’Atlantide n’existe pas. Combien de fois l’existence de cette mythique cité aura-t-elle été bafouée, simplement ignorée alors que les fonds marins sont encore aujourd’hui l’un des plus grands mystères de notre chère planète ? Pourtant, certains Hommes et Femmes, bien qu’incompris pour la plupart, peuvent maintenant en témoigner : l’Atlantide, antique cité sous-marine comme nous aimons à l’appeler ainsi, existe bel et bien.

Les eaux d’Hoenn peuvent parfois cacher bien des mystères : c’est le cas de la mystérieuse cité d’Allania. Découverte à l’origine par des marins aux alentours du chenal 128, la mystérieuse citadelle engloutie a très vite suscité la curiosité du Laboratoire Interrégional d'Archéologie et de la Fédération Hoenienne d'Exploration Sous-Marine. Alors qu’elle n’était encore qu’un mythe, les deux organisations n’hésitèrent pas à mettre la main à la pâte pour permettre d’éclaircir ce mystère et ce, afin de découvrir si, oui ou non, le fameux mythe de « l’Atlantide » est bel est bien fondé. Aujourd’hui, nous vous proposons donc de découvrir les vestiges de la magnifique Allania à travers les yeux du professeur Brown.


Une expédition unique en son genre


Peu de temps après les premières découvertes, une véritable expédition fut mise en place, regroupant au total un peu moins d’une dizaine de participants. Trois plongeurs-chercheurs dont le directeur des recherches concernant la citadelle engloutie en lien direct avec le Laboratoire Interrégional d'Archéologie, mais aussi cinq dresseurs venant d’horizons plus ou moins différents retenus pour cette expédition, dont j’ai eu le privilège de faire partie avec Jean Flantier, Eve Ashford, Edgar Liddell et Aslan Solak. Notre mission ? Permettre à l’expédition d’être menée à bien en contenant les menaces potentielles qui pourraient empêcher les recherches d’être accomplies. C’était une expédition de la plus haute importance pour le monde scientifique et archéologique. La découverte de vestiges engloutis ne pouvait être qu’une excellente surprise pour peu que ceux-ci soient encore dans un état de conservation convenable et surtout, que l’équipe en charge de l’expédition puisse descendre jusqu’à la citadelle dont les sommets plafonnent à vingt-quatre mètres de profondeur.

C’est à bord du Calypso nous avons navigué jusqu’au chenal 128. De là, si la descente ne présentait aux premiers abords pas de soucis particuliers, il ne fallut pas longtemps pour que les premiers obstacles ayant éloigné les curieux jusqu’alors fassent leur apparition. Des Relicanth et Loupio, à priori d’un âge extrêmement avancé, au vue des marques parsemant leurs corps, se dressaient ainsi en premier rempart contre la curiosité de l’Homme. Notre présence étant de rigueur pour ce cas de figure particulier, les spécimens pour le moins inhabituels firent preuve d’une constitution à nulle autre pareil et le combat ne prit fin que lorsque ceux-ci décidèrent d’eux même de se retirer, nous laissant la voie libre pour atteindre notre objectif et ainsi découvrir un spectacle que nous n’oublierions jamais. La fameuse citadelle engloutie. Précisément là où les chercheurs l’avaient promis.
Imposante, à l’architecture absolument unique, il n’est pas nécessaire d’observer la cité bien longtemps pour comprendre qu’elle possédait des bâtisseurs d’exceptions. Les grandes portes étant toutefois scellées de par leur poids mais aussi à cause de la pression à cette profondeur, nous fûmes forcés de passer par des canalisations pour pouvoir finalement atteindre le cœur de l’Atlantide.


