Les Natu sont de petits oiseaux colors. Leur corps ressemble à un petit pois tant par sa forme que par sa couleur. Leur bec est jaune, leurs pattes sont rouges, de même que les plumes de leur crane et de leur queue. Ils possèdent deux ailes trop petites pour leur permettre de volées, rouges avec des motifs noirs et jaunes. S'ils ne peuvent pas voler, ces pokémons compensent en sautant très haut. Ils vivent généralement dans des forêts tropicales.
Pouvoirs pré-psychiques
S'ils sont classés de type Psy, les Natu sont plutôt des pokémons que l'ont pourrait qualifier de pré-psychiques. Leurs pouvoirs sont très peu maîtrisés à l'état sauvage et restent plutôt à l'état de réflexes primitifs. Par exemple, ces pokémons peuvent ressentir le danger avec une certaine avance et précision et peuvent réussir certaines taches de prescience lors d'expériences. Mis à part ça, ils se servent très peu de leurs pouvoirs au quotidien et emploient leur cerveau à la satisfaction de leur curiosité. Ce sont généralement les dresseurs qui parviennent à leur faire développer des pouvoir psychiques un peu plus conséquents.
Alerte psychique Comme son évolution, Natu était un pokémon très important dans les cultures de civilsations perdues. Les archéologues qui ont travaillé dans les régions tropicales dont sont originaires ces pokémons ont déduit que les peuples qui y habitaient avaient conscience des pouvoirs de ces pokémons. Il était de coutume d'en posséder un et de l'entraîner à détecter les mauvais événements à l'avance pour prévenir leur maître. Il était même courant d'offrir un de ces pokémons aux enfants très jeunes pour leur apprendre à créer de forts liens.
#179 Wattouat
What
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Introduction
Les Wattouat sont des moutons à la toison couleur crème et à la peau majoritairement bleue si l'on exclue les rayures noires et jaunes sur leur queue et leurs oreilles. Sur leur tête, la toison forme généralement une sorte de spirale dûe au phénomène d'électricité statique qui sera décrit par la suite. Au bout de la queue de ces pokémons se trouve une sphère orange carbonnée dont la texture ressemble à celle du verre, qui brille légèrement quand sa toison est surchargée en électricité statique, ce qui suggère qu'il s'agirait d'une sorte de soupape à électricité. Ces pokémons sont très mignons, mais les carresser sur leur toison est dangereux, en particulier pour les enfants, lorsque celle-ci est très chargée. Pour savoir s'il est possible de carresser un Wattouat sans subir plus qu'un léger coup de jus sans danger, il faut s'assurer que la boule au bout de la queue est parfaitement éteinte et que la toison est faiblement gonflée. En effet, à mesure que l'électricité statique se charge, la toison va jusqu'à doubler de volume.
Un retour à l'état sauvage compliqué
Comme toutes les espèces de moutons, les Wattouats sont devenus ce qu'ils sont aujourd'hui à travers un processus de domestication de pokémons qui étaient autrefois semblables à des bisons, tels que les Frisons que nous connaissons à Unys. Ces pokémons ont été sélectionnés pour leur toison de très bonne qualité pour les textiles, mais aussi de manière à ce qu'ils soient moins agressifs et perdent leurs cornes. Seulement, l'évolution est un processus capricieux dont on ne maîtrise jamais toutes les variables. A mesure que la toison gagnait en qualité au fil des générations, elle gagnait aussi en potentiel à produire de l'électricité statique, de sorte que les textiles produits sont devenus de moins en moins pratiques, et même parfois très dangereux. Ainsi, pendant quelques siècles, l'élevage de ces pokémons a été abandonné. Etant domestiqués, ils n'étaient plus adaptés à la vie sauvage. Dépourvus de cornes, bien moins endurants que leurs ancêtres, et peu capables d'utiliser leur électricité sans entraînement, ils sont devenus vulnérables. Ce n'est que grace aux mécanismes d'évolution par stades qu'ils ont pu survivre en tant qu'espèce : certains individus, en tentant de défendre les leurs, évoluaient en Lainergie (et parfois plus tard en Pharamp, bien que cela est extrêmement rare dans la nature) et parvenaient à protéger leurs congénères Wattouat. Aujourd'hui, après avoir développé les technologies liées à l'électricité, nous avons réussi à mettre au point des procédés qui permettent d'altérer les propriétés du textile de Wattouat pour qu'ils soient de nouveau utilisables, ce qui a incité les éleveurs à reprendre l'élevage de Wattouats.
