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» Publication - Traité de géographie du monde Pokémon

Worick Brown

Worick Brown
Scientifique Kantô

C-GEAR
Inscrit le : 31/07/2015
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Région : Kantô
Ven 11 Aoû - 16:54
Publication - Traité de géographie du monde Pokémon Geogra10


Les différents articles qui vont suivre ont été réalisés par Arya Kanazawa et Worick Brown. Ceux-ci traitent de différentes thématiques toutes en rapport avec la géographie des sept régions connues à ce jour, d'un point de vue global, mais aussi en proposant un contenu plus ciblé et précis sur chaque villes, grottes et routes qu'il vous arrivera d'arpenter à l'avenir et ce afin de vous proposer un maximum d'information. Celles-ci sont à votre entière disposition, n'hésitez donc pas à les consulter pour préparer sereinement vos prochains voyages.

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Worick Brown

Worick Brown
Scientifique Kantô

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Région : Kantô
Ven 11 Aoû - 16:56

Kanto



Vous avez déjà visité les stations balnéaires d’Alola ? Vous avez déjà diné aux meilleures tables de Kalos, et cherchez une nouvelle destination de vacances pour cet été ? Avez-vous seulement songé à venir faire un tour du coté de Kantô ? Région riche en attraction en tout genre, elle saura satisfaire bien des touristes et ce depuis la forêt de jade jusqu’à Cramois’ile en passant par la grande ville de Safrania. Allez, je ne doute pas un instant que vous êtes convaincu et mon petit doigt me dit que vous commencez même à préparer vos bagages pour venir découvrir tout cela par vous-même. Afin de ne pas vous lâcher dans une nouvelle région sans informations et aussi pour vous occuper dans l’avion, voici un petit point de rappel concernant la belle région de Kanto, son histoire et sa culture.


Commençons donc par un peu d’histoire.

Pour commencer, il faut savoir que Kantô est sans aucun doute l’une des régions ayant connue la plus forte croissance économique et démographique après la grande purge. Directement reliée à Johto, ces deux régions n’eurent de cesse d’alterner entre situation de conflit et alliances commerciales et les deux régions mirent un certain temps avant de fixer définitivement leurs frontières. Cependant, malgré les légères escarmouches visant à reprendre notamment les territoires environnant des chutes Tohjo, le fait que ces deux régions puissent trouver ensemble un terrain d’entente sur les différentes ressources à commercer a permit à la région de Kanto de prospérer et de bâtir très rapidement une grande civilisation sur des bases solides. Ce n’est pas un hasard si une majorité des premiers grands philosophes, physiciens et astronomes de ce monde ont vécu au beau milieu de la capitale de l’époque déjà basée à Safrania : Aristote, Socrate, Platon et bien d’autres. C’est donc sur le sol de Kanto que le célèbre Galilée découvrit que la terre était finalement ronde et non plate. Cependant, toutes ces avancées technologiques et sociales ne furent possibles que grâce à un dirigeant à la poigne de fer et aux convictions inébranlables. Ou ici, une famille plutôt, puisque ce fut la famille Taurus qui régna sur les terres de Kanto pendant près de deux siècles, jusqu’en 1420. Son plus grand représentant fut assurément le célèbre Julius, fait empereur de Kanto en l’an 1365 qui participa à la gloire de sa région. Ce fut d’ailleurs lui qui permit à Kanto de retrouver définitivement les frontières que nous lui connaissons lors de la bataille du Mont Argenté.

Depuis ce jour, la région n’a cessé de prospérer sans jamais connaitre de nouveau conflit avec sa voisine Johto, et se trouve maintenant être l’une des plus grandes puissances technologiques, et ce en partie grâce à la Sylphe SARL, qui joue depuis plusieurs années un grand rôle dans la création de nombreuses startups originaires de Kanto, que ce soit dans le domaine médical, vidéo ludique, et informatique. C’est donc une destination de choix notamment pour beaucoup de conférences technologiques, qui ont notamment lieu à tours de rôles à Safrania, Céladopole, ou encore Carmin sur Mer.


Kanto, une région propice pour les geeks donc ?

Pas exclusivement ! Kanto se caractérise par bien d’autres points et n’est donc pas une destination uniquement accessible aux geeks en tout genre. Que vous soyez amoureux de la nature, des plages de sable chaud ou encore des soirées illuminées par les enseignes des bars, discothèques et casinos du coin, cette région est faite pour vous.

Vous êtes de ceux qui préférez les sorties en nature ? Commencez donc par une promenade au beau milieu de la forêt de jade ! Si elle peut paraitre imposante, il y fait bon vivre et il est plus difficile de s’y perdre que l’on ne le pense, car nombreux sont les scouts prêts à vous indiquer votre chemin au beau milieu des bois. Les spécimens du coin sont majoritairement des Pokémons insectes, ce qui devrait ravir les fans du genre, même s’il est parfois possible d’apercevoir une queue de Pikachu dépassant des fourrées, ouvrez l’œil.

Pour les randonneurs adeptes de beaux panoramas, c’est vers le Mont Sélénite qu’il vaut mieux se diriger ! Entre sentiers battues et pistes plus sauvages pour se hisser vers les plus hauts plateaux de l’un des plus hauts pics au monde, le Mont Sélénite attire chaque année son lot de touristes, d’autant plus qu’il cache une faune très particulière ! Pour plus d’informations à son sujet, sachez qu’un article complet sur le lieu dit est disponible dans le numéro 2 du W.A.Mag. Si vous n’êtes pas venu ici pour les parcours de plaisance, mais pour parcourir les sentiers les plus difficiles d’accès et les grottes les plus sombres de la région en quête d’aventure, sachez que là aussi, Kanto a de quoi vous satisfaire avec les chutes Tohjo, la grotte Argenté ou la grotte Azurée. Cependant attention à vous, les Pokémons qui peuplent ces dernières sont loins d’être amicaux, et encore moins expérimentés. Soyons donc sûr d’être préparé à toute éventualité avant de vous lancer dans de telles aventures.

Si ce sont les plages de sable fin et l’écume qui font chavirer votre cœur lors des départs en vacances, votre destination sera sans doute tout autre mais pas de panique, Kanto possède aussi son lot de surprise dans le domaine. En effet, si la région est bien ancrée dans les terres, le port de Carmin sur Mer vous offrira sans aucun doutes quelques croisières de plaisance plus qu’appréciables, avant de faire un léger détour du coté de Cramois’ile, qui possède assurément les eaux les plus chaudes de la région. C’est effectivement grâce à la présence des volcans sous marins environnants que l’eau se trouve être bien plus chaudes que partout ailleurs dans la région, pour le plus grand bonheur des nageurs. L’ile abrite aussi des vestiges d’anciens manoirs au sein desquels se camouflent régulièrement les Pokémons feu du coin.

Finalement, si vous préférez les ambiances festives des nuits en plein centre ville, c’est en direction de Céladopole qu’il faudra vous diriger. Bien sûr, Safrania possède elle aussi son lot d’établissement où il fait bon vivre, mais c’est bel et bien Céladopole qui remporte de loin la palme de ville la plus animée de jour comme de nuit. En effet, que vous recherchiez des cinémas, des bars, des bowlings ou des discothèques, cette ville est faite pour vous ! La majorité des établissements restent ouverts jusqu’au petit matin pour vous permettre de passer des nuits de folies avec vos amis.
Si vous n’êtes pas contre les jeux d’argents, il est de votre devoir de faire ne serait-ce qu’un tour d’horizon en direction du très célèbre casino de Céladopole, où se déroule d’ailleurs les finales mondiales de Blackjack de temps à autres !


Et la culture locale, on en parle ?

Sur le plan culturel, Kanto n’est pas non plus la dernière des régions et pour preuve : De nombreuses peintures célèbres nous viennent tout droit de cette belle région, notamment grâce aux célèbres peintres Ikuo Hariyama ou Toko Shinado. Si la région ne possède pas de danse représentative à proprement parler, elle est à l’origine du K-Rock, représenté à travers le monde par les célèbres groupes ONE ECLAT’ROCK, Girügarbok et Man With A Frison, mais aussi de la K-Pop, musique populaire au sein des boites de nuit de Céladopole notamment avec les derniers albums des groupes XOXO et Uproar.
Vous l’aurez sans doute compris, les jeux d’argent occupent une place importante autour des grandes villes de Kanto, il est donc tout à fait naturel que les paris sportifs aient autant la côte, que ce soit depuis le petit bar PMU du Bourg Palette jusque dans les gradins du grand Gymnase de Parmanie. C’est d’ailleurs pour cette raison que la région possède son lot de sportifs de choix, et notamment au niveau des arts martiaux. Boxe et Karaté par exemple, sont des disciplines fréquemment pratiquées à Kanto et des compétitions interrégionales ont lieu au dojo de Safrania. Le Taekwondo, lui, s’est répandu depuis la médaille d’Or de gagnée par notre belle région aux jeux Olympiques d’Illumis en 1988. De plus, toutes ces disciplines sont fréquemment pratiquées au contact de Pokémons combats comme Kicklee et Tygnon, les deux plus célèbres et représentatifs de la région. Admit comme discipline sportive assez récemment bien qu’il ne demande pas d’exercice physique, l’e-sport est aussi un véritable phénomène de mode à Kanto et regroupe ainsi des milliers d’adolescents entre eux sur les jeux en lignes du moment. Après tout, si Johto a droit à ses compétitions de Shogi, pourquoi Kanto n’aurait-elle pas droit d’organiser des compétitions sur des jeux de stratégies ?
Finalement, c’est sur le plan culinaire que Kanto tire une fois de plus son épingle du jeu. Bien qu’ils n’égalent pas la délicieuse cuisine Kalosienne, les petits plats tout droit sortis des fourneaux de Kanto promettent eux aussi quelques bonnes surprises, à commencer par les Samoussas de Leviator, qui se révèlent délicieux en entrée avec quelques petits légumes. L’un des plats les plus savoureux, c’est assurément le sauté de Tauros à l’Azurienne, qui, s’il est bien réalisé, risque bien de vous faire tomber par terre. Et enfin quoi de mieux pour terminer le repas qu’une ile flottante à la Cramois’ilienne dont la recette est toujours tenue secrète et uniquement connue des grands chefs présents sur l’ile au nom éponyme.