La citadelle entre la vie et la mort


Si la citadelle devrait être envahie par les eaux et privée de toute vie depuis des siècles et des siècles, le constat inverse fut on ne peut plus évident. A l’intérieur des murs, la forteresse sous-marine est maintenue à un niveau de conservation impressionnant et surtout, n’est absolument pas envahie par les eaux. De plus, la vie n’a pas complètement quitté cet endroit. En effet, l’exploration des lieux nous permet sans soucis de rencontrer la faune locale dont les propriétés sont plus que surprenantes. Face à deux Crabicoques, les conclusions à tirer sont plutôt évidentes : les Pokémons du coin ne possèdent pas de forme physique à proprement parler. Tels des Pokémons spectre, les Crabicoques semblent avoir perdu l’essence même de la vie, tandis qu’ils se tiennent pourtant là devant nous. Leur forme matérielle est on ne peut plus discutable et un combat vain au possible ne sert finalement qu’à attirer l’un des véritables gardiens de ces lieux. Une Moyade d’une étrange couleur violette et luminescente. C’est elle qui nous a révélé la grande majorité des précieuses informations que nous possédons sur cette cité, à commencer par son
véritable nom : Allania.

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Toutefois, les explications du Pokémon spectre furent bien plus précises que cela. La Moyade allant ainsi jusqu’à nous expliquer les causes de l’extinction du peuple Allanien.Peuple vivant en parfaite harmonie avec les Pokémons et la nature, les Allaniens étaient habitués à vivre sur une île au cœur des catastrophes naturelles. Tsunamis, séismes et tempêtes ayant finalement toujours fais partie de leur quotidien, les Allaniens avaient toutefois de quoi lutter contre ces cataclysmes issus de ceux qu’ils appelaient les dieux de la mer et de la terre : une pierre luminescente et dégageant de fortes radiations. Ainsi, à l’aide d’un chant d’imploration, une prière dédiée au dieu du ciel, le peuple d’Allania était capable de décupler les pouvoirs de la fameuse pierre, conférant ainsi une protection totale tout autour de l’ile afin d’ignorer les dégâts cataclysmiques qui auraient pu mettre fin à leur civilisation en un claquement de doigt. Toutefois, cette incantation aussi puissante soit-elle n’était pas sans risque, puisque sa protection figeait complètement le sort de l’île dans le temps par la même occasion, un second chant étant ainsi nécessaire pour rendre à Allania son état initial. Cependant, si ce subterfuge a permis à cette civilisation de vivre à l’abri des catastrophes naturelles, l’erreur humaine, elle, était toujours envisageable. Un jour de fête, alors que les habitants de la citadelle étaient affairés sur la plage opposée à la terrible menace qui amènerait leur perte, ils ne réagirent que trop tard à la menace qui s’apprêtait alors à les frapper. Face aux gisements de terrains et à l’énorme tsunami provoqué par la suite, les prêtresses allaniennes n’eurent que le temps de créer une bulle protectrice, comme un champ de force tout autour des murs de la cité, gardant ainsi tous ses habitants en vie tandis que l’île s’effondrait sur elle-même pour rejoindre les fonds marins.
Dès lors, la survie des Allaniens n’ayant pas déjà péris lors du cataclysme fut des plus difficiles. La citadelle ayant atteint les profondeurs, impossible pour tout être vivant non doté de branchies de revenir à la surface, la pression de l’eau étant de toute façon bien trop forte. Trop soucieux de garder leurs Pokémons ainsi que leur héritage en vie, ils ne purent se résoudre à mettre un terme à Allania en entonnant le chant de l’achèvement, chant qui laisserait ainsi les profondeurs de l’océan réduire à néant toute trace de leur passage sur terre. Au lieu de cela, ils prirent soin de leurs Pokémons jusqu’à leur dernier souffle de vie. Si les Allaniens partirent en premier, les Pokémons eux, usèrent jusqu’au dernier vivre, jusqu’à la dernière goutte d’eau potable laissée là par leurs dresseurs avant de rejoindre leur funeste destin. Toutefois, la protection de la pierre étant si forte aux yeux des Pokémons, la mort ne leur sembla pas une option envisageable. Elle leur était impensable, inconnue, si bien qu’ils n’eurent aucunement conscience que leurs forces quittaient leur corps, les laissant ainsi dans un état éthéré, spectral, prisonniers à jamais entre la vie et la mort.