Textiles piezoelectriques Aujourd'hui, l'électricité est au coeur de nos vies et de nos industries, et ce qui était la raison de l'abandon des Wattouats fait aussi désormais partie de leur importance cruciale dans l'économie. En plus de la qualité supérieure de leur laine, sa capacité à produire de l'électricité est devenu un atout majeur dans la production de ce que l'on appelle les textiles piezoélectriques. Lorsque l'électricité statique est bien maîtrisée, il est par exemple possible de s'en servir pour produire des sacs à dos qui rechargent les appareils électroniques grâce à l'énergie produite par les mouvements, ou encore des montres rechargées par les mouvements d'un pull, voire même [spoiler 18+]des oeufs vibrants chargés automatiquement par les sous-vêtements[fin spoiler 18+]. Ce qui a causé l'abandon, et presque l'extinction des Wattouat est donc peut-être aujourd'hui leur plus grand atout. On peut toutefois se demander s'il est juste d'abandonner une espèce à son sort après l'avoir rendue incapable de vivre dans la nature, sous prétexte qu'elle ne sert plus nos intérêts économiques.
#180 Lainergie
Duracell version mouton.
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Introduction
Lainergie est une sorte de mouton bipède à la peau rose, avec une toison sur le haut de son corps, faisant comme une sorte d'écharpe et de touffe de cheveux. Cette toison produit encore plus d'électricité que celle de sa sous-évolution. Ses oreilles sont en forme de cônes et sont marquées de rayures noires, tout comme sa queue, qui se finit en une boule qui peut s'éclairer lorsqu'elle stocke assez d'électricité.
La toison d'or, ou presque.
La toison de Lainergie produit de l'électricité, tout comme sa sous-évolution. Toutefois, ce pokémon a perdu une grande partie de sa toison, et parvient malgré tout à produire encore plus d'électricité. C'est parce que la qualité de cette toison est bien supérieure, ce qui permet ainsi à Lainergie d'être bien plus puissant. Cela rend toutefois sa toison bien plus difficile à manipuler et presque impossible à tondre sans danger. C'est pourquoi elle n'est jamais utilisée dans l'industrie, n'étant pas assez rentable car elle demande trop de matériel et de compétences pour en produire suffisamment. Ce sont toutefois les scientifiques qui sont fascinés par cette toison et s'en inspirent pour créer des tissus dits piézoélectriques synthétiques les plus efficaces possibles.
Isolation parfaite.
La peau de ce pokémon est un des meilleurs isolants que la nature ait créé. Ces pokémons sont entourés d'électricité, parfois à très haute tension, et jamais ils ne s'électrocutent eux-mêmes, et ne subissent presque rien lorsqu'ils reçoivent des attaques de type électrique. Ces pokémons font donc fortement avancer la science en matière d'isolants, qui permettent de produire synthétiquement des vêtements qui protègent de l'électricité, par exemple, mais aussi par exemple pour créer les meilleures protections pour les câbles qui transmettent de l'électricité.
Bonus « compagnon du militant »
Ces pokémons peuvent vous fournir l'électricité nécessaire pour avoir un petit frigo fonctionnel dans votre ZAD ou sur la place que vous occupez pendant un mouvement de protestation, par exemple, un peu comme un groupe électrogène. C'est pratique pour les courtes durées, mais attention, cette technique risque d'abîmer le matériel sur la durée, car ce dernier n'est pas conçu pour recevoir des charges non normées, délivrées par un pokémon.
#185 Simularbre
Ceci n'est pas un arbre
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Introduction
Ceux qui ne connaissent pas ce pokémon se font généralement tromper par son apprence en croyant qu'il s'agit d'un type Plante. En effet, il ressemble tout simplement à un arbre. Son corps a la couleur et la texture visuelle d'un tronc, et ses bras ressemblent à des branches au bout desquels se trouvent des boules vertes peuvent être confondues avec des amas de feuilles quand on n'y regarde pas de trop près. Pourtant, il s'agit en réalité d'un Pokémon de type Roche. Outre son apparence générale arbresque, ce pokémon possède généralement une sorte de "T" sur la tête, et, lorsqu'il ne cherche pas à se cacher, arbore un sourire amusant et un regard enjoué voire curieux. Et, il faut le dire, il a souvent l'air un peu... Con.