En conclusion

Si elle donne l’air d’être uniquement le paradis des nouvelles technologiques et des machines à sous, Kanto est en réalité bien plus complète qu’il n’y parait. Randonnée, natation, bronzette et sorties artistiques, cette belle région aura sans doute de quoi vous occuper pendant vos vacances sans aucuns souci. D’autant plus qu’elle est aussi très prisée des dresseurs débutants ou experts, car après tout, n’est-elle pas la région où le célèbre professeur Chen a établit son laboratoire ?


Lieux régionaux étudiés


Mont Sélénite
Publication - Traité de géographie du monde Pokémon Dfggdf10
Type : Grotte

Espèces : 4
Pokémons niveaux : 7 à 20

Zone accessible par CS : Force
Spécimen exclusif : Mélofée

Informations complémentaires:

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Worick Brown

Worick Brown
Scientifique Kantô

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Région : Kantô
Ven 11 Aoû - 17:00

Johto




Après vos dernières vacances à visiter la région de Kanto, vous êtes à la recherche de décors traditionnels, de costumes typiques et de patrimoine historique ? Pourquoi ne vous dirigeriez vous pas vers la région de Johto pour vos prochains congés ? Riche d’un héritage culturel unique au monde, c’est la région rêvée pour tous les grands passionnés d’archéologie ou d’histoire Pokémon. Cependant, s’il est effectivement reconnu que son patrimoine est d’une extrême richesse, laissez moi vous rafraichir la mémoire concernant les différentes époques qui ont permis à cette région de se forger une telle identité.


En entrée, un peu d’histoire !

L’une des choses les plus importantes à savoir lorsque l’on parle de Johto, c’est que c’est précisément là qu’est née l’écriture ! En effet, héritage laissé par les premières civilisations ayant peuplées notre monde, les Zarbi des ruines Alpha ont toujours été source d’un immense savoir et ce depuis des milliers d’années. Il n’y a donc rien de très étonnant au fait que le berceau de l’écriture soit aussi reconnue comme la région au patrimoine historique le plus riche. Si l’on peut cependant s’imaginer que Johto a prospéré durant des centaines d’années, riche de ses connaissances et de sa culture : il n’en fut rien. Si la guerre a toujours été monnaie courante et ce peu importe la région, Johto remporte largement la palme dans cette catégorie. S’il est difficile de dater les premiers conflits internes tant ils furent nombreux, on sait en revanche qu’un grand nombre de combats opposèrent Johto à sa voisine Kanto dans le but d’étendre toujours plus leurs frontières mutuelles. Il faut savoir par exemple que durant le Moyen-âge, les villes de Jadielle et d’Argenta que nous connaissons aujourd’hui étaient en réalité des avant-postes militaires Johtoïtes. Plus tard, vers les années 1300, c’est au contraire Ebenelle qui était une place fortifiée de la région de Kanto, représentant ainsi un emplacement stratégique grâce à la géographie environnante. Après la bataille du mont Argenté en 1374, un traité de paix est signé entre les deux régions de la main de Julius Tauros et Kojiro Sansocki.
Ayant finalement droit à quelques siècles de paix, Johto n’en profitera pas bien longtemps puisqu’elle entrera en 1600 dans l’ère Edo qui est très largement responsable de l’identité actuelle de la région. En effet, toutes les histoires de Samurai et de Ninja qui font le charme de cette belle région sont quasi-intégralement nées à cette époque. Totalement sous le joug du clan de Ieyasu Togukallame pendant plusieurs années, Johto connu à cet instant une grande croissance économique. Des temples furent construis un peu partout dans la région, ainsi que de grands monuments qui sont restés célèbres de nos jours : La tour cendrée, la tour ferraille mais aussi la tour Chétiflor, qui aura quant à cette dernière vu le jour à peine quelques années plus tard pour vouer un véritable culte à ce Pokémon emblématique. Cependant, une ère n’était jamais faite pour durer éternellement, différents clans se soulevèrent partout à Johto pour tenter de prendre le pouvoir. Azai, Hojo, Saika, Takeda, et même la province de Tohoku (Irisia actuelle) menée par le très célèbre Masamune Date. Nombre de batailles s’enchainèrent au fil des années sur plusieurs générations, jusqu’à l’abdication officielle du dernier Shogun, Tokugallame Yoshinobu. Si cette période a été marquée par des nombreuses batailles, certes héroïques mais aussi sanglantes, elle est avant tout la mère d’une multitude de récits, de cultures, de constructions et de traditions. Par ailleurs, c’est à cette période qu’est né le théâtre à Johto, popularisé par dame Okuni et sa troupe de danseuses, alors que cet art apporterait plus tard sa touche artistique à la coordination que nous connaissons bien aujourd’hui.


Du coup Johto, c’est l’éclate ?

Sur le plan géographique, il est sans doute inutile de rappeler que la région de Johto est extrêmement fière de son cachet très mythologique et traditionnel. Composées de vastes plaines, de grottes et de montagnes pittoresques, l’environnement régional qu’il soit naturel où bâtît de la main de l’homme reste un véritable régal pour les yeux. Que ce soit pour les randonnées, les visites culturelles ou même pour profiter des plages de Ville Griotte ou d’Irisia, des vacances à Johto sauront ravir les touristes de tous les horizons :

Pour les grands fans d’architecture et de découvertes historiques, il n’existe sans doute pas de région plus intéressante. Quoi de plus normal lorsqu’on sait que c’est ce même sol présent aux ruines Alpha qu’ont foulés les premiers Hommes tandis que l’écriture pointait à peine le bout de son nez. La région est donc dans son intégralité recouverte de vestiges des grandes civilisations l’ayant foulé du pied. En particulier, c’est une architecture très féodale que l’on retrouve dans différentes villes comme Rosalia, Mauville ou encore Acajou. Si vous n’êtes pas convaincu, je suis certain qu’un rapide coup d’œil à l’intérieur de la tour chétiflor devrait vous convaincre sans plus de cérémonie.

Si toutefois, vous êtes plus branché nouvelles technologies et vie active, sachez que la somptueuse Doublonville saura sans nul doute vous combler dans bien des domaines. L’industrie du jeu vidéo y est d’abord extrêmement présente grâce au siège social de Nintendoduo en plein cœur de la ville, qui ne manque pas d’inonder le marché d’excellents jeux tirés de ses licences les plus célèbres. S’il y a cependant un point d’honneur qui est omniprésent à Doublonville, c’est l’audiovisuel et plus particulièrement la radio en règle général. Ce n’est pas pour rien si les premières émissions de radios au monde furent retransmises directement grâce à la tour au nom éponyme siégeant au centre de la ville. Si vous souhaitez rencontrer les plus grands journalistes ou chroniqueur reconnues à travers toutes les régions, il y a de fortes chances que vous les croisiez dans les parages.

Un autre point notable et propre à la région de Johto, c’est l’abondance de festival. Pour les Evolis, pour les fleurs, pour les Kimonos, pour chaque saison, chaque solstice, il y a un festival quelque part. Ceux-ci sont toujours emprunts de la grâce et l’élégance si caractéristiques aux tenues de cérémonies Johtoïtes et toutes les activités : parades, danses et représentations de coordinations proposées, valent largement le détour. Dans le domaine balnéaire et aquatique de façon plus général, si la région n’est certes pas la mieux lotie, il faut savoir que les plages d’Irisia n’ont rien à envier à celles d’Alola en été, les siphons des Tourb’iles purifiant les eaux environnantes pour les rendre limpides. Dans le même registre : le lac colère a été une attraction touristique très prisée pendant de longues années. Cependant, après les expérimentations de la team Rocket sur certains Léviator du coin, la sécurité des lieux a augmenté d’un cran pour éviter que les touristes ne se fassent dévorer par un Léviator rouge en colère.


Pour finir en dessert, parlons un peu de la culture Johtoïte !

Comme expliqué plus tôt, Johto est une région riche de sa culture. Le simple fait que les arts liés au théâtre soient nés sur le sol de cette belle région ne peut que prouver que ses habitants ont manifestement toujours eu bon gout. Souvent accompagnées de danses traditionnelles, ces représentations tirant souvent leur inspiration dans le folklore régional sont toutes uniques en leur genre et constituent un spectacle qu’il faut absolument avoir vu au moins une fois dans sa vie, sans oublier bien entendu la musique traditionnelle aux sonorités si particulières que l’on ne retrouve qu’à Johto.

Si cet aspect de la culture Johtoïte est très présente un peu partout dans la région, il faut savoir que bien qu’elle conserve toujours une partie de cet aspect « old school », la nouvelle génération Johtoïte ne manque pas de trancher avec celle de ses prédécesseurs. Hip-hop, J-Rock, ce sont de toutes nouvelles idoles en matière de musique qui font leur apparition sur le devant de la scène à présent : Lugia Sea, Buck Tic ou même X-Johto. Croyez moi qu’avec l’énergie de ces artistes sur scène, la région n’a pas finit de briller sur le plan musical !

En matière de sport, la région de Johto n’est pas forcément la plus à plaindre. Si ses athlètes ne brillent pas forcément sur les sports d’équipes les plus médiatisés du moment, ils excellent en revanche dans le domaine du Kendo. Des compétitions ont d’ailleurs lieu une fois par an dans la ville d’Ebenelle, attirant ainsi les initiés du genre de toute la région pour tenter de remporter le titre de champion régional. Autre discipline bien connu à Johto, c’est le Shogi. Ce jeu de stratégie, encore une fois hérité de l’époque féodale ayant marquée la région, est devenu un incontournable des lieux et propose des tournois hautement médiatisés et retransmis directement depuis Doublonville.

Finalement sur le plan culinaire, Johto est riche d’un panel de spécialité des plus importants. Sushi de Magicarpe ou de Leviator, Qwilfish Teriyaki et caramélisé, Canarticho Laqué, Takoyaki d’Octillery , impossible de passer à coté de ces plats typiques tant il est possible d’en commander à tous les coins de rue. Avec ceci, que diriez vous de finir le repas sur de délicieux Mochi Coco ?