Éteints depuis maintenant des années, les Allaniens ne sont plus. Lors de notre arrivée sur place, seuls quelques spectres de Pokémons déchus étaient encore présents, en plus des innombrables connaissances toujours disponibles sur place retraçant des brides d’histoires uniques. Toutefois, deux êtres encore dotés d’une conscience et d’un esprit parfaitement sains étaient encore présents sur place. Deux Pokémons d’une force et d’une sagesse à nulles autres pareilles, âgés de plusieurs centaines d’années et ayant tous deux été extrêmement proches d’Allaniens influents, avec le rôle de gardien pour dernière mission. La Moyade aux reflets violacés en faisait partie. Elle n’était cependant pas la seule : le compagnon de la dernière reine d’Allania, un Mega-Alakazam à la soif de vie et de connaissance sans limite était lui aussi présent au sein de la citadelle engloutie, gardant farouchement la pierre à ses côtés pour éviter que quiconque ne puisse entonner le chant de l’achèvement et ainsi délivrer la citadelle de cette bénédiction qui, au fil des siècles, était finalement devenue une malédiction.


Deux gardiens en désaccord


Clairement en conflit d’intérêt avec l’Alakazam, la Moyade n’avait aucun moyen de jouer le chant final qui délivrerait la cité sous-marine de cette « immortalité maudite ». Pour ce faire, elle avait besoin d’êtres humains capables d’entonner les chants sacrés et de jouer du kadar, cet instrument à corde qui mettrait fin au pouvoir de la pierre, laissant enfin tous les derniers Pokémons Allaniens partir en paix. C’est donc nous qui avions le pouvoir de mettre fin ou non à cette vie qui n’avait duré que trop longtemps. Nous qui pouvions sceller à jamais le destin et l’héritage de l’île d’Allania, sa citadelle, ses Pokémons, ses grimoires et autres recherches. S’il était hors de question de forcer la main à qui que ce soit, d’intenses négociations furent mises en place notamment avec l’Alakazam en question, qui ne semblait pas vouloir accepter la mort quoi que nous puissions en dire. Sa soif de connaissance n’ayant aucune limite, l’immortalité était pour lui le moyen idéal de pouvoir acquérir toujours plus de connaissance, de sagesse, sa seule et unique barrière étant la pierre qui, s’il s’en éloignait trop, finirait par ne plus faire effet sur lui.
S’il avait bien du mal à entendre raison et contre toute attente, la décision fut belle et bien de mettre fin à la malédiction de la pierre. Avec l’aide de la Moyade chromatique et au cours d’une cérémonie pleine d’émotion, nous pûmes mener notre entreprise à bien et à notre plus grand désespoir, laisser les eaux envahir la citadelle d’Allania, engloutissant avec elles toute chance d’étudier cette civilisation pour finalement regagner la surface au plus vite.


Héritage et conclusion


Si la remontée d’informations aurait dû être primordiale, il était impensable de sacrifier des vies en les obligeant ainsi à rester maudits pour le restant de leurs jours par pur égoïsme. Notre décision étant lourde de conséquences, nous avons tout de même eu la possibilité de remonter à la surface la vie sauve, avec des souvenirs qui resteront, eux, bels et bien immortels en plus d’une véritable leçon de vie. Si les documents officiels concernant Allania sont maintenant perdus au fond des océans, il n’est pas impossible qu’il reste toujours un infime espoir de percer un jour les secrets de ce mythe bien réel… après tout, la pierre aux vertus protectrice étant minérale, l’extraction d’une infime partie de cette dernière pour octroyer à un Pokémon sa dernière volonté n’est pas à exclure. Qui sait ?

Quoi qu’il en soit, si l’île d’Allania ne correspondait pas parfaitement aux légendes entendues sur le peuple Atalant et le mythique « Atlantide », il se pourrait bien qu’elle soit la véritable muse de ces légendes comptées à travers le monde et qui continuent aujourd’hui de faire rêver petits et grands. À moins, bien entendu, qu’elle ne soit qu’une citadelle engloutie parmi tant d’autres, et que le véritable cœur de l’océan, l’Atlantide, dorme toujours quelque part en attendant lui aussi d’être débusqué.