Camouflage et sélection naturelle
Il existe plusieurs hypothèses concernant les raisons pour lesquelles ces pokémons ressemblent à ce point à des arbres. En particulier, deux hypothèses s'opposent aujourd'hui sans que la communauté scientifique ne parvienne à les départager. La première, celle qui a le plus de popularité médiatique, repose sur l'idée que ce pokémon aurait évolué d'une manière qui l'a rendu mieux camouflé afin de limiter ses chances d'être capturé, la seconde défend l'idée qu'ils ont depuis très longtemps cette apparence mais ont changé de type. D'après la première hypothèse, Simularbre était donc un simple bipêde ressemblant aux Simularbres d'aujourd'hui lorsque les humains ont commencé à apprendre à capturer et dresser les pokémons. Etant des pokémons relativement lents, ils étaient des proies assez faciles. A cette époque, les humains qui capturaient des pokémons ne cherchaient pas spécialement à les faire ce reproduire, ce qui aurait causé une pression sélective qui a mené au développement d'un camouflage pour les protéger des humains, et les mieux camouflés auraient donc pu mieux se reproduire. Selon la deuxième hypothèse, ces pokémons étaient de type Plante et ont évolué vers un type Roche, ce qui les a rendus plus résistants aux attaques les plus basiques des pokémons que les humains possédaient typiquement à l'époque. Il n'est par ailleurs pas exclu que ces deux hypothèses soient vraies. Des recherches génétiques mais aussi des recherches dans le domaine de l'archéologie et la paléoanthropologie sont aujourd'hui pour les mettre à l'épreuve, et je trouve qu'il s'agit d'un sujet fascinant !
Simularbre et culture
Un autre mystère concernant ces pokémons a trait à sa popularité, en particulier auprès des personnages agées. Ce pokémon est entouré d'une aura médiatique tout simplement incroyable à Johto, mais aussi aujourd'hui dans le monde grace à internet. Depuis des décennies, des fanclubs de se pokémon existent un peu partout à Johto, et plusieurs magazines spécialisés sur ces pokémons figurent parmi les plus populaires là-bas. Il est impossible de trouver une salle d'attente sans un de ces magazines. Plus intéressant encore, la longueur et l'angle des bras de ces pokémons est l'objet d'une part important de l'engouement de la population pour ce pokémon, au point qu'il existe une revue scientifique interdisciplinaire, le Journal of Sudowoodo Studies, dans lequel sont régulièrement publiés des articles qui étudient les liens entre la longueur et l'angle de leurs bras, les mécanismes qui les causent, ou encore les raisons derrière la fascination qu'ils suscitent. Un article de 2018 prétendait avoir prouvé que cela est dû à une aire cérébrale particulière, mais la communauté scientifique n'est pas convaincue par cette explication.
#200Feuforêve
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Introduction
Feuforêve est un pokémon originaire de Johto, et plus précisément du célèbre et mystérieux Mont Argenté. De nombreuses légendes locales racontent, malgré leurs légères variations, que ce pokémon est l'esprit d'un enfant capricieux, probablement à cause de sa tendance à tirer les cheveux des humains. Comme pour la plupart des pokémons spectres, on en sait assez peu sur ce qu'il en est réellement. Si les Feuforêves habitent pour la plupart assez proches du Mont Argenté, on en trouve aujourd'hui dans bien d'autres endroits. Ces pokémons se distinguent par leur corps bleu nuit, qui se termine en une sorte de robe, leur sourire mesquin, et les étranges perles rouges qu'ils ont à leur cou.
Des pistes pour de nouvelles énergies.
Si les Feuforêve sont loin d'être les seuls pokémons de type Spectre qui se nourrissent des émotions, et tout particulièrement de la peur des autres pokémons et animaux, ils se distinguent par le fait qu'ils font partie des rares dont on commence à avoir une idée des processus en jeu, bien que l'on en soit encore à un stade trop peu avancé pour donner une réponse formelle. Il se trouve que les chercheurs se sont rapidement intéressés aux perles rouges sur le corps de ces pokémons, d'autant qu'ils ont tendance à en prendre très soin et à les protéger au combat. Il semblerait que ce soient ces perles qui aspirent l'énergie produite par la peur des gens. C'est donc une piste intéressante pour des énergies renouvelables.
Le Macdo des Feuforêves : malbouffe Unysienne.