Pour conclure :

Sans surprise, Johto est le berceau du « old school », des danses et costumes traditionnels et de l’archéologie de façon générale. Toutefois, bien qu’elle conserve précieusement cette réputation, la voisine de Kanto continue de faire son petit bout de chemin alors qu’avec les années et les générations, sa culture évolue avec elle, proposant de plus en plus de création jeune et au gout du jour tout art confondu. Si toutefois la région possède moins de stations balnéaires qu’Alola ou Hoenn, elle reste une destination de vacances idéale pour quiconque aime les découvertes et la gastronomie.

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Worick Brown

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Région : Kantô
Ven 11 Aoû - 17:03

Hoenn




Nouvel article, nouvelle région ! Vous cherchez un petit coin de plage pour profiter du soleil cet été ? Vous avez déjà arpenté Alola de fond en comble et en connaissez maintenant les moindres recoins pour la dizaine d’années à venir ? Que diriez-vous d’aller faire trempette dans les eaux Hoenniennes ? Climat tropical, plages de sable fin et eaux limpides : bien qu’on ait souvent tendance à l’oublier depuis qu’Alola a ouvert ses frontières au reste du monde, Hoenn n’a strictement rien à envier à l’archipel Alolienne. Riche dans bien des domaines, cette région possède elle aussi un fort potentiel touristique, mais aussi historique et gastronomique. Histoire de vous en vanter un peu ses mérites, c’est avec grand plaisir que le professeur Brown a eu l’occasion de faire un petit tour de la région afin de vous rapporter un dossier le plus complet et fidèle possible !


Et si on commençait par un topo historique ?

Hoenn a toujours été une région assez sauvage : Même avant la grande purge, la région était habitée en très grande partie par des Pokémons et les rares Humains ayant élus domicile sur ces terres bien souvent hostiles vivaient au sein de tribus plus ou moins importantes. Parmi elles, le peuple météore était sans doute la plus influente mais aussi la plus sage. Basés dans les montagnes et les grottes que nous appelons aujourd’hui site météore, ils avaient déjà, à l’époque, mis en place des études approfondies de l’activité météorologique importante de la région et représentaient l’ordre sur terre, là où le peuple Atalant, lui, faisait régner l’ordre en mer. Ces derniers bâtirent d’ailleurs la prestigieuse cité d’Allania, communément appelée aujourd’hui Atlantide par les chercheurs Hoenniens.

Si la région connaissait une certaine prospérité à l’époque, cet équilibre ne fut que de courte durée. Alors que les guerres faisaient rage du coté de Kalos, bon nombre d’habitants locaux finirent par migrer pour démarrer une nouvelle vie plus propice à Hoenn. Toutefois, en débarquant ainsi avec certaines de leurs technologiques et artefacts propres à leur région natale, certaines espèces de la région d’Hoenn connurent d’étranges mutations génétiques.
Des espèces comme Mega-Elecsprint ou Mega-Sharpedo étaient nées. Comme pour en rajouter, c’est aux alentours de cette même période que les peuples Atalants et Météores connurent une scission importante. D’un coté, certains météores empruntèrent leur propre chemin afin de chercher à ramener un Pokémon mythologique à la vie, à savoir Groudon. De l’autre coté, un schéma identique prenait place du coté du peuple Atalant et du Pokémon mythologique Kyogre.
Les années passèrent et malgré un retard technologique important lors des premières années de commerce avec les autres régions, Hoenn finit par reprendre du poil de la bête, allant même jusqu’à construire le premier centre spatiale et de loin le plus abouti technologiquement. Au vue du potentiel balnéaire de la région, le gouvernement régional n’eut aucun mal à mettre à l’honneur le tourisme local et ainsi à aménager les villes portuaires en conséquence.


Hoenn rime donc avec tourisme ?

On pourrait même dire que ces deux mots sont synonymes finalement ! En période estivale, il ne fait aucun doute que cette belle région est l’une des plus fréquentées. Rien de plus normale, cette dernière possède des atouts non négligeables :

Pour les amoureux de sable fin, n’hésitez pas plus longtemps : Les plages de Poivressel sont un véritable régal. Spacieuses, aménagées pour le plus grand bonheur des touristes, elles sont une étape obligatoire de votre passage dans le coin. Il est d’ailleurs possible de faire trempette en compagnie de Pokémons sauvages, tant ceux-ci ont finit par s’habituer à la présence de l’Homme. Vous n’avez jamais rêvé de nager en compagnie d’un Wailmer alors qu’un Goélise se pose sur votre tête ? Voilà de quoi réaliser votre souhait le plus fou. Notez toutefois que les plages de Myokara valent elle aussi le détour. Toutefois, n’oubliez pas de prendre un tube de crème solaire sur vous, on n’est jamais trop prudent.

Dans un autre registre complètement différent mais tout aussi intéressant, la ville de Cimetronelle est une véritable curiosité. Ville établie dans un strict respect de la nature, celle-ci est composée d’une multitude de huttes perchées dans les arbres, des ponts suspendus les reliant les unes entre les autres pour permettre aux habitants de descendre ou remonter d’un étage constamment. Grâce au climat chaud mais humide des environs, c’est d’ailleurs à Cimetronelle que les arbres sont les plus grands et majestueux de toute la région. Fan de cache-cache ? Sachez que la région est peuplée de véritables tribus de Kecleon. De quoi vous programmer une excursion en pleine nature afin de tenter d’en repérer un maximum !

Point immanquable de la région d’Hoenn et véritable monument, le mont Chimnée est lui aussi une attraction à part entière. Culminant à 1500m, ce volcan est à lui seul un symbole régional. En passant observer les pluies de cendre d’Autéquia, vous devriez vous renseigner sur les chemins balisés amenant jusqu’au sommet du volcan. Il en existe une petite dizaine qui arpente grottes et plateaux environnants pour finalement vous permettre de vous hisser au sommet et d’immortaliser ainsi ce moment en passant par la boutique de souvenirs. Pour les moins sportifs d’entre vous, il est toujours possible de prendre un téléphérique pour vous retrouver au sommet sans le moindre effort et ainsi simplement profiter de la vue absolument magistrale que propose le mont Chimnée.

Hoenn est aussi une région clé lorsque l’on parle de science, plus particulièrement lorsque cela touche à la météorologie ou à l’astronomie. Etant en proie aux pluies de météores et aux changements climatiques plus imprévisibles les uns que les autres, il fut tout naturel pour la région d’investir beaucoup de temps et d’argent dans ces deux domaines particuliers. Aujourd’hui, c’est à Algatia que réside le plus grand centre spatial du monde. Il est donc fortement conseillé de faire une escale dans le coin ou du coté du centre météorologique, histoire de voir un peu à quoi ressemble les chercheurs du coin !

Finalement, notez qu’Hoenn possède aussi son lot de boutique de souvenirs et de grands magasins capable de faire fondre le portefeuille des touristes s’approchant trop près. Si les grands magasins de Lavandia ou le marché d’Atalanopolis font fureur auprès des visiteurs, sachez tout de même que la grande attraction dans le domaine du commerce reste le gigantesque centre commercial de Nénucrique. Si lors de vos vacances à Hoenn, vous n’osez pas sortir par temps de pluie, soyez sans crainte : Le centre commercial de Nénucrique aura largement de quoi vous occuper une journée entière tant il propose un nombre de boutiques impressionnant.


Et niveau culture Hoenn, ça donne quoi ?

Hoenn est riche de par sa culture, et vous n'auriez pas assez d'une année complète de congés pour vous imprégner de tout ce que cette belle région a à offrir et ce dans tous les domaines. A commencer par le sport. Vous n'êtes sans doute pas sans savoir que la meilleure équipe de Rugby du monde est l'équipe nationale Hoennienne, n'est-ce pas ? Véritables armoires à glace, les joueurs des "All Kwaks" sont tous plus talentueux les uns que les autres et qu'ils se jouent à domicile ou à la télévision, le moindre match de l'équipe national est capable de déchainer les passions de tout bon habitant d'Hoenn qui se respecte. Tandis que dans la grande majorité des cas, ces matchs se trouvent toujours être retransmis dans les bars au plus grand bonheur des fêtards. Les bars d'ailleurs, parlons en. A Lavandia, il n'y a pas un soir où les brasseries du centre ville ne se retrouvent pas bondées de monde pour assister aux concerts de groupe locaux. S'il y a plusieurs centaines d'années, la musique de prédilection hoennienne était encore composée de percussions aborigènes, ce style se fait maintenant beaucoup plus rare pour laisser place à un univers musical encore plus énergique et bien plus décomplexé : le rock. Allant du Hard Rock au blues rock en passant par le Rock'n'roll et parfois même par le heavy metal, il ne serait pas exagéré de dire que les meilleurs riffs de rock nous viennent tout droit d'Hoenn. "AD/CD", "Hair Born" et toute une pléthore d'autres groupes tous plus énergiques que talentueux animaient déjà les plus grandes salles de concert de Lavandia et Nénucrique dans les années 70, et c'est maintenant partout sur Terre que les billets de concerts s'arrachent comme des petits pains dans le seul but de pouvoir profiter d'une paire d'heure en compagnie de ces légendes du rock. Si vous souhaitiez revoir un peu votre playlist durant vos vacances, sachez qu'Hoenn saura très largement vous combler. Toutefois, notez qu'il n'existe que peu de danses capables de s'accorder en parfaite adéquation avec ces mélodies détonantes, si ce n'est les étranges danses tribales que les jeunes surnomment "Pogo", ou encore la fameuse pratique du "headbang".
Pour finir sur une note plus gastronomique, sachez qu’Hoenn est aussi une terre de plaisirs gustatifs qui ne manquera certainement pas de ravir les amoureux de la viande ; le barbecue étant plus qu’encré dans la culture local. Ici, on met tout et n’importe quoi sur le grill tant que ça reste comestible : Des tartines à la viande rouge en passant par les fruits de mer et même par certains légumes, et souvent le tout emballé entre deux pains à hamburger. Si vous deviez essayer un menu typique, l’équipe du W.A.Dex vous conseille un assortiment de bâtonnets de Krabby en entrée, suivis d’une tarte à la viande d’Altaria ou un burger Sharpedo. Pour finir, en dessert, il est impossible de manquer le fameux Lamington, gâteau emblématique de la région. Gâteau éponge recouvert d’un nappage au chocolat et roulé dans la noix de coco râpé, il est parfois fourré à la crème ou à la confiture mais reste quoi qu’il en soit la friandise à ne manquer sous aucun prétexte. Le tout dégusté dans une vaisselle artisanale d’Autéquia et accompagné d’une bonne bière du coin ; et vous pourrez vous vanter d’avoir dégusté l’un des repas les plus typiques que la région puisse vous proposer.