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Worick Brown

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Jeu 15 Aoû - 19:35

Le peuple Coda




La grotte Coda. Vaste exploitation minière abandonnée il y a plusieurs années maintenant, le lieudit n’en est pas moins l’une des curiosités les plus convoitées par les explorateurs Kalosiens. Légendes, mythes et rumeurs de spectres en tout genre ne sont là que pour éloigner les enfants trop avenants. Alors lorsqu’au cours de recherches archéologiques, une nouvelle veine souterraine fut débusquée, la célèbre compagnie Explorarium prit les devants. Monter une équipe composée de scientifiques et de dresseurs ou coordinateurs chevronnés capable d’assurer le bon déroulement de la mission : si ces méthodes laissent bien souvent pantois les plus hautes sphères de la TSR, elles auront toutefois permis au professeur Brown de participer à une opération archéologique des plus exaltantes ! Alors, êtes-vous prêts à découvrir cette nouvelle expédition à travers les yeux de notre cher scientifique ?


Un voyage au centre de la terre


Du côté de l’Explorarium, ce sont Loreline Hebert, Valentin Cervera, Marius Danford et Daniel Minova qui mènent la danse. Scientifique, archéologue, apprentie archéologue et foreur ; l’équipe possède ainsi un joli panel de compétences diverses et variées permettant à l’expédition de se dérouler dans d’excellentes circonstances. Pour les seconder, je suis accompagné de trois autres jeunes gens venus d’horizons différents. Noah Brooks, Sheera Baal ainsi que Masami Kobayaki. Ensemble, nous sommes chargés de la protection des membres de l’Explorarium afin que le voyage se déroule en toute sécurité. Si je participe à cette expédition, c’est bien entendu pour veiller à ce qu’il ne leur arrive rien ; mais aussi pour m’assurer que toutes les légendes autour de la grotte Coda et ses galeries ne sont là que pour éloigner les touristes trop curieux. Au fond de moi, je suis persuadé depuis des années déjà que cette zone recèle de mystères qui n’attendent que d’être découverts.

Si les premières galeries que nous arpentons – hors des sentiers battus et balisés de la grotte Coda – se trouvent être extrêmement étroites, nous arrivons bien vite au cœur de passages bien plus larges et praticables. Ici, notre aventure du jour prend déjà une toute autre dimension : géologiquement parlant, les galeries sont de véritables trésors ensevelis. Lapis-lazuli et autres pierres précieuses tapissent les parois qui bordent nos pas, tandis que les premières interrogations concernant les lieux traversent mon esprit. Les galeries que nous empruntons sont-elles naturelles ? Ont-elles été creusé par des hordes d’Onix ou de Minotaupe ? Nul ne saurait le dire à l’instant où nous progressons toujours plus profondément au sein de la grotte et de toute évidence, nous n’avions pas tellement le loisir d’y songer plus que cela. En effet, bien que somptueuses, les galeries restent habitées par des Pokémons sauvages et nous n’y sommes vraisemblablement pas les bienvenus. Les Pokémons qui nous barrent la route, emblématiques de la faune habituelle de la grotte Coda – du moins dans un premier temps – semblent anormalement agressifs. Sans doute sont-ils plus territoriaux dans les parages. Quoi qu’il en soit, les premiers affrontements n’ont rien de bien menaçant et sont loin de nous ralentir… du moins c’est ce que nous pensions dans un premier temps…


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Une descente délicate


Si nous étions sortis indemnes de nos premières joutes contre les Pokémons locaux, la suite de notre avancée se voit parsemée d’embuches. Séparés en plusieurs groupes par les affrontements, éboulements et autres imprévus de taille, il ne faudra pas bien longtemps pour que nos limites physiques et psychologiques soient mises à rude épreuve. Pokémons éprouvés, moral miné, l’expédition et surtout la raison de notre présence ici prend bien vite tout son sens : nous ne sommes pas là pour une promenade de courtoisie. Par ailleurs, c’est au cours de l’éboulement ayant scindé notre groupe que nous avons à déplorer notre première perte : Masami demeure introuvable. Nous avons beau remuer ciel et terre ; où ici en l’occurrence plus terre que ciel ; le dresseur et médecin du groupe a disparu. Incapable de retrouver son corps même inerte, une lueur d’espoir nous permet tout de même de garder la tête froide : tant que nous n’en avons pas la preuve formelle, Masami Kobayaki n’a pas forcément rendu son dernier souffle lors de l’éboulement.