Il n'y a pas que les humains dont l'alimentation souffre de l'impérialisme culturel Unysien. Vous n'êtes pas sans savoir que la majeure partie des films sont produits à Unys, plus précisément au Pokéwood. Je ne vous surprendrai pas non plus en vous faisant remarquer que les blockbusters Pokéwoodiens sont majoritairement d'une qualité médiocre. Le problème, c'est qu'ils n'en sont pas moins les plus visionnés. Or l'un des genres les plus populaires des trente dernières années sont les films d'horreur et d'épouvante, et ces séances attirent les Feuforêves des environs qui peuvent se nourrir sans efforts. Seulement, une étude récente a montré que cette habitude alimentaire a plusieurs effets néfastes pour ces pokémons. D'abord, ils ont tendance à arrêter de chercher à se nourrir eux-mêmes, deviennent paresseux, et plus vulnérables à leurs prédateurs. Par ailleurs, leur rapport à la peur devient plus distancié puisqu'ils ne produisent plus leur propre "nourriture", et ils deviennent souvent victimes de troubles alimentaires, "mangeant" trop ou pas assez de peur. Enfin, la peur produite par les films Pokéwoodiens est aujourd'hui souvent de piètre qualité, à base de jump scares abusifs, fini la variété, la profondeur, c'est une nourriture qui cale, mais qui finalement a peu d'apports pour les Feuforêves. Il est grand temps que le Pokéwood produise de nouveau des films d'horreur de qualité, tant pour le bonheur du public que pour l'alimentation du Feuforêve.
Bonus « compagnon du militant »
Lorsque des militants d'extrême droite tentent de s'attaquer à vos ZADs ou vos bars safes, de débloquer vos facs, ou ce genre de choses, envoyez un Feuforêve leur tirer les cheveux en cachète (quand ils en ont) et les mordre, généralement, ça devrait suffire à leur faire peur.
#203 Girafarig
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Introduction
Girafarig est une sorte de girafe relativement petite pour son espèce, de sorte que sa présence à Johto et son est un mystère. Ses couleurs sont intéressantes, l'avant de son corps est jaune avec des taches noires tandis que l'arrière est noir avec des taches jaunes, ce qui est d'autant plus frappant que se trouve une petite tête au bout de sa queue, dont on parlera juste après. Le haut de sa tête "principale", à l'avant, est blanc, et surmonté de deux cornes elles aussi blanches, avec des boules à leur extrémité. Girafarig possède aussi des sortes de pics roses tout au long de son dos et de sa nuque. Ces pics sont en réalité des excroissantes de graisse, à la manière des brosses des chameaux et dromadaires, et ne sont donc pas confortables, mais pas dangereux non plus. Revenons enfin à la tête située au bout de sa queue, car il s'agit probablement de la partie la plus fascinante de son corps.
Tête de c**
Ainsi donc, qu'en est-il de cette étrange deuxième tête ? Située au bout de la queue de Girafarig, elle est de la même couleur noire que le reste de l'arrière du corps, possède deux yeux noirs aux sclères jaunes. Leurs dents sont assez tranchantes pour blesser quiconque s'approcherait sans que la tête avant du pokémon ne s'en rende compte. Enfin, cette tête possède deux petites narines invisibles par leur couleur. Mais ce qui rend cette tête si fascinante, c'est qu'elle possède un petit cerveau "rudimentaire". En un sens, donc, tout se passe comme si deux organismes fusionnaient et devaient coopérer. Cela n'a rien d'unique. Les Doduo, Dodrio ou Triopiqueur par exemple sont aussi concernés par cette particularité, et plus largement, tous les animaux qui vivent avec des parasites, et dans une certaine mesure tous les organismes qui vivent avec des bactéries, comme les humains, coopèrent avec leur propre organisme. Au-delà des considérations théoriques sur les frontières des organismes, ce qui est intéressant, comme pour les pokémons sus-cités, c'est la manière dont ces deux cerveaux se répartissent les tâches et s'entraident. Sans surprise c'est le cerveau de l'avant qui a le contrôle majoritaire du corps. Le cerveau arrière a le contrôle partagé de la queue, et un contrôle total sur sa propre tête qui n'est pas investie par le système nerveur de la tête avant. Son utilité principale est d'alerter le cerveau avant d'un danger en envoyant des signaux, notamment lorsque Girafarig dort. En effet, ce petit cerveau n'a pas besoin de sommeil. En plus de ça, pendant le sommeil, les informations stockées dans le petit cerveau depuis le dernier cycle de sommeil sont d'une certaine manière transférées au cerveau principal. Dans les faits, les choses sont plus compliquées que ça puisqu'un organise ne transfère pas de l'information comme un ordinateur, mais ce sont des sortes de connaissances comme le repérage dans l'espace qui sont consolidées pendant le sommeil grâce à ce processus. Enfin, des scientifiques ont l'intuition que ce cerveau joue un rôle dans les pouvoirs psychiques de Girafarig, mais ne savent pas encore exactement lequel. Si vous en possédez un très entraîné aux attaques Psy, les scientifiques Johtoiens seraient d'ailleurs reconnaissants si vous acceptiez de faire passer quelques expériences à votre pokémon pour explorer cette hypothèse !