Que peut-on donc en conclure ?

On peut aisément trouver de quoi se divertir sans aucun problème à Hoenn. Amateurs de sport, de barbecue, d’astronomie, de météorologie ou tout simplement de plages de sable fin, la région propose aux touristes des activités diverses et variées. Les randonnées y sont splendides, la région est plutôt bien aménagée en matière de pistes cyclables pour permettre aux cyclistes d’apprécier de belles balades aux quatre coins d’Hoenn que ce soit en forêt, en montagne, en bord de mer ou simplement en ville. Si vous hésitiez encore pour choisir une destination cet été, je pense qu’il n’est plus utile de se pencher trop longtemps sur la question : foncez et profitez de ce que la région peut vous offrir !


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Worick Brown

Worick Brown
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Région : Kantô
Jeu 1 Fév - 16:14

Sinnoh



Si à l'époque de la grande purge beaucoup de Kalosiens décidèrent de quitter leur région pour refaire leur vie dans un endroit moins chaotique, très peu d'entre eux décidèrent de monter autant au Nord pour s'installer à Sinnoh. Ce fut plutôt le contraire, les Sinnohiens, surtout ceux installés sur l'actuelle Joliberges, n'ont pas hésité à prendre leurs bateaux pour essayer de trouver de quoi survivre dans les autres régions. Ce fut l'ère des Vikings de Sinnoh, dont les plus redoutables n'ont pas chipoté pour piller leurs voisines et trouver richesses ainsi que nourritures. Ils ont été pendant très longtemps la force brute du monde après les guerres de Kalos et on supposerait qu'ils sont à l' origine de la création de Frimapic et ils sont devenus les gardiens du temple où serait renfermé Regigigas. D'ailleurs, la structure de ce temple est très différente des autres vestiges qu'on peut retrouver dans toute la région. On suppose que les vikings ont également pris une part de culture de leurs victimes, ce qui expliquerait pourquoi on retrouve des structures très différentes des unes aux autres dans toute la région.

Aujourd'hui encore, les Sinnohiens sont vus comme les habitants avec le plus de caractère. C'est une zone qui reste particulièrement naturelle et qui a un petit côté mystérieux qui plairont aux plus aventureux d'entre vous. Le terroir se tourne particulièrement sur l'histoire mais depuis quelques années, la région cherche l'autonomie pour ses ressources, comme pour son électricité, produite principalement par les éoliennes de Floraville ou encore la Forge Fuego pour la transformation des métaux récupérés dans les mines de Charbourg.


Sinnoh, c'est une bonne région pour se balader alors ?


Effectivement, si vous aimez les randonnées, profitez du paysage sans pour autant prendre des coups de soleil qui vous rendront aussi rouge qu'un Kraby, c'est la région idéale pour vous. Que ce soit pour les débutants ou les pros de l'escalade, vous trouverez sans soucis votre bonheur. Les trois lacs emblématiques de la région sont par exemple un excellent moyen de se dégourdir les jambes tranquillement en profitant de l'éclat de l'eau. La forêt de Vestigion est également plutôt agréable et si jamais vous n'avez pas peur des maisons hantés, le Vieux Château sera un lieu parfait pour tester votre courage avec vos amis.

Il y a également le Grand Marais de Verchamps, lieu exceptionnel pour observer et capturer en faible quantité des pokémons rares, n'oublions pas que c'est un lieu protégé et qu'il faut donc respecter la tranquillité des pokémons sauvages au maximum ! Et pour ceux qui aiment les défis, l'ascension du Mont Couronné devrait vous plaire ! Comme récompense au sommet : les légendaires ruines, les Colonnes Lances ! On raconte que c'est ici qu'Arceus donna naissance aux deux pokémons du temps et de l'espace, c'est donc un lieu à ne pas manquer si jamais vous voulez une photo souvenir de votre voyage de Sinnoh ! Puis, c'est la chaîne montagneuse la plus grande du monde, si vous aimez prendre de la hauteur, c'est clairement le meilleur endroit pour vous.

De plus, comme mentionné précédemment, Sinnoh est une région qui regorge de mystères. Elle regorge de vestiges très anciens, que ce soit des grottes avec des gravures aux centres des trois lacs par exemple, ou encore la source Adieu, lieu du Pokémon chaos, Giratina. C'est comme si chaque ville avait son pokémon totem ou presque, si bien que les habitants ne manquent jamais d'histoires à raconter ; si jamais vous avez un peu de temps et que vous êtes curieux...
Si jamais vous aimez bien vous reposer devant un bon spectacle, Unionpolis dispose d'un dôme très populaire pour les concours de coordination. Quand il n'est pas occupé pour un concours officiel, des petits concours sont réalisés très souvent pour constituer un entrainement pour les coordinateurs débutants, c'est très sympa à observer. Dans le même genre, comment ne pas parler du QG de l'Elite 3, encore plus spectaculaire si jamais vous tombez lors du passage d'un coordinateur possédant ses 5 rubans. A ne louper sous aucun prétexte !
Dans la même ville, le square est le lieu idéal si vous partez en voyage avec vos pokémons. Ce lieu est parfait pour laissez vagabonder vos pokémons afin qu'ils deviennent plus sociables avec les pokémons d'autres dresseurs et coordinateurs. C'est également une bonne occasion de découvrir les espèces typiques de la région !

Pour les grands lecteurs, Joliberges dispose d'une bibliothèque très célèbre regroupant de nombreux sujets, qu'ils soient régionaux ou internationaux. Bon nombre de dresseurs y vont pour établir de nouvelles stratégies ou simplement pour étancher leurs soifs de connaissances. On y retrouve aussi de nombreux ouvrages de dresseurs célèbres autobiographiques.

Et pour ceux qui aiment les villes animées et qui n'ont pas froid aux yeux, Voilaroc est la ville parfaite pour eux. Elle dispose d'un casino et du plus grand magasin de la région si bien qu'il y a de très nombreuses activités différentes chaque jour pour attirer toujours plus de monde. Mais attention, il parait que la team Galaxie aurait son repaire principal dans cette ville, attention aux arnaques !


Et niveau culturel et gastronomique, ca donne quoi Sinnoh ?

Les Sinnohiens sont fiers de leurs origines et ca se ressent partout dans la région ! Niveau sport, Sinnoh dispose de nombreux talents pour les sports de combat, à commencer par Mélina la championne de Voilaroc. Mais la véritable spécialité locale, c'est les traditionnels jeux anciens, mettant a l'épreuve la force des participants avec les pokémons, comme le lancé de Simulabre ou le poussé de Gravalanch. Heureusement que ce sont des pokémons roche qui participent...
Avec son coin enneigé au nord de Sinnoh, le Ski et tous les sports liés à la neige sont la tradition même de ce coin de la région. Difficile de ne pas vouloir y aller en Hiver, surtout quand le célèbre Blizzaroi de Noel à lieu ! En parlant de festivités, la région dispose de nombreux bars qui généralement ont leurs propres bières fétiches. Certains abritent de petits concerts avec des groupes peu connus, basés que la musique celtique, implantés depuis des siècles, avec des touches d'autres régions, comme le métal, donnant naissance à un style bien particulier. Twisted Mysdibule en est un parfait exemple et ça vaut largement le détour !
Niveau nourriture, si vous n'avez pas peur de prendre quelques kilos, vous trouverez largement votre bonheur. La cuisine Sinnohienne est remplie de plats chauds qui tiennent au ventre, si bien qu'on a envie d'une bonne sieste après. Le plat le plus emblématique est bien entendu la fondue sinnohienne, à base de fromage fondu. Dans la série fromage, on retrouve également la raclette, qu'on ne présente plus. Pour des mets plus raffinés, les grands restaurant peuvent vous proposer de la viande de Laporeille, douce en bouche. Il n'est pas rare de retrouver aussi des plats à base de Keunotor, dont la viande est souvent fumée. Et pour les desserts, les petits gâteaux au miel d'Apitrini sauront vous apporter une touche douce et sucrée pour la fin du repas !


Pour conclure ?

Sinnoh est la région parfaite si vous êtes du genre à partir en vacances sans rien préparer. Chaque route, chaque ville et petit recoin sauront vous surprendre d'une façon ou d'une autre. C'est l'endroit rêvé pour simplement se balader et observer la générosité des gens de la région et de la force de leur caractère. C'est une région remplie d'histoires anciennes et plus récentes avec les nouvelles légendes du dressage et de la coordination. C'est la région parfaite pour des vacances d'hiver et j'espère que ce petit dossier vous l'aura prouvé sans problème !
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Worick Brown

Worick Brown
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Mer 15 Aoû - 16:31

Unys



Un été de plus se rapproche et vous n’avez pas encore commencé l’organisation de vos futures vacances ? Vous commencez à être un véritable globe-trotter après avoir fait le tour des régions du Pokémonde, W.A.Mag à la main ? Alors sachez que la région d’Unys n’a rien à envier à toutes vos précédentes destinations ! Alternant paysages encore sauvages et grands espaces urbains, cette région pourrait bien vous faire passer d’excellentes vacances sans jamais cesser de vous dépayser. Pourquoi ? Eh bien jetez donc un œil à la suite de cet article avant de prendre vos billets d’avion et de réserver votre location pour vos prochaines vacances.


Une région à l’histoire compliquée.