C’est donc d’un commun accord avec les membres de l’Explorarium et après des négociations délicates que notre groupe prend la décision de continuer. Plus vite nous aurons sécurisé la zone et percé le secret des lieux ; plus vite les secours seront à même de retrouver notre camarade perdu.

Si nos forces se trouvent être nettement amoindris après ces mésaventures, notre groupe tache de garder la tête froide et nous n’hésitons pas à reprendre la marche aux cotés des membres de l’Explorarium.

Finalement, notre acharnement aura sans aucun doute été plus que récompensé, car après avoir arpenté à nouveaux des dédales de galeries plus étroites les unes que les autres, nous nous retrouvons finalement dans une gigantesque cavité souterraine dont la vue resterait ancrée dans nos mémoires à jamais. Alors que nous pénétrons tous au sein de l’immense zone, il était inutile d’illustrer notre découverte par des mots : nous avions trouvé ce que nous étions venu chercher en ces lieux. Un plafond suffisamment haut pour qu’on ne puisse en distinguer les détails, une végétation luxuriante, un lac souterrain alimenté par les nappes phréatiques… l’endroit était simplement divin. Un véritable havre de paix au milieu de nulle part, au centre de la terre. Il était aisé de s’imaginer que toutes ces merveilles soient d’origine purement naturelle, toutefois, les roches qui jonchaient la zone l’était déjà nettement moins. Recouvertes de plaques argentées, d’inscriptions par endroits ou encore de runes peintes et phosphorescentes, ces vestiges ne pouvaient témoigner que d’une seule chose : une civilisation s’était déjà établie ici-bas.

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Inutile donc de préciser que le temple présent au fond de la zone eut bien vite fait de confirmer toutes nos hypothèses à ce sujet.
Toutefois, notre repos aura une fois de plus été de courte durée. En effet, après avoir pénétré dans l’immense temple qui nous faisait face, avide de découvertes en tout genre, nous sommes immédiatement coupés dans notre élan. Si les légendes concernant de terribles Pokémons spectres semblaient finalement être fausses, il y avait bien un Pokémon au-dessus du lot qui occupait ces lieux oubliés. Un gardien, endormi ici, au fin fond d’un temple enseveli et prêt à défendre les vestiges autour de lui au péril de sa vie. Un Métalosse, plus précisément. Ou sans doute serait-il plus judicieux d’employer le terme de Mega Métalosse. En effet, bien décidé à stopper net notre avancée au sein des souterrains, le Pokémon acier n’avait pas hésité un seul instant à se transformer, lui permettant ainsi de nous tenir tête avec agressivité et ce malgré les offensives de nos Pokémons combinés.

Si nous pensions pouvoir en venir à bout et ainsi terminer cette exploration dans le calme, il n’en est rien. Notre adversaire est coriace et ne se laisse clairement pas mettre hors-jeu aussi facilement. Même à bout, le Pokémon acier finit par jouer les kamikazes, s’illuminant alors d’une intense lumière blanche dans le but de nous ensevelir ici pour toujours avec lui. Sans les interventions inespérées des Pokémons de l’Explorarium et un heureux concours de circonstance, l’expédition en question aurait pu prendre fin sur une note dramatique. Cependant, nous réussirent tous à nous tirer sain et sauf de ces antiques souterrains grâce à l’Alakazam de Marius et sa capacité à téléporter tout un petit groupe en simultané. Même Masami fut retrouvé sain et sauf par les secours. Suffisamment blessé pour être pris en charge tout de même, mais dans un état stable. Quant à nous, nous étions sortis. Et bien vivants.


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Le sanctuaire d’une antique civilisation


Bien que nous soyons remontés à la surface sans pouvoir profiter pleinement du potentiel archéologique des lieux, il m’a été permit ; au cours de différents débriefing, échanges et après avoir eu le privilège de rencontrer à nouveau les membres de l’Explorarium ; d’obtenir de plus amples informations sur les lieux que nous avions foulés du pied. En effet, malgré la rapidité de notre passage, les scientifiques n’étaient pas totalement remontés les mains vides. Ayant réussi à amasser diverses informations, notes ou photographies avant l’effondrement des lieux, des échanges de données avec la tour du savoir et de la recherche ainsi que de nouvelles fouilles archéologiques organisés sur les lieux permirent d’accumuler une somme de connaissances impressionnante sur les différentes fresques et runes tracés que nous avions rencontré lors de la première expédition.