Le mystère de l'insomnie
Longtemps, les scientifiques se sont demandés comment il était possible que le cerveau de la queue de Girafarig, pourtant très différent de ceux des espèces qui n'ont pas besoin de sommeil du point de vue du métabolisme, n'ait pas besoin de sommeil. Il semblerait que ce soit parce que le cerveau principal de ce pokémon envoie des neurones et cellules cérébrales jeunes au cerveau arrière par un circuit qui passe notamment par les excroissances sur le dos du pokémon, ce qui expliquerait leur existence !
#241 Ecremeuh
Allez vous faire traire !
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Introduction
Ecrémeuh est un pokémon tout mignon, tout rose avec un peu de noir, souvent joyeux et enthousiaste. C’est la femelle de Tauros. Elle vit généralement dans les plaines vertes mais est aussi souvent dans des fermes, élevée pour son lait. Elle se nourrit exclusivement d’herbe et boit beaucoup pour pouvoir produire son lait.
Le prix de votre bol de lait.
Bien qu’Ecrémeuh semble en général très heureuse de partager son lait à qui sait la traire, et qu’elle en produit environ 5 litres par jour, ce qui signifie qu’elle n’en manque pas, nous nous devons de dénoncer les conditions exécrables dans lesquelles nombre d’Ecrémeuhs vivent. En effet, sous couvert de course au profit, les grandes fermes industrielles parquent les Ecremeuh afin de traire leur lait en continu grâce à des machines. Outre le fait que les Ecrémeuhs vivant dans ces conditions ne sauraient en rien être heureuses, et qu’elles souffrent d’être dans des espaces confinés, elles sont en plus mal nourries, et leur état psychologique et physique font que leur lait perd de toute manière sa vertu. Ainsi, pour mettre fin à ces pratiques barbares, nous devons non seulement arrêter de consommer le lait de Meumeu industriel, mais aussi soutenir les petits éleveurs aimants qui traient le lait de leurs Ecrémeuh de manière artisanale et leur permettent de vivre dans un environnement sain. Mieux encore, vous pouvez soutenir des éleveurs qui laissent les Ecrémeuhs vivre dans leur habitat naturel et les traient avec leur permission sur place. Attention, je suis bien conscient que tout le monde ne peut pas financièrement se permettre d'acheter du lait de petit éleveur, et je ne souhaite en aucun cas vous faire culpabiliser, mais seulement vous faire prendre conscience de ce problème afin que ceux qui le peuvent (et le souhaitent) agissent en conséquences.
Les produits laitiers, sont nous amis pour la vie !
Comme nous l’avons mentionné, les Ecrémeuhs sont très prisées pour leur lait. Lorsque celles-ci vivent dans des conditions favorables, leur lait est si nourrissant qu’il soigne les pokémons et les humains. Ceux qui sont intolérants au lactose peuvent généralement manger les yaourts et fromages qui sont fait à la base de ce lait. Si vous avez une Ecrémeuh, vous pouvez la traire vous-même afin de vous abreuver de leur délicieux lait, ce qui vous donnera des forces ainsi qu’à vos pokémons. C’est très pratique par exemple pour préparer un combat d’arène. Ecrémeuh peut aussi être utilisé comme moyen de transport écolo, et comme jeu pour les enfants, qui adorent grimper sur son dos. Ecrémeuh étant en général un pokémon calme, vous ne risquerez pas grand-chose (attention, il existe quelques vaches folles, la mienne par exemple).
Bonus « compagnon du militant »
Si vous tenez une ZAD, il est pratique d’avoir une Ecrémeuh avec vous qui vous fournira du lait à volonté afin de tenir, du moment qu’elle peut se nourrir de bonne herbe fraiche autour. En manifestation, vous pouvez monter sur son dos pour fuir la police si besoin lorsque cette dernière vous charge, ou simplement vous réfugier derrière elle. Vous pouvez aussi jeter son lait sur les policiers pour les énerver. C’est donc un compagnon très versatile !
Merci à Jill Calahan pour la bannière du pokédex !