C’est un fait, sur le plan historique, Unys aura sans aucun doute été l’une des régions ayant essuyé le plus de conflit interne ou externe. Dès l’apparition des Hommes, bon nombre de tribus différentes ont vu le jour. Certaines s’installant le long du littoral, d’autres au sein du désert, ou encore sur les plus hauts plateaux de la région. Toutefois, avides de ressources et de toujours plus de terres, les premières guerres de territoire et conflits d’intérêts éclatèrent très tôt et ne cessèrent aucunement à l’arrivée des géants, peuple du futur roi Kalosien A.Z. C’est seulement après la grande purge de l’an 0 que la région retrouva un semblant de paix, cherchant plutôt à mettre l’accent sur le développement économique, technologique et culturel plutôt que sur la puissance militaire. Le moins que l’on puisse dire à ce sujet, c’est que ce choix de croissance aura eu un impact extrêmement positif sur la région en règle générale : Déjà à l’époque des premières dynasties de pharaons régnant sur le désert Délassant et ses environs, la région possédait une avance technologique et sociale démesurée par rapport à Sinnoh, Hoenn, Kalos ou encore Alola. Première région à mettre en place une déclaration des droits de l’Homme officielle, elle reste un véritable modèle aujourd’hui, ayant influencé les politiques de toutes ses consœurs au fil des siècles. Dès le début du XVIIIème siècle, la ville de Volucité est officiellement reconnue capitale interrégionale de la science et des nouvelles technologies, devenant ainsi le porte étendard de sa région dans ce domaine. C’est en 1843 que la Tour du savoir et de la recherche est officiellement inaugurée, provoquant une véritable accélération des découvertes scientifiques grâce à la collaboration de centaines de scientifiques, professeurs agrées et étudiants en sciences.

D’un autre côté, la communauté scientifique régionale ne tardera pas à se tourner vers l’espace, entreprenant des recherches aux côtés du centre spatiale d’Algatia de la région d’Hoenn pour l’occasion. Pour cause, d’étranges Pokémons sont retrouvés au cœur du désert Délassant en 1952, baptisés Lewsor et Neitram. Si leur origine est encore inconnue au jour d’aujourd’hui, des dizaines de chercheurs Unysiens continus chaque jours leurs recherches pour pouvoir un jour, sans doute, apporter plus de précisions à ce sujet. La première machine permettant de ramener un fossile à la vie grâce à la reconstitution de son ADN est officiellement fonctionnelle et mise en marche le 4 mai 1963 pour ramener un Arkéapti à la vie, espèce disparue jusqu’alors.

Vous l’aurez donc compris, bien des avancées scientifiques sont dues à l’essor dans ce domaine de la région d’Unys et ainsi à la construction de la tour du savoir et de la recherche. Toutefois, n’imaginez pas que les seuls attraits de la région soient seulement scientifiques : il n’en est rien. Cette dernière possède aussi de quoi plaire à biens des touristes et nous allons y jeter un œil dès maintenant !


Unys et son tourisme.


Et c’est sans aucun doute pour cela en particulier que vous lisez ces lignes : Quelles sont les choses intéressantes à voir du côté d’Unys, les villes où loger pour passer d’excellentes vacances et les sentiers à arpenter pour vivre des randonnées dignes de ce nom ? C’est ce à quoi nous allons répondre dès à présent !

Tout d’abord, il faut savoir que les villes maritimes sont relativement nombreuses et possèdent toutes leurs avantages à Unys. Toutefois, il faut savoir que c’est Vaguelone qui dispose de la meilleure réputation. Grandes villas, stations balnéaires, baie somptueuse aux plages de sable fin, la belle ville du littoral n’a rien à envier aux plus belles villes portuaires d’Hoenn ou d’Alola. Toutefois, elle n’est pas la seule en lice pour défendre la réputation d’Unys, puisque Papeloa est elle aussi l’une des stations balnéaires les plus réputées de la région. Port-Yoneuve et Ondes-sur-mer, bien que maritimes elles aussi, sont relativement moins axées sur les plages touristiques mais déjà bien plus sur le commerce maritimes grâce à leurs ports. C’est d’ailleurs à Port-Yoneuve qu’on retrouve le meilleur marché de toute la région en termes de produits de la mer, tandis qu’Ondes-sur-mer, quant à elle se trouve être déjà plus proche des arts en terme général, mettant toutefois l’accent sur la musique et le cinéma grâce au célèbre Pokéwood et à sa gigantesque salle de concert.

Dans un registre clairement différent, Arpentières est sans aucun doute l’une des villes qu’il faut avoir visité au moins une fois lors de son séjour à Unys, sans oublier ses environs bien entendu. La ville tout d’abord, est célèbre pour ses poteries à base de cendre volcanique qui entre en concurrence directe avec les œuvres de la ville d’Autéquia d’Hoenn. De plus, si la ville n’a aucunement la prétention d’égaler Maillard et son musée en termes de patrimoine historique, le lieu et ses habitations témoignent tout de même d’une architecture relativement originale et dépaysante. Bien que difficilement accessibles (uniquement par avion au départ de Parsemille ou après une sacrée marche à pied), les alentours d’Arpentières proposent sans aucun doute les plus belles randonnées de la région. Les plus simples restant à la portée des simples touristes, les randonneurs à la recherche de défis dignes de ce nom pourraient bien s’aventurer jusqu’au manoir de l’étrange ou jusqu’au mont Renenvers, célèbre pour sa biodiversité exotique et géologie à nulle autre pareille.



Envie de simplement faire un maximum de découvertes en termes de patrimoine et de shopping dans les plus grandes villes du monde ? Vous passerez donc forcément par la capitale régionale : Volucité ! Véritable reine d’Unys, la capitale dispose d’absolument tout ce qu’un touriste est en droit d’espérer. Musées, gigantesques centres commerciaux, salles de concerts et de spectacles en tous genres, casinos… si vous avez envie de sortir vous amuser en ville, il existe forcément quelque chose pour vous au centre-ville de Volucité.



Si toutefois vous ne trouvez toujours pas votre bonheur malgré tout ce que la capitale propose, sachez que Méanville propose elle aussi son lot d’activités toutes plus séduisantes les unes que les autres. Par ailleurs, les deux villes sont séparées par le désert Délassant : véritable mine d’or pour quiconque cherche à s’intéresser aux pharaons et anciennes civilisations ayant peuplés le désert il y a des milliers d’années. Enfin, sachez que Flocombe reste l’un des plus beaux villages de la région. Entre ses moulins, ses marais et ses animations au fil des saisons, il reste un passage absolument incontournable pour quiconque souhaiterait découvrir une petite partie de l’Unys rural.


Et donc à Unys, la mode, la culture … ?

A Unys, les rythmes de vies sont extrêmement différents entre le milieu rural et le milieu urbain. En ville, c’est une vie à deux cents à l’heure qui attend les habitants au quotidien, tandis que les rythmes de vie sont bien plus calmes à la campagne. Toutefois, c’est bien la seule chose qui divise la région en deux, car pour le reste de la culture régionale, on peut dire sans sourciller qu’elle met d’accord la majorité des habitants.
Unys, c’est tout d’abord un véritable berceau pour bien des styles musicaux, tellement qu’il serait même difficile de tous les citer sans en oublier. Jazz, Hip hop, Rock… la région est un véritable havre de paix pour toute personne souhaitant se lancer dans la musique. Dans un autre registre, le Rap Unysien est sans conteste l’un des meilleurs toutes régions confondues. C’est d’ailleurs dans les bas quartiers de la ville de Volucité qu’ont émergés de véritables stars comme Two-packs ou 50Pokécents.
Sur une note complètement différente, Unys est aussi le berceau d’autres styles dérivés du rock, allant du hard rock aux confins du Heavy, Trash et plus récemment Nu Metal avec de véritables groupes de renom comme Mega-KoRn, Magnéz’On Fire ou encore Rage Against The Steelix.

Le sport est aussi d’une importance capitale au sein de la région. Baseball, Football Unysien, Basketball… toutes ces activités disposent d’un niveau médiatique impressionnant dépassant de très loin l’investissement sportif des autres régions. Il n’est d’ailleurs pas rare que les matchs les plus intenses de basketball interrégionaux opposent une équipe Unysienne et une équipe originaire d’Alola. L’équipe la mieux classée de la région étant d’ailleurs les « Ursaring de Méanville ».

Enfin, Unys, c’est aussi une région qui sait se démarquer en termes de gastronomie. Moins renommée que Kalos dans ce domaine, elle garde tout de même plusieurs atouts dans sa manche, notamment grâce à ses recettes exceptionnelles dans le domaine des desserts et des pâtisseries. Cheesecakes, Donuts, Cookies, Pancakes, Muffins… Toutes ces sucreries nous viennent à l’origine tout droit de la région d’Unys. De plus, c’est aussi grâce aux cuisiniers Unysiens que des recettes telles que le Hamburger ou le Hot-Dog sont aujourd’hui si répandus partout dans le monde. Alors songez y la prochaine fois que vous passerez dans l’une des rues de Volucité… vous ne repartiriez tout de même pas sans en gouter un sur place, pas vrai ?


En conclusion

Moins sauvage qu’Hoenn ou Alola, moins traditionnelle que Johto, Unys ne possède peut-être pas les mêmes arguments que ses consœurs. Pourtant, elle est loin d’être en reste lorsqu’il s’agit d’attirer les touristes et propose pléthore d’activités capables d’apporter de somptueux séjours à n’importe quels types de touristes. Amoureux de la mer, fans des grandes mégalopoles, passionnés de randonnés ou d’archéologie et de pharaons, cette région est bel et bien la destination de vos rêves. Maintenant que vous n’avez plus aucune excuse, qu’attendez-vous pour foncer ?
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Worick Brown

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Mer 15 Aoû - 16:31

Kalos



Avec les beaux jours qui reviennent peut à peu, peut être que cherchez-vous une destination pour un petit Week-end ou même pour vos futures vacances d'été ? Tout le monde à le mot « Alola » à la bouche en ce moment, mais pourtant ici c’est bien de Kalos que nous allons parler, pour découvrir toutes les richesses que cette région peut nous offrir !


Kalos, qu’est-ce que c’est ?