En réalité, ces vestiges seraient datés d’un siècle avant la grande purge de l’an 0. A cette époque, la région de Kalos était en plein essor économique et militaire sous le règne du roi A.Z.
Tribu originaire de l’est de la région, celui que l’on appelait ; d’après les runes retrouvées sous la grotte ; le peuple de Coda (reste à savoir si la grotte tient son nom du peuple ou inversement) vouait un véritable culte au roi géant. Le fameux temple enseveli aurait d’ailleurs été bâti en son honneur alors que le début de sa construction pourrait bien remonter à l’an -57. Sédentaire et pacifique, le peuple de Coda aurait, au fil des années, réussit à acquérir des connaissances encore inédites aujourd’hui au sujet de la Mega-évolution et de la longueur d’onde des différentes gemmes, leur permettant ainsi d’entrer en résonnance. De plus et à l’aide d’un procédé géologique encore inconnu, cette antique civilisation semblait pouvoir charger certaines roches, les infusant ainsi d’une étrange énergie. Ces pierres, assez semblables à celles retrouvées lors de fouilles archéologiques à Cromlac’h, émettaient ainsi une douce lumière bleutée comme nous avons eu l’occasion d’en approcher autour du lac souterrain. Il n’est d’ailleurs pas à exclure que c’est à l’aide de ce genre d’énergie que fut façonnée la fameuse arme d’A.Z ; arme qui pour rappel, déclencha un véritablement cataclysme. Provoquant ainsi raz-de-marée, séisme et autre catastrophe naturelle, le village de Coda fut finalement l’une des premières victimes collatérales de l’arme du géant, s’enfouissant six pieds sous terre à la suite de séismes répétées sur l’Est de la région. La suite, elle demeure pour le moment inconnue. Nul ne sait vraiment ce qu’il a pu advenir des survivants du peuple Coda après cette catastrophe. Grâce aux expéditions archéologiques ayant suivis notre passage, nous savons de source sûre que l’attaque du roi géant n’aura pas décimé la totalité de la population et ce malgré les séismes : en effet, dans plusieurs petites galeries longeant l’immense cavité que nous avons empruntés étaient encore logées des bâtisses et autres abris taillées dans la roche. Les survivants de la catastrophe auront sans aucun doute tenté de s’accommoder à ce nouveau mode de vie souterrain, avant de finalement disparaitre définitivement des grottes sans que nous sachions comment. De plus, il est possible en recoupant les informations de plusieurs thèses sur ce que nous appelons communément les « Mega gemme », de comprendre que celles-ci ont vu le jour après et seulement après l’attaque dévastatrice du roi A.Z. Il est donc plus que probable que les recherches du peuple Coda à ce sujet aient été mené – en grande majorité – une fois leur citadelle ensevelie. Toutefois, il ne fait absolument aucun doute quant à l’identité du Métalosse que nous avons rencontré. Vieux de plusieurs siècles, le Pokémon gardien devait être l’un des derniers protecteurs de cette civilisation, cherchant sans doute à faire taire à jamais la vérité autour de la Mega évolution et des pierres infusées d’énergie afin de ne jamais reproduire les erreurs du roi A.Z et de ses sujets.


Héritage et conclusion


Bien que notre toute première expédition fut de courte durée et avortée afin de ne risquer aucune perte humaine, de nouvelles excavations et fouilles archéologiques auront permis à notre passage de ne pas être vain. Si toutes les informations recueillies auront permis aux chercheurs et historiens d’en apprendre beaucoup plus la Méga évolution et les étranges roches de la grotte Coda, je pense que le peuple Coda souhaitait avant toute chose délivrer un véritable message aux générations futures qui un jour fouleraient à nouveau leurs temples et lieux de culte du pied : Si les découvertes géologiques, gemmes et autres roches peuvent avoir de véritables attraits scientifiques, elles n’en restent pas moins des armes et peuvent s’avérer mortelles. Ainsi et dans le but de ne surtout pas reproduire les erreurs du passé, nos nouvelles pistes de réflexions concernant la Mega évolution du peuple Coda devront être explorées avec parcimonie et conservée soigneusement avant de ne jamais être utilisée à mauvais escient.



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Les membres de l'Explorarium : Valentin, Loréline, Marius et Daniel


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Worick Brown

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Jeu 15 Aoû - 19:56

Léo & MissingNO



Dans le monde de la science, Léo est un chercheur dont la réputation n'est plus à faire, en bien comme en mal. Si la création du système de stockage des Pokémons a révolutionné le quotidien de tous ses utilisateurs aujourd'hui, à l'époque de sa mise en ligne, de nombreuses associations pour la défense des Pokémons voyaient d'un mauvais œil la possibilité de laisser indéfiniment un spécimen dans un ordinateur. Encore maintenant, cette question éthique revient régulièrement sur le tapis dans certaines émissions scientifiques, ou certaines presses du même genre.



« Quand on y pense, Léo a surtout créé son système pour lui-même, sa réputation de Pokémaniac n'est plus à faire et il devait se retrouver débordé face à l'attention que réclamait naturellement chacun de ses compagnons. Cela ne prouve-t-il pas que ce système de stockage est encore fois une action égoïste et intéressée de l’Homme à l’encontre des Pokémons ? »
Un scientifique de la TSR souhaitant garder son anonymat



Mis à part son système utilisé par tous et qui a été perfectionné par d'autres chercheurs de différentes régions, Léo est également connu pour une expérience qu'il aimerait sûrement que tous oublient. En effet, il ne faut pas oublier qu'il a été le premier cas officiel d’humain à transposer sa conscience dans le corps d’un Pokémon. Une expérience dont il a toujours refusé de justifier. Certains pensent qu'il s'agissait d'une simple tentative pour vérifier les différentes hypothèses et théories sur le sujet, véritable rêve interdit chez la majorité scientifique. Pour d'autres, Léo aurait simplement cherché à assouvir une petite curiosité personnelle, vivant ainsi une espèce de double vie illusoire. Quoi qu’il en soit, aujourd'hui encore les résultats de cette expérience sont classés strictement confidentiels afin d’éviter toute nouvelle tentative éventuelle.



« Bien sûr, c'est un peu le rêve de tous d'être un Pokémon le temps d’une journée, juste pour voir ce que cela fait. Mais nous pouvons vite imaginer les débordements vis à vis de la création d'une machine qui permettrait ce transfert de corps. Les problèmes sont multiples et bien trop dangereux pour le peu de réponses qu'on pourrait obtenir sur le comportement des Pokémons. Même si on sait que la machine de Léo a été détruite par la TSR, qui nous dit qu'il n'en a pas fait une copie dans le plus grand des secrets ? Il semblerait qu’il ne sache pas où sont les limites à ne pas franchir »
Un second scientifique anonyme de la TSR



Certains l'admirent, d'autres le détestent, le moins que l'on puisse dire, c'est que Léo fait toujours parler de lui ! Depuis la création du W.A.dex et bien que nous soyons originaires de la même région, nous n'avions pas eu l'occasion de lui rendre visite à sa villa d’Azuria qui lui sert de laboratoire. C'est Arya qui a finalement eu l’opportunité de rencontrer le scientifique en question pour une expérience d'un genre inédit. Ce dernier souhaitait d'ailleurs garder une part de mystère vis à vis de ses travaux, c'est pourquoi dans un premier temps, notre experte en communication accepta bien volontier de respecter son souhait et ainsi garder le silence.

Alors pourquoi faire un article sur Léo finalement ? N'est-ce pas à l'encontre de sa demande de confidentialité ?