Lorsque l’on pense à Kalos, il n’est pas rare que les premières images qui nous viennent à l’esprit soient composées de ses châteaux, ses bijoux, bals et autres sorties mondaines. Cependant, cette belle région a-t-elle toujours représentée le luxe ainsi ? Pour cela, il faut remonter des siècles en arrières. C’est plusieurs années avant la grande purge d’Yveltal que le nom de Kalos fut prononcé pour la première fois sous le règne du roi géant surnommé « A.Z ». Après s’être exilé d’Unys, celui-ci devint le souverain de la fameuse Kalos sans mal dû à sa condition de géant, et entreprit de transformer cette région naissante en un fier pays et une grande puissance militaire. Respecté par ses sujets, il régna comme un roi sage pendant bien des années, avant que n’éclate la grande guerre opposant la région du roi A.Z à celle de ses frères géants d’Unys. Si les hommes partirent se battre les premiers, les Pokémons suivirent, et l’un des plus fidèles compagnons du roi en personne perdit la vie au combat. Rendu fou de chagrin, A.Z fut tristement célèbre pour avoir inventé par la suite une machine capable de rendre la vie, mais aussi de la reprendre. De cette création résultat la destruction de la moitié de la région, ainsi que la grande purge D’Yveltal. Par la suite, personne n’entendit plus jamais parler du roi déchu, bien que certains témoins affirment qu’il serait toujours vivant de nos jours. Encore à ce jour, on ignore le nom complet d'A.Z, si bien qu'il est impossible de déterminer sa descendance simplement avec son nom de famille. Beaucoup de Kalosiens aisés dont le nom commence par un Z aiment dire qu'ils ont un lien de parenté avec cette légende, mais gardez bien en mémoire qu'ils n'ont aucune preuve ! S’il fallait citer d’autre noms ayant marqué l’histoire de Kalos, on ne peut sans aucun doute pas passer à coté de Christophe Colombeau, cet explorateur qui fut à l’origine de la découverte d’Alola, mais aussi du célèbre empereur Napoléon Bonaparas, qui unifia la totalité de la région pour une meilleure organisation administrative en 1815. Aussi, la région de Kalos est l’une de celles qui a accueilli les poètes les plus talentueux du monde. En 1789, la monarchie est renversée par la prise d'Illumis. C’est depuis ce jour que la région s’est définitivement ouverte au reste du monde. L’inauguration de la première tour prismatique à lieu en 1889, tour qui fut par la suite remplacé par une plus moderne qui abrite maintenant l'arène du champion de type électrique régional. En 2013, les travaux locaux sur les Méga-Evolutions sont rendues publics, permettant à d'autres scientifiques comme le Professeur Laucéant de Kantô de les étudier. Encore de nos jours, même maintenant que la monarchie a disparu, les Kalosiens possédant un titre aiment encore énormément faire valoir leurs droits sur la population locale. Aujourd'hui, on ne gagne pas forcément un titre par héritage, mais par exemple au château de combat, qui fait parti du patrimoine de la région. Votre talent en tant que dresseur pourrait bien vous faire offrir le titre de duc ou de comte ! Kalos est une région qui aime ses traditions, donnant de temps à autres des bals réputés et très fermés au Palais Chaydeuvre, bien que les « nobles », comme on les appelaient autrefois, se fassent de plus en plus rares.

Après l'histoire, un peu de géographie ! Kalos a la forme d’un polygone, avec des montagnes à l'Est et au Sud. Au centre, on retrouve la capitale, Illumis, qui se situe à distances égales des autres grandes villes de la région comme Neuvartault, Fort-Vanitas, La Frescale, Romant-Sous-Bois et Port-Tempères. La route Victoire, où se retrouvent encore les dresseurs les plus téméraires du coin, est accessible depuis l’entrée d’une grotte située entre Neuvartault et Auffrac-Les-Congéres. La centrale de Kalos se trouve juste sur la gauche d'Illumis pour que celle ci soit desservie en priorité, tout comme le Palais Chaydeuvre. Sur la pointe Ouest, on retrouve les villes de Yantreizh et Cromlac'h, avec Relifac-le-Haut un peu plus au Sud, et Roche sur Gliffe encore plus bas, pris entre la mer et les montagnes. Au sud de la région plus dans les terres, on retrouve également Bourg Croquis et Quarellis, juste avant la forêt de Neuvartault. Flusselles et Mozheim, elles, sont plus à l'Est entre les montages, dans une zone moins froides qu'Auffrac-Les-Congères pourtant un peu plus au Sud.


Il y a des choses à voir à Kalos ?

Bien sûr ! Il y a beaucoup de choses à visiter en cette belle région ! Illumis déjà, difficile de ne pas visiter Kalos sans passer par la capitale qui pourrait bien vous occuper pour la totalité de vos vacances ! Rien que la tour prismatique est un monument à faire au moins une fois dans sa vie, même pour profiter de l'un des matchs du champion de type Electrique, Lem ! On a vraiment une belle vue de là-haut. Ensuite, Il y a le centre commercial évidemment, qui est l’un des plus grands au monde, mais si vous êtes en manque de petites boutiques qui savent se débrouiller sans être sous une enseigne générale, il y a « la p'tite boutique de Leïa » qui est sans doute la plus sympathique de la région pour tout dresseur ou coordinateur cherchant des CTs exotiques. Parce qu’une boutique de Capsules Techniques artisanales, on en voit pas partout, alors autant y jeter un coup d'œil.
Si vous cherchez un bon restaurant, c'est aussi à Illumis qu'il faut manger, car la ville regorge d’enseignes toutes plus prestigieuses les unes que les autres ! Et si vous souhaitez profiter du voyage pour capturer un ou deux Pokémons, Sapereau, Cabriolaine, Pandespiegle et Couafarel peuplent les alentours et ne sont pas bien farouches. Il y a d’ailleurs le plus grand salon de toilettage pour Couafarel au monde à Illumis, si vous souhaitez lui offrir une coupe à la mode avant de repartir.
En dehors de la capitale, le reste de Kalos a encore de beaux atouts. Le Palais Chaydeuvre, ouvert au public toute l'année, est agréable pour les passionnés d'histoire. En effet c'est là bas que la famille royale vivait avant que la monarchie soit abolie. Et après une visite agréable du château, vous pourriez bien trouver quelques Pokémons dans les jardins ! Dans le même genre, Fort-Vanitas n'a pas à être jaloux de son grand frère ! Et si vous aimez les Pokémons Fée, il y a Flabébé, Sucroquin et Fluvetin sur la route 7, mais ils ne sont pas faciles à débusquer. Pour les fans d'épées, Monorpale se balade sur la route 6, mais attention ce n'est pas un Pokémon commode !




Pas très loin de Cromlac'h, Yantreihz impose elle aussi son charme et a la particularité de n’être accessible qu’en passant par une bande de sable. On peut visiter la tour Maîtrise et le mur d'enceinte qui protège la ville, vestige de l’ancien château fort bâti ici plusieurs siècles plus tôt. Si vous êtes fan des Méga-Evolutions et que vous êtes du genre à vouloir en percer les secrets, c'est vraiment ici que vous devez commencer votre voyage. Avec un peu de chance, vous croiserez la gardienne des lieux, qui est également la championne de la ville, Cornélia. Peut être qu'elle acceptera de vous faire une démonstration avec son lucario ! Dans le coin, il est possible de capturer des Opermine, Pokémons des plus étranges de la région. D'ailleurs en parlant de choses étranges, il y a le cabaret « Le lait de Cerise » dans le coin. Si le nom ne vous mettra peut être pas la puce à l’oreille, on vous conseille l'établissement seulement si vous êtes quelqu'un de très ouvert d'esprit ! En effet, Cerise, la propriétaire, est en fait un propriétaire. Pourquoi « la » propriétaire ? Parce qu’à l’image de la fameuse Cerise, le cabaret est un lieu transgenre ! Pour y avoir fait un tour sans soupçonner la nature des lieux, le premier moment de malaise passé, on s'y fait assez vite ! Surtout que Cerise fait vraiment tout pour que ses invités passent une bonne soirée, mais on ne vous en dit pas plus…
Finalement, si vous êtes plutôt à la recherche d’un coin calme, je vous conseille Quarellis. La petite ville présente une architecture bien Kalosienne pour sa taille, et c'est un plaisir de s'installer en terrasse avec une tasse de café ! Concernant les Pokémons, on y trouve des Lepidonille, qui donnent de magnifiques motifs en évoluant en Prismillon, des Sapereau mais surtout des Passerouge, qui font offices d’oiseaux locaux !


Kalos, ça se mange ?

Pas exactement, mais il y a un point très important à prendre en compte lorsqu’on part à l’étranger : la gastronomie ! N'importe qui sait à quel point la cuisine Kalosienne est la fois traditionnelle et généreuse ! Ce qui est intéressant, c'est que chaque coin de Kalos a son plat typique ! Difficile donc de ne pas vous en parler sur des pages et des pages, mais nous essaierons ici de nous limiter à quelques lignes. Si vous visitez Kalos en été, vous risquez de voir énormément de Clafoutis aux Ceribou dans les vitrines des pâtisseries. Le Tauros Bourguignon, ou le Frison-carottes sont des mets également très prisé qui risquent d'être présents sur les cartes de bien des restaurants ! Pour des plats plus riches, sont souvent proposés la choucroute garnie ou encore du cassoulet avec saucisses de Spoink ou de Gruikui. Sinon pour les mets plus « exotiques » nous avons les célèbres cuisses de Grenousse ou la viande de Poichigeon. Il y a vraiment beaucoup de plats à découvrir, et si vous êtes un fin gourmet, vous allez sans aucun doute vous faire plaisir ! Par contre, si vous avez l’occasion de goûter des sablés à la poudre de Prismillon, évitez au possible ou méfiez vous, juste au cas ou…

Comme vous venez donc de le lire, Kalos a une culture très riche et dans de nombreux domaines divers et variés ! On espère que ces lignes vous donneront envie de voir cela de vos propres yeux, que ce soit pour ses Pokémons, son histoire, sa culture, son architecture ou encore sa gastronomie, il est très facile de se faire de très bons souvenirs de cette région !
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Worick Brown