« J'étais au départ partant pour garder sa petite expérience secrète, mais cette condition n'était clairement plus valable une fois celle-ci mise en route. Lorsqu’il s’est mis à nous donner les détails de son fameux projet, je me suis rendue compte que Léo n'avait absolument pas réfléchit aux conséquences de ses actes si jamais il réussissait à mettre au point ce qu’il avait imaginé. »


En effet, officiellement, lorsque Léo a lancé les inscriptions pour participer à son expérience à Azuria, il parlait de jouer en VR – Réalité virtuelle – à un jeu que tous connaissent partout dans le monde : Pokémon rouge. Un jeu éducatif datant d'une vingtaine d'années maintenant et qui avait pour but de préparer les futurs dresseurs et coordinateurs à un minimum de stratégie. Sur le papier, l'expérience avait l'air assez sympathique et bon enfant, promettant une immersion dans le jeu afin d’y découvrir… quelque chose. C’est en réalité cette partie du tableau qui eut vite fait de déplaire à Arya.

Léo nous avait annoncé qu'il avait à priori découvert une nouvelle espèce de Pokémon lié à un bug informatique, proche sur le papier de Porygon et de ses évolutions. Léo voulait donc que les cinq participants de son expérience se rendent à l’intérieur du jeu afin de pousser le Pokémon bug nommé « MissingNo » à se montrer pour finalement le capturer à l'aide de Pokéballs spéciales créées pour le jeu en question, des Missingballs. Jusque-là, on pourrait croire simplement que Léo a fait une découverte révolutionnaire sur une nouvelle espèce et que sa capture permettra de l'étudier d’un peu plus près.

Toutefois, quelque chose ne tournait pas rond. D’abord les explications de Léo, les Missingballs… et enfin sa rencontre avec MissingNo au sein du jeu, quelque chose clochait. Ces fameuses balls, crées de toute pièce par Léo en personne, misent au point depuis plusieurs années mais dont l’existence était restée secrète. L'intérêt de ces Pokéballs, c'est qu'elles permettent de capturer un Pokémon dans le jeu et de le ramener dans la réalité. Le spécimen n'est en réalité pas véritablement vivant, il en reflète plutôt d'une projection en 3D dont le maintien dans notre dimension demande beaucoup d’énergie.

Et c'est justement le problème : les Pokémons pixélisés qui sortent du jeu – Je ne suis clairement pas convaincue qu'ils puissent y retourner une fois sortie de là – deviennent des masses d'énergies instables dont qui peuvent littéralement exploser au moindre problème. Pire, Léo lui-même a conscience du caractère dangereux de ses travaux, mais continue tout de même à jouer avec le feu dans le seul but de trouver je ne sais quelle réponse.

Mais le pire, reste sûrement MissingNo. Ce qui devait être un Pokémon bug du jeu s'est retrouvé être extrêmement similaire à l'intelligence artificielle qui établit un équilibre dans le jeu que Léo à modifié à sa guise. Du point de vu d'Arya, son apparition est clairement une conséquence des petites magouilles de Léo. La cause ? Un code source modifié et retouché selon son bon plaisir dans le but d’avancer ses recherches en matière de capture de Pokémons pixelisés afin de les ramener dans notre monde. D’un point de vue analytique, on peut clairement décrypter le comportement de MissingNo comme un mécanisme de défense à l’encontre des actions de Léo vis-à-vis de son monde.


« Il pouvait réagir à nos choix, faire apparaître des Pokémons et modifier tout ce qui les concernait, en plus de pouvoir lancer les randoms qui l’arrangeait. Clairement, de mon point de vu, ce n'est pas une nouvelle espèce de Pokémon, c'est un bug très dangereux et je n'aime pas savoir que Léo l'a transféré dans la réalité ! »


Léo n’a-t-il pas dépassé le point de non-retour avec cette nouvelle expérience ? Je vous laisse seul juge par rapport à votre conscience et votre éthique. Pour ma part, il était impossible de garder le silence par rapport à toute cette histoire, quitte à enfreindre la demande de Léo et de perdre sa confiance. Il reste à mes yeux un génie de l'informatique, mais il devrait réfléchir d'avantage aux conséquences de ses différentes expériences sur MissingNo. J'espère que cet article l'aidera à ouvrir les yeux sur la menace potentielle que ce bug pourrait représenter pour notre réalité ; ainsi qu’aux conséquences désastreuses que pourrait apporter ce genre d’expérience entre de mauvaises mains.

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