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Jeu 15 Aoû - 18:16

Alola



En panne d’idée pour une destination de vacance cet été ? Envie de bronzer et de vous prélasser dans le sable chaud ? Ne cherchez pas plus loin, la destination à la mode ces derniers temps, c’est Alola ! Région aux eaux azurs et au climat tropical, ces contrées feront à coup sûr votre bonheur, que vous recherchiez l’aventure ou simplement un peu de repos. Cependant, j’imagine qu’afin de préparer votre voyage, rien de mieux qu’une petite pause lecture pour en apprendre plus sur la-dites région, n’est-ce pas ? Et pour cela, rien de tel qu’un peu d’histoire pour comprendre ce qu’il a pu se passer sur ces terres durant toutes ces années. Tout d’abord, Alola fut peuplée pendant bien longtemps par diverses tribus appelées plus tard par nous autre : Indigènes. S’il existait quelques clans mineurs, quatre grandes tribus sortaient du lot de part le nombre d’individu les composant et ainsi leur renommée : Le clan du Rugarugan de l’ile de Poni, le clan Kyukon de l’ile Ula-Ula, le clan Ennyuto de l’ile Mele-Mele, et le clan Yareyutan de l’ile Akala, que l’on pourrait respectivement traduire dans le langage commun par les clans Lougaroc, Feunard, Malamandre et Gouroutan. Chacun de leurs cotés, ces clans menèrent une vie paisible pendant de longues années sans jamais avoir même la moindre idée de l’existence de leurs semblables sur les iles voisines, vouant chacun de leur coté un culte au Pokémon qu’ils reconnaissaient comme leur gardien. Cependant, lorsqu’ils commencèrent à manœuvrer leurs premières embarcations maritimes, ils partirent explorer la totalité de la région, cherchant de nouvelles terres à arpenter. Ce sont les hommes du clan Ennyuto qui construirent les premières embarcations de la région, semblable à de grandes pirogues, avec lesquelles ils rendirent visite aux trois autres tribus. Après avoir tissé de solides liens entre eux, les clans d’Alola connurent une croissance impressionnante notamment grâce au commerce qu’ils établirent entre eux. Cependant, ce n’était là que le commencement, puisqu’Alola ne connaitra sa véritable croissance qu’après les années 1500, et ce, grâce à l’arrivée de Christophe Colombeau. En effet, c’est en 1492 que l’explorateur Kalosien accosta pour la première fois cette nouvelle terre jusqu’alors non cartographiée. Dès lors s’ensuivit une grande vague de migration où hommes et femmes du monde entier décidèrent de venir s’établir au sein de la nouvelle région pour démarrer une nouvelle vie. Si on aurait d’abord pu croire à un bain de sang entre les occupants de la région et tous ces nouveaux venu, il n’en fut rien. Au contraire, désireux de découvrir encore plus de nouvelles choses, les habitants locaux accueillir tous ces nouveaux arrivants à bras ouvert, laissant peu à peu place à un « Melting Pot » entre toutes ces populations. C’est d’ailleurs à cette époque que sont apparus de nouvelles espèces encore jamais recensées, comme Sabelette, Rattata, ou encore Racaillou d’Alola. Par la suite, la région continuera de prospérer alors que la population finira par établir une monarchie, la famille royale étant composée des descendants du fameux Christophe Colombeau. S’ils feront le bien de la majorité, les rares Hommes mécontents de ce couronnement décideront de prendre les mers sur des navires de guerre, débutant ainsi une vie de pillage et de débauche loin des lois imposées par le gouvernement. Ils deviendront ainsi des pirates, dont certains noms sont encore cités dans les grands livres d’histoires et repris dans des œuvres, comme celui de Benjamin Hornigold, Jack Rackham, Charles Vane ou encore Edward Thatch plus connu sous le pseudonyme de barbe noirs. Ces hommes sans foi ni loi s’imposeront ainsi en terreurs des mers pendant une dizaine d’année, avant que le temps et la justice ne finissent par en rattraper la plupart vers 1726. Dès lors, la région ferma ses frontières pendant plusieurs siècles, ne laissant entrer et sortir que les marchandises venues des quatre coins de la planète, pour finalement se ré-ouvrir pour de bon au tourisme il y a de cela quelques années, avec pour l’occasion l’inauguration d’une toute nouvelle ile artificielle.


Mais d’ailleurs, qu’en est-il de ces fameuses iles ?


Lors d’un voyage à Alola, la première question qui vous viendra risque sans doute d’être « Quelle ile visiter ? ». Sachez qu’avec quelques économies en poche, le choix le plus judicieux serait de les visiter toutes !


Mele-Mele est l’ile la plus simple d’accès et la plus touristique de l’archipel. Elle est occupée en grande majorité par la grande ville d’Ekaeka. Pleine à craquer de boutiques, hôtels et restaurants pour tous les prix, c’est l’un des passages obligés lorsqu’on passe faire un tour à Alola.
Le reste de l’ile est composé de plaines et de plages de sables fin. Si vous comptez vous aventurer hors d’Ekaeka, vous devriez sans doute faire un tour du coté de la colline Dicarat, qui abrite parfois quelques meutes de Rocabots sauvages. Le jardin de Mele-Mele est aussi l’un des lieux représentatifs de l’ile, dont la couleur associée est justement le jaune à l’image des fleurs qu’elle abrite. Son doyen est le sage Pectorius, qui prend sous son aile tous les nouveaux dresseurs en quête d’aventure.


Akala est la seconde ile de l’archipel. Sa plus grande ville est Ho’ohale, où il est possible de faire des emplettes et de visiter le C.R.I (Centre de recherches Interdimensionnelle) pour les plus curieux d’entre vous. Déjà plus sauvage que l’ile précédente, Akala est aussi célèbre car elle possède la plus grande jungle de l’archipel, à savoir la jungle Sombrefeuille.
Il est d’ailleurs conseillé d’y faire un tour pour les aventuriers les plus avides de découvertes, car en plus d’être unique en son genre, celle-ci cache bien des espèces qui ne sont présentes qu’à Alola, comme Croquine, Mimantis, Guérilande, ou encore les très rares Gouroutan et Quartermac. Si vous avez un peu de temps, il peut être intéressant de faire un tour du coté du Ranch Ohana, mais aussi du Dôme de combat qui est sans aucun doute le lieu de rencontre par excellence des dresseurs en quête de combat de la région. Enfin, la petite ville de Konikoni reste un incontournable de l’ile, offrant une vie magnifique sur l’océan depuis le haut de son phare. La couleur d’Akala est le rose, et c’est la jeune Alyxia qui en est la doyenne.


Ula-Ula est la troisième ile d’Alola. Déjà beaucoup moins touristique, Malié, sa ville principale, propose quand même un centre culturel, une bibliothèque et une réserve naturelle digne de ce nom. L’observatoire de l’ile est d’ailleurs le lieu de rendez vous de tous les passionnés d’astronomie de la région. Il est aussi possible de se balader aux environs du mont Ardent, et pourquoi pas d’y capturer certaines espèces emblématiques de la région comme les Togedemaru ou encore les Boumata ?
C’est d’ailleurs sur cette même ile que l’on retrouve le plus haut sommet d’Alola, à savoir le mont Lanakila, qui héberge certaines espèces rarissimes mais dont il est strictement impossible de s’approcher sans un entrainement rigoureux. Ula-Ula héberge aussi la grande ville de Kokohio, cependant c’est un lieu pour le moins déconseillé. Les rares touristes y mettant les pieds finissent souvent par se faire détrousser par les organisations criminelles locales. La couleur d’Ula-Ula est le pourpre, et son doyen est Dahn.


Poni est la quatrième et dernière ile naturelle d’Alola. Sauvage, les trois quart des habitants vivent au village flottant, qui est sans doute la seule zone sans danger de l’ile. Ce petit hameau a beaucoup de charme avec ses nombreux bateaux accostés au port : Certains pour la pèche, d’autres pour se déplacer, et d’autres encore restent au port toute l’année et abritent en réalité des restaurants. Cependant, une toute autre population habite ce village : Pirates et flibustiers se retrouvent régulièrement dans les bars du village flottant pour poser un pied sur terre le temps d’une escale.
Bien évidemment, il ne s’agit pas là des pirates comme on a pu les connaitre il y a plusieurs siècles de cela, cependant ces hommes et femmes exilés loin de l’agitation des grandes villes véhiculent plus ou moins les même idéaux que leurs ancêtres. Concernant le reste de l’ile, elle se résume en deux mots : Grand Canyon. En effet, le grand canyon de Poni recouvre la quasi-totalité de cette dernière abritant ruines, Pokémons surpuissants comme Bébécaille et son cycle d’évolution, mais aussi dresseurs en quête de défi.


En plus de ces quatre iles, le paradis Aether est une ile complètement artificielle construite par la main de l’homme. Elle sert de QG à la fondation éponyme ainsi que de réserve naturelle pour les Pokémons. Les quatre premières iles citées plus tôt ont donc toute des attractions touristiques qui leurs sont propres, et il est très facile de passer de l’une à l’autre grâce à la présence de navettes à heures régulières permettant de voyager d’une ile à l’autre en trois quart d’heure tout au plus.

Cependant, ces mêmes iles cachent aussi leurs propres mystères. En effet, en plus d’abriter des ruines antiques aux origines encore mystérieuses, il semblerait que chaque ile possède son propre Pokémon gardien. Cependant, s’ils ont leur véritable place dans le folklore local, ils n’auraient été aperçus que par une petite poignée de dresseurs, ce qui ne présente donc pas suffisamment de preuve pour affirmer leur existence pour le moment.


Et sur ces iles, on y fait quoi au juste ?

Tout d’abord, on s’y amuse ! En effet, Alola est à mon sens l’une des régions où l’ambiance est toujours à la fête, ne serait-ce qu’avec les danses locales. En effet, à Alola, on bouge les hanches et les poignets en rythme sur de la Ula, musique traditionnelle de l’archipel bien souvent composée de percussions et de chœurs. Bien évidemment, ce sont là les « spécialités » locales en terme de danse et de son, mais cela n’empêche pas les nouvelles générations d’écouter de bon vieux morceaux de rock des « Elek-Tech », ou même la dernière collaboration du rappeur Emime’nem et de la chanteuse Shakirlia.
Mais ce n’est pas tous, Alola est aussi la championne en titre dans bien des disciplines sportives ! Pas plus tard que l’année dernière, elle a remporté pour la quatrième fois la médaille d’or au Curling lors des jeux inter-régions d’hiver, clouant Sinnoh sur place grâce à leurs Sabelettes d’Alola surentrainés. Ils possèdent aussi de très bonnes équipes de Basketball, comme les « Tauros d’Ekaeka » ou les « Thundurus d’Akala », qui ont la particularité de jouer beaucoup de tous leurs matchs « Humains – Pokémons » en compagnie d’un Quatermac comme ailier. Outre le sport, l’archipel est aussi la meilleure région lorsque l’on parle de pratiquer la pêche ou la navigation.

Un autre aspect que vous ne devez absolument pas manquer lors d’un séjour à Alola, c’est aussi sa gastronomie ! En effet, la région est aussi connue pour ses spécialités locales, qui ne manqueront pas de vous donner l’eau à la bouche. En apéritif, ce sont les Punch Noadkoko et autres cocktails à bases de baies exotiques qui font loi, bien que le Rhum d’Alola soit si parfumé qu’il est souvent consommé pur. Par la suite, ces boissons laisseront sans doute place à des plats délicieux comme le Crabagarre farci, la Flingouste grillée ou encore le Grotichon Kalua. Finalement, le Malasada reste le dessert emblématique de la région, suivi de près par la Lil’ile flottante.


En conclusion

Alola est certainement la destination la plus paradisiaque que vous pourriez choisir pour passer vos vacances au soleil. Riche en légendes et histoires surprenantes autour de l’âge d’or de la piraterie, vous risquez sans doute de poser le pied là ou Barbe noir l’a fait avant vous sans même vous en rendre compte. Chacune de ses iles propose un large panel d’activités et raviront plus d’un touriste. Aventuriers et dresseurs en quête d’aventure ne seront pas non plus en reste, puisque la région abrite beaucoup d’espèces emblématiques, allant de Rocabot à Bébécaille en passant par Plumeline, le fameux Pokémon changeant de look en fonction de l’ile où il vit. Enfin, les amoureux de gastronomie exotique seront plus que comblés par la large gamme de spécialité que propose l’archipel.
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Worick Brown

Worick Brown
Scientifique Kantô

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Jeu 15 Aoû - 18:17

Almia



Almia, isolée et trop souvent oubliée, est une grande ile au beau milieu des océans loin de toute civilisation. Reconnue pour sa faune et sa flore extraordinairement riche, elle est protégée chaque jour de l’année par l’OCA (Organisation de Conservation d’ Almia) afin de permettre aux espèces présentent sur l’ile de garder leur état sauvage. Si les dresseurs du monde entier sont autorisés à fouler l’ile du pied, ils doivent d’abord se soumettre à une réglementation stricte. C’est donc en laissant la totalité de leurs Pokéballs vides aux portes du QG de l’OCA que les visiteurs auront l’opportunité d’explorer ces contrées sauvages. De plus, il faut savoir que l’ile d’Almia abrite les ruines de l’antique cité au nom éponyme qui sont classées au patrimoine Interrégional. En effet, ces ruines sont les mieux conservées et les plus importantes que les chercheurs aient retrouvées à ce jour, permettant ainsi d’organiser régulièrement des fouilles archéologiques notamment au niveau des souterrains de la cité, qui regorgent de trésors antiques qui n’attendent qu’à être découverts.


Mais d’où nous viennent ces ruines au juste ?

Pour comprendre l’origine de ces ruines, nous devons remonter plusieurs centaines, voire même plusieurs milliers d’années en arrière, bien avant la grande purge d’Arceus ayant eu lieu en l’an 0, sous le règne des anciennes civilisations. (Pour plus d’information, se référer à la publication sur l’histoire du monde Pokémon écrite par le professeur Brown.)
Alors que le niveau de la mer commençait à monter dangereusement à Hoenn, faute aux conflits entre Groudon et Kyogre, respectivement maitre de la terre et des mers, un homme, motivé par son instinct de survie et afin de sauver un maximum d’espèces autour de lui, eut l’idée de construire une arche. Alors que la situation pressait de plus en plus et qu’un gigantesque raz de marée pouvait bien engloutir entièrement la région d’Hoenn du jour au lendemain, il se mit au travail, faisant appel au maximum de main d’œuvre à disposition qu’elle soit humaine ou Pokémon, pour réussir à mener ce noble projet à terme. Toujours aussi certain que la région finirait par disparaitre, l’homme, du nom de Néo, commença à faire entrer un maximum de spécimen différents au sein de son arche, un mâle et une femelle de chaque espèce plus précisément, en plus de centaines de caisses et barils de vivres pour pouvoir atteindre la région la plus proche sans manquer de rien. Avec sa famille et certains de ses proches, il finit donc par embarquer à bord de son arche, modestement baptisée l’arche de Néo. Cependant, ses capacités nautiques n’étaient pas aussi bonne qu’il l’eut espéré, l’homme n’arriva jamais à bon port. Son arche navigua des jours et des jours durant dans une direction que n’était finalement pas la bonne, jusqu’à finalement s’échouer tardivement sur une ile. Jamais répertoriée, cette ile n’avait jamais été foulée du pied par un Homme auparavant. C’était l’ile d’Almia. Les années passèrent alors que Néo et sa famille s’établir sur l’ile, vivant en parfaite harmonie avec les Pokémons locaux. Ensemble, ils décidèrent de transformer cette ile déserte en une réserve naturelle géante, et ce afin de sauvegarder toute espèce de Pokémons qui aurait l’opportunité d’y vivre. Afin de garder l’ile en sécurité, Néo ne l’annota que sur ses propres cartes maritimes, alors qu’il multiplia par la suite les aller-retours en direction de chacune des régions connues afin d’amener toujours plus de Pokémons, mais aussi des hommes et femmes de confiance pour continuer à veiller sur l’ile au fil des générations. Au centre de l’ile, ils finiront par construire un village, puis un bourg, puis au fur et à mesure, une cité. Cependant, afin de ne pas s’étendre et ainsi déranger les Pokémons dans leur habitat naturel, les habitants de l’ile jugèrent bon de ne construire que 10% de la cité d’Almia à la surface, alors que 90% de celle-ci fut finalement bâtit sous terre, à la façon des Fermites. Hélas et malgré toutes leurs bonnes intentions, le nombre d’habitant de l’ile continuait de grandir, et elle n’échappa pas à la vigilance d’Yveltal en l’an 0, qui nettoya l’ile de toute trace des hommes. Cependant, il est toujours possible de retrouver des vestiges de cette cité antique, baptisée à l’époque « Eldorado », car l’absence totale d’être humaine sur l’ile durant des siècles après l’extinction des premières civilisations aura permit une excellente conservation des lieux. On raconte cependant que la lignée de Néo ne se serait pas complètement éteinte, et que l’un de ses descendants aurait maintenant pour objectif de protéger et libérer la totalité des Pokémons des Hommes, se faisant appeler « N » en hommage à son ancêtre.


Publication - Traité de géographie du monde Pokémon Frise_12
:copyright:Arvalis


Et maintenant, comment ça fonctionne l’ile d’Almia finalement ?

Retrouvée aux alentours du XVIIIème siècle par des marins qui étaient au départ en quête de l’Atlandide, l’ile a très vite été reconnue pour la richesse hors norme de son écosystème. Bien vite, d’anciens rangers quitteront le pentagone pour fonder l’Organisation de Conservation d’Almia, qui protègent l’ile depuis ce jour des Pokéballs et des armes des braconniers. De nos jours, l’ile est sauvage dans sa très grande majorité, bien qu’il existe deux zones accessibles à l’Homme.

Les ruines de l’ancienne cité d’Almia : Si l’entrée et la boutique de souvenirs servant à financer certaines dépenses liées à la protection de l’ile se trouve en surface, parmi certains décombres encore présents de ce qu’il reste des vestiges de cet Eldorado, la véritable visite, elle, se fait en sous-sol.
Ouverte tous les jours de l’année aux membres les plus éminents des hautes sphères scientifiques, les ruines ouvrent toutefois leurs portes au public en de rares occasions, permettant ainsi une journée complète de fouille archéologique avec location de matériel sur place pour quiconque aura réussi à se munir d’un billet. Cependant, vous vous doutez bien que ces places sont rares et partent à une vitesse démentielle lorsqu’elles sont misent en ventes.

Si vous êtes l’un de ces passionnés qui rêvez depuis toujours d’y faire un tour, soyez sûr de ne pas avoir dépassé votre plafond de carte bancaire lorsque les rumeurs concernant une future session commencent à voir le jour. Après tout, vous pourriez bien faire des découvertes inoubliables dans les souterrains d’Almia : Pierres d’évolutions et pierres précieuses, fresques pittoresques peintes à la main par les premières civilisations, et pourquoi pas méga-gemme ou encore des morceaux fossilisés de Pokémons préhistorique ?

Le cap de la terreur : Situé près de la côte Est de l’ile, le cap de la terreur est sans conteste l’un des lieux les plus dangereux au monde. Combats en terrains accidentés, rencontres toujours plus surprenantes et désavantageuses, si cette zone reste ouverte au public toute l’année, c’est pour une bonne raison : Les Pokémons qui y vivent n’ont souvent rien à craindre des dresseurs.
En effet, c’est à cet endroit précis de l’ile qu’ont choisis de s’installer les espèces les plus dangereuses d’Almia et elle ne compte surement pas laisser le moindre dresseur fouler leurs terres impunément. Il est donc recommandé de ne pas envisager la moindre exploration des lieux à moins d’avoir une foule de Pokémons très expérimentés et ainsi capable de vous défendre. Cependant, s’entrainer contre les hordes de Pokémons sauvage qui y vivent constitue une épreuve de très haut niveau et permet ainsi d’offrir à vos compagnons l’opportunité de disputer des matchs réellement compliqués ou la ruse finira souvent par triompher face à la force brute.

C’est le quartier général de l’OCA qui fait la jonction entre ces deux zones, possédant par ailleurs le seul ponton permettant aux ferrys autorisés de venir s’amarrer de temps à autres pour y déposer les dresseurs téméraires ou les plus curieux venus inspecter les ruines. Un héliport y est aussi présent, cependant les hélicoptères de l’ile sont exclusivement réservés aux rangers en charge de la protection des lieux.


Publication - Traité de géographie du monde Pokémon Frise_13
:copyright:Arvalis


Pour conclure, on peut dire qu’Almia n’est pas la destination de vacance idéale ?

Oui et non. En soi, Almia reste un véritable joyau, un trésor à la valeur inestimable pour notre monde, que ce soit grâce à son passé chargé d’histoire ou à sa biodiversité époustouflante. Cependant, elle n’est pas à prendre à la légère. Y rester quelques jours afin d’y mener des fouilles archéologiques poussées ou un entrainement de très haut niveau ne peut qu’être bénéfique si on y est bien préparé. En revanche, n’espérez pas pouvoir vous adonner à des activités plus touristiques : On ne vous laissera aucunement capturer de Pokémons, pratiquer de l’accro-branche ou tremper les pieds dans l’eau après une petite heure de bronzette.

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